Mman Doigtée

MAMAN DOIGTEE

Ce récit est la traduction adaptée en français d'un extrait du texte en anglais de George VI « My promiscuous mother 3 », chapitre 10.

Nous passions tous les week-ends chez mes grands-parents maternels, avec mes oncles et tantes et mes jeunes cousins. Nous allions toujours à l'église le dimanche, et Grand-mère préparait ensuite le repas.

Un jour, des voisins furent invités. Il n'y avait pas assez de place à la table et nous dûmes nous serrer. Grand-père était assis d'un côté de la table, le dos contre le mur, et Maman était assise à côté de lui, à sa gauche. Elle portait toujours la robe noire informe qui descendait au-dessous de ses genoux qu'elle avait portée à l'église. J'avais été obligé de me contenter d'une chaise pliante juste au coin de la table à sa gauche de et j'avais à peine la place de poser mon assiette juste sur le coin de la table. Papa était assis du côté opposé à Maman et Grand-père.

Pendant le repas, je remarquai que Grand-père mangeait avec sa main droite et avait sa main gauche sous la nappe, sur les genoux de Maman. D'où j'étais placé, j'étais le seul à pouvoir me rendre compte de leur attitude. Je pouvais voir sa main s'agiter sous sa jupe retroussée.

Ni elle ni lui ne participaient à la conversation générale et ils ne se regardaient pas. Je gardais moi aussi le silence, concentré que j'étais sur le mouvement de la main de Grand-père. sous la jupe maternelle.

Je mourais d'envie d'en voir plus. Mon cousin, assis au bout de la table à ma gauche a fini de manger et a aussitôt quitté la table. Cela m'a donné plus de place. J'ai volontairement laissé tomber ma fourchette et je me suis penché pour la ramasser. Heureusement, la nappe n'était pas très longue et je n'ai pas eu à la soulever pour regarder sous la table.

Maman avait les cuisses écartées et j'ai pu voir sa culotte blanche, dans laquelle disparaissait la main de Grand-père.

Quand je me suis rassis, Grand-père m'a regardé avec un sourire complice cependant que Maman, soudain pivoine, évitait mon regard. Ils avaient tous deux remarqué mon manège mais leurs réactions étaient bien différentes...

Au lieu de sortir de table comme je le fais habituellement lorsque j'ai fini de manger, je suis resté un moment à discuter avec mes voisins immédiats, en gardant un œil sur Maman et Grand-père. Finalement, quand d'autres personnes se sont levées pour partir, Grand-père a retiré sa main de dessous la table. Je pus voir que ses doigts étaient humides. Il s'essuya la main avec sa serviette.

Au moment du départ, Grand-père s'est arrangé pour me prendre un instant à l'écart et m'a glissé, l'œil égrillard :

« A toi de jouer, fiston... Tu vas voir, elle aime ça... Elle a toujours mouillé au quart de tour...» J'étais abasourdi et, comme on peut le penser, excité à mort par ces paroles qui me laissaient le champ libre et... beaucoup d'espoir!.

A l'instant de prendre le chemin du retour, ma sœur a voulu s'asseoir à l'avant à côté de Papa. Maman a protesté, mais quand ma sœur veut quelque chose... Maman a finalement dû s'installer à l'arrière à mes côtés à son corps défendant. Elle ne tenait pas être trop près de moi... Et de fait, après quelques kilomètres, enhardi par ce que m'avait dit Grand-père, j'ai posé ma main sur sa cuisse. Elle l'a aussitôt repoussée mais j'ai insisté et elle a fini par accepter mon attouchement sans plus rien dire. Je ne comptais évidemment pas m'en tenir là, mais je ne pouvais guère faire plus pour l'instant, avec Papa qui nous adressait par moments la parole en nous regardant dans son rétroviseur.

A mi-chemin, nous nous sommes arrêtés dans un restaurant d'autoroute pour déjeuner. Nous avons commandé tous les quatre, mais Maman et moi avons pris de simples sandwiches tandis que Papa et ma sœur ont commandé des plats cuisinés et ont dû attendre dans la file pendant que Maman et moi nous installions dans un box un peu à l'écart. Elle s'est glissée au fond et au lieu de m'asseoir en face d'elle je me suis placé à côté d'elle, à sa droite. C'est elle qui, voulant profiter de l'absence momentanée de Papa et de ma sœur, a abordé le sujet qui ne quittait pas notre esprit à tous deux :

« Tu ne diras rien à ton père, hein, mon chéri? »

Si Grand-père ne m'avait rien dit, je n'aurais certainement pas eu le courage de ne pas lui céder, mais ses encouragements résonnaient encore à mes oreilles.

« Eh bien... ça dépend uniquement de toi, Maman... »

Elle a frémi :

« Que veux-tu dire?

-Allons, lui ai-je dit, tu le sais très bien... »

Et j'ai glissé ma main sous la table sur sa cuisse par-dessus sa jupe.

« Oh non, m'a-t-elle dit sur un ton suppliant, on... on ne peut pas...

-Parce qu'avec Papy tu peux?

-Ce... ce n'est pas la même chose...? a-t-elle balbutié...

-Bien sûr que si! » l'ai interrompue en relevant lentement sa jupe.

Je m'attendais à ce qu'elle tente de m'arrêter, mais Grand-père avait décidément raison : elle devait aimer ça au point de ne pas pouvoir dire non une fois échauffée... Et je l'avais sans doute échauffée... Elle a pris son manteau, qu'elle avait mis à côté d'elle et l'a posé sur ses genoux. A l'évidence, elle avait l'expérience de ce genre de situation. Mon grand-père ne devait pas être le seul à la doigter...

J'ai commencé à remonter le long de sa cuisse. Elle regardait tout autour de la salle d'un air inquiet tandis que ma paume atteignait son entrejambes. C'était la première fois que je sentais la chair lisse et chaude de l'intimité d'une femme, et il s'agissait de ma mère!. Mon cœur battait à tout rompre.

Lorsque ma main a atteint sa culotte, elle a écarté les cuisses. J'ai glissé ma main sous le tissu et j'ai caressé sa toison. Sa culotte était mouillée autour de sa fente.

J'ai alors moi aussi regardé autour de la salle. Je pouvais voir Papa et ma sœur attendant toujours leurs plats.

La cuisse droite de Maman était pressée contre ma cuisse gauche alors qu'elle écartait plus largement les jambes. J'ai mis quatre doigts à l'intérieur de sa culotte et j'ai commencé à la branler. Elle a cambré ses hanches tandis que mon majeur glissait en va et vient dans sa chatte chaude et fondante qui semblait s'ouvrir de plus en plus. Elle a tout à coup émis un petit hoquet de jouissance et a serré ses cuisses autour de ma main. Sa bouche était ouverte et ses paupières palpitaient.

Papa et ma sœur se sont approchés de la table avec leurs plateaux. Ils n'ont pas remarqué que j'étais assis à côté de Maman et que je n'utilisais qu'une seule main pour manger mon sandwich. Maman a commencé à retrouver son calme.

Pendant encore une minute, j'ai gardé mon doigt dans sa chatte, alors que j'étais assis en face de papa. Finalement, elle a mis sa main sous la table et a doucement retiré la mienne de son con trempé. Je n'ai pas pu m'empêcher de porter discrètement mon majeur mouillé jusqu'à mon nez et de respirer rapidement son odeur. Puis, comme Grand-père, j'ai essuyé mon doigt avec ma serviette et j'ai terminé mon sandwich.

(à suivre)