Piégée

Informations sur Récit
Inceste mère-fils.
1.7k mots
4.38
11.2k
3
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
luc1234_
luc1234_
26 Admirateurs

Piégée

A quoi tiennent les choses... Si la prof de maths n'avait pas été absente ce jour- là, me libérant pour l'après-midi, si je n'étais pas, je ne sais pourquoi, rentré à la maison par la rue Monge alors que je passais d'habitude par le boulevard Truchet, si le hasard n'avait pas fait qu'au moment où j'arrivais à la hauteur de l'hôtel des Tournelles ils en soient sortis enlacés, rien ne serait sans doute jamais arrivé.

J'étais plongé dans mes pensées et, ne leur prêtant aucune attention, je ne les ai tout d'abord pas reconnus.

Qu'est-ce qui m'a fait tout de même me retourner? Sans doute une image subconsciente. Toujours est-il qu'au même moment ma mère a levé les yeux vers moi et a subitement blêmi. Mon cher tonton, lui, ne m'avait pas remarqué et continuait à lui caresser ouvertement les fesses. Elle s'est brusquement dégagée, à son étonnement, et c'est alors qu'il m'a vu.

C'est elle qui s'est avancée vers moi tandis qu'il restait interdit devant le perron de l'hôtel. Je sentais qu'elle n'en menait pas large, mais elle a tout de même dû se dire que la meilleure défense était l'attaque et elle m'a demandé sur un ton qu'elle voulait sans doute sévère mais qui ne donnait pas le change :

- Qu'est-ce que tu fais là? Tu sèches les cours à présent?»

Je n'ai pu m'empêcher de sourire sans rien dire. Désarçonnée par mon silence et mon regard amusé, elle a tout de suite rendu les armes :

- Ce... ce n'est pas ce que tu crois, Luc... Je... j'ai simplement rencontré Eric par hasard, et comme il n'y pas de café dans cette rue, il m'a invitée à prendre un verre au bar de l'hôtel.

Sa défense était pitoyable et elle s'en est aussitôt rendu compte, d'autant plus gênée que je continuais à ne pas dire un mot tout en la regardant d'un air goguenard.

Tonton Eric s'est enfin approché, mettant fin à cette scène ridicule.

- Bon, voilà... tu sais maintenant pour ta mère et moi. Ta rencontre est... assez embarrassante mais ce qui est fait est fait, hein... Ma mère a baissé les yeux en rougissant et je l'ai trouvée ravissante...

Arrivé à ce point de mon récit, je dois vous dire que je me suis toujours bien entendu avec mon oncle, qui n'a en réalité que peu d'années de plus que moi. Mon père est l'aîné de la fratrie. Il a aujourd'hui 40 ans. Son frère cadet, René, en a 28 et Eric, le petit « ravisé » de la famille, est le benjamin, avec ses tout juste 19 ans. Soit à peine deux de plus que moi. Très tôt (il était encore dans l'adolescence et moi j'y entrais), nous nous sommes découvert des... goûts et des intérêts communs... C'est avec lui que je suis allé aux putes pour mon dépucelage, c'est lui qui par la suite m'a présenté la femme du pharmacien de la rue Danton, que nous sautons depuis ensemble tous les lundis soirs, jour du bridge de son cocu et où tonton est censé me faire réviser le bac dans son studio d'étudiant. C'est dire si notre complicité est étroite...

Nous étions donc tous les trois sur le trottoir, Maman de plus en plus décomposée et Eric jouant les gênés tout en se délectant secrètement de la situation (je le connaissais assez pour m'en rendre compte), quand le portable de Maman a sonné. Elle a paru soulagée de cette interruption, s'est excusée et éloignée de quelques pas pour répondre. C'est alors qu'Eric m'a chuchoté :

- Putain, si tu es partant, ça va être génial!

Je l'ai regardé interloqué, puis un frisson soudain m'a parcouru : c'était un nouveau partage qu'il me proposait là, et quel partage!

- Ecoute, a-t-il ajouté, je lui dis que je vais te parler seul à seul et qu'il vaut mieux qu'elle rentre chez vous. Elle est dans tous ses états, elle ne demandera pas mieux.

Maman est revenue vers nous à ce moment.

- C'était ton père, a-t-elle dit d'une voix altérée, en détournant la tête et rouge comme une pivoine. Je... écoute Luc, je...

-Calme-toi chérie, l'a alors interrompue Eric. Je crois que tu devrais rentrer pendant que je parle à Luc...

-Tu... tu crois? a-t-elle dit.

Son soulagement était cependant évident et une minute après elle nous quittait pour la maison et Eric et moi nous rendions à son studio.

A notre arrivée, il exultait manifestement. J'avais eu le temps de lui avouer en route que sa proposition ouverte m'avait quasi instantanément fait bander, mais que je voyais mal comment...

- Tu vois mal? Moi je vois très bien! Ce ne sera pas tout de suite dans la poche, mais je peux te dire que dans deux mois maxi on se la tirera tous les deux sur ce pieu ta petite maman! » s'exclama-t-il dans un éclat de rire en désignant son lit. « Tiens, regarde, j'ai quelque chose à te montrer!

Et il tira du tiroir de sa table de nuit un album de photos que je feuilletai avec de plus en plus d'avidité au fur et à mesure que j'en découvrais les trésors: ma mère y était photographiée dans toutes les positions, toujours en bas, porte-jarretelles et hauts talons, suçant à genoux sur le tapis, allongée cuisses écartées sur le lit, plaquée debout contre la cloison, cul cambré prêt à recevoir le mâle, branlant amoureusement la queue d'Eric, se branlant elle-même les yeux fermés ou se faisant branler, arquée sous l'excitation, avec toujours sur le visage la même expression de jouissance. Sur aucune d'elles elle ne portait de culotte.

Quand j'en fis la remarque à Eric, il se mit de nouveau à rire :

- Ah ça, c'est notre petite convention à la salope et à moi : jamais de culotte, ni ici, ni chez elle, ni dehors!

-Mais... le jour où mon père s'en apercevra...

-Pas de danger. Coincé comme il est, il ne la touche que dans leur lit, une fois couché et lumières éteintes, après qu'elle est passée par la salle de bains. Et puis on a prévu le coup au cas où... Elle prétexterait une envie pressante qui lui a fait mouiller sa culotte en tout bien tout honneur, ce qui l'a obligée à l'ôter... Tu ne te doutais pas qu'elle était constamment chatte à l'air comme une bonne pute prête à l'emploi, hein? Excitant, non?

Et de fait, quand je repensais à toutes ces soirées passées assis à ses côtés sur le canapé pour regarder la télévision, ma cuisse frôlant parfois la sienne par inadvertance, je ne pouvais m'empêcher de bander! Dire qu'à quelques centimètres de ma main la chatte maternelle était à nu, mouillant peut-être au souvenir de son après-midi!

- Ecoute, me dit alors Eric, il faut battre le fer quand il est chaud. Ce soir tu lui joues le grand jeu. Il faut que les choses soient claires pour elle : ou elle te laisse la baiser ou tu dis tout à ton père... Tu joues sur du velours : elle ne peut risquer le scandale (tu vois d'ici le cataclysme familial, mari, beau-père et belle-mère au courant, son père et sa mère à elle, mon frère René, sans compter tous nos proches, amis, connaissances, collègues de mon père et les siens!) n et elle ne peut pas plus se permettre divorce (la maison comme la plupart des biens sont au nom de Papa, elle y laisserait sa chemise...) Bref, elle n'aura pas le choix.

Ces paroles tournaient et retournaient dans ma tête quand je suis rentré à la maison, surexcité par les perspectives qui s'offraient à moi. Mon père était dans son bureau, ma mère dans la cuisine en train de préparer le repas. Je l'y ai aussitôt rejointe et, fort des conseils d'Eric et le cœur battant, me suis immédiatement collé à elle qui était penchée sur l'évier. J'ai bandé instantanément à l'idée de ce cul que je savais à présent dénudé sous la robe, disponible. Un cul que j'avais vu exhibé, offert, cambré, écarté sur les photos d'Eric. Un cul qui avait peut-être reçu sa semence dans l'après-midi, quelques heures auparavant seulement. Elle s'est brusquement raidie, m'a violemment repoussé :

- Mais qu'est-ce que tu fais? Tu es fou!

Le moment crucial était arrivé. J'ai soupiré d'un air navré :

- Bon... Puisque tu ne me laisses pas le choix...

Et je suis sorti, la laissant complètement désemparée, face à face avec l'inéluctable. Le message était passé, elle avait parfaitement compris que je la menaçais de tout révéler à mon père.

Au cours du repas, elle s'est efforcée de faire bonne figure mais sa nervosité n'aurait échappé à personne. A personne sauf à mon père, qui racontait à son habitude en long et en large sa journée au bureau. Ma mère évitait de me regarder. Je l'ai laissé macérer jusqu'au dessert et c'est alors que j'ai porté l'estocade.

- Papa..., ai-je dit, tu regardes la télé ce soir ou on pourra parler?

Comme si je ne savais pas d'avance que ma demande tombait on ne peut plus mal... Il faut vous dire que Papa est fana de foot et que c'était ce soir la finale du championnat de France, qui allait se jouer entre le PSG et l'Olympique lyonnais.

Maman s'était figée, tétanisée, mais la réponse de mon père fut conforme à ce que j'attendais.

- Tu es sûr que ça ne peut pas attendre? » m'a-t-il demandé d'un air renfrogné.

- Si, bien sûr, lui ai-je répondu, je suis idiot, je ne me souvenais plus que c'était ce soir la finale. On attendra la fin du match...

En se mettant à table, Maman avait dit qu'elle irait se coucher très tôt en prétextant une migraine, mais à ces mots, sa migraine avait disparu. L'anxiété se lisait sur son visage. Il lui fallait rester.

La table débarrassée, nous nous sommes installés tous les trois devant la télé, Papa dans son fauteuil, ma mère et moi sur le canapé. Elle s'était écartée de moi le plus possible. Je me suis rapproché d'elle en fils aimant, attendant que le match commence et que les images hypnotisent mon père. Deux minutes après, c'était fait. Je lui ai alors posé la main sur le genou. Elle a sursauté, a repoussé nerveusement ma main en silence. J'ai alors appelé à mi-voix :

- Papa!

-Quoi?

Mais déjà elle avait repris ma main et l'avait posée sur sa cuisse...

- Rien, rien...

luc1234_
luc1234_
26 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
5 Commentaires
CyrfranCyrfranil y a 26 jours

La fin est trop précipitée.

LuceloiLuceloiil y a 29 jours

ça finit en queue de poisson. On connait même pas le résultat du match de foot, j'espère que OL a gagné

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Euh désolé il n’y a pas de finale du championnat de France de Foot… de rugby oui. Une finale de Coupe de France de Foot oui mais pas de finale du championnat !

AurailiensAurailiensil y a 3 mois

Oui... départ très excitant on est un peu frustrés !

Patoche95Patoche95il y a 3 mois

Très bon récit, mais un peu court à mon gout. Vivement la suite.

Partagez cette Récit

récit TAGS

Histoires SIMILAIRES

Maman Soumise Une mère soumise partagée at prostituée par son fils.
Mman Doigtée Un fils doigte sa mère, encouragé par son grand-père.
Les Culottes de Maman Désirs d'une mère soumise.
Réticences et Désir Rapports incesteux mère-fils. Soumission maternelle.
Initiation - 01 (ses 18 ans) Pour Manon, un anniveraire très spécial avec ses parents.
Plus d'histoires