Maman Soumise

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Une mère soumise partagée at prostituée par son fils.
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Il y avait bien trois ans que je n'avais pas revu Luc, mon neveu par alliance, le fils du frère de ma femme. Je ne m'en portais pas plus mal, étant donné les liens quelque peu distendus qui unissaient (si peu) nos deux familles, depuis que, six ans auparavant, j'avais fait la connaissance de mon beau-frère Pascal. Si Solange et moi les fréquentions encore de loin en loin, lui et sa femme, c'était bien par pure obligation familiale. Il faut dire que j'avais d'emblée pris en grippe ce pleurnichard qui se lamentait sur tout et sur rien, se plaignant continuellement de la vie chère et des prix qui ne cessaient d'augmenter, de la marche de son affaire de bonneterie, qui périclitait, invariablement et surtout et toujours, de la conduite de son rejeton, un fils unique et surprotégé qui, à l'entendre, ne leur avait jamais apporté que des ennuis.

Hélène, ma belle-sœur, semblait confuse en entendant ces récriminations incessantes. À chaque fois, elle se taisait et détournait le regard, d'un air gêné, comme si Luc avait été présent, ce qui n'était jamais le cas : l'oiseau avait su gagner très tôt son indépendance et ne faisait, manifestement, que des apparitions espacées au foyer familial qu'il devait prendre pour un hôtel ; plusieurs fois, même, je l'avais vu rosir, cette chère Hélène, comme si les aigres remarques de son mari étaient autant d'accusations plus précisément dirigées contre elle. De fait, elle avait toujours gâté Luc, se pliant à ses moindres caprices depuis qu'il était enfant. Il n'était donc pas étonnant que parvenu à l'adolescence, ce dernier ne lui épargne aucune déception. Mais après tout, elle était largement responsable de son comportement. C'était du moins l'interprétation que j'avais donnée, jusque-là, de son attitude et le jugement que je portais sur elle, lorsque j'en discutais avec Solange, en rentrant à la maison.

Ce que je ne disais pas à ma femme, en revanche, c'était l'attirance que j'avais toujours ressentie pour Hélène, dont la douceur et la passivité éveillaient en moi un trouble que son physique et sa tenue d'épouse sage et réservée n'expliquaient pas : elle semblait le modèle parfait de la petite bourgeoise sans histoires, épouse irréprochable et mère attentionnée et pourtant, son effacement même, m'intriguait, jusqu'à, par moments, me mettre mal à l'aise. La rencontre inopinée de mon neveu allait éclairer la situation d'un jour tout nouveau...

« Tiens donc! Qui je rencontre dans ce quartier de perdition? Mon tonton préféré! »

Sans cette interpellation narquoise, mais directe, jamais je n'aurais reconnu ce grand garçon bien bâti, qui devait avoir, combien maintenant, dix-neuf? vingt ans? Mais que faisait-il lui aussi dans ces parages où, je l'avoue, il m'arrive de m'égarer à mes heures perdues? Je n'allais, évidemment, pas le lui demander, mais je ne pouvais pas, non plus, le planter là, en faisant comme si de rien n'était. Je l'invitai donc à prendre un verre dans un bar tout proche. Je me suis souvent demandé, depuis, si la voie des confidences réciproques qui allait, au bout de quelques heures, nous faire nous reconnaître dans la grande famille du vice aurait pu s'ouvrir si facilement sans la pénombre complice de cet établissement discret. Sans doute pas : il faut parfois si peu de choses pour que les choses arrivent..., et si peu pour qu'elles n'arrivent pas! Je dois pourtant avouer que c'est Luc, avec le goût du risque qui caractérise la jeunesse, qui nous aiguilla sur le sujet essentiel...

Nous en avions terminé avec les banalités préliminaires et je ne savais plus trop que lui dire. Je me rabattis donc sur les banalités d'usage :

« Et ta mère, comment va-t-elle? »

Il releva brusquement la tête et son visage se fendit soudain d'un large sourire :

« Oh Maman...! »

Ses yeux pétillèrent et il hésita, comme s'il cherchait ses mots en se délectant, peaufinant la meilleure formule.

« Disons..., disons que c'est..., une femme comblée..., au sens plein du terme...! »

Et comme je semblais désorienté devant cette phrase sibylline et l'air bizarre dont il l'avait prononcée, il ajouta dans un éclat de rire :

« Tu as toujours eu un petit faible pour elle, n'est-ce pas? Ne nie pas...! Si tu crois que je ne me rendais pas compte de la façon dont tu la regardais, quand j'avais seize ans! Mon cher tonton..., en fait, tu ne faisais que me conforter dans ce que je ressentais moi aussi pour elle...! »

Le sang dut me monter au visage devant cette confidence folle, car il murmura d'un ton apaisant en posant sa main sur mon bras :

« Cool, tonton, cool... Si tu fréquentes, toi aussi ce quartier, c'est que..., nous avons, toi et moi, les mêmes centres d'intérêt, non? »

Je demeurais figé, incapable de prononcer la moindre parole. Mais, en était-il besoin? Le simple fait de rester là, à l'écouter, valait acquiescement. Il continuait d'ailleurs :

« Eh bien, si tu m'as rencontré ici, cet après-midi, c'est précisément pour ma chère maman! »

J'interrogeai, la gorge sèche :

« Co..., comment ça? » Il me sourit d'un air complice :

-- Je viens juste de négocier un petit arrangement, avec le patron de l'Hôtel de Meaux..., mais il lui faut un peu de temps pour prendre ses dispositions, contacter un client sérieux...! Bref, il m'a donné rendez-vous pour jeudi prochain. Huit jours..., ça nous donne tout le temps de resserrer un peu les liens familiaux, tu ne crois pas, tonton? Tu es libre, demain après-midi? Papa est à son bureau jusqu'à six heures. Si tu pouvais venir vers deux heures... »

Je ne l'étais pas, mais j'allais m'arranger. Comme si j'allais rater une occasion pareille...

C'est donc avec l'impatience et dans l'état qu'on peut imaginer que je sonnai le lendemain, chez mon beau-frère, à deux heures tapantes. C'est mon neveu qui vint ouvrir, le sourire aux lèvres :

« Quelle bonne surprise, ça alors...! Entre donc, tonton, c'est maman qui va être contente... Je lui ai dit que tu passerais, peut-être, un de ces jours, sans préciser lequel..., et ça a suffi à la mettre dans tous ses états. Tu lui fais aussi de l'effet, dis donc...! Entre donc, nous commencions à nous amuser! »

Il m'avait pris par l'épaule et tout en parlant, me dirigeait vers le petit salon où je passais régulièrement des soirées si ennuyeuses. Mais cet après-midi là, promettait de ne pas l'être : lorsque je pénétrai dans la pièce, ma belle-sœur se tenait debout dans un coin, raidie et les lèvres tremblantes. Des hauts talons inattendus la faisaient paraître plus fragile encore. Elle portait une courte jupe étroite dans laquelle je n'aurais jamais osé l'imaginer dans mes rêves les plus fous, qui lui arrivait à mi-cuisses et dévoilait un peu de chair nue à la lisière de ses bas noirs que retenait un porte-jarretelles rose. Son chemisier transparent ne laissait rien ignorer de sa poitrine libre de tout soutien-gorge, qu'elle essayait vainement de couvrir de son bras dans un geste de pudeur instinctif. Un geste qui tranchait du tout au tout avec cette tenue de pute...! J'enregistrai la scène en un éclair et, surmontant ma surprise, je m'apprêtais à saluer conventionnellement cette Hélène, si différente de celle que je connaissais, mais qui restait ma belle-sœur par alliance quand Luc me devança :

« Dis donc, salope, je t'ai dit de rabattre ta jupe et de te retourner? »

Elle lui jeta un regard suppliant, éperdu.

« Tu réponds, salope? »

Vaincue, elle baissa les yeux d'où les larmes jaillissaient soudain et murmura :

« Non, Luc... »

-- Alors tu te tournes contre le mur et tu montres tes fesses à tonton...! »

Il ajouta en ricanant :

« N'aie pas honte, avec lui, c'est comme avec moi, ça ne sort pas de la famille... Rien à voir avec ces messieurs de l'autre après-midi...! »

Hélène s'était, à présent, retournée. Je voyais ses épaules tressauter au rythme des pleurs qu'elle ne pouvait retenir. Mon regard, cependant, ne s'attarda guère sur cette vision affligeante : le cul qu'elle exhibait, honteuse, sur l'ordre de son fils, attirait, aimantait la main, la queue...! Je m'approchai, fasciné, jetai un rapide coup d'œil à Luc qui m'encouragea crûment :

« Va-s-y...! Depuis le temps que tu as envie de la fourrer! Con et cul, elle est habituée...! Elle te racontera, elle-même, ses petites obligations et toute notre petite histoire, ça la fait chialer, mais elle mouille en même temps, je te dis pas : c'est ça l'intérêt des femmes honnêtes! On va simplement corser un peu le jeu aujourd'hui...! »

J'étais, déjà, en train d'écarter à pleines mains les fesses de ma belle-sœur qui sanglotait à fendre l'âme, pénétrant son anneau culier d'un index impérieux, quand Luc lui tendit son portable :

« Tu téléphones à papa et tu lui demandes ce qu'il veut pour dîner ce soir. Et tâche de faire durer la conversation jusqu'à ce que tonton ait commencé à t'enfiler...! Je veux t'entendre clapoter! Mais j'y pense, poursuivit-il, en s'adressant à moi, tu ne préfères pas qu'elle te suce en lui téléphonant? Ouiiiii, rien que d'y penser, j'en bande! Elle va te faire ça, à fond, en te branlant pendant qu'elle lui parle... Moi, je m'occupe de sa chatte, d'accord? »

Si j'étais d'accord!

C'est ainsi que commença une petite relation familiale qui dure maintenant depuis cinq ans et qui entraîne très régulièrement Hélène vers des rencontres tout aussi inavouables, à sa honte toujours aussi grande et pour notre plus grand plaisir à son fils et à moi.

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Anonymous
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6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 25 jours

génial on attend la suite avec impatience !!!

APVapvAPVapvil y a environ 1 mois

Très bien écrit mais un peu court

AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Une suite est-elle envisagée pour connaître l'étendue de sa soumission ?

Rudy

AurailiensAurailiensil y a environ 1 mois

Même avis, on est frustrés de la soumission de la mère par le fils

AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Dommage qu'on ne sache pas comment Hélène est tombée sous la coupe de son fils...

Olivx

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