Emprise sur la Ville - Acte 04

BÊTA PUBLIQUE

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Elle demanda au prêtre de lécher la chatte d'Aurélie pour nettoyer le sperme qui coulait, mais elle ne constata aucune réaction. La drogue n'agissait plus. Un coup d'œil vers la pharmacienne attachée, Marie se jura de la punir. Malgré l'excitation d'avoir humilié le prêtre et sa soumise, Marie était frustrée et énervée. Elle se leva et attacha Aïké sur une croix de Saint André à côté d'Isabelle, la pharmacienne qui regardait avec angoisse le fouet que tenait Maitresse Marie.

- J'ai besoin de te fouetter fort salope.

- Oui Maîtresse Marie. Fouettez-moi comme il convient pour votre plaisir et votre confort.

L'extrémité du fouet frappa violemment la hanche droite de la black qui hurla. Une trace rouge s'imprima sur la peau ébène. Puis, une autre strie sur la cuisse et une autre sur son flanc. La tortionnaire troqua le fouet pour un martinet. Les seins ronds de la black souffrirent sous le feu des lanières en cuir. Comme une folle, Marie martyrisait la poitrine de son esclave qui criait de douleur.

- Isabelle, je vais m'occuper de toi. Je suis déçu que ta drogue ne fonctionne pas longtemps.

- Je sais ce qu'il faut faire pour que cela dure, Maîtresse.

- Oh... crois-moi. Tu vas y arriver.

Les coups tombèrent sur la peau laiteuse de la pharmacienne. Surtout sur les seins qui devinrent rapidement rouges. Le ventre et les flancs également, accusèrent la violence du martinet. Les lanières en cuir s'abattaient à rythme régulier sur la peau d'Isabelle qui hurlait de douleur. La séance dura plus longtemps que d'habitude. La résistance de la pharmacienne se corrodait.

- Je vous en supplie Maîtresse! criait-elle. Je vais fabriquer une drogue plus efficace.

***

Le lendemain, Marie attendait Laura Mucadam confortablement allongée dans son transat, devant la piscine.

- Bonjour Maitresse Marie, dit joyeusement la jeune métisse quand elle arriva.

- Bonjour petite. Tu as fait ta séance de sport ce matin?

- Oui, Maîtresse. Je vous remercie.

- Tu vas en refaire une maintenant. Déshabille-toi.

La jeune femme n'attendit pas trop longtemps malgré son étonnement. Elle venait lécher sa Maitresse et certainement jouir elle-même. Dans la journée, l'œuf l'avait fait jouir trois fois dont une fois en réunion avec Justine et Maxime. La ceinture de chasteté qu'elle portrait, l'empêchait de retirer l'objet de son humiliante jouissance.

- Tu fais des burpees. Tu les comptes tout haut et à chaque fois tu répètes ton allégeance.

Laura se mit au sol, sauta accroupie et sauta en l'air, à la verticale.

- Un, je suis votre soumise et je vous obéis en tout.

Marie regarda sa créature exécuter l'exercice jusqu'à vingt. Le corps de la jeune femme ne bougeait plus. Essoufflée, elle regarda implorant sa Maitresse qui se leva. Une cravache à la main, elle fouetta les fesses de la métisse.

- Encore sale grosse! Il te reste du poid à perdre pour me plaire et plaire à Maître Jacques.

Laura s'exécuta difficilement. La cravache claqua sur la cuisse. Et la soumise réussit à nouveau. La séance dura un peu encore avant que la pauvre s'écroule sur la terrasse de la piscine.

- Viens me lécher et me faire jouir.

Tandis que Laura savourait le sexe de sa Maitresse, cette dernière lui ordonna :

- Je veux que tu organises une rencontre avec ta mère. J'aimerais la voir et tester ta soumission.

Epuisée, la jeune femme acquiesca en insistant sur le clitoris de sa Maitresse.

***

La plage vibrait de soleil. Une semaine plus tard, Marie Mousatir posait sa serviette sur le sable, juste à côté d'un couple qu'elle avait ciblé. Charline et Julien Segfredo habitaient dans la même résidence que Laura. Après les avoir amadoué comme elle en avait l'expérience, Marie se retrouva seule sur la plage avec Charline quand elle proposa de rejoindre le mari dans l'appartement. Les tâches de rousseur charmèrent la quinquagénaire qui se voyait bien faire l'amour avec ce petit bout de femme. A cause de son lesbiannisme latent qu'elle venait de découvrir avec l'avocate Mme Tudorza, Marie lui imposerait bien de se faire prendre que par des hommes. Plus aucune femme ne la toucherait, que sa Maitresse. Alors que la jeune femme de 25 ans saisissait sa robe, Marie dit :

- Non ne remets pas ta robe, reste comme cela... La résidence est presque sur la plage.

- Oui, si vous voulez! répondit la petite rousse.

Les deux femmes traversèrent la plage, Marie portant le parasol et Charline son sac avec ses affaires de plage. Quand elles montèrent les escaliers, la blonde reluquait le petit cul de la rousse se balancer devant elle. Je lui imposerai de porter des jupes courtes ou des mini-shorts avec des chemisiers déboutonnés et noués en bas pour voir son joli ventre plat, se dit Marie en arrivant en haut de la falaise.

Dans l'appartement luxueux, Marie profita d'un moment où le couple ne la regardait pas pour vider ses deux petits flacons dans les verres. C'était une version modifiée de la drogue qu'elle avait testé sur Aurélie et le Père Stéphane. D'après Isabelle, les effets seront beaucoup plus durables, pas irréversibles mais longs. La drogue agit rapidement et Julien s'allongea dans sa chambre. Dans la salle, Charline écoutait :

- Approche petite gouine! Car c'est que tu es n'est ce pas? Une petite gouine! Dis le que tu es une petite gouine! Marie adorait cette drogue.

- Oui Madame je suis petite gouine.

Marie perçut un malaise dans le regard de Charline qui devait lutter intérieurement contre ce que la drogue lui imposait.

- Une petite gouine qui déteste les noirs et les arabes! Dis moi, c'est vrai, n'est ce pas? Tu es une petite gouine qui déteste les noirs et les arabes.

Charline répéta.

- Bien ma petite gouine, mets toi à genou devant moi, ta Maitresse! Écoute-moi bien!

À genoux entre les cuisses de Marie, le cerveau drogué de Charline enregistrait les règles qui allaient régir sa vie à partir de ce jour :

- Tu ne baiseras plus avec une femme hormis ta Maitresse.

- Seuls des hommes pourront te baiser.

- Tu ne porteras que des mini jupes et des tops pour que l'on voit le début de ta poitrine et ton ventre plat et bien évidemment plus de soutien-gorge.

- Dès que tu croiseras un noir ou un arabe, tu auras envie de le baiser.

- Julien n'aura le droit de te lécher que lorsque tu auras baisé avec un autre homme.

- Tu aimeras être traitée comme une esclave.

- Tu obéiras aux ordres de tes Maitres.

Elle plongea alors son visage entre les cuisses de la quinquagénaire. Sa langue chercha partout les parcelles de la vulve qui donnait du plaisir à sa nouvelle Maitresse. Marie appela Julien qui arriva dans le salon. La quinquagénaire fut ravie de constater son étonnement de voir sa femme à genoux devant elle, souriante, le visage luisant de mouille.

- Bien Julien, écoute moi attentivement! J'ai donné des instructions à Charline

- Oui Madame, je vous écoute.

- Charline va te répéter ses instructions et tu ne devras jamais t'y opposer. Tu devras les accepter comme étant normales. Compris!

- Oui Madame Marie! Je les accepterais comme normales

- Bien, Charline, répète ce que tu as le droit, le devoir et l'interdiction de faire.

Les instructions furent énoncées à la virgule.

- Julien. Tu aimes sucer les queues des mecs. Tu adores être sodomisé.

En partant, Marie ajouta :

- Et dernière chose, dès que j'aurais quitté votre apparemment vous ne m'avez pas vu, vous ignorez que je vous ai donné ces instructions, elles font partie de vous.

Marie les embrassa sur la bouche, satisfaite de cette séance et avec l'espoir que la programmation mentale dure.

*** Lucie Tudorza ***

Lucie regardait autour d'elle. Vendredi soir, ses amies habituelles n'étaient pas encore arrivées. Elle appréciait ce club, même s'il n'est pas uniquement réservé à la communauté gay de la ville, on n'y trouvait pas les beaufs lourds qui ne pouvaient pas s'empêcher de croire qu'une femme seule au bar où à une table n'attendait qu'eux et leur bite. Elle avait l'intention de s'amuser ce soir. L'avocate venait de plaider dans le procès d'un proxénète notoire, Dom Pietro. Elle sentait bien qu'elle avait réussi à convaincre la cour que les femmes qui l'attaquaient avaient été consentantes pour travailler pour lui et qu'elles ne faisaient que lui verser un loyer en échange de l'occupation des locaux. Sa consoeur qui défendait les pauvres femmes l'avait même félicité pour sa plaidoirie après que la procureur eut revu à la baisse ses réquisition. La victoire ne serait certaine qu'après le rendu du délibéré mais Lucie était confiante. Certes, sa défense choquait un peu son éthique mais elle était avocate et elle ne faisait que son travail.

Assise sur un tabouret au bar, elle sirotait ce cocktail que la barmaid venait de lui apporter quand une grande brune au cheveux courts s'approcha d'elle.

- Bonsoir! Tu permets?

- Oui bien sûr!

Lucie regarda cette brune avec envie. Que pouvait cacher cette veste en jean et son pantalon de cuir noir. Elle ressemblait un peu à ces filles de gangs qu'elle défendait parfois, mais quelque chose chez cette femme trahissait une autorité, une sureté, une confiance en elle que Lucie avait rarement rencontré. Sauf peut-être chez son dernier client, Dom Pietro, comme il aimait se faire appeler.

- Je suis Lucie et toi?

- Joséphine, mais dis-moi, on ne s'est pas déjà croisé?

- Je ne me souviens pas, mais peut-être? Je viens régulièrement... Je t'offre quelque chose?

- Un daïquiri!

- Ça marche!

Lucie vit le regard de Joséphine dans son profond décolleté orné d'un long collier de perles qui descendait entre ses seins. Inconsciemment elle bomba un peu le torse afin de montrer à l'autre femme qu'elle avait des atouts à ne pas négliger. Alors qu'elles buvaient leurs cocktails, leurs genoux se rapprochèrent. Elles n'eurent pas besoin de mots pour se comprendre. Quelques minutes plus tard, elles étaient installés à une table dans un coin tranquille du club, enfin si on peut trouver un coin tranquille dans un club qui se remplissait maintenant plus rapidement.

- Toi, tu arrêtes les méchants et moi je tente de les faire libérer, disait Lucie à l'inspectrice en rigolant.

- Il faut dire qu'après plusieurs margaritas, elle se sentait particulièrement détendue et libérée.

- Oui c'est cela, mais attention, si tu en libères trop, je risque de me fâcher...

- Ah oui!

- Oh oui! Je ne suis pas sûre que tu aies envie de me voir en colère...

Joséphine avait fait attention de ne pas suivre l'avocate dans la descente des verres et après son daïquiri, elle en était restée à des cocktails sans alcool.

- Lucie! Tu es venue comment?

- En bus, pourquoi?

- Et tu comptes rentrer comment?

- Oh, en général, je demande à Natacha de m'appeler un taxi...

- Tu veux que je te ramène... ou...

- Ou quoi?

- ...ou tu viens finir la nuit chez moi!

- Oh Oui... Chez toi! Et tu me feras voir comment tu punis les méchantes...

Soutenue par Joséphine, Lucie s'assit dans la Mini, sa robe remonta très haut sur ses cuisses qu'elle ne chercha pas à couvrir. Elle savait très bien que dans quelques minutes, elles joueraient toutes les deux à se découvrir. Elle laissait la main de la policière remonter sur sa cuisses nue quand elles étaient arrêtées à un feu rouge. Dès qu'elles eurent franchi le seuil de la maison, Joséphine embrassa fougueusement l'avocate et sans plus de préliminaire lui posa les mains sur les fesses sous la robe.

- Hummm, mais, tu ne portes rien sous ta robe!!!!

- Si un string...

Pour qui la prenait-elle? Elle aimait baiser, elle aimait être regardé et se montrer mais elle savait rester décente. Pas comme certaines de ses clientes qui parfois venaient dans son cabinet nue sous leur jupe.

- Oui mais tu vas le retirer pour moi!

- Oh oui Joséphine et pas que lui, gloussa Lucie.

Rapidement, Lucie fut nue devant Joséphine.

- Alors, tu veux voir comment je punis les méchants, lui dit-elle en lui montrant ses menottes.

- Oh oui Joséphine...

- Alors à partir de maintenant, tu m'appelleras Maîtresse Joséphine!

- Oui Maîtresse Joséphine.

Lucie sentit alors l'inspectrice lui prendre les bras sans ménagement et lui menotter les poignets dans le dos avant de la faire mettre à genoux. Assise dans son canapé, Joséphine tendit son pied encore chaussé de grosses chaussures.

- Embrasse mes pieds!

Ivre comme elle l'était, Lucie ne parvint pas à garder son équilibre en se penchant en avant. Elle en rigolait amusée de son état.

- Puisque tu es incapable de faire ta punition correctement, je vais devoir sévir! Ne bouge pas!

Lucie, à genoux la tête au sol, vit Joséphine sortir de la pièce avant de revenir quelques minutes plus tard, après avoir changé de tenue. Lucie entendit un sifflement et une brûlure cinglante sur ses fesses.

- Aie! Mais qu'est ce que tu fais?

- Tais toi! Je te punis comme tu le mérites!

- Mais tu me fais mal!

- Tais toi! Et tu me vouvoies! Petite pute!

Lucie n'eut pas le temps de répondre que deux nouveaux coups de cravache s'abattaient sur sa croupe. Comme elle criait, Joséphine lui fourra sa culotte dans la bouche pour étouffer ses cris. Si elle avait commencé à compter les coups, Lucie s'arrêta à six ou sept. Mais Joséphine continua encore un peu. La cravache avait dégrisé Lucie qui regardait son amante d'un soir avec étonnement mais excitation.

- Tu vois comment je punis les méchantes filles!

- Oui Maîtresse Joséphine.

- Tu seras bien sage?

- Oh oui.

- Bien alors viens me lécher...

Lucie rampa comme elle put, toujours menottée pour arriver entre les cuisses de Joséphine. Elle se releva et plaqua sa bouche contre la chatte trempée de la policière. Il ne lui fallut pas longtemps pour réussir à la faire jouir.

Toute la nuit se passa en alternance de moments de tendresse et de moments de soumission. Lucie jouit un nombre incalculable de fois. Jamais l'avocate n'avait joui ainsi. Se retrouver petite chose entre les mains d'une dominatrice serait une expérience dont elle se souviendra longtemps.

En prenant leur petit-déjeuner dans la cuisine, Joséphine lui demanda.

- Cela t'a amusée de jouer ma soumise cette nuit, mais veux-tu le devenir?

- Oh oui! Bien sûr! Ce fut si bon!

L'avocate ne réfléchit pas bien aux conséquences de sa réponse. L'inspectrice était si belle et son charisme si imposant que Lucie se sentit prête à des folies.

- D'accord! Alors voici les règles...

Lucie écouta avec attention les règles que Joséphine lui imposa. Cela ne lui semblait pas très compliqué.

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2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 8 mois

Beaucoup de plaisir à relire...

Yokebed83Yokebed83il y a 12 mois

Humm je me demande bien quand lucie decouvrira le pot au roses ! Merci pour ce texte!

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