Emprise sur la Ville - Acte 04

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Emprise de Laura et de Camille... Leila aussi et ...
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 05/05/2023
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Acte 4

***Fodé***

C'était il y a un an. En septembre. Renvoyé de plusieurs établissements scolaires, Fodé fit sa rentrée au lycée Saint Etienne en première. Toutes les filles de sa classe furent subjuguées par ce garçon de 18 ans, musclé et au sourire charmeur.

La première fois qu'il vit Camille De Charette, il ne la remarqua pas vraiment. Le jeune black était un chasseur de femelles et lorgnait sur tout ce qui pouvait se prendre. Mais la prof de philo dans son pantalon informe avec un chandail boutonné jusqu'à la gorge ne l'intéressa pas.

Après les fêtes de Noël de cette année-là, il la recroisa dans les escaliers. Son avis changea un peu. Elle portait une jupe assez gainante et surtout, un chemisier remplaçait le chandail, il la suivit du regard, et son oeil expert décela la marque d'un string sous la jupe. Il sourit intérieurement l'imaginant, le dimanche à la messe en string quand lui était dans le chœur de l'église à servir le père Stéphane. Il se souvint à ce moment-là, que durant la fête avant les vacances de Noël, elle était particulièrement bourrée.

A la rentrée de sa terminale, Fodé eut Camille De Charette comme prof de philo. Les jupes très courtes et les chemisiers blancs presque transparents réveillèrent la libido du jeune homme qui se plaçait toujours au premier rang du cours, espérant lorgner entre les cuisses de la prof. "Je me taperais bien une prof. Celle-là est bien comestible!" se dit-il. Mais son activité sexuelle au sein du lycée ne cessait de progresser. Les filles de BTS passaient, les unes après les autres. Un jour, il s'était réfugié dans une salle de cours avec deux élèves. En bon dominant, il leur avait demandé de se foutre à poil. Dociles, les filles se déshabillèrent en gloussant et en se comparant.

- Ta poitrine est sympa, dit Fodé à la brune. Toi c'est ton cul qui est intéressant.

La blonde rit mais elle trouvait sa poitrine quand même jolie. Fodé s'assit sur la table du prof.

- Embrassez-vous les filles pour m'exciter.

Les deux étudiantes hésitèrent un peu. Pour leur première expérience saphique, être commandée par un mec ne manquait pas de paradoxe. Puis tout s'accéléra, elles s'étreignirent et leur bouche se soudèrent. Les ordres tombaient, elles obéissaient.

- Doigte-là. Maintenant, lèche-là. Bien...

Le jeune mâle jouait avec ses deux pantins et commença à se branler. A la vue de son braquemart, les deux filles eurent une envie irrépressible de la toucher.

- Venez-là, les gouines. Je vais vous faire goûter un vrai homme.

En approchant, elles gloussèrent. Suivant les indications de Fodé, elles le branlèrent chacune après l'autre. Puis la blonde le lécha longuement pendant que la brune offrait ses seins à la bouche vorace du black. Puis toutes les deux le sucèrent.

- Je vais jouir les filles. Vous ne laissez pas perdre mon jus. Buvez le entièrement!

Un long jet gicla sur le visage de la blonde, puis deux autres, plus modestes, sur le menton de la brune. Les filles se léchèrent pour récupérer le sperme épais. Elles se broutèrent le visage en riant.

Ce fut ce jour là, quand il s'installa à sa place du cours de philo, qu'il apperçut le sexe de Mme De Charette qui s'intallait à son bureau. La vision de ce sexe nu, glabre, le stupefia. Que sa prof mette des string, pourquoi pas! Toutes les femmes en portaient aujourd'hui mais venir en cours à poil sous des jupes aussi courtes le déconcertait. Il en appréciait la vue et alimenta son harem imaginaire.

*** Camille De Charette - S-123 ***

Quand ce mardi soir, Camille aperçut Marie le soir à la sortie du lycée, elle frissonna. Elle se demandait ce que sa maîtresse allait lui demander. Elle regarda paniquée autour d'elle quand celle-ci en l'embrassant lui posa la main sur les fesses. Déjà qu'elle craignait d'avoir été vu embrasser Eléonore dans le lycée quand elles s'embrassaient comme des gouines tous les matins, elle appréhendait les réactions des parents et des élèves, s'ils apprenaient que la professeure de philosophie, l'épouse du maire avait des aventures avec des femmes. Et, surtout Fodé, qui non seulement ne se cachait pas pour la reluquer dans la salle de cours mais en plus le dimanche à la messe avait les yeux qui plongeaient dans son décolleté quand elle s'agenouillait avant de communier.

- S-123, tu vas faire une chose pour moi!

- Oui Maîtresse Marie!

- Ces flacons, demain après-midi, tu vas en verser un dans le verre de jus d'orange d'Aurélie et un dans celui du père Stéphane que vous buvez avant la séance de catéchisme avec les enfants.

- Oui Maîtresse Marie, je ferai cela, mais...

- Mais quoi?

- Qu'est ce que...

- Qu'est ce que quoi? Qu'est ce que cela fait? Tu n'as pas à le savoir... Tu obéis c'est tout!

- Oui Maîtresse Marie! J'obéis, dit Camille en baissant les yeux.

Camille prit les deux petits flacons, elle se demandait comment elle allait pouvoir faire cela discrètement. En général, quand ils discutaient dans la sacristie, ils étaient tous les trois assis autour de la petite table. Elle passa la nuit à y réfléchir et se dit qu'elle trouverait bien la solution le moment venu.

***

- J'ai apporté une bouteille de jus d'orange, dit Camille en la sortant de son sac.

- Merci, dit Aurélie. A force de parler, je commence à avoir soif et tout à l'heure avec les enfants cela ne va pas s'arranger.

- Je le sais... Parler donne soif! Crois en mon expérience de prof!

Le père Stéphane alla chercher trois verres dans l'armoire où se trouvaient tous les objets liturgiques, calices, ciboires, burettes. Après avoir servi les verres, Camille fit remarquer qu'il leur manquait un écran et un projecteur pour passer une vidéo aux enfants, dans la salle attenante à l'église.

- Je vais aller les chercher, dit le père Stéphane. Ils sont au presbytère.

- Je vous accompagne, dit Aurélie.

Camille souffla. Elle avait réussi son coup et pendant les quelques minutes que dura l'absence de ses acolytes, elle vida chacun des deux petits flacons dans les verres. Quand ils revinrent, après avoir déposé le matériel dans la salle, elle feuilletait le livre de catéchisme. Ils commencèrent donc à préparer leur séance tout en buvant tranquillement leur verre. La drogue contenue dans les flacons ne devait pas avoir de goût car ni Aurélie ni le père Stéphane ne fit de remarque.

Au début Camille ne vit rien de particulier, puis au bout de quelques minutes, elle remarqua l'agitation étrange des deux autres. La drogue devait commencer à faire son effet. Elle reçut alors un message de Marie : "Dis leur de rester ici, et va t'occuper des enfants."

- Restez là, je vais voir les enfants qui arrivent, dit Camille.

- Oui, nous restons là, disent-ils en chœur.

Surprise par leur attitude, Camille sortit de la sacristie. Quand elle fut dans l'église, elle reçut un nouveau message de Maitresse Marie. "Ferme la sacristie à clé". Obéissante, elle revint sur ses pas et ferma la porte de la sacristie. La porte épaisse et les murs de pierre de la vieille église empêchaient à quiconque à l'extérieur de savoir ce qui se passait dans cette pièce.

Camille, habituée à gérer ses lycéens, n'eut aucun problème pour s'occuper pendant une heure de la dizaine d'enfants d'un peu moins de dix ans. En l'absence du père Stéphane et d'Aurélie qui les impressionnaient, ils étaient beaucoup plus volubiles mais rien que Camille ne pouvait gérer. Elle leur expliqua tout comme elle le répéta à leurs parents que ses partenaires de catéchisme n'avaient pas pu se libérer aujourd'hui et qu'elle serait seule pendant la séance. Quand les parents eurent tous récupéré leurs enfants, elle se demanda ce qu'elle devait faire. Maîtresse Marie lui avait donné l'ordre de fermer la sacristie à clé mais elle n'avait rien dit de la durée de cet enfermement. Elle décida donc d'attendre devant l'église de recevoir un nouveau message.

Pendant qu'elle attendait, elle vit s'approcher un jeune couple qu'elle avait déjà croisé. Si elle se souvenait bien, ils se prénommaient Charline et Julien et le bébé dans la poussette s'appelait Marko.

- Bonjour, dit Charline. Nous venons voir le père Stéphane pour le baptême de Marko.

- Il est indisponible pour le moment, je pense que vous devriez repasser plus tard.

- Mais nous avions rendez-vous, dit Julien déçu.

- Je sais, moi aussi je pensais le voir cet après-midi pour faire le catéchisme, mais il n'est pas là. Il a dû être retenu à l'évêché dans une réunion.

- On le rappellera, dit Charline à Julien.

- Attendez, je peux vous ouvrir le presbytère, vous l'attendrez là-bas. Il ne devrait plus tarder.

Camille pouvait leur dire cela car elle venait de recevoir un message de Maîtresse Marie qui lui disait d'aller ouvrir la sacristie. "Vas tourner la clé, mais n'ouvre pas la porte! Et rentre chez toi!"

De retour chez elle, Camille mourut d'envie de contacter Aurélie pour savoir ce qu'il s'était passé dans la sacristie mais, elle n'osa pas. Elle avait peur de la réaction de Maîtresse Marie. Elle savait qu'Aurélie tout comme elle faisait partie de ses proies. Toute la nuit, elle imagina, rêva à ce qu'Aurélie et le curé de la paroisse avaient pu faire. Surtout sous l'emprise d'une drogue donnée par Maîtresse Marie. Ils n'avaient sûrement pas juste joué aux cartes. Elle tentait d'imaginer le corps énorme de son amie nue. Elle en était dégoutée, comment une femme peut-elle accepter de se laisser aller à ce point? Quand elle s'endormit tard dans la nuit, elle eut une pensée fugace. Et si Maîtresse Marie était responsable de l'obésité d'Aurélie? Lui ferait-elle subir cela un jour?

*** Aurélie Robin - S-111 ***

Dans la petite salle donnant sur la sacristie, la réunion de préparation du catéchisme était dirigée par le Père Stéphane. Homme un peu rond, assez petit, le visage rougeot expliquait quelques éléments théologiques à Aurélie Robin et Camille De Charette. Les deux femmes se chargeaient de la formation spirituelle de la paroisse depuis des années.

Le Père Stéphane lorgnait un peu sur la tenue vestimentaire de la femme du maire en buvant son jus d'orange. Aurélie se lamentait des regards des hommes sur les belles femmes. Quelle torture pour elle d'avoir un poids de 120kg. Une obèse. Bien évidemment, on louait sa gentillesse, sa douceur. Mais on ne voyait que son apparence obscène. Pourtant, elle avait été jolie. La secrétaire médicale avait eu des appétences sexuelles particulières dès son plus jeune âge. C'est ainsi qu'elle se donna, par amour, souvent frustrée des nombreuses absences de son mari, à Maitresse Marie qui lui donna rapidement une drogue qui la fit grossir au point de devenir obèse. L'humiliation faisait partie de son plaisir et, chaque jour, ses rondeurs grossissaient son humiliation. Le mari d'Aurélie avait vu sa femme doubler de poids.

Alors qu'on discutait, Aurélie se sentait chose et la discussion avec le Père Stéphane fut plus agitée et pleine d'allusions. A peine la femme du maire fut-elle sortie pour s'occuper des enfants déjà arrivés, la porte du petit local se ferma.

- Mon Père, la porte est bloquée.

- Attendez ma fille.

Les essais infructueux du prêtre alimentèrent la claustrophobie d'Aurélie.

- Mme Robin, ne vous inquiétez pas.

Le prêtre commença à crier pour qu'on vienne ouvrir. L'absence de réponse angoissait la secrétaire médicale.

- Ils doivent être allés dans le jardin comme cela était prévu!

Remarquant la détresse de sa paroissienne, l'éclésiastique tenta d'étreindre l'obèse. C'est à ce moment précis qu'Aurélie distingua une voix dans la pièce. Une étrange intonation qui frayait un chemin sinueux dans son cerveau. Il sembla que Père Stéphane entendait également des voix. Comme guidés par d'étranges injonctions démoniaques, le couple se rapprocha. Père Stéphane luttait pour chasser de son esprit les images libidineuses qui se formaient dans son esprit. L'esprit d'Aurélie refusait ce que son corps lui imposait.

Aurélie baissa sa jupe et sa culotte. Puis déboutonna sa chemise. Le prêtre remarque le signe sur le sexe glabre : S-118. L'obèse dévoilait les replis graisseux de son ventre qui tombait sur son pubis. Elle s'agenouilla pour saisir le bas de la soutane de l'homme et, en se relevant, elle le déshabilla. Seul un slip blanc masquait la nudité complète du prêtre. La mélopée lancinante continuait ses horribles injonctions dans les cerveaux du couple. Le slip fut ôté. Debout l'un en face de l'autre, Aurélie saisit la verge tendue du prêtre et le masturba tandis que ce dernier empaumait les seins tombants et flasques.

"S-118, suce Père Stéphane", distingua l'esprit brumeux de l'obèse qui se révolta de constater son corps s'agenouiller devant l'homme d'église. Elle lécha légèrement le gland sentant l'urine et finalement avala toute la verge. Comme le lui avait appris sa Maîtresse, elle prodigua une fellation humide et enveloppante.

"Arrêtez!"

Père Stéphane qui allait jouir stoppa. Aurélie recracha le sexe.

"Père Stéphane, prends Aurélie Robin en levrette et jouit en elle!"

L'obèse se leva et se retourna. Penchée sur la table de la petite salle fermée à clé, elle sentit le prêtre écarter ses chairs pour parvenir à son vagin. La verge la pénétra. Humiliation d'être violée et de ne pouvoir s'y soustraire, les deux acolytes baisaient. Le prêtre éjacula rapidement dans le sexe de sa paroisienne en se maudissant et en appelant à Dieu qu'il le délivre de Satan.

*** Eleonore Bascoul- S-51 ***

Dans son bureau, Eléonore Bascoul se rappelait cette après-midi tragique, il y avait maintenant dix ans. Ils étaient tous là en famille à encourager Thierry qui participait à une course sur le circuit automobile. Il pilotait l'Audi R8 qu'il bichonnait avec autant d'amour que sa femme. Depuis les tribunes, toute la famille regardait sur l'écran géant le combat qui opposait Thierry avec un autre pilote pour la troisième place de cette course. Il ne lui restait plus que deux tours à effectuer quand il tenta un dépassement juste avant la chicane qui marquait la fin de la grande ligne droite de ce circuit. Eléonore tout comme sa belle-mère, s'étaient levées de leur siège, excitées par la probable troisième place de Thierry. Pour la première fois depuis qu'il participait à ses compétitions, il allait monter sur le podium, ce qui pour un gentleman-driver était une belle performance face aux pilotes professionnels du circuit. Il faut dire aussi que son père, Martial Bascoul lui fournissait une aide financière conséquente.

Soudain, ils virent la voiture faire une embardée, pour une raison inconnue sur le moment. Comme une fusée, l'Audi décolla de la piste et alla finir sa course dans la barrière de sécurité. Malgré l'intervention rapide des secours, ils ne purent ranimer Thierry, victime tragiquement de sa passion.

Eléonore et sa belle-mère furent dévastées par la mort de leur mari et fils. La mère de Thierry décéda quelques mois plus tard, rongée par le chagrin de la perte de son fils unique. Eléonore resta seule avec ses jumelles Clémence et Cassandre dans le manoir de son beau-père qui eut aussi du mal à se remettre de la perte successive de son fils et de son épouse adorée.

Quelques années auparavant, Eléonore s'estimait chanceuse, pendant ses études. Elle avait été amoureuse d'un garçon qui lui promettait monts et merveilles. Quelques semaines avant de décrocher son diplôme pour enseigner, elle lui annonça qu'elle est enceinte. L'homme, couard, la quitta et ne lui donna plus aucun signe de vie. Quelques semaines plus tard, alors qu'elle était sur la plage avec des amies, elle croisa le regard de Thierry. Jamais l'expression coup de foudre n'eut plus de sens que ce jour-là. Quelques semaines après cette rencontre, un peu avant sa première rentrée scolaire, Thierry la présenta à ses parents qui l'accueillirent à bras ouvert et les deux jeunes gens se marièrent un peu avant les fêtes de fin d'années. Le ventre d'Eléonore était déjà bien rond.

Elle accepta avec plaisir le souhait de Thierry de continuer à vivre dans le manoir familial, bien plus confortable que l'appartement de fonction qui lui avait été attribué et pour les jumelles à naître, elles pourraient ainsi profiter du grand parc arboré. Peu à peu, insidieusement, sa belle-mère profita de la présence d'Eléonore dans la maison pour lui déléguer les tâches ménagères. Dans le manoir, Eléonore se retrouva rapidement vêtue d'un tablier de cuisine qu'elle ne quittait quasiment jamais. Elle s'occupait des repas, du linge de tout ce petit monde. Entre son travail au lycée et l'entretien de la maison, elle n'avait plus beaucoup de temps pour elle. Aussi, quand un jour sa belle-mère lui apporta des vêtements qu'elle venait d'acheter, Eleonore les accepta. Ces vêtements, des jupes noires qui lui arrivaient à mi-cuisses des chemisiers blancs qui lorsqu'Eléonore enfilait son tablier faisait penser à une domestique. Un peu plus tard, elle lui fournit ses sous-vêtements et ses chaussures.

Eléonore ne sortait jamais du manoir sans être accompagnée. Le matin, Thierry la déposait au lycée et repassait la chercher le soir. Quand son époux était absent pour des raisons professionnelles, c'était Martial, son beau-père qui se chargeait de l'emmener. Elle avait été convaincue de donner procuration sur ses comptes aux deux hommes de la maison qui la considéraient comme une enfant.

Un changement radical se produisit quelques semaines après le tragiquie accident. Eléonore et Thierry avaient une vie sexuelle épanouie. Rapidement Eléonore ressentit un manque. Elle prit donc l'habitude de se caresser dans le lit et même parfois sous la douche. Ce fut donc dans la salle de bains que sa belle-mère la surprit en train de se caresser. Sur le moment, elle ne dit rien mais le lendemain soir, Martial lui demanda de venir le voir dans son bureau. Il l'attendait, sa belle-mère était debout derrière lui.

- Tu nous déçois petite effrontée, comment oses-tu?

- Mais...

- Pas de mais, Gisèle t'a vu hier soir en train de te caresser sous la douche!

- Mais...

- Tais-toi! dit Martial fermement. Tu n'as pas honte de salir ainsi la mémoire de ton époux!

- Je vous en prie...

- Tu mérites une punition et ensuite on verra si tu peux rester sous ce toit, lui dit tranquillement Martial.

Eléonore baissa les yeux, en larmes. Où irait-elle? Et comment expliquerait-elle cela à ses filles? Elle dit simplement :

- Oui Monsieur.

- Non pas "Oui Monsieur" mais "Oui Maître Martial"!

- Oui Maître Martial, répéta Eléonore soumise.

- A partir de maintenant quand tes filles ne seront pas présentes, ce sera Maître Martial et Maîtresse Gisèle.

- Oui Maître Martial!

- Bien maintenant on peut passer à la punition!

Eléonore déglutit mais obéit quand il lui demanda de retirer sa jupe et d'aller se mettre face au mur les mains sur la tête. Elle exposait ses fesses couvertes par un petit string noir. Elle eut encore plus honte quand sa belle-mère vint le lui descendre au niveau de ses genoux.

- Maintenant que tu es prête, tu vas recevoir ta punition. Pour ce soir, comme c'est la première fois que tu es prise en faute, tu n'auras que dix coups de ceinture sur tes fesses! Et on ne veut pas t'entendre crier ou gémir sinon je la double.

Eléonore sentit le coup s'abattre sur ses fesses. Maître Martial frappait avec la vigueur et surtout le savoir du maître expérimenté. Il attendait entre chaque coup, mais cette attente n'était pas régulière. Eléonore ignorait quand le coup suivant tomberait.

- Compte et remercie moi de continuer à m'occuper de toi!

Eléonore retint son cri lorsque la ceinture laissa sa marque sur ses fesses, mais elle sursauta.

- Un! Merci Maître.

Quand la punition se termina, ses fesses la brûlaient, mais son beau-père n'en avait pas fini. Punir sa bru l'avait excité et il lui demanda de se mettre à genoux et de venir le sucer. Eléonore n'en revenait pas. Il lui demandait cela devant Gisèle qui ne disait rien et qui, en plus, était d'accord. La violence des coups de ceinture avait ébranlé la raison de la jeune femme. Elle pensa à son époux. Comment mon beau-père pouvait-il me demander ça? se demanda-t-elle. En même temps, elle ne voyait plus d'hommes depuis le début de son veuvage. Ses pulsions sexuelles l'étranglaient. Elle n'avait plus la volonté de résister. Eléonore sortit le sexe de son beau-père de son pantalon et commença à le lécher, puis le têta comme elle le faisait avec Thierry, son mari défunt. Elle sentait l'excitation de Martial monter et quand il fut sur le point d'exploser, il l'attrapa par les cheveux et jouit dans sa bouche. Il la força à avaler, ce qu'elle ne faisait jamais avec Thierry, avant de la libérer et de l'autoriser à aller se coucher. Le goût du sperme dans sa bouche, réveilla sa libido. Mais également, la honte monta lorsque le regard de sa belle-mère se posa sur elle.

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