Emprise sur la Ville - Acte 03

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La Confrérie continue son emprise.
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Partie 3 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 05/05/2023
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Acte 3

Martial Bascoul

Eléonore Bascoul finissait de préparer le repas pour son beau-père. Dans la maison de maître, un magnifique manoir du XIXe siècle qu'ils occupaient, elle commençait sa deuxième journée dès son retour du lycée dont elle était la proviseure.

Quand elle arrivait, elle se rendait immédiatement dans la petite chambre où elle dormait pour se changer. Ici, elle n'était plus Madame Bascoul, la proviseure du lycée, mais Eléonore, la domestique. Elle enfilait donc la tenue qui correspondait à son nouveau statut. Une tenue qui avait évolué avec le temps. Au début, ce n'était qu'un tablier de cuisine sur ses vêtements de ville, puis ce fut une petite robe noire avec un tablier blanc et maintenant que ses filles n'étaient plus à la maison mais dans leur chambre d'étudiantes à la cité universitaire, elle devait assurer le service juste vêtue de bas retenus par un porte-jaretelle, des chaussures à talon et un petit tablier blanc qui couvrait juste son pubis glabre.

Martial entendait les talons de S-11 dans la cuisine. Il était installé dans un fauteuil devant le journal télévisé. Il était à l'affût de la moindre information dans laquelle la Confrérie pouvait être impliquée. Souvent, il ne s'agit que d'un infime détail que seul un œil ou une oreille bien informés pouvait déceler. Mais ce soir-là, il ne décela rien.

- S-51, j'attends mon whisky!

- Oui Maître, de suite!

Tête basse, un plateau à la main, Eléonore entra dans le salon pour apporter le verre à Martial. Il ne se lassait pas d'observer sa bru le servir. Depuis le tragique accident de son fils, celle-ci descendait un par un par les barreaux de la soumission. Il allait être temps de lui parler de son avenir et de l'avenir des jumelles.

Eléonore était bien dressée. Elle savait d'instinct les attentes de son beau-père. Elle se mit à genoux entre les cuisses de l'homme et avec dextérité extirpa le membre à moitié dressé du pantalon. La bouche de la brune enveloppa le pieu de chair et commença à jouer de sa langue avec le méat urinaire. Martial fermait les yeux pour apprécier ce moment. Son sexe retrouvait sa vigueur et il sentait qu'Eleonore l'aspirait. La queue franchissant le fond de la bouche. Cela faisait des années qu'elle avait perdu son réflexe nauséeux quand on lui introduisit quelque chose dans la bouche. Il trouvait cela dommage, rien n'était plus jouissif de lire dans les yeux d'une femme cette détresse quand son sexe ou un gode venait forcer leur gorge. Il se dit qu'Isabelle, la pharmacienne tatouée S-73, saurait bien leur trouver une drogue pour remédier à cela.

Mais, pour le moment, il profitait de l'instant en sirotant un whisky japonais de 25 ans d'âge. Eléonore allait et venait sur son sexe.

S-51, il est temps de parler sérieusement de l'avenir des deux vagins sur pattes que tu as pondu...

Il attendit un peu avant de continuer. Il se délectait de la réaction d'Eléonore à ces mots. Choquée par la manière dont il parlait de ses filles, Eléonore arrêta sa carrosse buccale.

- Qui t'a autorisé à arrêter S-51? Si tu ne te ressaisis pas rapidement, ce sera la cave du foyer, et pas que pour un week-end...

Effrayée par cette perspective, Eléonore se remit à sa tâche en redoublant d'ardeur.

- Bien donc pour les deux jolis culs. J'ai vu avec mon ami Bernard de Francouleur... Il va les prendre à son service! Elles commenceront dès la fin de l'année universitaire...

Dans un grognement et en appuyant sur la tête de sa belle-fille, Martial se vida au fond de sa gorge. Il attendit qu'elle eut avalé pour la libérer. Il avait envie de soulager sa vessie, mais pour ce soir, il se retint.

- Montre que tu es contente! Souris! Et sert le dîner!

- Oui Maître, merci de prendre soin des filles!

Quand Eléonore tourna le dos pour aller chercher le dîner dans la cuisine, Martial admirait le cul ferme de sa soumise striée de marque violette de sa dernière punition. Il se disait qu'il faudrait bientôt recommencer pour que cette croupe ne perde pas l'habitude d'être endolorie. Il se demandait aussi s'il n'allait pas la proposer pour les cachots du manoir. Après dix ans de services, ses trous commençaient à être si distendus qu'il n'éprouvait presque plus de plaisir à la pénétrer. De plus, comme il avait voulu qu'elle fasse du sport avec Moussa, le grand black avec son sexe hors norme n'avait pas arranger les choses. Peut-être qu'un chirurgien de la Confrérie dans une autre région pourrait faire quelque chose? Il faudrait qu'il demande au Grand Maître. Il reconnaissait que pour son âge, S-51 avait un corps presque parfait, un ventre plat, des fesses fermes, une poitrine en forme de pomme qui se tenait encore très bien. Mis à part les marques sur sa croupe et ses trous souples, elle était encore très bien.

- Tu me feras un massage avant d'aller dormir!

- Oui Maître!

Martial mangeait tranquillement sous le regard d'Eléonore. Elle mangerait après lui ce qu'il lui laisserait dans le plat, ou pas! Elle avait les épluchures. Après avoir tout rangé dans la maison, à minuit, Eléonore se couche nu sur le matelas usé qui lui servait de lit. Son réveil, réglé sur 5h30! Un réveil particulier, avant de se coucher, elle doit introduire un œuf vibrant dans la chatte et régler la vibration maximale à l'heure dite.

Certaines nuits, Martial modifiait les réglages et l'œuf se mettait à vibrer de manière aléatoire au cours de la nuit, le petit matin la trouvant épuisée par les jouissances répétées.

Au matin, elle se leva nue pour préparer le petit déjeuner de Martial qu'elle lui apporte dans sa chambre. Là, elle dû le réveiller en le suçant. Elle ne pu retirer sa bouche de son sexe que lorsque Martial l'autorisa à se relever, en général, après qu'elle ait dû boire le contenu de sa vessie.

Il était alors temps pour elle d'enfiler la robe du jour, choisie la veille par Martial et de se rendre au lycée.

Laura Mucadam

Dans la cabine d'essayage, Laura tentait d'ajuster la petite robe que Marie lui avait apportée. Elle attachait le dernier bouton qui fermait sa robe. Un peu trop petite, cette robe lui comprimait la poitrine. Ce n'était pas très confortable mais Marie était satisfaite.

- Tourne toi ma petite!

Laura obéissait. Cela faisait près de trois heures qu'elle suivait Marie dans les boutiques. Comme elle le lui avait dit, elle l'aidait à refaire sa garde robe. "Pour que tu aies des tenues qui soient en harmonie avec ton corps".

Elle avait succombé aux demandes mielleuses de Marie quand elle lui avait proposé de prendre ces jupes très courtes, ces hauts qui dévoilait son nombril, ces legging très moulants qui entrait dans ses fesses et sa fente. Même habillée, elle était comme nue. Marie lui avait conseillée de renoncer au soutien gorge, avec sa jeune poitrine, elle n'en avait pas besoin.

Quand Laura avait légèrement protesté car les vêtements choisi étaient un peu trop petits, Marie lui avait répondu qu'avec le régime qu'elle allait suivre, il seraient bientôt à la bonne taille et que ce serait idiot d'être obligé d'en acheter de nouveaux.

- Et si nous allions chez toi! Pour essayer tout cela!

- Oh oui, Madame Marie, avec plaisir...

Laura était ravie de pouvoir rester plus longtemps avec son amie. Son besoin quasi compulsif d'être reconnue conditionnait son acceptation à tout ce que Marie proposait.

- Tu me masseras les pieds et les jambes. A piétiner comme nous l'avons fait, mes jambes me font mal.

- Bien sûr Madame Marie, tout ce que vous voudrez!

Dans la Tesla, d'autorité, Marie prit le sac à main de Laura et commença à le fouiller.

- Cela ne te gêne pas que je regarde ce que tu as dans ton sac! Tu n'as plus de secret pour moi, n'est ce pas?

- Oui... Madame Marie...

Laura qui conduisait, vit Marie retourner le contenu de son sac sur ses genoux. Elle ouvrit le portefeuille et examina ses papiers, ses cartes de fidélité et trouva une photo de Laura et sa mère.

- C'est ta mère, ma petite?

- Oui Madame Marie!

- Vous êtes très jolies sur cette photo! Comment s'appelle t elle?

- Linh, Madame Marie! Ça signifie me en vietnamien...

- Elle est très belle, tu me la présenteras un jour.

- Oui Madame Marie, avec plaisir!

Laura était contente que Marie s'intéresse à sa mère, elle avait l'impression d'avoir deux mamans. Marie regarda dans la petite trousse qui contenait un petit nécessaire de maquillage et un tampon. Quand Laura la vit prendre le petit vibromasseur qu'elle cachait au fond du sac, elle rougit de honte. Marie sourit mais ne dit rien. Elle le remit dans le sac et attrapa le téléphone.

- Le code de ton téléphone, c'est quoi?

- Euhhh... Ma date de naissance, Madame Marie.

Immédiatement , Marie regarde la liste des contacts de Laura, ses photos.

- Dis moi, ma petite! C'est ton téléphone personnel!

- Oui Madame Marie, le professionnel, je le laisse au bureau. Je travaille beaucoup, mais j'estime que lorsque je suis hors du bureau, j'ai le droit de profiter de ces moments juste pour moi!

- Tu as raison! Mais alors qui sont tous ces gens dans tes contacts? Ta mère, très jolie, par ailleurs, je le comprends! Tes collègues aussi, mais tous les autres?

- Euh...

Laura déstabilisée ne savait que répondre. Elle finit pas dire :

- Des amis... enfin des amants...

- Des amants qui ne t'ont jamais rappelée, remarque je peux le comprendre qui a envie de baiser un petit cochon...

Laura encaissa cette humiliation en silence. Même Madame Marie disait qu'elle était grosse.

- Écoute ma petite, je vais te coacher, comme pour tes vêtements... donc tu me laisses gérer tout cela!

- Oui Madame Marie...

En disant cela, elle entrait dans le parking de sa résidence. Dans l'appartement de Laura, Marie s'installa dans le canapé en cuir. Elle avait toujours le téléphone de Laura entre les mains.

- Ma petite! Peux-tu me préparer un thé et ensuite tu viendras me masser les pieds! On a trop piétiné... et, au fait, je fais le tri dans tes contacts... tes amants qui ne répondent pas, tu n'as pas besoin de les garder!

Marie n'écouta pas la réponse de Laura dans la cuisine. Quand la jeune femme revint avec le thé, elle se mit à genoux devant la quinquagénaire qui tendit sa jambe.

- Retire mes chaussures et mes bas, petite!

Tout en douceur, Laura retira les escarpins de son amie. Pour retirer les bas, elle fut gênée de devoir monter ses mains très hauts sur les cuisses de Marie. Celle-ci avait remonté sa jupe et Laura pouvait voir que son amie ne portait pas de culotte.

- Qu'y a t il petite? demanda Marie amusée de la gêne de Laura.

- Rien, Madame Marie, rien!

La petite métisse fit lentement glisser le bas sur la cuisse puis la jambe de Marie avant de commencer ses massages. Pendant qu'elle massait les pieds et les mollets de Marie, Laura avait du mal à s'empêcher de jeter un regard vers la fente lisse de son amie. Elle tentait de se raisonner. "Non, je ne suis pas lesbienne, pas comme Juliette et Ophelie" ses amies en école de commerce, "je préfère avoir une bite dans la bouche que lecher une chatte!" pensait-elle.

- N'oublie pas mes cuisses, petite! Mais peut-être cela serait-il mieux si j'allais sur ton lit!

Joignant le geste à la parole, Marie se leva et monta dans la chambre de Laura. Sous les yeux médusés de Laura, Marie retira sa jupe et son chemisier et s'allongea à plat ventre sur le lit.

- Qu'est ce que tu attends ma petite! Je ne peux pas me masser toute seule...

- Oui Madame Marie, j'arrive.

- Et n'oublie pas mes fesses et mon dos!

Laura se pencha sur Marie et la massa comme sa mère le lui faisait quand elle était plus jeune. Laura attrapa le flacon d'une huile de massage relaxante et en enduisit le corps de Marie qui appréciait. Quand Laura arrêta, Marie s'était rarement sentie aussi détendue.

- Eh bien! Ma petite, tu m'avais caché ce talent! Si tu as envie de te reconvertir, tu pourras devenir masseuse!

- Merci, madame Marie, dit Laura en rougissant de plaisir.

- Bon! Il va être temps que je rentre. N'oublie pas! Tu ne mets que les nouvelles tenues, les autres tu peux les donner!

- Oui Madame Marie, je ferais cela.

Marie se rhabilla devant Laura toujours aussi troublée par le corps de son amie. Elle admirait ses fesses fermes, son ventre plat et sa poitrine qui se tenait encore bien malgré son âge, une peau douce qui ne montrait pas de marque du passage du temps.

Marie embrassa Laura et entra dans l'ascenseur. En sortant de la cabine, elle croisa une petite asiatique qu'elle reconnut être Linh, la mère de Laura.

Martial Bascoul

Le manoir s'élevait haut ce soir là où la lune montait dans un ciel clair. Dans l'écrin de la forêt, la vaste demeure du XIXe siècle n'avait de richesse extérieure que sa discrétion. Perdue en pleine campagne, éloignée de la route communale, la propriété offrait toutes les garanties d'un secret bien gardé. Après avoir passé le portail à ouverture automatique, on devait progresser en voiture sur un chemin bordé d'arbres centenaires. Le parc impressionnant offrait aux visiteurs un spectacle enchanteur.

Les véhicules arrivaient les uns après les autres et se garaient derrière le manoir. Des rangées de cierges formaient l'itinéraire pour accéder à la petite chapelle accrochée au manoir sur le pignon Est. En sortant de leur voiture, les invités portaient une longue toge noire avec une broche ronde où était inscrit deux anneaux entrelacés. Un masque blanc cachait tout le visage. Ils cheminaient en quasi procession vers la chapelle visiblement éclairée à l'intérieur.

Une organisation secrète avait acheté ce domaine pour étendre ses activités dans la région. A la question du vigile armé, les membres de l'organisation entraient un par un et s'asseyaient sur des larges fauteuils en cuir installés en U tourner vers l'autel. A la place du crucifix trônait deux immenses anneaux entrelacés, symbole de cette société secrète. Lorsque tous les membres furent installés, une cloche résonna. La chapelle n'était éclairée que de bougies et des volutes d'encens parfumaient l'espace.

Au troisième coup de cloche, des femmes nues apparurent en tenant des plateaux d'argent. Leurs escarpins à haut talon résonnaient sur le sol en pierre de la chapelle. Chacun des membres fut servi d'un verre et chaque esclave et soumise se mit à genoux. Aïké, l'esclave noire toute chauve était aux pieds de Martial Bascoul. Une voix grave et forte résonna dans tout l'espace de l'édifice :

"Mes frères, mes sœurs. Bienvenue à notre réunion mensuelle. Merci à Monsieur Bascoul de nous accueillir chez lui. Les rapports d'abord, les sévices ensuite, le plaisir toujours! "

Comme une messe depuis longtemps apprise, le premier membre se leva et expliqua l'avancée des ses activités dans le monde de la finance, un autre dans le monde la justice et un parla de ses contacts dans la pègre. Puis, Marie Mousatir se leva. Le masque blanc n'étouffait pas sa voix claire et limpide.

- Nous avons pris le contrôle de Camille De Charette comme nous l'avions décidé il y a trois mois. Comme prévu, nous avons commencé l'emprise de Laura Mucadam, la cheffe d'entreprise. Comme vous me savez, sa société Dynamic Health développe une technologie qui nous intéresse beaucoup.

Deux ou trois membres écoutaient en forçant la bouche de leur esclave de leurs doigts. Marie continuait son rapport :

- Nous vous présentons quatre cibles potentielles.

Un immense écran se déroula dans l'espace vide de la chapelle. Tandis que Marie décrivait chaque postulant, les photos et les informations étaient projetées sur l'écran. On y vit Leila, la jeune femme de ménage de Dynamic Health. Une cible pas vraiment influente dans la sphère de la région mais au combien intéressante du point de vue sexuel. De plus, elle pourrait s'avérer utile pour retourner la patronne de l'entreprise si cela s'avérait nécessaire. Ensuite, Marie présenta une propriétaire du même immeuble de Laura Mucadam. Une jeune avocate de trente ans, Lucie Tudorza. Enfin, c'est un couple du même immeuble qui fut montré. Charline et Julien Sefredgo, milieu de vingtaine. Un jeune couple sans histoire si ce n'est que Charline trompe son mari avec l'avocate Lucie Tudorza.

La parole circula dans le cercle tandis qu'on buvait et que certaines esclaves suçaient ou léchaient leur maître ou maîtresse. Moussa, le tatoueur, était l'un d'eux. Son pieu qui pointait le haut de l'édifice religieux, luisait de la bave d'une petite rousse au visage constellé de tâches de rousseur. Sa bouche trop petite pour accueillir le mandrin, se distordait pour pénétrer le gland jusqu'au fond de la gorge. En regardant la photo de Charline Sefredgo, le tatoueur se voyait bien engrosser cette petite blonde infidèle.

A côté de Moussa, Joséphine Cherline accueillait sous sa toge une esclave chauve qui lui léchait le sexe. L'inspectrice lui plaquait la bouche contre elle et se frottait elle-même la chatte. Une petite avocate à soumettre lui disait bien. Cette Lucie Tudorza est lesbienne, se dit Joséphine. La justice qui la faisait chier, voilà bien une façon de se venger. Joséphine se voyait bien l'écarteler et la fouetter pendant des heures avant de la fister profondément pour la soumettre à sa volonté.

La voix grave du leader de l'organisation résonna dans la chapelle toujours éclairée de cierges :

- Bien. Nous les prenons tous pour cibles. Pour le mari de Charline, Julien, je veux qu'il soit fait esclave. Nous n'avons pas encore d'homme esclave dans nos cachots. Il pourra nous servir à baiser notre cheptel notamment.

Tous acquiescèrent.

- Maintenant j'aimerai vous soumettre une candidature à notre société, déclara Martial Bascoul en se levant.

L'écran s'éteignit et se rétracta. Certaines esclaves rallumaient de l'encens ou servaient du vin dans les verres.

- Bernard de Francouleur est le plus important promoteur immobilier de la région. En tant que notaire, je peux vous dire qu'il sait contourner les lois quand ça le chante. C'est un libertin dans l'âme et il ne cache pas son plaisir de fouetter quelques femmes de temps en temps. Je l'ai un peu sondé. Il semble habité des mêmes vices que nous. Pensez-vous que nous devions l'enquêter?

Tout le monde acquiesça. Joséphine Cherline et le juge seraient les deux enquêteurs pour le sonder plus avant.

La voix grave résonna à nouveau dans la chapelle :

- Maintenant, baisez!

A cause de la lumière blafarde des cierges, il faisait assez sombre. Une légère fraîcheur s'installait. Et c'est à ce moment-là que Marie prit un cierge. Elle recula d'un pas. La blonde s'approcha de Jacques. Tout le monde regardait ; Moussa, Martial, Joséphine et les autres, les vieux, les plus jeunes, les femmes, les hommes, tous les Maîtres de la Confrérie des anneaux observaient avec appréhension la scène qui se déroulait à la clarté du flambeau. La fraîcheur de la nuit tombée sur la chapelle les tétanisait un peu.

Jacques ôta la toge de Marie. La pâleur de sa peau soulignait ses formes généreuses. La blonde retira l'unique tissu qui habillait son mari. Ils attachèrent Aïké sur l'autel. Des chaînes pendaient du plafond de l'édifice.

Le silence était total. Un calme absolu. Tous les regards fixaient les trois corps éclairés par les cierges. Marie s'approcha de Jacques et au moment où leurs peaux se touchèrent, au moment où la volumineuse poitrine frôla le torse du vieil homme, au moment où leurs bouches s'unirent, la voix grave résonna :

- Jouissez maintenant.

Certains s'exclamèrent mais tous restèrent fixés sur les deux corps qui s'étreignaient. Les mains de Jacques palpaient les fesses vigoureuses de sa femme dont une jambe entourait la taille de l'homme. Son pubis imberbe se frottait sur la verge à demi tendue et déjà sa main caressait les testicules velus. Les lueurs des bougies sculptaient leurs corps nus.

Une douce chaleur s'immisçait dans les rangs et la danse du feu éclairait doucement la chapelle où toute la Confrérie s'était regroupée.

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