Emprise sur la Ville - Acte 04

BÊTA PUBLIQUE

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Dorénavant, tous les soirs elle passait dans le bureau du notaire où le couple l'attendait pour faire le point sur la journée et elle recevait sa punition si celle-ci était nécessaire. Maîtresse Gisèle n'était pas plus tendre que son mari et il lui arrivait d'obliger Eléonore à faire le ménage nue.

Après le décès de sa belle-mère, la situation ne s'améliora pas pour Eléonore qui devint l'esclave sexuelle de Martial. Quelques semaines après son veuvage, il l'emmena chez le tatoueur et Eléonore fut marquée du S-51.

*** Laura Mucadam ***

En peu de temps, la vie de l'entrepreneuse changea radicalement. Sa rencontre avec Marie et Jacques Mousatir transforma son existence et cette existence l'épanouissait. Se sentir si proche de Marie la rassurait. Elle ne désirait que de la rendre heureuse. Un voile épais recouvrait son cerveau dès qu'il s'agissait de Marie. Le charisme de la femme agissait sur la métisse comme un philtre d'amour. A présent, Laura se rendait tous les matins dans une salle de sport et soulevait des poids et courait sur le tapis de plus en plus longtemps. Un programme minceur spécifique lui avait été donné. Elle maigrit rapidement des hanches mais son ventre restait encore un peu flasque. Ces joues maigrissaient et son visage un peu poupon s'affinait. Son alimentation se réglait sur les injonctions de Madame Marie qui lui envoyait chaque jour les menus autorisés.

Elle portait maintenant quasiment en permanence l'œuf télécommandé que son amie lui avait offert. Les premiers jours, le jouet se déclenchait presque toutes les heures et l'amenait au plaisir presque à chaque fois. Savoir que la vieille femme pensait à elle était une satisfaction complète. L'idée qu'elle aurait à la lécher et l'embrasser la faisait fantasmer. Puis, les vibrations devinrent plus sporadiques. Laura n'atteignait pas l'orgasme. Certains jours, c'est toutes les demie heures que l'œuf la rappelait à sa libido. Mais ces jours devenaient rares.

- Tu me masses ma petite? demanda un jour Marie alors que la métisse venait d'arriver.

La jeune femme hésita.

- Tu ne veux pas me faire plaisir Laura?

- Si Madame Marie, s'excusa-t-elle. Mais...

- Dis!

- Vous ne jouez plus avec l'œuf... et ça me manque.

Le visage de Marie se fendit d'un large sourire.

- Ma pauvre petite. Tu as besoin d'affection? Tu voudrais qu'on prenne soin de toi? Tu veux que Madame Marie te fasse jouir.

Dans un soupir inaudible, Laura acquiesça.

- Mais ça se mérite. D'abord, tu es encore trop grosse. Et puis, Jacques et moi nous t'accueillons tous les jours. N'es-tu pas heureuse?

Les yeux rouges de la métisse gonflait. Quelle humiliation! La peur de perdre cette relation l'angoissa.

- Viens me lécher, commanda Marie en écartant ses cuisses.

Trop contente que l'entretien ne dérape pas plus, Laura s'agenouilla et plongea son visage sur la moule baveuse de Marie qui reçu sa caresse quotidienne. Pendant que Laura suçait son clitoris, la vieille femme demanda :

- Ta mère vient te voir?

- Mmmoouiii, grommela Laura coincée sur la chatte de Marie qui la maintenait d'une main.

- J'aimerai que tu me la présentes.

L'entrepreneuse fit jouir la femme.

- Je vois que tu as fait jouir ma femme, dit Jacques en sortant de la piscine.

- Oui. Elle est mieux maintenant. Par contre, elle a des demandes. Elle veut que je la fasse jouir...

D'un air paternaliste, le vieil homme aux cheveux blancs lança :

- Ben faut que tu sois gentille avant ça? Tu en as vraiment envie.

Le désir de Laura corrodait son ventre.

- Tu voudrais me faire plaisir? dit Marie en prenant Laura par le menton.

- Oh oui Madame.

- Commence par te déshabiller.

Sans pudeur, même en présence de Jacques, elle se déshabilla. Le couple constata les progrès du régime.

- Tu deviens jolie ma belle lança l'homme.

- J'aimerais que tu fasses plaisir à mon mari.

- ...

La métisse se tourna vers Jacques qui baissa son short de bain. Une belle érection attendait. Laura approcha, saisit le sexe et commença. Tout y était. Petits coups de langue sur le méat, sur le frein, enroulements de la langue autour du gland, aspiration sans excès, agitation de la main bien serrée sur la hampe, massage des testicules, la perfection. Jacques sentit le pied venir et grognait pour l'annoncer. Laura avait senti aussi mais ne se démonta pas et absorba tout sans s'étouffer ni se plaindre. On l'entendit déglutir et reprendre son souffle, puis elle entreprit le grand nettoyage jusqu'à la dernière goutte.

- Putain! Tu es bonne Laura. Ton physique laisse à désirer mais tu es une bonne suceuse.

La jeune femme ne savait pas trop comment prendre ce compliment.

- Mets l'œuf dans ta chatte, ma petite, commanda la blonde allongée sur son transat et se saisissant de son smartphone.

Jacques s'installa à côté de sa femme, la bite à l'air qui dégonflait.

- Debout devant nous maintenant, Laura. Tu veux que je te fasse jouir?

- ...

Bien que sa pudeur naturelle s'estompait en la présence du couple, jouir devant Jacques et Marie, comme ça, en spectacle dérangeait la métisse. Alors que la blonde s'impatientait, la jeune femme répondit timidement par la positive. L'œuf démarra. Doucement, comme d'habitude. Retrouver cette sensation qu'elle attendait depuis des jours, remplit Laura d'un sentiment de joie et d'excitation.

- Caresse tes seins, lança Jacques buvant un cocktail dans son transat.

Debout, les jambes écartées, Laura se pelota les seins. Malgré elle, ses hanches se balançaient. La sensation à l'intérieur de sa chatte devenait puissante.

- Pince tes tétons et regarde-nous dans les yeux, reprit l'homme aux cheveux blancs.

Obéissante, Laura s'exécuta. Ses yeux légèrement bridés passèrent de Madame Marie au vieil homme qui se branlait calmement. Les gémissements commencèrent comme un chant de sirène, un chant hypnotisant. Mais les vibrations de l'œuf diminuèrent. Marie fixait Laura avec une grande intensité. La moue dépitée de la jeune femme réjouit la blonde.

- Tu veux que je te fasse jouir, petite salope.

- Oui Madame Marie, répondit Laura sans remarquer l'insulte.

- Demande alors.

- Je veux jouir, implora Laura qui se déhanchait toujours, les mains sur sa poitrine.

- Non. Pas comme ça!

De plus en plus dépitée, la métisse sentait les larmes monter.

- Ma femme veut que tu la supplies de te faire jouir, ma puce, tu vois c'est pas compliqué. Tu comprends ce qu'on te dit?

- Je vous supplie de me faire jouir, Madame Marie.

L'œuf vibra plus fort. La chatte de la jeune femme ruisselait. Un filet coulait sur sa cuisse gauche. Pour accélérer le plaisir, Laura roulait ses tétons entre ses doigts. Encore, les gémissements s'amplifièrent. Le moment tant attendu arrivait.

- Stop! lança Marie en arrêtant l'œuf.

Laura tomba à genoux. Dégoûtée et frustrée, elle n'en pouvait plus. Des larmes coulaient sur ses joues.

- Veux-tu être notre soumise?

Le regard implorant, Laura leva la tête vers le couple.

- Veux-tu être notre soubrette, notre dévouée, notre soumise, notre garage à bites, notre lécheuse. Nous obéir en tout et pour tout?

La métisse renifla et lâcha un petit oui.

- Debout alors, salope.

Reprenant sa position, Laura fixa le couple. L'œuf reprit et toutes les sensations affluèrent à nouveau. Elle gémit de plus en plus fort et, enfin, l'orgasme tant attendu la terrassa. Puissant, long, entêtant.

Marie et Jacques emmenèrent Laura dans le donjon. Ils l'attachèrent sur une table. Toute la soirée, ils la firent jouir. Elle supplia que ça cesse mais le couple n'en eut cure. Ils la bombardèrent d'orgasmes. Plus rien n'existait que la luxure, le plaisir, le sentiment de complétude. Tard au petit matin, elle rentra dans son appartement, une ceinture de chasteté fermée à clé.

*** Jacques Mousatir ***

Jamais une bouche ne lui procura une telle sensation. Elle s'était refermée sur sa queue et le suçait divinement bien. La petite métisse savait y faire. Jacques regardait Laura à ses pieds lui procurant la meilleure fellation de sa vie. Elle avait maigri. Il adorait les asiatiques toutes fines. Celle-là, sa femme et lui, ils la sculpteraient pour qu'elle devienne parfaite. Jacques déchargea dans la bouche gourmande et le bruit de déglutition le ravit.

- Putain! Tu es bonne Laura. Ton physique laisse à désirer mais tu es une bonne suceuse.

La suite de la soirée fut un festival de cris et d'orgasmes. Le vieil homme aimait particulièrement bombarder ses victimes d'orgasmes. Les rendre accros à la jouissance.

***

Le lendemain, Jacques s'invita à Dynamic Health, dans l'entreprise de leur nouvelle soumise. Le visage défait de Laura l'amusa.

- Ça va salope?

- Euh... bonjour Jacques.

- Non, Maître Jacques!

- Bonjour Maître Jacques.

Le vieil homme visita l'usine et le centre de recherche en compagnie de Maëva. Il connaissait les horaires de Leila, la maghrébine, femme de ménage. Elle n'était pas là. D'ailleurs, il avait rendez-vous avec elle dans la journée. La secrétaire rousse marchait devant lui. Sur ses vidéos, il avait déjà vu son cul mais la voir se déhancher dans son pantalon de cuir, l'échauffait dangereusement.

- Voici Maxime. Il est le responsable du développement technique.

Jacques serra la main. Sourire, main franche, ce trentenaire aux cheveux bruns inspirait la confiance. La peau un peu halée lui donnait des airs d'italien.

- Laura Mucadam m'a parlé de votre dispositif.

Les deux hommes parlèrent un bon moment d'électronique et de capteurs. Jacques comprit que l'appareil phare de l'entreprise était un bracelet qui captait de nombreuses données physiologiques et qu'avec l'intelligence artificielle, on pouvait extrapoler des informations sur la santé mentale. La recherche à présent s'intéressait à capter les influx nerveux du cerveau pour optimiser davantage les états mentaux, les sentiments pour proposer des programmes thérapeutiques.

- D'ailleurs, la partie IA c'est Justine qui s'en occupe, déclara le beau Maxime en s'approchant d'une créature bizarre.

Avachie sur un fauteuil de gamer, trois écrans devant elle, la binoclarde très maigre porta un regard torve sur Jacques. Des boutons d'acnée constellaient son visage. Un infâme tee-shirt "WHY" sur le dos. Bref, une caricature de geek. Le sang de Jacques afflua dans son cerveau de prédateur. Je la fouetterai bien celle-là pour la réveiller, pensa-t-il. Comme il lui adressa la parole, Justine forma une espèce de sourire sur son visage gris. Peu à peu, la fille aux cheveux gras s'éclaira en comprenant que Jacques était plutôt calé en technologie et en informatique.

- Bonjour tout le monde! lança une Laura décoiffée mais souriante.

Accompagnée d'un homme assez jeune, chauve à gros sourcils, la métisse à la jupe courte et un peu trop petite pour elle, présenta Carlos comme étant le chargé de projet sur les interfaces homme-machine.

Finalement, elle commence à être tout à fait baisable la petite, se dit Jacques en lorgnant le cul bien moulé dans la jupe.

- Je vous laisse parler entre techniciens, dit Laura en souriant intensément au vieil homme. Les gars, soyez gentil avec Jacques. C'est un ami très proche. Vous pouvez même collaborer avec lui. C'est une tête!

L'intérêt de Jacques ravit Maxime, Carlos et surtout Justine. La jeune binoclarde était fascinée que le vieil homme en sache autant sur les technologies et le e-learning.

***

Jacques sortit en fin d'après-midi prétextant un rendez-vous. Il arriva à l'hôtel. Quelques minutes plus tard, la jeune musulmane entra coiffée de son hijab. La vue du tissu fit bander directement le vieil homme.

- Toujours en pantalon? La prochaine fois tu seras en mini-jupe et avec un tee shirt moulant sans soutien gorge pour qu'on voit tes tétons.

Comme Leila ne répondait pas, il ajouta :

- Au fait, j'ai payé un café à ton père. Il est marrant ton père, tu sais!

Jacques admira le corps nu de la maghrébine. Il avait envie de toucher sa peau. Il l'installa sur le lit et sortit de son sac tout un appareillage.

- Ton corps m'appartient, salope. Ta volonté m'appartient, sale chienne. Tes orgasmes sont à moi, sale pute.

Il démarra son dispositif et se mit à caresser la jeune fille. La peau était douce comme un abricot. La séance dura tout le reste de l'après-midi. Il était inconcevable d'avoir sa soumission sans en jouir, ni son corps sans la caresser.

*** Leila ***

L'enfer n'est pas plus douloureux que le fond de son âme. La jeune beurette sentait encore la peau du vieil homme aux cheveux blancs. Son anus déchiré souffrait encore. Tous les stigmates de son viol n'étaient pas plus présent que lorsqu'elle retrouvait ses parents chez eux. Devait-elle s'en ouvrir à eux? Leila soupçonnait la rage de son père, son père voyait sa petite fille chérie. Là résidait l'angoisse de la jeune beurette.

" Demain, 16h30. Même lieu. Sois rasée sale pute!" Le SMS claqua dans son cœur comme un couperet sur ses espérances.

Elle était entrée dans la même chambre d'hôtel et Jacques Mousatir attendait tranquillement.

- Toujours en pantalon? La prochaine fois tu seras en mini-jupe et avec un tee shirt moulant sans soutien gorge pour qu'on voit tes tétons.

- ...

- Au fait, j'ai payé un café à ton père. Il est marrant ton père, tu sais!

Rapidement, Leila se dénuda gardant uniquement son hijab bleu clair. Elle sentait l'air passer sur son pubis glabre et le regard de son tortionnaire. Une boule d'angoisse l'étrangla quand elle dût s'allonger sur le lit. Les membres attachés en croix, la jeune arabe ne bougeait pas et ses yeux pleins de frayeur observaient le vieil homme qui s'affairait autour du lit. Il ne parlait pas en posant des patchs reliés à des fils sur ses tétons. Des modulations de vrombissements commencèrent à agir. Puis Jacques s'installa entre les cuisses ouvertes de la musulmane. Du bout de l'index, il caressa les lèvres lisses et le capuchon.

- Ton corps m'appartient, salope. Ta volonté m'appartient, sale chienne. Tes orgasmes sont à moi, sale pute.

Leila n'aimait pas ces insultes. Elle pleurait déjà quand l'homme posa un appareil sur son clitoris. L'embout creux embrassait le bouton. Jacques attacha le sex-toy pour le maintenir en position. La peur montait chez la petite femme de ménage. Que faisait-il? Puis, tout commença. Les appareils furent déclenchés. Les tétons vibraient agréablement. Le clitoris était légèrement aspiré et vibrait en même temps. Pendant ce temps, Jacques caressait la peau halée de la jeune fille voilée. Les minutes passaient et Leila pensait qu'elle ne souffrirait pas aujourd'hui. Espérer un possible c'était enlacer la déception. Sans qu'elle ne put se contrôler, le plaisir progressait dans son corps. L'homme aux cheveux blancs embrassait toutes les parties de son corps. Ses seins frémissaient agréablement. Sous le traitement du sex-toy, son clitoris se gorgeait de sang et gonflait fatalement.

Cet homme ne connaissait qu'un seul plaisir : la domination, se dit la beurette quand elle comprit qu'il l'obligeait à avoir du plaisir. Violée de plaisir, voilà son traitement. Non, non, se commanda-t-elle. Je ne vais pas jouir! Au moment où elle s'intimait cette ordre, le plaisir s'accentua encore et une vague de sensations déferla dans tout son corps comme un tsunami infâme d'une extase redoutée. Ses gémissements se mêlaient à ses pleurs. La respiration coupée par un premier orgasme ne revint qu'à la fin du second. Leila tenta de remuer pour se soustraire au traitement mais rien n'y fit et les appareils remplissaient leur office sous le regard satisfait de Jacques qui se branlait tranquillement en admirant la beurette voilée. Les orgasmes se répétaient inlassablement malgré les cris étouffés.

- Tu es à moi, salope. Tout m'appartient. Je peux te faire souffrir. Je peux t'humilier. Je peux te faire jouir comme jamais tu jouiras.

- mmmmh arrrgghhhh

- Dis-le à ton Maître.

Leila voulut refuser mais déjà une nième jouissance s'emparait d'elle.

- Dis-le!

- Je suis à vous Maître. Je vous en supplie, je ne veux plus jouir, Maître.

La séance dura encore une bonne demie-heure durant laquelle Jacques introduisit un oeuf vibrant dans l'anus de sa victime.

Quand la musulmane émergea doucement du nuage d'ivresse, Jacques était parti depuis longtemps. Toujours nue sur le lit de l'hôtel, elle n'était plus attachée mais toujours enchaînée aux réminiscences des monstrueux orgasmes. La tête lui tournait. Néanmoins, elle se leva. Une giclée de sperme coulait de son visage et avait souillé son voile. C'est en pleurant qu'elle se rhabilla. Un SMS arriva : "J'ai filmé tous tes orgasmes et on voit parfaitement combien tu aimes ça. Demain je vais au PMU avec ton papa chéri. Mini-jupe la prochaine fois."

***

Un amour rend légères toutes les vicissitudes de l'existence qui semblent trop lourdes à porter seule. Dans la salle de stockage des produits d'entretien, Leila enlaçait Maëva. La secrétaire embrassait son amante avec la tendresse d'une idylle récente sans se douter de l'enfer dans lequel elle sombrait.

Leila retira son hijab. Marque de son attachement à la rousse, la maghrébine ôta son chandail et son soutien-gorge pour les offrir. Ils furent léchés et sucés. Les deux lesbiennes firent doucement l'amour dans le petit local. Leila jouit un peu. Ayant le désir pour la femme et du vieil homme le plaisir, Leila comprit que plus aucun orgasme n'aurait la puissance de ceux imposés par son Maitre.

- Tu as des mini-jupes à me prêter Maëva?

- euh... tu vas mettre des mini-jupes?

- Ben... quand on se verra. Ça te ferait plaisir? mentit la maghrébine.

*** Cassandre et Clémence Bascoul ***

Trois ans déjà les séparaient de leur fameux anniversaire des 18 ans. Les deux jumelles ont toujours été inséparables. Deux âmes sœurs, toujours collées ensemble, se ressemblant comme deux gouttes d'eau. Les filles d'Eléonore Bascoul héritèrent de la blondeur de leur mère et de sa grande taille. Plus jeunes donc plus minces, leur poitrine en poire défiait la pesanteur.

La soirée d'anniversaire regroupa un nombre impressionnant d'amis. Martial, leur grand-père d'adoption pourtant très sévère avec elles, autorisa la fête, la musique, les copines, les copains et, même l'alcool! Cassandre et Clémence n'en revenaient pas. Comment cet homme qui les menait à la baguette pouvait avoir eu cette idée?

Depuis toutes petites, depuis que leur père était mort dans un accident de voiture, ce grand-père orientait leur éducation pour qu'elles se soumettent à l'autorité masculine. Aucun discours féministe n'était toléré dans la cellule familiale.

La fête fut magnifique. On but. On dansa. On rit. Les cadeaux des uns et des autres furent distribués. A la fin de la fête, Cassandre et Clémence se retrouvèrent seules avec leur grand-mère et deux de ses amis. Un grand black et une petite brune qui s'était présentée comme inspectrice dans la police.

- Aujourd'hui vous êtes majeurs Mesdemoiselles. J'ai un cadeau pour chacun de vous.

Les yeux des jumelles brillèrent car elles avaient compris que peut-être on leur offrirait une voiture.

- Mais ce cadeau, seules des femmes peuvent en jouir. Ainsi, femmes vous devez devenir.

A ce moment-là, Clémence vit l'inspectrice verser un flacon dans deux verres qu'on présenta aux jumelles.

- Quel est le liquide que vous avez versé madame? demanda poliment Clémence

- Il s'agit d'un complément qui permet de désinhiber et de faciliter le plaisir, avoua Martial.

La franchise avait toujours été la force de leur grand-père. Cassandre et Clémence étaient habituées à l'honnêteté malgré les désagréments possibles de la véracité des choses.

- Femmes vous allez devenir si vous m'obéissez!

Joséphine Cherline et Moussa s'installèrent dans le canapé en cuir pour admirer les deux pucelles debout devant leur aïeul.

- Embrassez-vous!

Cassandre se tourna vers sa sœur et déposa une bise sur sa joue.