Emprise sur la Ville - Acte 04

BÊTA PUBLIQUE

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- Non! Embrassez-vous pour de vrai!

- ... je...

- Obéissez Mesdemoiselles! lança Martial, déterminé.

Les lèvres des deux blondes s'approchèrent et s'embrassèrent. Cela ne leur était pas vraiment inconnu. Elles dormaient encore parfois dans le même lit et s'entraînaient 'pour de faux' à s'embrasser.

- Avec la langue, continua le grand-père.

Cassandre vint caresser les lèvres de sa jumelle avec sa langue. Clémence recula un peu. Elle n'aimait pas qu'on la regarde et les deux sur le canapé la dérangeaient. Mais finalement leur bouche s'unirent dans un baiser émouvant et tendre.

- Cassandre, enlève le maillot de ta sœur et retire le tien.

La jeune fille obéit et laissa sa jumelle en soutien-gorge ainsi qu'elle-même. Quel beau spectacle que deux corps identiques d'une telle pureté. Cassandre vit le grand black dans le canapé se masser le sexe.

- Maintenant, Clémence retire ton pantalon et celui de ta sœur.

Elle regarda son grand-père avec ses yeux implorants et une certaine forme de stupeur. Mais habituée depuis si longtemps à lui obéir, elle obtempéra. Les deux jumelles se retrouvèrent en sous-vêtement au milieu du vaste salon. Clémence remarque le regard de l'inspectrice sur son corps et celui de sa sœur. La femme brune semblait détailler avec un plaisir non caché, les courbes des petites filles de son ami. Ses yeux coulaient de la taille aux hanches pour glisser sur les cuisses galbées.

- Retirez vos sous-vêtements pour montrer votre nudité à vos Maîtres.

Clémence tiqua.

- Mais Monsieur... On est vos petites-filles et puis il y a vos amis!

- Clémence, devenir une femme est difficile. Vous devez obéir à ceux qui ont l'autorité. De plus, la liberté qu'incombe la possession d'une voiture, puisque votre cadeau sera une voiture, est que vous vous soumettiez aux désirs de vos Maîtres

La drogue agissant, l'éducation reçue, le plaisir également de se montrer nue devant Moussa dont la verge gonflait son pantalon, invita la jeune fille à dégrafer son soutien-gorge.

- Non! Tu ôtes celui de ta sœur et elle en fera autant, ajouta Martial satisfait de leur obéissance.

Clémence entoura le corps de sa jumelle pour ôter l'agrafe et faire glisser le sous-vêtement sage dégageant une magnifique poitrine dont les tétons dressés trahissaient son excitation. Cassandre en fit autant. Restaient les culottes blanches que Martial imposait malgré les demandes répétées de porter des strings comme les copines. Le coup d'oeil du grand-père imposa la suite. C'est Cassandre qui commença puis se laissa faire. Les deux magnifiques jumelles étaient à présent nues au milieu du salon du manoir devant deux hommes et une femme. Leur toison blonde fit rire Joséphine Cherline. Clémence avait posé ses mains sur son sexe.

- Cassandre, ma chérie, mets-toi à genoux devant ta soeur... Oui c'est bien. Maintenant embrasse son sexe.

La jeune fille enfouit sa bouche dans la toison et chercha la fente. Du bout de sa langue, elle chercha à la fendre. Clémence observait Moussa qui dégageait sa verge du pantalon. Le monstrueux reptile excita la jeune étudiante. Les veines gonflées l'attiraient particulièrement. Dans cette ambiance de luxure, Clémence commença à ressentir du plaisir entre ses cuisses et gémit.

- Maintenant à toi Cassandre de te faire lécher.

Assise sur une des chaises, les cuisses ostensiblement écartées, la jeune blonde accueillait sa soeur la langue la fouillait avec maladresse mais acharnement. Cassandre remarqua Moussa se branler et même Joséphine se pincer les tétons à travers son tee-shirt. La langue de sa jumelle cherchait à s'enfoncer plus loin. C'est au moment où elle remarqua l'érection de son grand-père à travers son pantalon qu'un violent orgasme la surprit. Elle cria comme une folle sous la stupéfaction des spectateurs. Clémence sentit une vague de plaisir au fond de son ventre et une grande fierté d'avoir fait jouir sa soeur. Elle aimait l'entendre ainsi. De temps en temps, dans leur chambre, chacune se masturbait devant l'autre et elles rivalisaient d'orgasmes.

- Clémence et Cassandre! Allez sucer Moussa. Son membre est suffisamment imposant pour que deux chiennes en chaleur se le partagent.

Les filles ne tiquèrent pas et vinrent à genoux aux pieds du grand noir.

- Prenez-le d'abord en main, conseilla le tatoueur. Oui... bien. Les testicules aussi....

Pendant que les jumelles obéissaient et découvraient pour la première fois une bite d'homme, Joséphine caressait les dos des filles et s'amusa avec leurs seins.

- La bouche maintenant.

Clémence se lance la première. La gourmande a toujours eu envie de sucer une bite. La vue de ce membre n'avait guère rassasié son désir. Elle lécha toute la longueur de la tige, des testicules glabres jusqu'au gland retroussé par l'énorme érection. Après deux ou trois aller-retour, elle commença à suçoter le bout.

- Putain! Elle est bonne ta petite fille. Son éducation va être rapide!

Martial sourit. Debout un peu en arrière, il admirait les deux petits culs de ses petites-filles aux pieds de Moussa. Cassandre observait sa sœur et appréciait la caresse de Joséphine. Elle se retourna vers son grand-père en fixant son entrejambe.

- Viens ma petite!

Elle allait se lever pour le rejoindre mais l'inspectrice de police lui intima l'ordre d'y aller à quatre pattes. Cassandre s'amusa à bien tendre son cul pour narguer la femme brune. Martial, d'un âge mur de soixante-cinq ans, fixa la jeune fille qui venait à ses pieds.

- Prends-là!

Cassandre baissa la braguette et sortit le sexe déjà dur. Elle le secoua un peu et l'avala entièrement en relevant les yeux pour surprendre la réaction de l'homme. Le visage se détendit et il sourit d'aise en saisissant la tête de sa petite-fille. Il lui imprima un rythme lent et ample.

Clémence tentait d'avaler le chibre noir mais rien n'y ferai! Joséphine en profitait pour tâter ses fesses et darder le cul de coups langue.

- Bien les filles! lança Martial. Allongez-vous sur le canapé. On va faire de vous des femmes.

Les jumelles s'allongèrent sur le dos tandis que l'inspectrice bouclait sa ceinture gode. Elle passa ses doigts sur les chattes vierges.

- Elles sont trempées ces salopes!

- Euh... murmura Clémence. On est vierge...

En guise de réponse, Joséphine écarta ses cuisses et posa le bout de latex sur ses petites lèvres ouvertes.

- Regarde-moi Clémence. Je vais te dépuceler.

Et d'un mouvement de hanche, elle pénétra la petite blonde qui cria de douleur. Un peu de sang coula.

- Maintenant à toi Cassandre.

Elle ne se fit pas prier même si la douleur de sa sœur, elle l'avait ressenti. Le gode entra et déchira son hymen sans que la douleur soit trop importante. Les voilà seules dans ce canapé, n'ayant plus de règles et de morale, de retenue ni de pudeur que le plaisir et la luxure. Moussa et Martial s'installèrent entre leurs cuisses, leur verge menaçante bien pointée sur les chattes ouvertes et humides. Les deux jumelles eurent la même sensation en même temps. Nous ne prenons pas la pilule! Le risque de grossesse en l'absence de contraception angoissèrent les deux filles mais visiblement excitait les deux hommes qui les pénétrèrent. De concert, ils les percutaient puissamment tandis que Joséphine, debout sur le canapé, se faisait lécher la chatte par l'une et l'autre.

- Comme c'est votre anniversaire et que c'est votre première, vous avez le droit de jouir sans qu'on vous le permette.

Les jumelles ne comprirent pas bien le message de leur grand-père mais c'est vrai que ça montait. Leurs seins gonflaient. Leur ventre papillonnait. Leur chatte ruisselait. Et enfin le plaisir monta puissant, envahissant, inéluctable et dans des gémissements se muant en hurlement, les deux sœurs jouirent longtemps.

- Prenez-ça salopes! gémit Moussa, la bite à la main.

Il éjacula d'abord sur Clémence puis se tourna vers Cassandre. Martial prit sa place et cracha son sperme sur les visages de ses petites-filles.

- Maintenant, léchez-vous pour vous nettoyer.

Tandis que les jumelles se débarbouillaient la face des paquets de sperme à coup de langue, Joséphine se fit prendre en sandwich par les deux hommes.

Les clés des deux voitures donnés, les jumelles reçurent des consignes strictes :

- A présent, vous ne dormirez plus ensemble, commença Martial Bascoul.

- Vous n'avez plus le droit de porter de culotte, rien ou des strings ficelle, continua Joséphine Cherline.

- Vous devrez porter en permanence un plug anal, sourit Moussa.

- Vous porterez des micro jupes ou des mini short, continua le grand-père en embrassant les seins de Cassandre.

- Vous ne porterez jamais de soutien-gorge et on devra tout le temps voir vos tétons pointer, murmura l'inspectrice en les doigtant. Sur la plage, monokini!

- Vous vous coifferez avec une queue de cheval. Vous porterez un rouge à lèvre couleur sang, et vous porterez en permanence des escarpins à talons, dit le tatoueur en frottant sa queue encore gluante de sperme sur leur fesses.

- Pour terminer, ajouta le grand-père, plus le droit de vous masturber!

Avec ces nouvelles obligations, les jumelles furent rapidement entourées de la gent masculine de l'université où Martial les avait inscrites. Mais elles avaient des consignes strictes, elles n'avaient pas le droit d'aller au-delà de l'amitié avec les garçons. Certains commençaient même à penser qu'elles étaient lesbiennes.

*** Charline et Julien Segfredo ***

Charline somnolait. Allongée sous le parasol qu'ils avaient acheté après la naissance de Marko, elle ne craignait plus de rester des heures en maillot de bain sur la plage. Sa peau de rousse appréciait très mal les rayons du soleil et sans une crème solaire d'indice de protection très élevé et le parasol, elle serait rentrée le soir rouge comme une écrevisse et se serait plaint de ses coups de soleil. Ce à quoi, son compagnon Julien lui aurait invariablement répondu qu'il l'avait prévenu.

- Puis-je poser ma serviette près de vous? dit une voix féminine.

- Oui, bien sûr la plage est à tout le monde, répondit Julien

Charline tourna la tête et vit une femme blonde retirer sa robe. Cette femme devait avoir entre cinquante et soixante ans mais avait un superbe corps. Ses fesses à peine cachées par son maillot brésilien étaient bien fermes sans trace de cellulite et sa poitrine avait magnifiquement résisté au temps en ne montrant aucun signe de faiblesse.

- Bonjour Madame, lui dit-elle.

- Bonjour, mais appelez moi Marie.

- Charline et voici...

- Julien oui je sais!

Charline fut surprise de cette réponse mais il est vrai que son mari paraissait de temps à autre dans le journal local en raison de son engagement sportif, il était l'un des dirigeants du club de rugby. Depuis son KO lors d'un match, il ne pouvait plus être sur le terrain.

- Vous avez un beau petit garçon!

- Merci Madame! Nous ne vous dirons pas le contraire, dit Julien. Tous les parents trouvent leur bébé superbe.

- Je me doute. Il a quel âge?

- Six mois, répondit Charline.

Le regard de Marie sur son corps troubla Charline.

- Et vous, bravo! Votre corps ne présente presque plus de traces de cette grossesse...

- Merci, dit Charline rougissant.

Elle aurait eu envie de cacher les vergetures qui marquaient encore son ventre mais elle n'osa pas bouger.

- Je ne vous avais jamais vu sur cette plage, vous habitez en ville? demanda Marie.

- Oui, nous sommes dans la résidence juste au-dessus de la falaise. On a juste à descendre pour venir...

- Oui mais il faut remonter ensuite! s'amusa la quinquagénaire.

- Oui c'est sûr mais ça va, on est encore jeune...

- Oui tout à fait, répondit Marie. On m'a dit que cette résidence était merveilleuse, que tous les appartements sont connectés.

- Oui! Regardez, d'ici on peut suivre ce qui se passe dans notre appartement sur nos téléphones. Là le salon, là la chambre...

Tout en parlant, il montrait des images prises par les caméras de surveillance, officielles.

- Avec ce système, on pourrait presque venir sur la plage en laissant Marko dormir dans son lit! Dit Charline en riant.

- Vous ne feriez pas cela! Dit Marie en faisant semblant d'être outrée.

- Non évidemment! Quel parent ferait cela?

Ce fut le moment que choisit Marko pour se réveiller et pleurer.

- Je crois qu'il veut son biberon, je vais remonter pour le lui donner, dit Julien. Si tu veux rester, tu peux!

- Oui, dit Charline, je vais rester un peu.

Depuis que Julie, l'avocate du premier étage de leur immeuble lui avait fait découvrir le plaisir entre femmes, Charline se sentait de plus en plus attirée par la gente féminine. Et cette Marie, malgré son âge, dégageait un magnétisme incroyable.

Marie regarda Julien prendre ses affaires et les affaires du bébé, il avait les bras chargés mais il restait encore pas mal de choses sur la plage.

- Si tu veux Julien, j'aiderai Charline à remonter le reste à l'appartement..;

Julien ne s'offusqua pas du passage au tutoiement et remercia Marie pour sa gentillesse.

Quand elles furent seules, Marie demanda à Charline si elle pouvait aller lui chercher une bouteille d'eau à la paillote de la plage.

- Oui Marie, sans problème!

Instinctivement, Charline désirait plaire à Marie. La jeune femme était ravie de lui rendre service. Elle ne refusa même pas de traverser la plage et de faire la queue en maillot de bain. Comme à son habitude, Marie en profita pour fouiller dans le sac de plage de la jeune femme. Une jeune femme vraiment sans histoire, si Jacques ne l'avait pas surprise avec l'avocate sur ses caméra de surveillance cachées, jamais Marie ne se serait intéressée à ce couple.

- Tenez Madame, dit Charline en lui tendant la bouteille d'eau.

Charline n'osa pas demander à Marie de lui rembourser le prix de la bouteille. Elles restèrent encore une petite heure sur la plage avant que Marie ne lui propose de rentrer.

- Non ne remets pas ta robe, reste comme cela... La résidence est presque sur la plage.

- Oui, si vous voulez!

C'est presque trop facile pensait Marie. Elle ne lui avait pas encore donné la drogue et elle obéissait sans protester. Les deux femmes traversèrent la plage, Marie portant le parasol et Charline son sac avec ses affaires de plage.

Quand elles empruntèrent l'escalier qui permettait de monter au sommet de la falaise, quelques personnes se retournèrent sur le passage de Charline, mais cela ne les choqua pas outre-mesure. La plage était juste en dessous.

- Un thé, un café, une boisson fraîche? demanda Julien.

- Un thé, s'il te plait!

- Et toi Charline?

- Un jus de fruit!

Voyant que Charline prenait son petit dans les bras, Marie sauta sur l'occasion pour rejoindre Julien dans la cuisine.

- Je vais porter vos boissons dans le salon, proposa-t-elle.

- Merci Madame Marie.

- De rien, c'est un plaisir!

Marie profita du moment où Julien avait le dos tourné pour vider ses deux petits flacons dans les verres. C'était une version modifiée de la drogue qu'elle avait testé sur Aurélie et le Père Stéphane. D'après Isabelle, les effets seront beaucoup plus durables, pas irréversibles mais longs.

- J'ai la tête qui tourne, dit Julien. Je pense que j'ai pris un coup de soleil. Je vais m'allonger un peu.

- Oui, Julien va te reposer. Tu reviendras quand je t'appellerai. Et toi Charline vas mettre Marko au lit et reviens, j'ai à te parler.

- Oui Madame, j'y vais.

Charline était maintenant seule avec Marie, elle aussi avait mal à la tête mais elle devait rester pour écouter ce que Marie avait à lui dire.

- Approche petite gouine! Car c'est que tu es, n'est ce pas? Une petite gouine! Dis le que tu es une petite gouine!

- Oui Madame je suis petite gouine.

- Une petite gouine qui déteste les noirs et les arabes! Dis moi, c'est vrai, n'est ce pas? Tu es une petite gouine qui déteste les noirs et les arabres.

La jeune rousse répéta cette phrase alors que son esprit lui disait que non, elle n'était ni une gouine ni une raciste.

- Bien ma petite gouine, mets toi à genou devant moi, ta Maitresse! Écoute-moi bien!

À genoux entre les cuisses de Marie, la femme aux tâches de rousseur écoutait attentivement les règles qui allaient régir sa vie à partir de ce jour. Quand Marie eut fini de parler. Charline répondit simplement :

- J'ai compris Maîtresse!

Elle plongea alors son visage entre les cuisses de la quinquagénaire et mit tout son cœur pour lui donner du plaisir.

Après avoir expliqué toutes ces nouvelles règles de vie à Charline, Marie appela Julien qui se leva pour les rejoindre dans le salon. Il vit avec étonnement sa femme à genoux devant Marie, souriante, le visage luisant de mouille, il s'apprétait à dire quelques chose quand Marie l'en empêcha.

- Bien Julien, écoute moi attentivement! J'ai donné des instructions à Charline

- Oui Madame, je vous écoute.

Charline va te répéter ses instructions et tu ne devras jamais t'y opposer. Tu devras les accepter comme étant normales. Compris!

- Oui Madame Marie! Je les accepterais comme normales

Julien se disait que cette femme est complètement folle, mais il accepterait les règles que Charline lui dirait.

- Bien, Charline, répète ce que tu as le droit, le devoir et l'interdiction de faire.

Charline tremblait de tous ses membres alors qu'elle répétait les instructions de Marie à son mari. Julien bouillonnait intérieurement mais il sourit à Marie quand Charline eut fini. Il entendit alors Marie lui dire qu'il aimait sucer des hommes et être sodomisé. Il ne comprenait plus, il n'était pas homosexuel, mais c'est vrai qu'il aimait ça.

- Très bien! dit Marie. Je vais rentrer chez moi, je vous y attends demain à 14h...

- Oui Madame Marie, nous serons là.

Et dernière chose, dès que j'aurais quitté votre apparemment vous ne m'avez pas vu, vous ignorez que je vous ai donné ces instructions, elles font partie de vous.

Marie les embrassa et quitta l'appartement. Aussitôt Julien regarda Charline.

Pourquoi portes tu un haut de maillot?

Oui, c'est vrai! dit Charline en baissant les yeux.

Marie Mousatir

Bien installée dans le fauteuil profond qui trônait dans son donjon, Marie Mousatir se faisait lécher la chatte par Aïké. La black chauve parcourait avec minutie tous les replis de la vulve. La blonde n'y prêtait pas vraiment attention. Une autre soumise était attachée sur une croix. Nue avec un ventre distendu, Isabelle Labrosse attendait son supplice avec stupeur et impatience. La pharmacienne avait fourni la drogue demandée à sa Maitresse. Une tablette entre les mains, Marie espionnait Aurélie et le prêtre de la paroisse enfermée dans la sacristie.

"Rapprochez-vous l'un de l'autre" dit la cinquantenaire. L'application conçue par son époux retransmettait ses paroles dans la salle paroissiale avec une fréquence particulière quasi inaudible. Elle constata avec satisfaction que le prêtre et Aurélie Robin se rapprochaient. Le produit synthétisé par Isabelle avait l'air d'être efficace.

"Monsieur, cette femme vous désire et vous allez pouvoir jouir de son corps. Aurélie, déshabille-toi devant le prêtre." Quelques secondes après, les ordres s'exécutaient.

Marie aimait ce pouvoir. Elle caressa un peu le crâne chauve de son esclave noire. Elle pensa qu'elle pourrait à présent rendre à Aurélie son apparence d'autrefois. Mais rien ne pressait.

"Aurélie, enlève la soutane du Père Stéphane." La blonde vit l'obèse se baisser et ôter le vêtement. "Aurélie, prends le sexe dur et masturbe-le. Père Stéphane caressez les seins de votre paroissienne.". Les mains de l'homme d'église pétrir les seins flasques d'Aurélie. "S-118, suce Père Stéphane".

Aïké insistait sur le clitoris de sa Maitresse qui coulait. Isabelle Labrosse suivait les opérations et se félicitait de l'efficacité de sa drogue. Marie se concentra sur la tablette. Le prêtre montrait déjà des signes de jouissance. "Arrêtez! Père Stéphane, prends Aurélie Robin en levrette et jouit en elle!"