Clémence, une jeune Aristo (01)

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Ophélie ressent les morsures sur ses fesses mais elle ne cesse de sucer les doigts quand sa bouche n'est pas grande ouverte, criant sous les assauts. Son corps ondule sans qu'elle ne puisse l'empêcher, son vagin aspire cette colonne qui la défonce et des flots de mouilles sortent à chaque aller et retour. Les muscles assouplis de la jeune femme se rendent un à un, incapable de résister au va et vient puissant. Sans qu'elle le veuille, ils accordent à Florian un libre accès. À l'intérieur de son ventre, ses muscles palpitent et se contractent, se resserrant aussi inexorablement sur l'imposante verge.

Ophélie ferme les yeux, en essayant de briser la vague qui cherche à la submerger, mais elle perd la bataille. Ses fesses douloureuses se tortillent au rythme des visites de la bite envahissante. Martelée férocement et sans pitié, elle ne peut que se résigner à son sort, impuissante à le refuser. « Je suis perdue » pense-t-elle.

À chaque traction vers l'extérieur, Florian observe les lèvres lisses et gonflées de la blonde, étirées à leur limite par le retrait de son large outil. Il est fasciné de les voir s'accrocher avidement à sa tige veinée. Mais, le temps n'est plus à l'observation, à la retenue, son besoin de se vider se rapproche. Aussi il initie un rythme incessant de coups vigoureux, s'enfonce profondément dans la gaine, puis sentant que la blonde est prête, il intensifie l'action, augmente la vitesse et la puissance de ses poussées à un niveau qu'il ignore.

« Aaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh »

« Je te l'avais dit que tu aimerais la grosse bite de ton frère.... Patiente encore quelques instants et il pourra t'engrosser » lui susurre clémence tout sourire. « Sois une bonne fifille avec lui, cambre toi pour qu'il puisse te remplir profondément » ajoute-t-elle alors qu'Ophélie cède complètement à la puissance de son frère. Des tremblements se propagent dans tout son abdomen, ses cuisses se tendent sous le stress de l'extase montante. Elle est au bord du gouffre, son esprit et son corps en lambeaux.

Et puis son frère beugle en se vidant par saccade

Alors, sans plus pouvoir se retenir, Ophélie se met à onduler pour se porter au-devant de chaque assaut, balance les reins pour accentuer la pénétration, s'agite en proie à un délire animal. Ce plaisir coupable, qu'elle a si longuement refoulé, la submerge d'un coup, l'emportant avec la force destructrice d'un tsunami.

« AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH » Ophélie hurle de plaisir.

Foudroyée par la violence de l'orgasme, elle demeure en état de choc, figée en vibrant de toutes les fibres de son être.

Et puis, les corps des amants incestueux, trempés de sueur, se calment lentement.

Florian se relève hagard, secoué par sa formidable jouissance mais aussi, mal à l'aise. Quant à sa sœur, elle est en train de reprendre son souffle et de retrouver ses esprits en pleurant de honte et de chagrin. Elle ne peut endiguer les flots de larmes qui la submergent. Son petit frère l'a baisé jusqu'à un orgasme abrutissant et vient d'asperger son ventre de sa semence.

« Tu as pris ton pied, ma petite chienne... en tout cas ton frère est satisfait... peut être que ce soir si tu lui demande gentiment, il sera assez gentil pour te sodomiser » ajoute-t-elle infame.

« Allez viens boire un coup! on en a tous besoin » dit Pierre Henry en entourant les épaules de Florian.

Tous les garçons quittent alors la pièce.

7) Apres soirée

Florian ne retrouve sa sœur que plus tard dans la matinée alors qu'il la croise dans la cuisine de leur appartement, prenant le petit déjeuner. Sa frangine est rentrée plusieurs heures avant lui, hébétée, dans un état proche de la catatonie. Elle a roulé jusque chez elle et, s'est couchée, vidée.

Pendant les jours qui suivent Ophélie s'est souvent repassé le déroulement de cette soirée, se demandant pourquoi et comment elle avait pu vivre un tel cauchemar. En analysant la chronologie de la nuit, elle a occulté la première partie, réception, repas, danse, et bibliothèque, pour ne se concentrer que sur les moments humiliants dans la chambre de Clémence et le restant de la nuit dans la cave. Elle ne pouvait pas reconnaitre qu'elle avait pris beaucoup de plaisir au cours du début de soirée quitte à rester dans le déni. Il aurait été très gênant pour sa psyché d'admettre son côté sombre, sa luxure débridée, son attirance pour l'exhibitionnisme, sa complète absence de morale dès lors que le plaisir l'embrase. Elle préfère se concentrer sur la chambre ou le degré d'humiliation était impensable, insoutenable et la cave ou on l'avait forcé à franchir un cap, le tabou ultime, l'inceste.

Elle n'a jamais évoqué avec son frangin les événements de la soirée. Elle ne le peut pas.

Florian ne s'est jamais douté de quoique ce soit. Une fois seulement, il a évoqué l'anniversaire de Clémence et lui a dit combien il s'est amusé, que ses nouveaux amis sont super sympas. Elle a failli s'étouffer lorsqu'il lui a raconté sans trop donner de détail, qu'avec le groupe, ils avaient fait un jeu dans une cave.

« C'était super sympa... en plus je les ai épatés » dit-il le sourire aux lèvres. « Tu me connais, j'aime les défis. Je me suis donné à fond. » reprend il fanfaronnant, sans remarquer que sa sœur devient blanche comme un linge.

.

Elle ne s'est pas confrontée à ses persécuteurs. Non seulement elle sait que ceux-ci seront protégés par une armée d'avocats qui la trainera dans la boue. Tous prétendront inévitablement qu'elle était consentante, qu'elle était à l'initiative de ce jeu. En conséquence elle sera radiée de l'école avec un blâme pour avoir eue des relations sexuelles avec ses élèves et pire encore, pratiqué l'inceste délibérément. Elle entrainera de fait, son frère dans son déclin alors que celui-ci doit intégrer une grande école sur Paris.

Par contre, soucieuse de ne plus être confrontée avec ses harceleurs, elle profite des vacances pour trouver une autre école. Et justement, sur Bordeau, un collège est heureux de lui ouvrir ses portes.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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8 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Excellent texte! Bravo! Impatient de lire une suite.

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Une histoire encore bien construite

Dommage que Clémence n'ait pas enlevé la perruque pour plus d'humiliation

J'ai hâte de lire une suite ou Ophélie continuerait d'être dans la soumission de son frère victime du chantage de Clémence ; de belles perspectives....

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 3 mois

Merci beaucoup pour ton texte. Ça devient rare. Les textes construits avec une profondeur sur les personnages et le contexte.

J'ai pris énormément de plaisir à parcourir ce récit.

Bravo à toi !

horpheuhorpheuil y a 3 mois

Bon, je vais pas revenir sur les commentaires positifs, globalement le texte est bien, parfois un peu redondant dans sa construction mais bien...

J'aurais préféré à titre personnel (et j'insiste sur à titre personnel) une héroine moins dévergondée, avec un passif de fille facile (même sous alcool) tu abaisse sa valeur en tant que femme et fantasme, je préfère quand c'est une fille prude qui se découvre salope sous l'effet d'un événement... dans le récit... pas dans le passé...

Et je continu à chipoter, l'héroine est qualifiée de "provinciale", hors les tourmenteurs sont de Toulouse, ce qualificatif n'a donc aucun sens... puisque eux-même sont des provinciaux. Pour marquer la différence de rang, roturière aurait été plus approprié.

Voilà c'est un bon texte dans l'ensemble et j'ai une prédiction pour les aventures soumises de jeunes prof sexy... Curieux de lire le chapitre 02...

dominic47dominic47il y a 3 moisAuteur

Bonjour Aurélien,

Je ne suis pas un littéraire, encore moins un écrivain, cependant j'aime les mots, notre belle langue et la construction d'une histoire qui puisse être réaliste. Evidemment comme vous le constatez, la psychologie des personnages, leurs forces et faiblesses, et plus généralement la consistance et la profondeur de ceux-ci sont pour moi mon moteur. La difficulté est cependant de trouver la juste mesure entre sobriété ou excès.

Ceci dit, lorsque je reçois de tel retour, je suis heureux de constater que je ne suis pas le seul à apprécier ce genre de construction d'une fiction et cela m'encourage à m'améliorer.

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