Clémence, une jeune Aristo (01)

BÊTA PUBLIQUE

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Florian ne sait pas trop quoi faire, aussi il se retourne en jetant un regardant interrogatif vers Anne-Sophie.

« Trente coups » lui dit-elle sèchement en lui présentant une cravache.

Florian est perplexe. Son cerveau est en ébullition devant la réalité. Néanmoins il prend rapidement la décision qui s'impose. Il ne va pas craquer aussi près du but. « Ce n'est pas très grave... la fille ne mourra pas pour quelques coups de badine » se dit-il. Fébrilement, Florian prend la cravache, se retourne et là il se fige. Il n'en croit pas ses yeux. Il est statufié face à la beauté du spectacle alors que Clémence retire la cape de la blonde.

Florian avait déjà les pommettes rouges, mais à cet instant, il est en sueur. Personne ne voit ses yeux sous son masque mais tout le monde peut deviner qu'ils sont injectés de testostérone, vu son souffle rapide.

Les yeux exorbités, Florian s'approche de la blonde, immobilisée à quatre pattes, le ventre écrasant le coussin matelassé, courbée dans une pose obscène, les seins pendants, le dos courbé avec la tête presque au niveau du sol et les bras tendus devant elle. Avec les jambes écartées au maximum et surtout le bassin incliné honteusement, la blonde lui offre une vision diaboliquement lubrique. C'est une exhibition sans fard. Florian a les pupilles dilatées. Le cul de la blonde est un véritable bijou. Un postérieur aux proportions idéales, des fesses joliment bombées et juste au-dessous, il aperçoit le double renflement charnu d'une jolie vulve nichée entre ses cuisses, un abricot parfait, pulpeux à souhait avec en son centre une fentine légèrement ouverte. Florian n'est plus de ce monde, la scène est au-delà de tout ce qu'il peut imaginer. Ce cul affole ses sens. De plus, au centre le puit brun est largement visible. Il aperçoit distinctement l'anneau serré et en se concentrant il le voit palpiter, un signe qu'il interprète avec son cerveau malmené comme une invite à la découverte. Il se retourne cependant, et regarde Anne-Sophie pour vérifier qu'il peut réellement corriger cette fille. Anne Sophie sourit derrière son masque. « Florian fera ce qu'on attend de lui. » se dit-elle en apercevant la tente perçant la cape.

Quand Anne -Sophie lui a remis sa cape pour la cérémonie, elle a insisté qu'il l'enfile après s'être complétement déshabillé. Elle lui avait spécifié que c'était comme s'il se présentait, dépouillé de tout, pour devenir ensuite quelqu'un de nouveau. « Oh bon dieu... il bande comme un âne » pense-t-elle. Avec tous les opioïde qu'elle lui a mis dans son verre, l'alcool qu'il a avalé, sans compter les deux pilules de viagra qu'elle lui a donné ensuite, il ne peut pas faire échouer son plan, se dit-elle.

Florian, un grand jeune homme d'un mètre quatre-vingt-cinq, svelte à la limite de la maigreur, les cheveux châtains coupés en brosse, au visage carré, est un garçon distant. Lorsqu'il rentre au Lycée Charles Auguste, il est à la fois fier d'intégrer une institution prestigieuse mais aussi conscient de côtoyer un univers privilégié. Réservé, mais néanmoins extrêmement ambitieux, il n'a que très peu d'amis car il est concentré sur ses études. Il envisage d'intégrer une très grande école afin de n'être plus un exécutant comme son père, mais celui qui commande. Aussi quand Anne-Sophie vient le voir il y a trois semaines pour lui parler de la soirée qu'organise Clémence il est à la fois surpris et flatté que l'on pense à lui. Côtoyer le monde des Aristocrates, de la grande bourgeoisie, pourrait lui permettre de se faire un tissu de relation utile pour sa carrière. En plus, il fantasme secrètement sur la grande blonde sans avoir jamais eu le courage de l'inviter. Il est trop prétentieux pour essuyer un refus. De surcroit, il a pu se rendre compte qu'elle est toujours en compagnie de quatre garçons issus eux aussi de l'Aristocratie. Avec Anne-Sophie, ils forment un clan qui lui semble hermétique. Aussi, quand cette dernière lui parle de la fête, et qu'elle évoque la possibilité de l'introniser dans leur cercle, il est fou de joie. Il tente de ne pas être trop démonstratif, néanmoins, l'Aristocrate est assez perspicace pour déceler les signes d'un plaisir intense. Pendant plusieurs jours elle revient vers lui pour lui parler de la tenue, du lieux prestigieux dans lequel se tiendra la fête, des personnes influentes qu'il rencontrera, et aussi des rites pour l'intronisation ainsi que le secret obligatoire qui entoure la cérémonie. Et puis, un matin, Pierre Henry est venu le voir pour parler avec lui. Il lui annonce qu'ils ont débattu ensemble sur sa possible intronisation et qu'au final tout le clan est heureux de pouvoir l'accueillir. Il lui rappelle qu'en aucun cas il ne doit en parler, que le secret est de mise et espère de tout cœur qu'il sera à la hauteur. Enfin il lui précise que l'intronisation aura certainement lieu au cours de la soirée.

Florian le rassure en lui disant combien il est prêt et que son vœu le plus cher est de les rejoindre. Il fera tout ce qui est nécessaire.

Il ne peut échouer, c'est impensable.

Il se positionne à côté d'Ophélie et fait siffler la cravache. Elle s'abat sur la fesse droite, puis la gauche. Les fesses tressautent. Le contact avec cette peau crémeuse l'électrise. Aussi il continue sur le même rythme, le souffle court.

« Stop » crie Anne Sophie à la quatrième frappe. « Horus, il ne s'agit pas de caresser, mais de claquer. C'est une punition »

« Oui bien sur » répond Florian confus. Le rappel à l'ordre est comme une claque. Il ne veut pas que cela se reproduise, aussi il devient plus incisif. Les frappes suivantes tombent fort, sans régularité mais de plus en plus rapide. Ophélie finit par crier mais les sons sont assourdis « aie, aie,aie,aie », Florian ralenti un peu la cadence, pour reprendre de plus belle. « aie,aie,aie,aie,». il s'arrête. Puis reprend, encore plus fort, encore plus vite. Les fesses en feu, Ophélie commence à gigoter plus vite, mais ça n'a pas d'effet, voire le contraire, la force et la rapidité des claques semble augmenter.

Or Clémence lui retient la main et se penche à son oreille, pour lui montrer comment procéder pour que la punition ait plus d'effets. « Fais des séries de trois ou quatre en variant l'impact, il faut que tu lui rougisses aussi le bas des fesses., tu attends 30 secondes et tu recommences. Là pour l'instant elle se tortille de joie. Il faut que tu lui montre que c'est sérieux, tu dois lui faire savoir que c'est toi qui commandes... tu n'es pas d'accord »

« Oui tu as raison, mais j'avais... »

« Ne te laisse pas impressionner par ce genre de fille.... Elle peut en supporter bien plus » ajoute-t-elle « attend je vais te montrer... pousse toi » continue t'elle « en plus tu vas voir, ça va l'exciter, ces filles là adorent, qu'on les matte durement... un fessée adaptée et elles mouillent comme des garces. » susurre Clémence dans le creux de l'oreille.

Debout, légèrement courbée, Clémence lève haut la cravache et l'abat d'une puissance magistrale, la relève tout aussi vite, la redescend avec autant de puissance que la première et ainsi de suite jusqu'à le quatrième. La cinquième et les sixièmes frappes sont tout aussi fortes mais plus vicieuses. La grande cinglent le bas des cuisses. Elles piquent plus car la peau est fragile. Ophélie a le souffle coupé, elle hurle sous la douleur foudroyante. Les fesses la brulent et les larmes coulent sans qu'elle puisse les retenir.

Florian est fasciné par Clémence infligeant une telle correction. les zébrures se dessinent immédiatement sur la peau tendre. Voir les marques sur les fesses, la fille râler, se tortiller dans tous les sens, l'excite comme cela lui est arrivé rarement. En plus quand Clémence a pris sa main pour la diriger vers la vulve de la fille, un courant de 10000 volts lui parcourt l'échine dorsale alors que ses doigts glissent entre les lèvres brulantes, trempées de mouille. Il a soudain très chaud et sans y prêter attention, relève son masque pour essuyer la sueur qui dégouline.

« Tu vois l'effet que lui fait la cravache. » insiste Clémence, vicieuse.

« Oui... tu as raison » réussit il à dire en soufflant.

Et puis comme Clémence se recule il se repositionne et s'emploie à l'imiter. Il administre alors une correction intense et soutenue. Il lui fouette violemment les fesses, le haut puis le bas, la fesse droite puis la fesse gauche, avec retenu au début puis de plus en plus fort ensuite. Les frappes sont très dures. Ophélie se tord maintenant dans tous les sens, elle râle de plus en plus fort, crie, pleure, supplie d'arrêter, mais aucune grâce n'est à attendre de Florian car les plaintes sont étouffées. Il prend de surcroit un plaisir jouissif à zébrer le joufflu. Cela fait maintenant plus de cinq minutes que Florian claque avec la régularité d'un métronome sans faire une pause. La suppliciée suffoque sous la rudesse des coups quant aux spectateurs ils sont hypnotisés, le derrière remuant dans tous les sens, la croupe fabuleuse, striée de part en part, les fascinent. L'excitation est tellement forte qu'aucun bruit ne semble troubler cette déculottée, ils sont statufiés.

Ophélie a cessé maintenant toute combativité, et malgré une lutte et une endurance sans pareille, elle se dirige inexorablement vers une sédition totale. Celle-ci ne se rebelle plus, ne crie plus, elle accepte sa condition en pleurant à chaudes larmes.

« Super Florian, tu as réussi haut la main ton entrée chez nous » dit Anne-Sophie « tu as même droit à un cadeau »

Toujours derrière Florian, Clémence reprend sa main pour la poser sur les fesses brulantes de sa sœur et l'incite à la caresser. « Oui c'est ton cadeau » lui dit-elle alors qu'elle le regarde interrogatif. « Tu vois, tu l'as matée... mais la correction l'a excitée, descend doucement ta main entre ses cuisses,... alors.... J'ai raison.... Elle est trempée n'est-ce pas? c'est une garce lubrique!»

Les hormones en ébullition, le cœur battant la chamade, Florian n'arrive pas à répondre, à prendre une décision.

« Tu verras si tu mets un doigt à l'entrée et qu'elle ne dit rien, c'est qu'elle espère que tu la prennes. Crois moi, elle est sacrément excitée. » Clémence sait pertinemment que la correction a brisé les résistances d'Ophélie et qu'elle ne réagira pas, au pire elle bougera légèrement et son frère interprètera ce mouvement comme une acceptation.

« Tu vois Florian... Elle ne dit rien... fais lui plaisir... je sais que tu en as envie... c'est ton cadeau » dit-elle en touchant son sexe. « Oooooohh tu vas lui faire du bien » lui dit-elle en le poussant derrière sa sœur. Clémence lui susurre dans l'oreille comment la femelle est mouillée. N'obtenant pas de réaction significative, en tout cas pas d'objections, de refus, clémence décide de l'aider à prendre sa décision. Elle passe alors ses mains sur le devant de la cape de Florian, défait ensuite avec délicatesse les deux boutons, et écarte le tissu. « Oooohh, Tu as le sexe qu'il lui faut » lui murmure-t-elle alors que la cape est ouverte et que son sexe se dresse comme un mat. Elle insiste encore en lui appuyant sur les épaules.

Et puis d'un seul coup, le désir prend le pas sur l'anxiété, l'envie sur la réserve, Florian s'abaisse. La proximité avec Clémence le touche énormément. Son attention, sa prévenance l'oblige à ne pas la décevoir. Il se met à genou derrière la croupe rouge écarlate, saisi son sexe d'une main, le présente au bord de la vulve, le niche entre les lèvres gonflées et le pousse.

A 18 ans, Florian n'a pratiquement aucune expérience des femmes à part l'unique cougar qui l'a dépucelé il y a deux mois. Il l'avait satisfaite, néanmoins elle lui avait prodigué quelques conseils pour l'avenir, et notamment d'être plus doux au départ afin d'habituer progressivement la dame. En effet, toutes n'ont pas des dispositions à accueillir un si gros sexe lui avait elle précisé.

Les paroles de la Cougar, lui reviennent en mémoire alors qu'il cherche à aligner son mafflu contre l'entrée. Mais l'excitation est telle qu'il balaye le conseil. Par contre il est énervé de ne pouvoir percer l'orifice. Aussi, il rapproche sa main au bord de son gland massif, puis pousse comme un damné. Son gros pruneau fini par rentrer.

« Arrrrrrrrrrrrrrrgghhhhhhhhhhh » Ophélie hurle comme une damnée lorsque le dard énorme la transperce. Ses chaires s'écartent accompagné d'une douleur innommable. Elle remues en tout sens pour se dégager. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive à part le fait qu'elle a l'impression d'avoir un poing dans son sexe.

Clémence jubile quand elle voit Ophélie se cabrer.

« C'est ça Florian, montre lui qui commande » dit Clémence vicieuse en touchant les couilles par en dessous. Le reflexe ne se pas fait attendre. Le grand donne un coup de rein en réaction et ouvre plus encore le passage.

« Arrrrrrrrrrrrrrrgghhhhhhhhhhh » crie Ophélie de nouveau.

C'est à ce moment qu'Anne Sophie arrive à coté de sa copine en levant le pouce pour ses efforts et regarde satisfaite mais éberluée, Florian enfoncer sa bite de cheval. Comme les garçons prennent des douches communes après le sport, elle en avait entendu parler par son frère, Or la réalité dépasse l'imagination. Aussi maigre soit-il, elle n'aurait jamais pensé qu'il cache une bite de black. Elle est doublement contente. « Ophélie va se faire démonter et elle ne pourra pas s'en vanter. Elle va connaitre enfin la punition qu'elle mérite. » pense t'elle.

Anne Sophie fait alors le tour d'Ophélie et lui enlève ses bouchons d'Oreille. Elle se décale ensuite, se penche aux oreilles de la prof « Alors ma belle... l'inceste est ton péché mignon.... Je crois que tu ne pourras plus porter de jugement » lui murmure t'elle sadique.

Ophélie relève la tête brusquement, les yeux en panique. Le ciel vient de lui tomber sur la tête, elle est en panique « nonnnnnnnnnn » crie-t-elle dans un réflexe d'effroi, ébranlée par cette révélation.

« Si, si.... Je te laisse profiter... tu as le droit! » ajoute-t-elle en riant.

Pendant ce temps, Florian continue sa progression. Avec de souples mouvements du bassin, il gagne au fur et à mesure quelques centimètres, allant plus loin dans sa sœur. Il l'enlace dans une étreinte si étroite que sa frangine ne peut lui échapper. Elle essaye tout de même. Elle rassemble toute son énergie pour lui résister, repousser la protubérance qui glisse en elle. Mais son vagin, au lieu de le bloquer, semble animé d'une vie propre, se dilatant pour lui permettre d'aller plus loin. La sensation de perdre du terrain la fait paniquer. Le désir l'emporte, lubrifiant les parois, relâchant les muscles du vagin, ce qui permet à son frère de s'enfoncer encore plus profondément. Les trois quarts de l'impressionnante bite de son frangin sont logés dans le fourreau et les gouttes de sueur coulent du front angoissé d'Ophélie, alors qu'elle endure la conquête irrémédiable de son vagin.

La pression est incessante.

Ophélie cesse de respirer, concentrée sur le sexe qui se fraie un passage dans son intimité. Elle se fige, repoussant la vague de chaleur. Elle ne cédera pas à ses pulsions coupables, gardant le contrôle sur tout son corps. Cependant son frère, en extase, gagne encore du terrain, recule pour mieux repartir en avant, atteignant bientôt le fond du tunnel.

En même temps, sournoise autant que lubrique, Clémence souhaite rendre le jeu encore plus humiliant. Elle veut casser ce qui reste des résistances de la prof, la briser. Elle se met à genou à côté d'elle et lui murmure « alors ma petite chienne, tu te fais bien remplir.... Il a un gros sexe ton partenaire! tu dois aimer » murmure t'elle... tu vois je prends soin de ma petite chienne. Je savais que tu avais besoin de te faire monter...et si tu es gentille avec lui il te fera beaucoup de petits » insiste-t-elle.

C'est une joie irrépressible qui s'empare de Clémence. Voir le frère corriger sa sœur aussi durement lui a plu énormément. Elle n'y avait jamais pensé jusqu'à maintenant, or devant la prof cravachée par son frère, l'envie de la corriger, la mater, la soumettre à ses désirs devient une réalité. Elle se découvre une facette de sa personnalité qui lui plait. Elle aurait tellement voulu continuer elle-même la correction. La marquer si fort qu'elle ne puisse s'assoir pendant une semaine, l'entendre gueuler, la voir supplier d'arrêter. Mais pour l'instant, Clémence veut pousser Ophélie dans ses retranchements les plus profonds, l'emmener dans un premier temps sur des chemins ou la honte côtoie la perversité, lui enlever le reste de fierté. Elle aimera pousser plus loin cette correction pour satisfaire un nouveau désir de luxure mais, il lui faut patienter. Ce soir elle accompagne la prof dans sa descente vers l'ignominie.

Les nerfs tendus à se rompre, Ophélie entend les paroles de clémence qui l'empêche de se focaliser sur son corps. Elle voudrait s'interdire le plaisir. Cependant, à l'intérieur de son ventre, ses muscles palpitent et se contractent, se resserrent inexorablement sur le monstre qui l'envahit. Elle ferme les yeux, brisant la vague qui cherche à la submerger.

C'est à ce moment-là qu'elle entend son frère

« Tu es à moi maintenant, espèce de garce... je vois bien que tu tortilles du cul », grogne-t-il ignorant ses supplications, incapable de retenir ses puissantes pulsions sexuelles et certain qu'elle grogne pour le provoquer. « La chatte de la blonde est tellement serrée », réalise-t-il avec une joie absolue. Écartant encore plus les lèvres caoutchouteuses, son gland fait pression pour adapter la gaine sensible. Le fourreau est presque trop petit pour son sexe, mais la sensation est paradisiaque lorsqu'il le force à sa taille.

Il semble que son frère veut prendre le contrôle de son corps. Ophélie a l'esprit en lambeaux

Mais rien ne semble la ménager et encore moins Clémence. A genou devant elle, la grande s'occupe de pervertir son esprit.

« Je vais t'enlever le bâillon...... Tu pourras gueuler comme tu veux ma petite chienne... en plus je suis persuadée que tu veux sucer mes doigts » dit-elle ironique en soulevant légèrement le masque « toutes les chiennes lèchent la main de leur maitresse! n'est-ce pas! » ajoutent elle, ajoutant la confusion dans l'esprit de la prof. « je suis persuadée que tu es une bonne fifille! Tu ne voudrais que je t'enlève complétement le masque et la perruque! » menace Clémence.

« nommmmmmmmm » répond Ophélie affolée. Elle comprend rapidement la menace et la dernière chose qu'elle veut dans son tourment est de détruire la relation avec son frère.

« Je te promet de ne pas le faire » murmure Clémence en amenant deux doigts au bord de la bouche d'Ophélie « par contre tu as intérêt à y mettre tout ton cœur » insiste-t-elle. Machiavélique, elle pense que la succion sera un excellent moyen d'accaparer l'attention de la prof. Divertie, attentive à la satisfaire, la belle brune sera plus sensible au travail de son frère, incapable de s'opposer au plaisir qui monte. Elle a raison.

« oouuuiiiii » se dépêche de réponde la prof.

« N'oublie pas, si tu t'arrêtes je te dévoile. » ajoute-t-elle en glissant l'index et le majeur entre les lèvres. « Sort bien ta langue... je veux voir comment ma petite chienne s'y prend » ajoute-t-elle la bouche près de son oreille.

Rien que d'évoquer la mise à jour de son anonymat, Ophélie frissonne d'horreur. Elle ne peut qu'accepter ces doigts inquisiteurs. Elle les lèche, les suce avec application.

Ignorant le sens du oui qui s'échappe de la bouche de la fille, Florian interprète le mot comme un encouragement. Gardant la pression sur le dos, il tire sa bite déchaînée à mi-chemin, puis l'enfonce profondément en faisant hurler sa sœur. Florian se lance ensuite dans un martèlement rythmé et résolument puissant avec maintenant beaucoup plus d'amplitude dans le mouvement surtout que Clémence l'invective vicieusement.

« Regarde moi cette salope comme elle suce mes doigts » dit-elle fortement en regardant Florian « Oh putain qu'elle garce... Elle aime sucer. »