Nathalie Soumise à son Collègue 05

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Florence la fille de Nathalie commet une erreur.
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EMILIEDAN
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Florence la fille pleine de ressource

Marc dans l'impasse :

Comme d'habitude après l'épisode du parking ou Marc avait fait découvrir à la femme de Pascal les plaisirs de l'exhibition, nous avions regardé chez moi autour d'un verre la vidéo de nos trois voyeurs s'activant joyeusement sur le corps de Nathalie.

Ce qui excitait le plus mon pote c'était d'avoir vu sa maîtresse sucer le jeune Kevin qui avait tout juste l'âge de l'un de ses fils !

-- Non mais franchement Daniel tu as vu cette vicieuse sucer ce gamin et lui doigter l'anus et se délecter de son sperme ! Cette mère de famille bon chic bon genre est devenue accro au sexe.

-- Dis plutôt que tu l'as rendue accro au sexe

-- Non tu vois ce qui me gêne c'est qu'en ce moment son mari la colle de plus en plus. Pas une ouverture à l'horizon pour une nouvelle partie de jambes en l'air !

Après cette soirée vision vidéo, je n'avais pas de nouvelles de Marc depuis plus d'un mois.

J'étais presque inquiet lorsque je recevais un appel, il était totalement excité et voulais me voir de toute urgence chez lui le soir même.

Le faux pas de la fille de Nathalie :

Après m'avoir servi un verre, Marc était totalement excité devant l'écran géant de sa télé.

-- Là mon Dan attends-toi à du lourd. Ma petite caméra pendule à fait du bon boulot regarde ça mon vieux, ça date de trois semaines.

Sur la vidéo la fille de Nathalie, Florence était allongée sur le canapé entièrement nue sur une serviette de bain.

De sa main gauche elle caressait sa poitrine dont les seins fermes et opulents pointaient comme deux obus. Sa main droite elle s'activait et masturbait sans vergogne sa chatte.

La tête reposée sur l'accoudoir du canapé les pointes de ses longs cheveux bruns touchaient presque le parquet.

Ses gémissements se mêlaient aux cris de jouissance de la femme qui se faisait copieusement démonter « en stéréo » par deux hommes sur l'écran géant.

Les scènes se succédaient : doubles fellations, cunnilingus, vaginales et sodomies se déroulaient sous les yeux ébahis de la jeune Florence dont les reins décollaient du canapé.

Ses doigts titillait son clito et s'enfonçait entre les lèvres de sa vulve rouge d'excitation, faisant ruisseler des flots de jouissance sur la sortie de bain.

Elle poussait des « ho oui.. ha... » sa respiration était tour à tour courte puis rapide et ample.

Le film terminé, Florence épuisée par ses orgasmes se levait, pour rejoindre l'escalier. Elle nous tournait le dos nous étions sans voix à la vue de cette chute de reins hyper cambrée et ce cul rebondit qu'agitait deux fesses superbes. Ses deux globes parfaits dodelinaient de droite à gauche à chacun des pas de cette superbe jeune fille.

-- Alors mon Dan, c'est pas un don du ciel cette vidéo ?

-- Elle est vraiment très belle et très excitante c'est sûr.

-- C'est tout ce que tu trouves à dire ! Ah franchement tu n'as aucune imagination. C'est pourtant clair non, la fille de Nathalie rêve de se faire sauter par deux mecs !

-- Non mais attends Marc, tu penses à quoi là !

-- Je pense tout naturellement que nous allons lui permettre de réaliser son fantasme, rien de plus rien de moins.

Nous allons la baiser tout simplement et je peux même te dire que ce sera ce week-end.

Je t'explique...

Florence invitée à un trio sexuel :

Quand j'ai vu la vidéo, dès le lendemain j'ai acheté un portable à carte prépayée.

J'ai laissé une petite semaine s'écouler et j'ai envoyé un SMS à notre jolie petite vicieuse.

Regarde

« Bonjour Florence tu rêves que deux hommes te fasses découvrir l'amour à trois ?

Bravo tu viens de gagner le droit de réaliser ton fantasme. Cela t'évitera de te faire filmer en train de te masturber devant un film porno dans le salon de tes parents ».

À ce propos, samedi prochain tes parents seront absents.

Tu t'habilleras sexy, soit prête à 19h00. Un taxi passera te prendre et te mènera dans une charmante maison ou nous te retrouverons. 

Lors de cette soirée rien ne te seras imposée, seuls tes désirs seront satisfaits. Je sais que tu en crèves d'envie alors profite de cette opportunité de jouir comme jamais.

Répond par OUI ou par NON à la question suivante :

« seras-tu à l'heure samedi prêtes à satisfaire tes fantasmes et nos désirs »

-- Alors mon petit Daniel prêt pour passer la soirée à baiser notre petite Florence

-- Non mais t'es dingue qu'est-ce que c'est que cette histoire, et les parents et c'est quoi cette maison ce taxi, et quand elle va nous voir réfléchis un peu !

-- Calme-toi j'ai tout prévu Nathalie m'a dit qu'elle devait partir avec son cocu de mari à compter de vendredi et pour huit jours. Un pote taxi passera la prendre pour l'amener au gîte que j'ai loué.

-- Elle ne viendra pas c'est évident t'es cinglé

-- Elle viendra mon ami. Imaginer rencontrer dans une très belle villa deux inconnus cagoulés qui lui propose de réaliser son fantasme le plus intime.

Quelle aventure pour cette petite la bourgeoise à qui il n'arrive jamais rien !

En lisant mon SMS je suis certain qu'elle mouillait sa petite culote. Tiens regarde sa réponse.

« Oui, je serai à l'heure samedi et prête à satisfaire mes fantasmes et vos désirs»

J'étais sans voix à la lecture de ce message :

L'idée qu'une jeune fille soit prête à s'offrir à deux inconnus pour une soirée est déjà et sans nul doute excitante mais là, il s'agissait de Florence !

La fille de Nathalie et de Pascal, celle que j'ai fait danser à la soirée d'anniversaire, celle qui se collait à moi et me faisait fantasmer pendant que mon pote s'envoyait sa mère.

Ses yeux de biche, ses longs cheveux, sa bouche pulpeuse, ses seins opulents au maintien parfait et aux tétons arrogants.

Chacune des images de la vidéo était gravée dans ma mémoire !

Sa chatte soigneusement épilée qu'elle se masturbait en miaulant et son cul !

Mon dieu ce cul cambré et magistralement arrogant avec ces magnifiques fesses galbées qu'elle faisait danser de droite à gauche à chaque pas !

Je n'arrivais pas un instant à imaginer que Marc et moi pouvions un jour jouir de ce trésor et pourtant...

Florence découvre ses deux inconnus

19 h : Verre à la main, j'étais confortablement installé dans l'immense chambre avec vue sur la piscine que Marc avait louée à une heure de route du domicile des parents de Florence.

Ce pervers avait vraiment tout prévu :

Sur l'immense lit rond il avait disposé les deux longues robes de chambre en satin noir ainsi que les cagoules devant couvrir nos têtes ne laissant apparaître que nos yeux, nos nez, nos bouches et nos oreilles.

Les directives étaient claires, pour accueillir Florence nous serons entièrement nus uniquement couvert par notre tunique noire maintenue par sa large ceinture à la taille.

Les rubans de LED bleu qui entouraient la chambre assuraient l'ambiance lumineuse accompagnée de musique classique pour détendre l'atmosphère.

Sur la table du petit salon à côté du lit, quelques gourmandises et alcools divers s'offrait à notre invitée tout comme elle allait s'offrir à nous.

19h40 :

-- Aller Daniel il est temps de nous mettre à poils et de sauter dans nos tenues. N'oublie pas de prendre un léger accent espagnol pour parler pas question laisser une chance de nous reconnaître.

Si j'avais vu Marc sur les vidéos, c'était la première fois que le voyait se déshabiller en direct.

Il venait de quitter son slip pour mettre à l'air ce qu'il appelait « ses instruments ».

Je constatais que son sexe était bien plus épais que le mien mais un peu moins long.

J'enfilai ma tunique de satin en nouant la large ceinture sur mes hanches.

Nous venions de ranger nos affaires dans le dressing lorsqu'une voiture pénétrait dans l'allée qui menait à la villa. Imitant mon ami Marc je positionnais et ajustais ma cagoule afin d'être à l'aise.

Tous deux assis dans le petit salon

Des pas sur le gravier s'approchaient et maintenant la porte de la terrasse s'ouvrait.

Une voix d'homme déclarait

-- C'est ici mademoiselle, on vous attend je vous en prie entrez.

La fille de Nathalie était rayonnante, elle semblait avoir été inspirée par son porno. Talons hauts, bas noir, mini-jupe de cuir rouge et chemisier blanc transparent sans soutien gorge. L'apparence était conforme à l'effet recherché mais la voix était tremblante. C'est Marc qui allait mener le bal avec une point d'accent espagnol.

Telle mère telle fille

-- Bonjour Florence

-- Bonjour messieurs

-- Nous sommes bien d'accord que tu es là de ton plein gré sans aucune contrainte.

-- Oui monsieur.

-- Très bien, détends-toi tout va bien se passer, nous sommes là tous les trois pour prendre du plaisir. Maintenant ôte tes vêtements, garde uniquement tes chaussures tes bas, ta culotte et assieds-toi en face de nous genoux et jambes écartés.

Un peu tremblante elle déboutonnait son chemisier laissant jaillir ses deux seins lourds dont les tétons dressés trahissait déjà son excitation.

C'était autour de la minijupe d'atterrir sur le dernier fauteuil de libre.

Marc décroisait les jambes ayant pour effet d'écarter les pans de sa tunique.

Assise en face de lui les joues rouges de Florence témoignaient à n'en pas douter qu'elle avait entre-aperçu le sexe de mon ami.

Elle saisissait de manière hésitante le verre de Whisky que marc lui tendait en lui déclarant timidement « je ne bois pas d'alcool » Marc répliqua sèchement 

-- C'est ça et tu ne regardes pas de porno, tu ne te masturbes pas « et patati et patata » ! Allez boit, ce soir tout t'es permis ma grande.

Sans broncher elle trempait ses lèvres dans son verre et dégustait les premières gorgées d'alcool. Ses yeux à présent étaient tournés vers moi et inutile de vous dire que mon érection était plus que visible.

Marc très conscient de son trouble et toujours aussi pervers lui posait des questions salaces :

« Tu as déjà sucé, dis-moi t'es encore pucelle de la chatte ou tu t'es déjà faites tringlée, et par-derrière tu t'es déjà faite enculée ma grande... allez répond ».

Au fil des questions, le Whisky aidant, fifille riait et se laissait aller.

Marc et moi avions largement ouverts nos chasubles lui révélant depuis un bon moment nos sexes bandés et nos couilles gonflées.

La petite garce en avait mouillée sa culotte qui dessinait les lèvres charnues de sa longue chatte excitée.

Un peu pompette elle riait et parlait de plus en plus lorsque Marc siffla la fin de la récréation

-- Tu parles trop fillette. Viens jusqu'à nous à genoux et montre-nous que ta bouche est capable de faire autre chose que de rire et de parler. Allez-vite et commence par mon ami.

À l'assaut de la virginité d'une jeune gorge

Installé entre mes cuisses elle écartait les pans de ma tunique sa main droite posée sur mes couilles elle ouvrait sa large bouche pour déposer mon gland sur sa langue. Le fourreau humide de ses lèvres se refermait sur ma verge entamant un lent va et vient.

Nul doute qu'elle n'avait pas menti en répondant qu'elle avait déjà sucé des garçons de son âge.

Mais c'était mal connaître Marc

-- Dis donc Gamine c'est pas de la pipe ça, tu vas me faire le plaisir de rentrer entièrement la queue de mon pote dans ta gorge, ta langue doit pouvoir lui lécher le dessous et l'arrière de ses couilles c'est compris !

Joignant le geste à la parole Marc lui appuyait sur la nuque pour la forcer à faire sa première gorge profonde.

Les gargouillis et les flots de salives qui envahissaient mon pénis témoignaient de la difficulté.

Les ordres de Marc claquaient :

« Allez mon pote debout et baise-moi cette gorge de pucelle à grand coup de reins.

L'effet de ces paroles décuplait mon érection et à chacun de mes aller-retours mon gland progressait dans cette arrière-gorge vierge.

J'atteignais à présent l'objectif et mon gland se dessinait sur le cou de cette jeunette.

Marc sexe dressé à la verticale déclarait en riant :

« quand il y a de la place pour un il y en a pour deux ! »

« Allez ma grande ouvre bien large ta jolie bouche ».

Obéissante comme sa mère, nos verges côte à côte pénétraient à présent la bouche de Florence qui s'adaptait en produisant gémissements et gargouillis à chacune de nos pénétrations.

Nos coups de reins faisaient ballotter ses gros seins, à chaque étirement et pincements que nous faisions subir à ses tétons, sous la douleur, la belle ouvrait un peu plus sa bouche.

Encore quelques allers-retour et d'un commun accord nous décidions de passer à autre chose, lui réservant le plaisir de goutter nos éjaculations pour plus tard.

Sa bouche libérée de nos queues la belle reprenait son souffle et essuyait ses lèvres.

De nouveau Marc lui lançait

« Allez ma grande maintenant quitte nous cette culotte que tu as totalement mouillée ».

Allez savoir pourquoi elle nous tournait le dos se positionnant face au lit pour enlever sa culotte ?

En tout cas, se penchant en avant pour la faire glisser jusqu'à ses talons, son mouvement nous offrait une large vision de son cul dont les fesses s'écartaient laissant apparaître le petit œil brun qu'elle nous avait déclaré totalement vierge.

Une séquence à inscrire dans les annales

Marc était en transe

« Allez, à genoux au bord du lit, la tête à plat sur l'oreiller et les reins cambrés, vite »

La vision était au-delà du rêve, la belle serrait ses genoux et ses larges hanches nous offraient une paire de fesses parfaite, ses reins cambrés au maximum accentuaient la longueur de la fine raie serrée qui dissimulait le petit anus dont nous allions jouir.

« Tu as vraiment un très beau cul ma belle, écarte tes jolies fesses à présent ».

Docilement les deux mains à plat sur ses fesses, de ses longs doigts Florence écartait lentement ses fesses. La longue raie rose et imberbe nous dévoilait à présent le minuscule petit anus brun serré au maximum.

Les mains de marc reposaient sur celle de la jeune beauté. Il léchait à présent copieusement cette chatte et cet anus qui salivé en abondance commençait à frémir.

Il me laissait sa place et je me délectais à mon tour de ce magnifique cul enfonçant le bout de ma langue dans ce petit anneau sombre inexploré jusqu'à ce jour.

Nul doute que la belle appréciait, car ses mains écartaient encore plus ses fesses et elle saluait chacun de nos coups de langue par de longs gémissements et de profonds soupirs.

Pendant que ma langue s'agitait en aspirant et en pénétrant sa virginité anale, Marc lui masturbait de haut en bas sa longue chatte.

J'écartais mon visage de ce cul de rêve pour reprendre mon souffle lorsque mon ami décidait de le pénétrer de son index.

Le doigt s'enfonçait inexorablement jusqu'à la garde, provocant un « ho ha doucement ho » de la belle.

Marc agitait à présent deux doigts en allers-retours dilatant un peu plus les anneaux de ce cul qui s'élargissait au rythme des gémissements de Florence.

Les « ho ha doucement laissait place aux oui, oui » et sa chatte ruisselante s'ouvrait comme un abricot mur.

Marc me murmura à l'oreille « vas-y, dépucelle-moi cet anus tu l'as largement mérité »

Je bandais comme jamais, je pointais mon gland qui suintait en abondance sur le petit œil très légèrement évasé par les doigts de Marc.

D'un petit coup de reins sec je franchissais le premier sphincter déclenchant un râle profond de Florence qui tirait encore plus fermement sur ses fesses pour ouvrir plus grand son cul à ma pénétration.

Mon gland était à présent dans un véritable étau, la chaleur de l'étroit conduit était intense, par petits coups successifs ma queue progressait.

À mi-parcours Florence était prise de soubresauts convulsifs, elle creusait encore plus ses reins et chose inimaginable, elle accompagnait mes aller-retours s'offrant totalement au plaisir de la sodomie qu'elle découvrait pour la première fois.

Mes mains sur ses hanches dans un lent et long dernier coup de reins, je l'aidais à s'empaler à fond sur ma verge.

Mes couilles à présents touchaient les lèvres de sa chatte qui clairement projetait de petite giclée de cyprine.

Marc ne résistait pas un instant lançant à la belle :

« Regardez-moi mes amis, je crois bien que notre petite pute est en train de jouir par le cul. »

« Allez ma belle ouvre bien ton anus, mon pote va t'offrir ta première éjaculation anale »

C'en était trop je ne pouvais me retenir plus longtemps et je giclais à quatre reprise au plus profond de ce cul dont j'avais tant fait rêver.

Mon éjaculation déclenchait un véritable orgasme et Florence criait « oui, oui, ho c'est bon »

Je libérais son anus qui frémissait encore.

Marc appuyait de sa main gauche sur les reins de la belle et de sa main droite guidait son sexe vers sa cible.

Comme je l'avais constaté, le diamètre de son sexe était bien plus imposant que le mien.

Il bandait monstrueusement et son gland violacé écartait à présent l'anneau que j'avais timidement ouvert.

La réaction de Florence fut immédiate « Ouah tu es trop gros »

« Allons bon ne t'inquiètes pas ma belle, quand le gland est passé tout va bien »

En un seul et unique coup de reins mon pervers de copain venait d'enculer la belle jusqu'à la garde lui arrachant un cri étouffé par l'oreiller qu'elle venait de mordre à pleines dents.

Comme un furieux à présent il la sodomisait à une vitesse folle, ses couilles claquaient violemment sa chatte à chaque pénétration.

A la vue de ce spectacle dantesque je rebandais, excité autant par les gémissements de la belle et par les mots que balançait mon copain

« Alors ma belle, c'est autre chose que de mater un porno hein, tu rêvais de te faire baiser par deux mecs le moment est venu »

Une double pénétration surprise

Je m'allongeais sur le lit et Marc guidait alors la belle pour la positionner à cheval sur moi. Je m'apprêtais à investir sa chatte lorsque mon pote se mit à hurler :

« Mais non du con pas là, vient avec moi dans son cul crois-moi il est suffisamment large pour accueillir nos deux bites »

J'étais comme tétanisé, je voyais les seins de Florence s'agiter au-dessus de moi, je serrai mes bras sur ses reins et j'étais stupéfait de la voir se cabrer et me déclarer

« viens oui encule-moi comme tout à l'heure »

Ma queue se serrait contre celle de Marc et à l'unisson à présent nous l'enculions de toutes nos forces.

Le buste relevé, elle me dominait ses mains écartait sa chatte, elle titillait son clito et lorsque nous étions au fond de son cul, sa chatte devenait une véritable fontaine qui ruisselait sur mon ventre.

La chambre était envahie d'odeurs de sexe, de nos gémissements, nous glissions à présent sans forcer dans son anus.

Marc m'obligeait à intervalle régulier à libérer totalement son cul pour constater son ouverture,

il ponctuait cet instant d'un :

« Ouah mon ami, si tu voyais ça, son cul est à présent plus ouvert que l'anus de la star du porno... Putain on a fait fort »

Nous l'enculions à nouveau et incroyable les mains appuyées sur mon torse c'est Florence elle-même qui s'empalait sur nos verges elle haletait en gémissant « oui c'est bon, j'adore ça allez, venez, encore oui, enculez-moi »

Galvanisés Marc et moi rendions les armes en offrant une abondante éjaculation anale à cette jeune fille manifestement avide de sodomie.

Après ce déchaînement de sexe et une bonne dizaine de minutes de repos en silence sur cet immense lit, Marc invita Florence à aller prendre une douche.

Lorsqu'elle réapparut, il lui ordonna de remettre ses vêtements, l'informant qu'il avait prévenu le taxi qui ne tarderait pas à venir la chercher pour la ramener à son domicile.

Il ajoutait

« Côté sexe ma belle tu es prometteuse » ce à quoi elle répondit

« Si vous êtes d'accord nous pourrions peut-être nous revoir non ? Vous avez mon numéro »

Nous restions sans voix au moment où elle disparaissait en compagnie du chauffeur de taxi.

Marc un verre à la main me dit

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