Clémence, une jeune Aristo (01)

BÊTA PUBLIQUE

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« Putain d'épée » s'exclame-t-elle donc, rendant fier Pierre Henry. Et elle ajoute d'un ton très dur à l'adresse d'Ophélie « Ne t'avise surtout pas de le mordre ou je te le ferais regretter. ». La belle brune est déconfite, elle n'ose pas penser à ce qui va suivre. Elle se demande d'ailleurs, ce qu'elle a fait pour subir tous ces outrages.

Pour continuer dans l'ignominie, elle entend Lucifer l'avilir encore davantage.

« Tu vas être une gentille fifille! tu vas bien t'occuper de son sucre d'orge!! Tu as beaucoup de chance, il y en a beaucoup qui voudraient être à ta place! A mon avis tu vas te régaler. Une prof qui a la langue si bien pendue doit être une experte! » dit-elle alors que flattée par les paroles de Clémence, Pierre henry pousse son gland entre les lèvres d'Ophélie.

Toute excitée par le spectacle et par la suite à venir, Clémence avance sa main vers la vulve ouverte et sans préambule insère deux doigts profondément. Ophélie sursaute sous l'invasion directe. Pierre Henry resserre alors sa prise à deux mains autour de la figure de celle-ci, l'empêchant de bouger, puis fléchit les jambes en même temps qu'il abaisse la tête et lorsqu'il trouve l'alignement parfait, pousse son gland au fond de la bouche. Pendant quelque temps il rentre et sort à un rythme régulier, faisant fortement baver Ophélie. Et puis, il devient impérieux. Il a besoin de forcer la glotte. Il incline alors plus fortement la gorge, tient fermement sa tête et pousse par saccade, quand tout à coup le passage s'ouvre et son gland rentre dans le gosier. Ophélie tremble, suffoque. Elle n'arrive pas à penser. La seule chose qui l'obsède est comment va-t-elle faire pour respirer. « Je vais mourir étouffé. » pense-t-elle alors que Pierre Henry se décide à se retirer.

Il réitère plusieurs fois cette manœuvre et reste immobile plus longtemps à chaque essai. Il grogne de satisfaction. Par contre, il lui reste encore presque la moitié de sa bite à l'extérieur et il lui tarde de combler cette lacune. Il est tellement excité qu'il sent qu'il ne tiendra plus très longtemps. Cependant comme beaucoup de pré sperme s'écoule de son gland, le passage devient visqueux et cela va l'aider pour mettre fin à son attente. D'une main il crochète les cheveux et tient la tête inclinée, quand de l'autre il s'accroche à l'aisselle de la prof. Ensuite il colle son gland à la luette, la titille plusieurs fois pour l'obliger à lui donner une ouverture, s'insère légèrement. Ophélie plus calme en soufflant par le nez, semble se préparer à l'inévitable. Se doutant que la douleur sera plus forte si elle ne fait rien, sa fierté mise de côté, ou plutôt l'instinct de survie étant le plus fort, elle s'oblige à se détendre et essaye de ne penser à rien. Seulement la réalité est pire que ce à quoi elle s'est préparée. D'une poussée brutal le gland passe la barrière du larynx et s'enfonce directement de plusieurs centimètres dans l'œsophage. Ophélie panique. Pierre Henry est lui, sur un nuage.

« Oh putain, que c'est bon » crie-t-il, alors qu'Ophélie blêmit de peur. Tout le monde a le regard tourné vers la gorge déformée d'Ophélie. Même clémence, limant consciencieusement la chatte de la prof, relève la tête pour regarder jusqu'où la bite est enfoncée. Mécaniquement elle continue à s'occuper d'Ophélie cependant elle n'est plus aussi concentrée sur ce qu'elle fait, ses yeux fixent la progression du gland. Et ce qu'elle voit est époustouflant. Pierre Henry ne quitte plus la gorge, mais se branle littéralement dedans puis enfonce les derniers centimètres. Le regard fou, Ophélie griffe les fesses de son agresseur. Or celui-ci est bien trop préoccupé à vouloir soulager ses couilles qu'il ne s'occupe pas de l'affolement d'Ophélie. Il se retire de trois ou quatre centimètres et s'enfonce toujours plus loin, reproduit le va et vient plusieurs fois en répétant la manœuvre jusqu'à ce qu'il soit au bord du gouffre. Puis sentant la sève monter, pressé de se vider, il s'allonge en urgence sur la prof, attrape ses hanches rapidement et s'enfonce d'un coup de rein féroce. Il gueule alors comme un damné en lui tapissant l'œsophage. Ophélie veut qu'il se retire. En panique extrême, elle l'implore sans qu'il puisse la voir, quand enfin il s'extrait après ce moment fou.

Il n'a jamais connu ce plaisir.

Ophélie croit souffler avec sa gorge dégagée mais elle n'est pas sortie d'affaire. En effet Clémence, grisée par le spectacle délirant, décide de changer de tactique. Elle tire Ophélie jusqu'à ce que ses fesses soient au bord du matelas et relève ses jambes à l'équerre. Les deux garçons les maintiennent droites alors qu'Ophélie se sent encore humiliée par la position. Il y a bien longtemps qu'elle ne peut plus cacher son corps, mais être exhibée vulgairement est autre chose. Dégoutée, elle incline la tête sur le côté. Elle n'a pas du tout envie de regarder ce que fait cette fille. Mais elle est très vite rappelée à l'ordre. Elle n'a pas vu Clémence se pencher sur elle jusqu'à atteindre ses seins, puis les claquer, Ophélie crie, se débat, la douleur est innommable.

« Alors j'ai ton attention la suceuse »! dit Clémence. Non seulement elle est heureuse de l'effet de surprise, mais elle découvre de surcroit un sentiment tout à fait inédit ; Le plaisir de maltraiter, de dominer. Et mieux encore, elle adore l'entendre gueuler.

« Eh les gars... j'aimerais vérifier l'état de cette femelle.... Alors si vous pouviez éviter qu'elle ne bouge trop, je pourrais l'inspecter tranquillement » précise-t-elle agacée. Sa voix est toujours ferme aussi Nicolas et julien affirment leur maintien des jambes droites tandis que Geoffrey et Pierre Henry tiennent fermement les bras écartés.

« Et remettez lui son bâillon... elle me fait mal aux oreilles » ajoute-t-elle ironique.

« Oh nom de dieu elle mouille grave... et elle n'est plus vierge ça je peux vous le dire les gars... c'est même une gourmande » insiste t'elle amusée.

« Toi je vais te faire jouir comme une folle... mais à ma manière » affirme-t-elle en regardant Ophélie. Celle-ci la fixe, effrayée, inquiète, puis ferme les yeux, totalement déboussolée.

Sans préambule Clémence claque durement de plusieurs aller et retour la poitrine. Ophélie hurle. Les larmes coulent sans discontinuer, la douleur est insupportable.

« Je ne te le demanderais plus!.... Je veux voir ton regard, c'est très impoli de ne pas regarder les personnes en face » dit-elle moqueuse.

La blonde estime que la prof peut supporter bien plus, mais elle se réserve pour plus tard. Elle sait exactement où elle veut emmener sa Prof.

« Je vais te montrer qui commande » ajoute-t-elle, surprise elle-même de ses paroles. Elle ne savait pas qu'elle avait ce tempérament caché, c'est une révélation.

Clémence attrape ensuite les tétons, les suces longuement, les étires, les pinces, Ophélie crie de plus bel. La main droite descend sur la fente, deux doigts effleurent la toison, fourragent celle-ci, détoure les grandes lèvres, investissent l'entrée poisseuse, remonte vers le clitoris qui ne cesse de grossir, le fait rouler sous son doigt, puis repart vers l'orée du vagin, s'infiltre en elle, masse, fouille. Ophélie change alors de comportement. À son corps défendant, elle oublie la douleur de sa poitrine, ses tétons pointent insolemment, les prémices du plaisir l'envahit. Elle ne peut s'empêcher de gémir puis de feuler alors que Clémence s'acharne de plus en plus vite entre les cuisses.

« Elle est belle, cette garce! » pense Clémence. Elle sent trembler les jambes alors que le bassin se colle maintenant vers ses doigts qui la fouillent. Le changement est notoire. Alanguie, écartée, offerte, Ophélie commence à s'abandonner.

« oh.... Qu'est-ce qu'on a là... une salope qui commence à prendre du plaisir » s'émerveille la grande.

Encouragée, électrisée, Clémence, pousse ses doigts plus loin, augmente le rythme des va et vient dans la vulve suintante, essayant de soutenir le rythme de la prof qui agite les reins de façon frénétique. C'est elle qui mène la danse, possédée par une faim insatiable qui la fait délirer. Clémence est aux anges. Jamais elle n'a éprouvé un tel sentiment de puissance, une telle ascendance. Elle est fascinée par la libido de sa prof mais ne veux pas encore lui donner la libération qu'elle cherche à obtenir. Aussi elle cesse de fouiller Ophélie. Elle adorerait la voire supplier, la pousser aux limites du supportable, la rendre folle.

Le besoin de contrôle refait surface.

« Écarte tes cuisses ma belle salope » lui ordonne Clémence en claquant sèchement la vulve.

Ophélie est sidérée par cette frappe sèche, mais en même temps elle l'embrase, elle mouille encore plus. Sans résistance elle ouvre son compas pour encourager la main. Mais ce n'est pas dans les projets de Clémence de la délivrer.

« Enlève lui son bâillon, elle ne va plus gueuler » affirme t'elle

« N'est-ce pas ma belle salope... tu veux jouir maintenant?» demande-t-elle à Ophélie

« Dis-le-nous que tu veux jouir... fais pas ta mijaurée...alors tu me réponds » lui dit-elle en la menaçant de lui claquer la poitrine »

« Ouuuiii » Murmure Ophélie honteuse.

« On le voit que tu aimes le sexe... ne t'inquiète pas... je vais te combler »

Elle plaque ensuite sa bouche sur l'abricot, Ophélie tremble de plaisir. La langue entre en action. Elle lape, devient curieuse, taquine les lèvres, s'enfonce dans le méat juteux et aspire tout ce qui coule.

« Oh mais tu jappe comme une chienne!!!... Tu as tes chaleurs? »

Ophélie gémit en continue, or ces doux bruits plaintifs ne font que griser Clémence, elle se déchaine. Sans aucun répit la langue alterne maintenant entre la rosette qu'elle apprivoise, la vulve qu'elle fouille puis, colle sa bouche sur le bouton d'amour, le titille, l'aspire puis le mordille.

La réaction est immédiate. Ophélie cri sur un premier spasme, puis sur un deuxième. Clémence relève la tête « On dirait que tu aimes que je te langue... t'es une belle garce en fait » Clémence la lèche doucement. Elle la torture, mais elle a maintenant envie de l'humilier davantage. « Tu veux jouir ma petite putain lubrique... je le vois... tu es insatiable » dit-elle perverse

« Oooohhhh »

« Ce n'est pas vrai que tu as envie de jouir? N'est-ce pas ma fille! » relance-t-elle avec ascendance, tout en titillant le clitoris.

« Aaaaaaaaaahhhh » Ophélie brame à tue-tête. Jamais au grand jamais on ne lui avait réservé un tel traitement, elle ne maitrise plus son corps. Son bassin fait des mouvements de plus en plus amples pour accentuer le contact buccal. Elle sent l'excitation monter, et monter encore. Elle ne peut rien faire pour endiguer l'orgasme qui se prépare.

« Alors... tu veux jouir ou dois-je te laisser mariner... j'ai tout mon temps » Elle continue toujours à lécher lentement

« Aaaaaaaaaahhhh»

« Comme tu ne dis rien... » Clémence continue toujours lentement et décide d'utiliser des mots vulgaires plus lubriques les uns que les autres. Elle sait que ces mots stimulent l'imagination, elle est presque persuadée que la prof ne pourra résister,

« Aaaaaaaaaaahhhhhhhh »

Clémence accélère son mouvement

« Oui... s'il te plait! » soupire Ophélie.

« Ah quand même. Tu te décides. » Clémence accélère son mouvement puis diminue en demandant « Ce sont les chiennes qui aiment se faire lécher la moule! »

« Ah »

« Dis-moi que tu es une chienne et je te ferais venir... Je te ferais jouir » Clémence accélère son mouvement.

« Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhh » Ophélie, yeux révulsés, crie à tue-tête. Mais Clémence ne lâche rien. Comme elle n'a pas de réponse elle recommence à masser avec lenteur la capuche du bourgeon. C'est une vraie torture pour Ophélie qui balance la tête de gauche à droite, la bouche ouverte avec la boule au creux du ventre qui ne veux pas sortir.

« Alors ma fifille, dis-moi que tu es une bonne petite chienne... allez lâche toi... je sais que tu veux me l'avouer... une petite chienne en chaleur » insiste Clémence machiavélique. Elle sait qu'elle va finir par céder, ce n'est qu'une question de secondes. La blonde stop son mouvement. « Alors » la relance t'elle en effleurant d'un doigt son point G.

Ophélie n'est plus dans son état normal, le corps inondé, le souffle court, la bouche grande ouverte sur un cri qui ne veut pas venir, complétement sous emprise du plaisir qui lui obstrue toute pensée rationnelle, elle murmure.

« Je suis uuuuunnne chienne » cède-t-elle à bout, mortifiée par ses paroles.

Clémence pose alors la langue bien à plat sur la chatte brulante et l'enfoui ensuite dans le tunnel trempé pour la retirer immédiatement lorsqu'elle voit qu'Ophélie sur le point d'exploser.

« rrrrrrrrrrrrrrrrrrr » se plaint elle

« Oh la chienne se rebelle... Je vais te faire jouir... Mais j'attends que tu me dises clairement que tu es Ma gentille petite chienne » lui dit-elle sadique en trempant un doigt.

« Aaaaahhhh... Je suis ta gentiiiillle petite chienne » dit-elle déconfite.

« Super... Je le savais que tu es petite chienne obéissante » lui dit-elle en remuant légèrement son doigt. « Va me chercher le collier Belzebuth... Elle a bien mérité son cadeau... » Dit-elle devant le regard ahuri d'Ophélie. « Ne le sert pas trop... et accroche la laisse... on ne voudrait pas la perdre... une chienne ne peut pas se promener sans laisse » ajoute-t-elle. « Fais nous quelques photo Osiris, notre nouvelle petite chienne sera heureuse de se voir. » dit enfin Lucifer.

Ophélie est ahurie, mais ne se débat pas.

Et sur ces paroles, clémence se penche, mange goulument les lèvres, aspire le jus qui s'écoule et ensuite pose sa bouche sur le clitoris, le pince légèrement et le tete, puis grisée par les proportions obtenues qu'elle arrive à provoquer, l'aspire de toute ses forces.

Le clitoris est si fortement sollicité qu'Ophélie se débat violemment, forçant les étudiants à la maintenir plus fermement. Elle sent son jus couler telle une fontaine, elle gémit, pousse des hurlements. La pression sur son bouton est insoutenable.

Quand les cris et les râles deviennent ininterrompus, insensible à ses suppliques, suçant toujours comme une forcenée, Clémence plonge deux doigts dans son trou, active le va-et-vient en ne lui laissant aucun répit et lorsqu'elle aperçoit qu'Ophélie se tend, qu'elle est prête, vicieuse, la grande ne peut résister à lui inflger plus de souffrance dans le plaisir, diabolique elle lui mord le clitoris.

La réaction est immédiate. Ophélie se tétanise, les battements de son cœur s'accélère, son souffle s'arrête, et de sa bouche ouverte sort un cri a la limite de lui déchirer les cordes vocales, alors qu'elle est éblouie par un orgasme délirant.

Les garçons la lâche alors, la laissant se rouler sur le lit. Recentrée sur elle, en position de fœtus, Ophélie est parcourue de spasmes.

Clémence attend que le corps d'Ophélie se calme pour s'extraire. Elle observe les lèvres gorgées de sang, le gros bouton turgescent, une image obscène mais résolument lubrique.

A la fois médusée par la puissance du plaisir, et ce qu'elle vient d'imposer à la prof, Clémence entrevoit tout ce qu'elle pourrait lui ordonner. Au départ ce n'était qu'un jeu dans l'attente de la punition, mais ce soir Clémence se découvre. Cette femme la rend folle, elle la veut, totalement, entièrement, rien qu'à elle.

Elle a envie, de la posséder. Ce qui est une idée au départ devient même une exigence. Quand Anne Sophie lui a parlé de sa vengeance et ensuite de la planification, elle était à mille lieux de d'imaginer le plaisir qu'elle en tirerait. Elle n'avait pas pensé qu'elle serait autant impliquée, autant actrice. Mais o grand jamais elle ne pourrait revenir en arrière. Avoir ce pouvoir sur ses collègues ne l'a jamais effleuré et maintenant dominer une femme, se servir d'elle pour son plaisir, découvrir qu'elle aimerait asservir cette personne, l'avilir et surtout la posséder, corps et âme, l'excite au plus haut point.

Maintenant elle comprend mieux Anne-Sophie, le réel pouvoir. « Et si je pouvais l'avoir rien qu'à moi, une belle trentenaire dans la pleine puissance de sa féminité, une femme instruite, autonome, une femme libre de pensée et d'action, une femme de caractère que je devrais corrompre, briser puis, former, dresser et la transformer en esclave sexuelle que j'utiliserais à discrétion... oh oui ce serait super. » pense t'elle tourneboulée par ses pensées.

« Mais pour l'instant voyons comment va se comporter notre gentille prof » se dit-elle. En souriant elle pense à son prénom qui ne reflète pas tout à fait sa personnalité.

6) Délire pervers

15 mn plus tard, Ophélie émerge alors que Clémence la secoue.

« On se réveille ma petite chienne. » lui susurre Clémence à l'oreille. « On a encore une surprise pour toi! » ironise-t-elle. « Non pas comme çà.... Mets toi à genou et regarde moi. »

Amorphe, fatiguée, Ophélie ne se rebelle pas. Elle fait juste ce qu'on lui demande. Tout juste a-t-elle une réaction quand elle sent la chaine bouger et se stabiliser entre ses seins. Elle se rappelle alors qu'un immonde collier lui serre le cou. Plus vite ils la laisseront partir et plus vite elle sera dans son lit sous la couverture. Elle est lasse.

Comme une poupée, étourdie, elle se laisse faire, ne s'étonne pas lorsqu'on lui revêt une perruque de cheveux blonds coupée au carré, des petites sandalettes, une grande cape gothique à capuche, et qu'on lui repasse le bâillon boule avec par-dessus son visage un masque neutre, tout blanc.

« Lève-toi petite chienne » ordonne Clémence.

Ce sobriquet la dérange, mais elle tellement fatiguée qu'elle n'y prête pas attention. Dans une heure elle sera partie... c'est tout ce qui compte. Par contre une pointe d'angoisse l'éteint lorsque les deux garçons lui passent les mains dans le dos et la menotte.

« On y va... tu me suis petite chienne » dit ensuite Clémence en se dirigeant vers la porte dérobée de sa chambre. Elles prennent ensuite un escalier étroit qui les mènent au sous-sol. Ophélie est un peu déroutée.

Au bas des marches, un des garçons derrière elle, lui met des bouchons dans les oreilles. Ophélie est conduite ensuite dans une pièce sombre, éclairée par seulement trois bougies. Il lui semble qu'il fait chaud, qu'il y a un fond musical et par contre, elle est certaine de sentir une forte odeur de cannabis.

Elle voit contre le mur, cinq personnes installées sur des tabourets. Ils sont tous revêtu d'une longue cape blanche et d'un masque. Sur un trône en face d'eux se trouve Anne-Sophie avec son masque d'Isis.

C'est Clémence qui la conduit au centre de la pièce, puis s'assoit sur un tabouret à côté d'Anne-Sophie.

« Bon tout le monde est présent. » dit-elle avec emphase.

Ophélie se demande ce qu'elle fait là encore plus inquiète à la vue d'une pièce qui ressemble à une cave avec son plafond vouté, et plus inquiétant, les monstres autour d'elle avec leurs masques, et cette personne sur un trône qui la désigne du doigt. Cependant, anesthésiée, tenant à peine sur ses jambes, elle n'a plus la force ni la volonté de s'insurger, de réagir, elle attend son sort, flottant sur un nuage.

« Lève-toi Horus et rejoint nous ici. » déclare-t-elle « vous mes amis, préparez la garce » ordonne-t-elle.

Florian regarde les quatre garçons s'activer autour de la blonde.

Ils savent exactement quoi faire. Pendant que Pierre Henry retourne Ophélie et la pousse à s'agenouiller sur un coussin, la penche au-dessus du repose pied matelassé que Geoffrey accroche au sol, Florian et Julien lui écarte les cuisses et immobilisent les mollets par des colliers fixés dans le béton. Pendant ce temps-là, Nicolas libère les bras attachés dans le dos pour menotter chaque poignet devant elle, au sol. Pierre Henry vérifie ensuite qu'Ophélie est bien positionnée et fait un signe à Anne-Sophie.

« A toi de jouer mon cher Horus. C'est le moment de nous montrer que tu es digne de nous rejoindre. Pour cela il te faudra corriger cette fille pour le mal qu'elle nous a fait. »