Lucia, Esclave Entrée

J'ai toujours rêvé de dressé une esclave sexuelle, prêt à servir tous mes désires et mes envies alors quand j'ai rencontré Lucia sur une certaine application spécialisé, ça a marché. Je me suis dit c'est avec elle que je réaliserai ce fantasme.

Lucia était une femme blonde, 1m60, bourgeoise, inscrite sur ce site par des amies pour lui faire une blague. On a matché, un peu parlé et très vite j'ai compris que secrètement et sûrement honteusement, elle rêvait de vivre pleinement une expérience sexuelle dans sa vie sans exaltation. Alors j'ai commencé à expliquer mon fantasme, au début réticente et gênée, elle a voulu tenter l'expérience. Un week-end puis on verra, a-t-on-dit.

« soit à 18h30 en bas de chez moi. », une fois ce texto envoyé, la balle était dans son camps. Viendrait-t-elle?

18h25.

J'attend en regardant ma montre, sera-t-elle présente, acceptera-t-elle le rôle?

18h30. Je descend les marches et j'ouvre la porte, elle est bien là, je n'en crois pas mes yeux. Habillée d'un trench couleur sable, de bottes noires, elle est là. « Bonsoir » dis-t-elle gênée et mouillée par la pluie qui tombe doucement.

« Entre et monte, c'est la 1ère porte en haut ». Je la laisse monter devant moi pour la regarder de dos, ses cheveux blonds tombent sur ses épaules, son trench ne laisse rien paraitre mais je sais que dessous se cachent de superbes fesses.

Elle rentre dans mon appartement et pose son sac, gênée. « Voilà je suis venue parce... » je la coupe en posant ma main sur sa bouche « tout ce qui m'importe c'est que tu sois prête pour ce week-end, tu peux toujours reculer mais ça m'embêterai ». « Non je le veux ».

Je m'approche alors d'elle qui recule dans un pas hésitant. Je l'arrête en la maintenant par les épaules. Je commence à déboutonner son trench pour le faire tomber au sol. Elle est habillée d'un petit chemisier et une jupe noire.

« Déshabille toi. » dis-je d'un ton sec.

Elle commença d'une main hésitant à déboutonner son chemisier, puis le retira. Son soutien-gorge blanc laissait deviner ses tétons en transparence. Elle baissa sa jupe et retira ses talons. Elle cacha maladroitement sa culotte en dentelle blanche.

x« J'ai dit toute nue ». Elle descendit alors sa culotte et retira son soutien-gorge qui tomba au sol. Elle plaça une main devant son sexe et son bras devant ses seins que je retira immédiatement pour lui plaquer contre son corps. « Pourquoi te cache-tu? Ton corps m'appartient ce week-end ». « Oui mai...maitre ». « C'est bien, tu es une bonne fille, maintenant laisse moi te regarder ».

Je fis un pas en arrière pour la dévorer du regard. J'avais devant moi, une jeune femme de 24 ans, nue toute à moi. Ses seins étaient parfaits, pas trop gros, pas trop petits, ferme mais tombant comme deux petits poires. Ses hanches laissent deviner des fesses parfaites et son sexe avec ses poils mal taillés se dressaient devant moi. Je m'approcha et pris son sein dans un main, je tritura son téton et elle gémit lorsque je le tordis. Puis je la fit tourner pour voir ses fesses.

Je la fit se baisser et j'admira ses fesses, fermes et rondes. Je les écarta et regarda son anus, je plaça un doigt entre ses fesses qu'elle contracta dans un mouvement de surprise. J'aggripa ses cheveux et tira sa tête vers mois, elle gémit de surprise. « Hum je vais me régaler avec toi, tu es à moi. Maintenant viens dans le salon, on va débuter ton entrainement ». Elle me suivi et je me retourna brutalement « A quatre pattes quand tu es en ma présence ». Elle obéit, se mit à quatre pattes et marcha devant moi, je matais ses fesses qui se balançaient de droite à gauche, je m'imaginait déja tout ce que j'allais lui faire.

« Bien quand tu es en ma présence et que tu attends, je veux que tu te mettes à genoux et que tu écartes les cuisses que je puisse voir ton sexe. » Elle s'executa « Oui maitre ».

Je sortie mon sexe et m'installa sur le canapé, elle se rapprocha « Suce moi ».

Elle prit mon sexe entre ses mains, hésita avant de le mettre à la bouche et commença a me sucer. Elle pose ses lèvres sur le bout de mon gland et fit des va-et-viens.

« En entier chienne tu crois que tu es quoi ici? Juste un trou ». J'appuia sa tête qui s'embrocha sur mon sexe. Elle eu un hoquet de surprise et commença à baver. Elle engloutissait mon sexe dans sa bouche et je relâcha la pression. Elle commença à masser mes couilles avec ses mains de soumise.

« A quatre pattes, tu m'excites trop salope ». Elle recula et se mit à quatre pattes face à moi, je glissa mon sexe dans entre ses fesses, elle prit peur et couina « nnoo... »

Mes mains s'écraserent contre ses fesses, je la fessa encore et encore puis je tira ses cheveux en arrière « Je vais pas te prendre par le cul cette fois mais t'inquiète pas ». Sa chatte était toute mouillée lors que je la pénètra, toujours en tirant ses cheveux je la percutait violemment en faisant des vas-et viens. Elle commença à gémir et couiner comme un petit animal « Bonne chienne ».

Je sentais mon sexe taper contre le fond de son vagin, son trou qui m'appartenant maintenant. Je me retira et me plaça devant son visage, puis toujours en tenant ses cheveux en queue de cheval, j'enfonca la mienne dans sa bouche et gicla mon sperme au fond de sa gorge. « Garde le, je veux rien par terre, ouvre la bouche et montre moi ».

Le dégout se lisait sur son visage, cette bourgeoise trop éduquée avait jamais pris dans la bouche c'était sur. Elle me regarda une larme à l'oeil et ouvrit sa bouche, du sperme coulait dans le coin de ses lèvres. « Tu sais ce que tu as faire maintenant ». Elle avala. La détresse dans ses yeux était comme un deuxième orgasme.

« Merci maitre, j'ai la chatte toute mouillée, baisez moi pour que je jouisse s'il vous plait ». Je la gifla « Je m'en fou de ta chatte, je décide de tes orgasmes et tu le mérite pas la ». Son visage était marqué de ma main. Je tira son sein et commença à frotter sa chatte contre mon pied, sa mouille tombait sur celui-ci. « Lèche ». Elle se remit à quatre pattes et sans rater, comme une bonne esclave qu'elle allait devenir, se mit à lécher son propre jus.