Clémence, une jeune Aristo (01)

BÊTA PUBLIQUE

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« En plus elle coule comme une fontaine » rétorque Nicolas.

« FAIT la jouir... qu'on l'entende miauler... Oui j'ai tellement envie de l'entendre gueuler » crie Pierre Henry.

Julien et Pierre Henry projettent sur leurs copains tous leurs fantasmes. Ils les harangues, les incites à se faire sucer, à la baiser. Ils voient la grande telle une femelle disposée à satisfaire leurs envies.

Il n'en faut pas plus pour inciter les deux comparses à monter encore les enchères d'autant plus qu'ils bandent comme des boucs en rut. Ils sont obnubilés par le chèvre à côté d'eux et ne se demandent aucunement si, cette belle brune est d'accord pour servir d'exutoire, être l'objet de leur plaisir. Les quatre étudiants sont pris de frénésie sexuelle. Ils sont arrivés au stade ou leur désir est ingérable. Leur comportement est ceux de males dictés par un instinct primitif et sauvage, au mépris de toutes convenances ainsi que des conséquences. Pour euxune femme sociable, agréable et joyeuse qui ne dit pas non aux avances, est forcément une garce qui veut jouer, se faire baiser. Il n'y a aucun doute dans leur esprit, les mondanités sont passées depuis longtemps. Ils ont l'autorisation tacite de lui faire subir tous les outrages. C'est une évidence!

« Uuuuuuunnnnggghhh...ooooh... ooooh....aaaaaaaaaaaaaah » les gémissements de la prof se meuvent en grondements sauvages puis en cris assourdis, des cris toujours plus forts, toujours plus aiguë. Parallèlement son corps s'agite en tous sens, convulse, ses yeux se retournent. Et puis elle se détend, amorphe telle une poupée de chiffon.

« Regardez moi ça comme elle prend son pied... allez fais toi sucer maintenant Geoffrey...Je pari qu'elle est une bonne tailleuse de pipe... » relance Julien.

« OUI c'est certain.... Qu'est-ce qu'elle est belle quand elle jouit... oh putain comme je vais la défoncer... elle m'excite grave cette garce » Renchérit Pierre Henry

Aussi d'une main habile, Geoffrey descend son pantalon se décale, empoigne sans douceur les cheveux de la prof et attire sa figure vers sa queue dressée.

« rrroooohh » maugrée Ophélie à peine sorti de sa jouissance.

« Quoi ma belle, ne me dis pas que tu n'aimes pas sucer une queue. » ironise Pierre-Henry. « Ne fait pas ta mijaurée » pavoise-t-il. « Et puis après, on te récompensera... ne t'inquiète pas on va bien te baiser... je te ferais même le plaisir de t'enculer... je suis sûr que tu adores la sodomie. »

Toutes les paroles qu'elle entend lui parviennent comme une suite de mots sans vraiment de sens, concentrée qu'elle est sur le besoin de son ventre. Par contre son cerveau analyse tout et indépendamment de sa volonté transforme les propos salaces en aiguillon qui viennent exciter son corps.

Pendant ce temps Nicolas manœuvre Ophélie afin qu'elle soit couchée sur le côté, laisse une jambe pliée sur le canapé et relève l'autre. Dans cette position, la brune offre une vue de sa chatte ouverte aux regards lubriques des deux amis.

« Oh putain cette moule! Et quel cul nom de dieu!... Met lui un doigt... je parie qu'elle n'attend que cela. »

« rrroooohh » maugrée Ophélie bâillonnée par le manche. La prof navigue en pleine brume. Elle n'est pas en capacité d'entendre, de comprendre ce qui se passe, par contre son corps réagit à l'intrusion, son petit trou ne connait pas ce genre de jeu.

Même avec cette ambiance de luxure et de désir exacerbé, Nicolas est encore délicat. Il enduit ses doigts des secrétions de la prof et masse la rondelle dégagée. Plusieurs fois il imbibe ses doigts entre les lèvres grasses et masse doucement l'œillet réactif. Il est fasciné par cet œil qui bat des cils.

« Oooooooh » se plaint la belle tout en tortillant le bassin pour se dégager.

Elle n'a cependant aucune chance de se libérer des doigts inquisiteurs. Nicolas la tient solidement avec son bras gauche enroulé autour de sa cuisse. Il resserre même sa prise au fur et à mesure que l'anneau se contracte. D'ailleurs son comportement change progressivement. Pour ce jeune homme empâté, mal dans sa peau, humilier celle qui n'a jamais fait attention à lui, est une jouissance nouvelle et incomparable. L'étudiant le plus gentil et timide du groupe découvre un plaisir insoupçonné à toucher l'anus réfractaire, et lorsqu'il entend les paroles de Pierre Henry ; « cette garce est comme toutes les autres, elle doit adorer se faire remplir le cul », une autorisation tacite s'insinue dans son esprit, les verrous sautent. Sans sommation il appui fortement son annulaire sur le sphincter et le rentre entièrement.

« Aaaaaarrrrrrrggghhhh » rugit la brune. L'agression de son petit trou la tétanise. En réaction elle relève la tête avec une force surprenante.

Geoffrey est surpris. Néanmoins, il réagit rapidement en resserrant sa prise, enfournant à nouveau sa queue. Ophélie a quelques instants de répit, mais rapidement Nicolas active son doigt boudiné tandis que Geoffrey recommence à baiser sa bouche.

Julien et Pierre Henry sont fascinés par le tableau hautement excitant, le spectacle d'une femme prise en sandwich, qui plus est une prof, leur prof investie par les deux côtés. Ils se paluchent à un rythme frénétique.

« Alors elle est serrée!!! » demande Julien hypnotisé.

« Oh oui » répond Nicolas, alors que son gros doigt coulisse rapidement dans le tunnel. Il est sur un nuage, sur une autre planète. Toute son attention est retenue par son doigt, son doigt qui glisse et lime sans relâche, son doigt qui force, qui distend le sphincter rebelle. Le plaisir de soumettre, obliger, dominer, est nouveau pour lui, mais il en veut encore plus. Aussi, voyant la coupelle d'olive sur la table, une idée éclaire son esprit dépravé. Il sort son annulaire et promptement il l'imbibe généreusement. Ensuite, avec l'aide de l'index, il force à nouveau l'anus. Celui-ci s'est rétracté, aussi l'intromission plus conséquente, est difficile. Néanmoins il finit par céder sous la pression des deux doigts inflexibles.

« Aaaaaaaaaarrrrrrrrrgggggghhhh » rugit de nouveau la brune sous l'intrusion....

Nicolas arbore un sourire sadique lorsqu'il s'introduit, puis c'est la jouissance qui prédomine lorsqu'il tourne ses doigts, les remue, les retire et les réinsère avec vivacité. De temps à autre il les écarte avec force pour dilater le sphincter, les sort pour les imbiber à nouveau et les rentre sans ménagement. Il est en extase devant le pouvoir qu'il a sur la prof et ce n'est pas les rugissements ininterrompus qui le freine dans son délire, au contraire, l'entendre gueuler, le pousse à plus d'acharnement, de férocité. En transe, il sort sa bite compressée de son autre main et reprend ensuite son emprise autour de la cuisse.

De leurs côtes, Julien et Pierre Henry n'arrivent plus à maitriser leur impatience. Ils veulent participer à ce qui ressemble de plus en plus à une orgie ou une femme est au centre de quatre hommes en rut. Ils se lèvent, poussent la table de côté et se positionnent près de la prof.

« mmmmmmmmgggghhhhhhhhh... » continue de gémir Ophélie, incapable de s'exprimer autrement avec la bouche bâillonnée. Elle n'a aucune conscience de qui fait quoi. Elle est en apnée presque en continue. Nicolas ne ménage pas son anus, mais de plus elle subit le gland forcené d'Éric qui bute contre sa gorge. Il réussit même à forcer sa glotte plusieurs fois provoquant des répulsions nauséeuses. Il y a aussi la main de celui-ci qui lui malaxe un sein, le serre, le triture. Et puis récemment une paumes est venu lui prendre son deuxième sein pour le tenir devant une bouche agressive, la tétant avec force alors qu'une autre main se focalise sur sa vulve et maltraite son clitoris.

Comme une poupée, sans force ni conscience, Ophélie ne peut que se laisse faire. Tout son corps est malmené, embrasé.

Et puis les choses s'emballent. Éric gueule comme un veau en jouissant. Une charge massive de sperme arrive dans la bouche de la prof sans qu'elle ne puisse s'y opposer. L'effusion de Geoffrey déclenche en cascade la furie de ses collègues

.

La gorge enfin dégagée Ophélie pense souffler, or les garçons ne l'entendent pas de cette oreille. Elle rugit de plus bel avec les doigts qui maltraitent son clitoris.

« Aaaaaaaaaahhhhhh » crie-t-elle bruyamment et sans réserve pendant que Julien s'acharne de nouveau.

« AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH » hurle t'elle ensuite alors que l'orgasme la frappe comme un éclair.

Mais les garçons n'ont pas fini. Ils sont en transe devant la luxure de leur prof. Ils veulent tout lui donner, tout lui prendre.

La jouissance de la brune est si forte que les muscles de son anus se relâchent. Sadique, Nicolas profite alors de la situation. Sournoisement il insère profondément ses doigts, force et force encore pour dilater le sphincter sous les cris d'Ophélie. Puis l'index et l'annulaire entièrement enfouis, il les tourne, les retire partiellement pour les réintroduire, les sort pour les enduire et les réinsérer avec rudesse. La belle brune rue, se cabre sous la douleur mais Nicolas n'a aucun apitoiement, il est insensible à ce qu'il considère comme des jérémiades. Il la ceinture fermement puis accentue son attention sur le sphincter. Il se rend compte que celui-ci est à l'image de sa propriétaire, il se rebelle. Aussi, sans complaisance, il se concentre pendant de longues minutes sur l'alésage de l'anneau, tourne ses doigts, écarte, évase, force la dilatation du rectum. Parallèlement, il s'est repositionné plus près de la prof, sa bite touchant les fesses, se masturbant sur la chair moelleuse.

Par la suite les doigts régulièrement huilés glissent beaucoup plus facilement dans le conduit assoupli. La douleur diminue pour laisser place à l'inconfort, une douceur lancinante ensuite, puis aux prémices du plaisir. Ophélie n'en est pas encore à gémir, mais les hanches se tendent vers les doigts, son petit trou réclame les caresses infames. Ensuite, des picotements naissent au creux de ses reins. Ophélie bouge son corps plus rapidement, force le rythme alors que Nicolas la fouille, l'écartèle, la pénètre, plonge dans la grotte submergée, s'agite dans son colon brûlant. La respiration de la prof s'accélère encore, devient irrégulière sous l'acharnement de Nicolas qui alterne entre tourner lascivement ses doigts et pomper ceux-ci vivement. Il envisage d'ailleurs de bientôt plonger son sexe dans le conduit ouvert. il est en extase devant l'anneau qui résiste aussi, quand les cris se transforme en râles, et lorsqu'il ressent un relâchement du sphincter, les spasmes de l'anus, et constate que la belle émet des gémissements profonds, il se démène et se tient prêt à l'enculer.

Pendant ce temps, Julien est concentré sur son plaisir, sa main gauche en activité intense sur son sexe alors que l'autre est accrochée au sein de la prof telle une huitre à son rocher. Il n'a jamais rêvé, même dans ses fantasmes les plus délirant, de participer à une scène aussi perverse, avec sa prof en plus, cette femme dépouillée de tout artifice, transformée en l'espace d'une soirée en salope affamée, une femelle assoiffée de luxure.

Les doigts entrent et sortent d'elle comme un piston maintenant, et une fois de plus elle respire fort, une boule grandit dans son ventre. Son deuxième orgasme monte inexorablement, la respiration d'Ophélie s'accélère, elle blêmit.

« ouuuuuuuuuui aaaaaaaahhhhhhhh, ». Brame-t-elle à tue-tête alors que Julien gicle sur elle en lui pinçant méchamment le téton. Par contre Nicolas n'a pas eu le temps d'enfoncer son bâton dans les fesses d'Ophélie, il est rattrapé par la formidable excitation qui couve en lui et ne peut s'empêcher de gicler avant de faire quoique ce soit d'autre.

. « OUUUUUUUUUUUAAAAAAAAAAAAAAHHHH » hurle Ophélie alors qu'elle est au sommet de son orgasme. Une deuxième jouissance aveugle et délirante encore plus forte que la première l'emporte sur la douleur se ses mamelons. Elle tremble de tout son corps, au bord de la syncope.

5) Folie

Quelques minutes plus tard, encore toute retournée par cette formidable jouissance, elle ne réagit pas lorsque deux ou trois personnes la prennent à bras le corps pour l'emmener à l'étage. Allongée sur un immense lit, elle cuve son orgasme et s'assoupit.

Ce n'est que plusieurs minutes plus tard qu'elle sent que l'on lui retire complétement sa robe et qu'elle se retrouve éberluée, totalement nue, entourée de plusieurs personnes. Elle veut parler, bouger mais les quatre étudiants autour d'elle ne lui en laisse pas le temps. Tous revêtus d'un masque différent, ils la ceinturent.

Il n'y a qu'une personne qui peut les arrêter, mais elle n'est pas présente.

Lorsqu'elle avait expliqué son plan à son frère et à ses quatre amis, Anne-Sophie leur avait dit qu'ils auraient l'occasion de s'amuser avec leur prof, sans risque qu'elle ne puisse en parler, mais qu'ils devraient suivre scrupuleusement ses directives. Il ne fallait pas qu'ils oublient qu'elle seule a conçu cette fin de soirée afin qu'elle puisse assouvir sa vengeance. Ils ne doivent pas se plaindre car elle leur sert la prof sur un plateau (un lit) et leur donne l'occasion de baiser cette garce comme ils ne l'ont jamais envisagé. Elle leur rappel de plus, pour se justifier, si tant est que ce soit nécessaire, que cette provinciale n'est pas à sa place dans leur lycée et qu'elle a outrepassé ses fonctions en croyant pouvoir décider dans un monde qui n'est pas le sien.

« Elle croit pouvoir venir au château pour se faire adouber par nos parents, se croyant auréolée de notre réussite... on va la remettre à sa place et lui montrer qu'une provinciale, une fille d'ouvrier, doit apprendre ou est sa place. » leur dit elle « servir et obéir est de toute façon dans ses gènes et nous allons lui rappeler » continue t'elle devant son auditoire conquis. « Et puis, sait-on jamais, cette salope nous réserve peut-être de bonnes surprises » ajoute-t-elle au milieu des rires de ses amis.,

En ce moment, Ophélie est étalée sur le lit King size de Clémence, totalement nue, les genoux relevés, les jambes écartées, à la merci des quatre étudiants en rut. Malheureusement les opiacés ne font plus effet et le réveil est douloureux. C'est un cauchemar. Complétement revenue à elle, la belle brune se débat, essaye de crier, voudrait s'échapper de ses tortionnaires qui la tiennent dans la position la plus avilissante qu'elle ait connu. Mais elle ne peut pas. Elle ne peut que subir ses étudiants fourbes, ces jeunes qu'elle a aidés, accompagné tout au long des deux années. Elle avait de la sympathie pour eux... Voilà sa récompense! elle a envie de vomir. Ils la traitent comme la pire des trainées, la souillent, l'humilient, jouent avec elle en inventant les pires perversions. Effarée elle regarde tour à tour les masques de Belzebuth, de Léviathan, d'Osiris et d'Anubis, des étudiants transformés en bourreaux. Tandis que Pierre Henry en Anubis, debout à sa tête, lui maintien d'une main les bras allongés derrière elle, Geoffrey en Belzebuth et Nicolas en Léviathan sont sur le lit, de part et d'autre de son corps, lui immobilisent les cuisses tout en la palpant comme une bête de somme. Florence voudrait s'échapper, mais elle est impuissante face à la force des trois personnes qui la maintiennent dans cette pose horrible. Et ce n'est pas le pire. En redressant la tête elle aperçoit que la personne au masque d'Osiris la filme. Elle manque de s'étouffer. Elle voudrait leur dire d'arrêter, qu'ils sont immondes, mais le gag Ball dans sa bouche lui interdit toute protestation.

« Écartez lui encore un peu plus les cuisses, on ne se rend pas bien compte si elle est excitée.... Oh super » proclame Julien en zoomant sur la vulve ouverte.

Pendant plus de vingt minutes elle se débat en tous sens, rue, pousse des rugissements alors que Julien prend son temps pour la filmer sur toute les couture en commentant les positions avec des mots salace et vulgaire. Ophélie est en plein désarroi. Il n'y a pas de mots pour décrire son état de solitude. Humiliée comme elle n'aurait jamais pensée l'être. Exhibée vulgairement, subissant toutes sortes d'attouchements ignobles et entendants tous les propos plus salaces les uns que les autres, finalement elle craque, en sueur, épuisée, ne se battant plus, elle pleure.

Les quatre garçons voient que leur prof a les nerfs qui lâchent mais ils ne s'arrêtent pas pour autant. Leur déviance n'a pas de limites. Qu'elle ne se batte pas, ne résiste plus, qu'elle soit inerte comme une poupée de chiffon, docile a convenance, est même encore plus jouissif. Sans aucune once de remords et de pitié, ils retournent Ophélie, dans tous les sens. A quatre patte les jambes écartées ou sur le dos les genoux au niveau de la tête, cuisses ouvertes au maximum exhibant les profondeurs de la vulve et exposant sa rosette plissée, ils la filment et la photographie dans toutes les positions plus obscènes les unes que les autres, en prenant le temps de la palper et la fouiller.

« Et les gars moi je n'ai pas joui » réclame Pierre Henri alors qu'il voit maintenant Clémence s'approcher du cote du lit, face à lui.

Depuis quelques minutes, par une porte dérobée, sous le masque de Lucifer, Clémence est rentrée sans bruit dans sa chambre. A l'écart elle observe le spectacle. Elle ne sait pas mettre de mots sur la chaleur qui envahit son corps, mais ce dont elle est certaine, c'est qu'elle ne voudrait pas se trouver ailleurs. Au début elle a ressenti plusieurs sentiments contradictoires comme la jalousie, l'envie, la fureur de voir la prof soumise à ses amis. Elle est pourtant fascinée, envoutée. Elle adore regarder cette biche effrayée, forcée, résignée à son sort. Clémence n'a pas conscience de tout ce que la scène véhicule, de ce qu'elle lui révèle. Elle a juste l'impression d'assister à la curée. Elle est sans voix. Ensorcelée, le corps parcouru de frissons, poussée par une force mystérieuse, une automate prenant l'identité de son personnage, elle s'approche du lit. Sans savoir comment elle en arrive là, l'excitation certainement ou peut être les gènes d'une lignée d'aristocrates habitués à ce qu'on leur obéisse. En tout cas, sans se poser de questions sur ce qu'elle fait, avec une voix qu'elle ne reconnait pas, des mots qu'elle n'a jamais employés, elle ordonne.

« Allongez là face à moi... Je veux voir si cette provinciale est vierge! Présentez moi sa vulve que je l'inspecte. »

Les garçons sont médusés par les paroles de Clémence. Interdits, ils obéissent voyant ces paroles comme faisant partie du scénario. Mais il n'en est rien. Ce n'est pas Lucifer que clémence incarne, c'est elle qui se sert du personnage pour affirmer sa volonté.

Ophélie blêmit sous les injures. Les mots sont violents, blessants, dégradants, qu'elle se demande si elle a bien entendu. Par contre les garçons, médusés par le ton et ravi de voir la stupéfaction sur le visage de la prof, jouent le jeu et disposent Ophélie jambes écartée devant Clémence.

« Qu'est-ce que tu attends Anubis, occupe toi de sa bouche, je ne veux pas l'entendre quand je l'examine. »

Pierre henry est ravi. Il ne va pas se plaindre. Il aurait aimé enculer la prof cependant, même si ce n'est pas sa première idée, lui baiser la bouche l'enchante. Il a déjà son idée. Sans perdre de temps il tire Ophélie jusqu'à ce que la tête soit dans le vide et sous son regard inquiet, il baisse son pantalon, dévoile pour la deuxième fois son sexe et ensuite, lui enlève le bâillon. Ophélie n'y avait pas prêté attention la première fois, elle ne se rappel même pas qui des étudiants est derrière cette queue dressée au-dessus d'elle.

« nonnnnnnnnnn » crie t'elle effarée en voyant le tuyau.

Pierre Henry aurait aimé que la grosseur soit au prorata de la longueur. Par contre ce soir il se dit qu'au moins il pourra faire ce qu'il n'a jamais tenté, rentrer toute sa bite dans la bouche d'une fille et lui gicler directement dans l'œsophage. Rien que d'y penser il est dur comme fer.

Clémence a un moment d'arrêt quand elle voit la longue bite. Elle est un peu plus grande que la moyenne, d'après ses informations, cependant elle lui semble tellement disproportionnée avec son petit diamètre. Elle ne pourrait pas dire que c'est une belle queue, mais cela n'a pas d'importance. Ce n'est ni l'endroit ni le moment pour se moquer de Pierre Henry, même si l'envie de lui rabaisser sa superbe est grande. Malicieuse, elle préfère s'en faire un allier.