Clémence, une jeune Aristo (01)

BÊTA PUBLIQUE

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A table elle est entourée de Pierre Henry, le macho du clan d'Anne-Sophie et, de Patrick, un étudiant réservé et boutonneux avec en face d'elle, Nicolas lui-même entre deux étudiantes insipides. C'est Clémence qui a fait le plan de table avec Anne-Sophie qui lui a soufflé quelques modifications. Il fallait des chaperons à la prof, et une place pour elle surveiller discrètement de loin, l'évolution de son plan. « Jusque-là tout fonctionne à merveille » se dit elle satisfaite.

Le repas est agréable, joyeux. Ophélie est prolixe et les étudiants se lâchent progressivement en y allant chacun de ses anecdotes croustillantes. Puis au fil de la soirée arrosée, les discussions s'orientent sur la vie des uns et des autres, des occupations extrascolaires et de la vie amoureuse. Ophélie reste très vague mais oublie néanmoins qu'elle est la prof et non une étudiante. Elle rit de plus en plus facilement aux blagues salaces, et ne fait pas attention lorsque Pierre-Henry devient tactile, qu'il l'effleure pour un oui ou pour un non. Et puis il est presque vingt-trois heures, quand un brouhaha attire son attention.

A la grande joie d'Ophélie, les jeunes ouvrent les grandes portes battantes au bout de la salle à manger et découvre le grand salon aménagé maintenant en piste de danse. « C'est chouette... on va pouvoir danser... cela fait tellement longtemps. » Pense t'elle en écoutant les premières notes de musique. Grisée certainement par l'alcool, elle a une pêche d'enfer ce soir. De plus, assise depuis plus de deux heures à table, il lui tarde de se dégourdir les jambes. Elle se lève.

Rapidement, Ophélie se trémousse sur la piste en compagnie de quelques étudiants et de couples de parents. La musique est entrainante. Elle fait par contre un tour aux toilettes pour se soulager, mais aussi pour retirer ses caches tétons. Elle les sent glisser. Elle est énervée par ce désagrément, cependant elle ne peut pas prendre le risque qu'ils tombent à tout moment. Ce serait affreusement embarrassant. Elle est obnubilée par cette pensée oubliant complétement que sa poitrine peut révéler beaucoup plus.

Sa lucidité n'est pas au rendez-vous ou, celle-ci est tout simplement débordée par un désir sous-jacent.

Cet incident réglé, elle retourne sur la piste. Lorsque les derniers parents prennent congé, Nicolas change de répertoire, il met de la « house music ». Tous les jeunes sont sur la piste se déchainant au rythme du tempo mécanique. Ophélie a maintenant très chaud, aussi sous les conseils de Clémence, elle retire son boléro, mais lorsqu'elle veut la poser sur la chaise avec son sac, elle est interrompue par la belle blonde.

« Prenez plutôt votre sac et venez avec moi on le posera par-là avec votre veste. Les serveurs vont ranger la salle à manger. On a tous mis nos affaires dans la bibliothèque, pour ne pas les déranger. » Explique Clémence en accompagnant sa prof le long du couloir. « Tenez, c'est ici » montre t'elle en ouvrant la lourde porte feutrée.

« Oh vous êtes là » s'exclame Clémence mimant la surprise.

En rentrant dans la pièce, Ophélie est ébahie par la grandeur de la salle. Mécaniquement son regard est attiré par une immense bibliothèque d'angle aux dimensions stupéfiante, au moins dix mètres de long avec trois ou quatre mètres de retour, le tout sur au moins trois mètres cinquante de haut. Elle est impressionnée, autant par la beauté du meuble, que par le nombre d'ouvrages qui le remplit. Enfin elle découvre au milieu une grande table basse entourée d'un immense sofa et de plusieurs fauteuils ou sont vautrés trois de ses étudiants, un verre à la main.

« On se repose 5 minutes... Il fait soif! » répondent ensemble les trois jeunes euphoriques.

« Et nous!!! Vous croyez que l'on n'a pas envie de prendre un verre! » demande Clémence « en plus ce n'est pas bien de boire les uns sans les autres » dit-elle en déposant son sac et aidant Ophélie à enlever son Boléro. En se retournant elle voit que ses copains ont le regard fixé sur le prof. Elle se demande ce qui se passe. Elle a très vite la réponse. Tournant la tête pour demander ce qu'elle veut comme boisson, elle remarque immédiatement ce qui attire l'attention des garçons. Les aréoles foncées se démarquent fortement sous le tulle. « Oh putain, quelle poitrine! » se dit-elle complétement fascinée par la forme de la poitrine et interdite quant à l'insouciance ou la provocation de sa robe. Elle se dirige alors vers le bar, l'image insolente incrustée dans les yeux. à l'abris du regard d'Ophélie, elle prépare deux verres. Elle verse dans l'un plusieurs goutes d'une fiole sortie de son sac à main. « Tenez » Ajoute-t-elle en tendant le verre de punch.

Elles retournent ensuite sur la piste ou Clémence et Ophélie se mêlent à la foule. Plusieurs fois elles font l'aller-retour pour boire, se désaltérer. Ophélie a une pèche d'enfer avec une forte sensation d'euphorie, de plaisir. Aussi, vers une heure du matin, lorsque Nicolas met des morceaux de jazz-rock rappelant à la prof ses années étudiante, elle est prise par la fièvre de la musique et se déhanche langoureusement. Clémence ne la quitte pas d'une semelle. Elle devient même plus sensuelle au contact de la belle brune exaltée. A vingt ans cette grande perche d'un mètre soixante-dix-neuf, au physique de garconne, une silhouette élancée et sèche, des fesses plates, des petits seins ronds tout mignons avec des tétons qui en de nombreuses occasions semblent disproportionnés tant ils pointent, n'est pas encore fixée sur son orientation sexuelle. Elle navigue entre filles et garçons au grès de son humeur. Mais à cet instant, l'aristocrate aux long cheveux blonds comme les blés en été, au visage rayonnant avec ses traits finement dessinés, tombe sous le charme de la prof. Elle se sent pousser des ailes.

« Vous devriez détacher vos cheveux...vous auriez moins chaud » lui dit-elle avec conviction « en plus je parie que vous êtes magnifique avec vos longs cheveux complétement libres. » ajoute-t-elle avec son sourire angélique.

« Oui peut être » répond Ophélie, surprise par la proposition et en même temps charmée par cette simple demande. Elle se sent légère, libre, et amusée par les attentions de Clémence. En tant que prof, elle a toujours mis une certaine distance entre elle et les élèves, cependant aujourd'hui, elle met de côté cette règle. Les circonstances sont différentes. La soirée marque la fin de l'école et elle ne reverra plus ses étudiants. En même temps elle est flattée que les jeunes ne la considèrent pas comme une vieille coincée.

En tout cas ce n'est pas ce que pense Clémence à cet instant. Depuis deux heures, la vision de sa prof a considérablement changé. Captivée au début par la personnalité d'Ophélie, l'attraction ne fait que grandir au fil des danses. Son cœur bat plus vite et elle saisit chaque occasion pour se rapprocher de sa prof.

« Je peux vous aider à détacher vos cheveux » lui propose-t-elle avec un sourire désarmant tout en posant ses mains sur la chevelure. Ophélie ne réagit pas, interdite, désarmée par l'impétuosité de la blonde. Celle-ci s'est vite empressée. Sous prétexte d'aider Ophélie, elle lui enlève les barettes retenant sa longue queue de cheval pour finalement répartir les cheveux de la prof autour de sa tête. Clémence est fascinée. Elle l'accompagne dans tous ses mouvements, tournoyant, ondulant comme elle, toujours plus proche et riant ensemble comme des folles.

Ophélie ne s'est pas sentie aussi bien depuis longtemps, elle est euphorique.

4) Dérapage

Et puis vers deux heures du matin, Pierre Henry met des slows. Comme par magie lorsque la prof se retourne pour sortir de la piste, un étudiant est là juste devant elle. Ophélie ne peut que tomber dans ses bras. C'est Nicolas, le plus timide de la bande qui tente sa chance. Ce garçon d'un mètre soixante-treize au visage rougeot, le regard fuyant, la taille empâtée d'un gros bébé de quatre-vingt-dix kilos, se contente de plaquer ses mains sur le dos nu de sa partenaire. Par contre les deux suivants, Geoffrey et Julien, font glisser leurs mains sur le joli postérieur d'Ophélie. Les tentatives sont vaines, d'une main douce mais ferme, elle leur remonte jusqu'à la ligne à ne pas franchir. Par contre Pierre Henry, le plus hardi, entreprend de lui masser délicatement le dos, de la nuque jusque-là chute des reins. Elle y prend sans doute plaisir car elle ne le repousse pas. Il faut dire que serrée étroitement contre son partenaire, sa poitrine réagit. Ce ne sont plus de sages tétons qui ornent ses seins, mais des tétines extrêmement dures qui l'inondent d'endorphine. Pierre Henry y voit un signe. En effet cet étudiant de presque un mètre quatre-vingt, svelte, au visage dur, des cheveux châtains coupés à la James Dean, des yeux bleu acier, est un jeune homme fier, imbu de sa personne. Pour lui, nulle femme ne doit résister à son charme. Aussi, quand il ressent la chaleur des seins orgueilleux de la belle brune à travers sa chemise, des deux cailloux perçant son torse, il exulte. Son cerveau bout, il en veut plus, bien plus.

Cependant la série de slow se termine et la belle prof se sépare de lui.

Or, elle n'a pas le temps de réfléchir longtemps. Elle est happée par Geoffrey qui l'entraine au milieu de la piste ou le dj dispense maintenant une salsa. Pendant une heure elle ne voit pas le temps passer, souriante et enjouée. Avec Julien, Nicolas et puis Pierre Henry et encore Geoffrey, elle glisse, tourne, virevolte. Les quatre amis ne lui laissent aucun répit. Passant de l'un à l'autre ou se déhanchant au milieu d'eux comme une muse entourée de sa cour, Ophélie est leur centre d'intérêt. Flattée, charmée, heureuse, elle s'abandonne au plaisir d'autant plus facilement que ses inhibitions baissent. En effet, elle n'a plus à se déplacer pour se désaltérer. À tour de rôle, les étudiants lui apportent un verre dont elle boit une petite gorgée au début puis de plus en plus. De surcroit, elle ne s'aperçoit pas que les verres qui contiennent le punch de base en début de soirée, sont progressivement beaucoup plus chargés en rhum. Elle est euphorique.

Et puis à la fin d'un morceau de musique au rythme frénétique ou Ophélie s'est déchainée sans retenue, les étudiants voient l'occasion d'emmener la belle se reposer quelques instants.

Il y a trois heures, quand elle se dirige vers le salon, elle se sent happée par l'ambiance et une fois sur la piste de danse elle commence à bouger au rythme de la musique. Elle ressent progressivement un bien être, puis une montée d'excitation alors qu'elle danse frénétiquement. Tout doucement, sans qu'elle n'y prête garde elle devient expansive, et ce n'est pas l'alcool qui diminue son exubérance. Bien au contraire. Alors qu'elle épanche sa soif, elle ne peut endiguer les poussées de désir. L'alcool lui fait perdre ses inhibitions. Au fond d'elle, cette jeune femme à la vie consacrée au Mathématiques, a besoin d'attention, de reconnaissance, elle aime se sentir désirée. Et puis, dans ce salon presque sombre, uniquement éclairé par le stroboscope, grisée par l'ambiance, complimentée, courtisée par une cour de beaux jeunes hommes, ses sens s'embrasent. Progressivement, inexorablement, elle devient impudique, sensuelle, aguicheuse, charnelle et parfois perverse. En effet, elle ne peut ignorer que sa poitrine, libre sous sa robe, tressaute alors qu'elle se déchaine sur la piste. Elle est enivrée par le regard des jeunes, réjouie qu'elle puisse plaire autant, mais aussi totalement inconsciente du remoud qu'elle provoque. Les garçons bavent littéralement devant ses seins libres. Ils les observent, les scrutent, les détaillent sans jamais les quitter des yeux. Aussi, quand les tétines indécemment pointues déforment le tissu arachnéen et que le stroboscope se fixe sur sa poitrine, le tulle s'efface comme par magie révélant de larges aréoles brunes, scandaleusement présentées comme des fruits murs à croquer, Les quatre amis ont la bouche sèche, les yeux injectés de sang.

Avec l'excès d'alcool, la prof perd toute réserve. Elle est l'esclave de ses pulsions, de sa libido, de son corps affamé et cela, sans qu'elle ne puisse y mettre un terme.

Maintenant Ophélie est dans bibliothèque, assise sur la banquette, entourée de Julien à sa droite et de Pierre Henry à sa gauche. Ils l'ont attiré dans cette pièce à l'écart, et font tout pour qu'elle y reste. Ils s'empressent de lui servir à boire, la divertissent, l'amusent tout en étant plus que jamais tactile.

Dans la bibliothèque le punch diminue à vue d'œil.

Fortement alcoolisée, Ophélie ne bouge plus de sa place. Elle est totalement accaparée par les étudiants qui emploient tous les subterfuges pour la divertir, la faire rire et aussi l'effleurer, la toucher. Elle n'est plus une prof au milieu de ses élèves, mais une jeune femme en soirée, excitée, entourée d'hommes aux hormones déchainées.

Par moment celui qui est à sa droite lui glisse des mots doux dans l'oreille pendant qu'il pose sa main sur son genou et essaye de la remonter lentement sous sa robe. Elle l'arrête de la main. Il se redresse alors pour boire un coup ou pour la faire boire puis, au bout de quelques minutes, recommence son manège. A chaque tentative sa main réussit à monter un peu plus sur sa cuisse avant qu'elle ne réagisse. Et puis, il y a aussi l'étudiant à la gauche d'Ophélie qui lui parle également tout en lui caressant le bras, de l'épaule jusqu'à la main. De temps en temps, il ose l'embrasser sur l'épaule, dans le cou, puis essaye de viser la bouche mais elle esquive à chaque fois. Geoffrey et Nicolas assis juste en face ne manquent pas une miette de l'avancée des travaux. Excités, ils picolent sec et se tripotent l'entre jambe, de moins en moins discrètement.

A la énième tentative, la main de Julien remonte très loin sous la robe d'Ophélie, elle sursaute. En des circonstances normales, la trentenaire lui aurait balancé une claque à travers la figure, or elle ne le gifle pas, mais bien au contraire, sans le repousser cette fois, elle le laisse faire.

Le taux d'alcool dans son sang allié aux stupéfiants qu'elle a prise à son insu, affecte toutes ses barrières, qu'elles soient morales ou comportementales. Elle est à la fois une autre et elle-même. Certes, elle se rappelle de tout lorsque les effets diminuent, elle n'a pas le trou noir relatif à l'absorption du GHB, par contre elle est tout autant soumise. Chez certaines personnes l'alcool rend méchant, agressif, mais pour Ophélie, l'alcool allié aux opioïde, annihile sa timidité, lui procure une sensation de détente et d'euphorie, une très grande excitation et intensifie ses rapports sexuels. Elle donne l'impression d'être une nymphomane.

Aussi, elle ferme les yeux et se laisse rouler une pelle par Pierre Henry qui a de plus réussi à glisser une main en direct sur un de ses seins. Pendant que les deux d'en face bavent de plus en plus, Ophélie continue d'embrasser à pleine bouche son voisin de gauche qui maintenant, lui malaxe sans douceur le sein. Une petite voix au fond d'elle lui murmure qu'elle ne devrait pas se comporter ainsi, mais les braises qui couvent dans ses entrailles, la luxure tapis au fond de son ventre lui crient le contraire. Depuis que son frère loge chez elle, Ophélie ne s'est pas autorisée de rencontres. Tout juste s'est-elle fait plaisir en soulageant son corps par une masturbation hygiénique le soir au fond de son lit. Et encore, le plus souvent, elle n'est pas complétement rassasiée. Sa chambre, mitoyenne à celle de son frère, a des murs très fins, aussi elle doit calmer ses ardeurs pour ne faire aucuns bruits révélateurs. Aujourd'hui, son corps trop longtemps sevré est comme une grenade dégoupillée.

Livrée à sa libido, faisant fi de sa pudeur, elle écarte nettement les cuisses pour donner plus d'aise aux manipulations de son voisin. Afin d'en faire profiter tout le monde, celui-ci, de sa main libre, remonte partiellement la robe d'Ophélie jusqu'à la taille, et les autres peuvent à loisir, voir qu'il a glissé deux doigts sous l'élastique du string.

N'en pouvant plus d'attendre leur tour, les deux mateurs font signe qu'ils veulent échanger leurs places. A contre cœur, les deux peloteurs se lèvent en laissant la prof pantelante, la robe relevée, les jambes écartées et la culotte de travers. Ophélie ne reste pas isolée longtemps. Les deux suivants se jettent sur les sièges libérés quelques secondes plus tôt et, sans préambule, reprennent là où les deux premiers se sont arrêtés. Elle ne s'est pas aperçue du changement. Par contre Geoffrey et Nicolas ne s'embarrassent pas de fioriture. Ils ont beaucoup moins de réserve que leurs acolytes, ce sont des mâles en rut. Excités au plus haut point, en parfaite symétrie, ils écartent les bandes de tissu du bustier et exposent à la vue de tous les seins pleins qu'ils entreprennent de pétrir sans ménagement. Ils ne sont pas doux avec elle, loin de là. Respectueux, polis et agréable en classe, ils montrent ce soir, un tout autre visage. Ils malaxent, triturent, serrent la poitrine opulente, roulent, pincent les bouts et à tour de rôle, lui font pivoter la tête pour l'embrasser goulûment. Elle se laisse faire sans grandes réactions à leurs yeux.

Ophélie s'est souvent demandée qu'elles étaient les raisons pour qu'elle agisse ainsi. Elle n'arrive pas à supporter son comportement dépravé, ne l'explique pas, et n'a rien trouvé dans sa vie qui puisse le justifier. En plus, quelques jours après les frasques, elle est mal dans sa peau, déprimée, dégoutée, honteuse de de se comporter comme la pire des salopes. Elle se maudit. Par contre, lorsque les souvenirs de la soirée tumultueuse émergent de sa mémoire, elle ne peut occulter combien elle adore s'exhiber, exciter les mâles et les rendre fou. Lorsque son point de rupture est franchi, ses barrières ouvertes, elle n'est plus en capacité de refuser quoi que ce soit. La honte est rendue aux oubliettes et sa soif de luxure grandit crescendo.

Exhibée de façon obscène, sa chatte coule comme une rivière en crue.

Devant les garçons qui l'entourent, certes elle n'exprime pas ouvertement ses fantasmes, par contre sa gestuelle est on ne peut plus expressive. Cela n'échappe pas aux étudiants. Une porte est ouverte sur la débauche et ils s'y engouffrent. Avide de stupre, ils se montrent encore plus vicieux, féroces et salace.

La passivité d'Ophélie est le billet d'entrée d'une soirée débridée.

« Oh la vache!!! ils sont magnifiques ses nichons. » s'exclame Julien fasciné.

Toujours synchrones, les « frères jumeaux » descendent leur main sur chacune des cuisses dénudées dont ils entreprennent d'augmenter l'écartement. Comme le string les gêne, ils le déchirent et peuvent ainsi facilement élargir le compas. Ophélie se retrouve alors outrancièrement ouverte et cela fait encore monter sa chaleur interne. Ensuite comme un balai bien huilé, deux doigts de Nicolas forcent le passage, se rue dans le conduit visqueux et liment en profondeur le vagin brulant, tandis que le majeur et l'annulaire, massent, triturent le bouton d'amour. Fortement excité il est déjà gros, mais à force d'être malmené il sort maintenant de son enveloppe protectrice

.

« Qu'est-ce qu'elle m'excite!!! » lance Pierre Henry.

« Aaaaaaaah.... Mmmmm aaaaaaaah » Ophélie lâche prise. Une symphonie de petits gémissements assourdis émergent de sa bouche obstruée.

Les deux comparses aux premières loges, regardent avec envie cette jeune femme se contorsionner, remuer son bassin, écarter largement les cuisses pour faciliter l'accès à sa vulve. Ils ont l'impression d'être devant un plateau de tournage d'un film porno.

Ils n'en ont pas pour autant assez.

« Aaaaaaaaaahhhhhh » Ophélie miaule, gémit et cris sous les assauts rugueux. Son corps montre des signes de plaisir intense et les garçons ne s'y trompent pas

« Putain!!! Vous avez vu comme elle écarte les cuisses. Quelle sacrée cochonne! elle en veut! Oh, nom de dieu! » s'exclame Julien au bord de l'apoplexie.