Trois sœurs: Roxane

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

« Oh, je vois, vous savez comment éduquer les enfants. »

Ont continuent à discuter. Quand je sens que je vais jouir, je prend la tête de Roxane et je m'enfonce profondément dans sa gorge où mon sperme gicle par saccades. Elle avale, comme je lui ai appris, et ma fille s'essuie la bouche quand je la repousse.

« Il faudra lui remettre du rouge à lèvres », dit l'autre.

Elle regarde ses genoux, gardant les cuisses écartées et la robe retroussée sur son ventre. Je lui mit à mon tour mes doigts dans sa chatte et ont joue avec elle jusqu'à ce que la voiture se gare devant l'entrée du squat. C'est toujours à ce moment qu'elle est saisie de terreur. Paralysée. Il faut la pousser vers l'escalier, puis l'aider à gravir les marches.

Une trentaine d'hommes attendent déjà à l'entrée de la pièce où se trouve le vieux matelas défoncé et crasseux. L'homme qui l'accompagne a sorti un martinet de sa poche. Il lui cingle les cuisses.

« Allez, en position! Tu vois bien qu'on t'attend! »

Elle s'allongea sur le lit et ferme les yeux.

Pendant ce temps, je n'ai pu m'empêcher de me joindre à la file des hommes qui baisent ma fille. C'est un véritable défilé. J'en ai compté déjà cinquante-deux qui lui sont passés dessus. Elle est hébétée, les yeux hagards et vides, l'intérieur des cuisses et du cul rougi et boursouflé, la vulve et l'anus maintenant si sensibles qu'elle pousse des cris perçants chaque fois qu'un homme la pénètre.

Ce qui m'a excité comme jamais je ne l'ai été, ce n'est pas de voir ma fille enfilée à la chaîne par des hommes qui lui remplisse la chatte et le cul de leur foutre mais de voir s'avancer vers elle, après une quarantaine d'autres, un très grand Noir pourvu d'un énorme pénis. Sa queue n'est pas plus longue que la normale, mais par contre elle est plus épaisse que la normale. Il se caresse les testicules et le mandrin se balance, érigé et tendu.

Alors que je suis assis dans un fauteuil et me branle tranquillement, je m'approche pour mieux voir. Ma fille est allongée sur le dos, les bras en croix. Elle a fermé les yeux, elle souffle fort et renifle. Les larmes ont défait son maquillage. Du sperme sèche sur ses joues, elle en a dans les cheveux aussi. Le Noir s'est agenouillé, la queue dressée à la verticale. Il empoigne Roxane par les hanches et il la soulève du matelas. Elle se débat. En vain, il est trop fort. Il la retourne et je le voit asseoir ma fille sur sa bite. Il l'empale, poussant son gland dans le vagin dont coule du sperme. Alors je me masturbe frénétiquement. Roxane ouvre les yeux. Le Noir lui fait mal. Sa grosse bite d'ébène pénètre sa petite chatte blanche. Il la traite de « salope » et s'enfonce davantage. Elle me regarde fixement, moi son père et, en pleurant, me supplie de l'aider. Je n'en peux plus. J'éjacule, aspergeant le torse de ma fille avec mon foutre.

Le Noir est à présent tout entier en elle, il commence à lui limer la chatte. Un cercle s'est formé autour d'eux pour regarder. Les hommes encouragent le violeur, insultent ma fille, ils échangent des plaisanteries, ils se branlent. Elle reçut plusieurs giclées de sperme dans la gueule. Le Noir l'écartèle, la défonce. Il ne dit plus rien. Il grogne des « han! » chaque fois que son gland cogne le fond du vagin. A chaque coup de boutoir, elle ouvre plus grand les yeux et la bouche. Elle gueule tout son saoul. Beaucoup rient. L'un d'eux lui crache un glaviot dans la bouche. Un autre l'imite et ils s'amusent à la couvrir de crachats. Le Noir leur dit de lui pisser dessus. Plusieurs, qui viennent de jouir, se soulagent sur Roxane. Le Noir ne va plus résister longtemps. Il la soulève et change de trou. Quand il la sodomise, elle pousse un hurlement. J'en profite pour enfoncer mes doigts dans la chatte de ma fille. L'intérieur est gluant de foutre. Je réussis à introduire quatre doigts. J'ai du mal à y fourrer le cinquième. Je sens, derrière la membrane de chair, la pine du Noir aller et venir dans la l'anus de ma gamine. Les autres continuent de lui pisser dessus ou l'arrosent de leur foutre. Elle gueule comme un putois. Je pousse ma main dans le con de ma petite fille. Un mec, un vieux, dégueulasse, à moitié ivre, lui pince les tétons et les tords aussi fort qu'il peut. Soudain, le Noir lâcha une bordée d'injures et en grognant il lâche la purée, inondant le rectum de ma gamine. Je sens ma bite durcir. Dès que le Noir retire sa queue,j'introduis la mienne dans l'anus de Roxane. Je la baise longtemps, encouragé par les autres. Au bout d'un moment, je leur demanda de la mettre à quatre pattes et de la maintenir dans cette position, afin de la baiser par derrière, « comme une chienne ». Ce qu'il fit, pendant que plusieurs types la force à les sucer. Je jouis. Le Noir est revenu, la pine à la main. Il attend. Il encule une nouvelle fois Roxane. Il lui bourre le cul longtemps, le plus brutalement possible. Son trou du cul a désormais l'aspect d'un chou-fleur. Elle hoquette, braille, bave, vomit, sanglotait, supplie, appel aux secours.

Tout le monde parle fort et se marre maintenant. Quel pied! Quand le Noir se retire, ils se jetèrent sur la môme. C'était à qui lui enfoncerait le premier sa bite dans le cul, ou ses doigts. Elle doit les sucer, ils violent son vagin, ils urinent sur elle ou dans sa bouche, elle reçoit des coups aussi. Ça les excitent. Il faut dire que l'alcool est de la partie. Tous sont à moitié saouls. Moi-même picole sec. Un mec lui administre un lavement en lui versant dans le rectum le contenu d'une bouteille de bière. Elle la pisse sur le matelas, sous les rires. Le matelas est si sale qu'ils la prennent par les cheveux et la traînent sur le sol, où quelques-uns avaient encore assez de vigueur pour la baiser. Moi, je passe derrière, j'enfonce mes doigts dans le vagin ou l'anus de ma fille et la force à les sucer ensuite. Tout ce sperme m'excite.

L'homme qui accompagne habituellement Roxane s'est contenté de regarder. C'est de retour dans la voiture qu'il baisse son pantalon : « A moi maintenant, espèce de sale nympho! » Et il lui administre une fessée dont elle se souviendra avant de la violer sous mes yeux, moi son père. Tel est la vie de ma fille jusque au retour de Romane et Lindsay. A leur arrivées, Roxane sera une bonne putain nous obéissant parfaitement, aux doigts et à l'œil. Préférant subir " gentiment" toutes nos avilies plutôt que de retourner à l'abattage.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

La Sophie Qui perd gagne.
Clémence, une jeune Aristo (01) Une prof est invitée à l’anniversaire d’une de ses élève.
Problèmes de Discipline 1/3 La mère de Tom va devoir régler les problèmes de son fils...
Dans les Méandres de l'Ombre 01-02 Un thriller policier noir et violent.
Méchant Conte de Noël Un conte de Noël monstrueux.
Plus d'histoires