Problèmes de Discipline 1/3

Je m'appelle Tom Potier, 20 ans, je suis en classe de BTS dans un lycée plutôt bien coté. Disons que mes parents ne manquent pas d'argent... Mon père est PDG d'une boite qui fonctionne très bien et cela permet à ma mère d'uniquement s'occuper de ma sœur et moi. Ma sœur, Anna, est au même lycée que moi mais avec deux ans de moins. Elle vient d'avoir 18 ans et passe le bac cette année.

Sous l'impulsion de mes parents, j'ai toujours eu d'assez bonnes notes en cours avant mon BTS mais ces derniers temps, elles ont commencées à chuter. La faute à mes fréquentations j'imagine... Depuis quelque mois je traine avec la bande du lycée la moins recommandable et il m'arrive de fumer de l'herbe avec eux assez souvent.

Mes parents ne le savent pas bien sûr mais le fait que mes notes baissent ne leur plait pas du tout. Ils voudraient que je fasse des études de comptabilité après le BTS mais pour cela, mon dossier doit être parfait.

Le chef de la petite bande dans laquelle je suis, est Ilyes. Un gars plutôt sympa, beaucoup de charme et beaucoup de succès avec les filles. Son père, Mr Diabé, est aussi notre proviseur. Un homme grand, noir et assez impressionnant. Il est admit qu'il a beaucoup de charisme et qu'en salle des profs, c'est lui qu'on écoute.

Aujourd'hui vendredi 16h, mes potes m'invitent à fumer avant de rentrer chez eux. J'hésite, je dois être frais pour pouvoir manger avec mes parents sans attirer l'attention...

- Allez Tom fume un peu c'est bon, ils vont pas te tuer tes vieux! s'écrie Ilyes.

- Mouais... Si jamais ils captent quelque chose je suis mort.

Les autres rigolent. Paul, un autre de mes potes, me chuchote à l'oreille d'un air amusé :

- Mec j'aimerais pas être à ta place, regarde ce que Ilyes a sur son tel !

Je le regarde, sans comprendre ce qu'il veut dire. Qu'est ce que ce con d'Ilyes a encore sur son tel ?

- Montre moi ça Ilyes ! Demandai-je.

Un autre éclat de rire retentit, ponctué de ricanements.

- Les gars! Vous êtes relou là, montre moi ça! Continuai-je.

- Tu l'auras voulu ! Me dit-il tout sourire. On pensais que ta petite sœur était innocente mais je connais un gars qui l'a baisé et depuis qu'on a vu la vidéo, tu peux l'inviter quand tu veux pour nos soirées! Me dit Ilyes.

- Comment ça ? répliquais-je, méfiant et ne croyant pas un mot de ce qu'il avait dit.

- Il déconne pas ! rétorque un autre gars. Tu veux voir la voir ?

Mes potes me regardent d'un air impatient. Ilyes a son petit sourire amusé qu'il sort souvent aux filles et attend de voir ce que je vais trouver à répondre.

- Vous faites chier, pourquoi vous me dites ça ! Et je veux pas voir cette vidéo vous êtes malades ou quoi !

- Comme tu veux mon pote mais tu loupes quelque chose. Elle sait y faire cette chienne...

- Redit ça une fois enculé ! Criai-je sur mon soi-disant « pote ».

Ilyes me regarde et va pour ouvrir la bouche. Je ne me contrôle pas et lui décroche un coup de point en plein dans la machoire. Il tombe au sol et s'ouvre la main sur un caillou en voulant amortir sa chute. Le sang commence à couler immédiatement, je regarde la scène, horrifié, je n'avais pas du tout prévu ça. Mes amis me retiennent par derrière et me repoussent.

- T'as déconné Tom, tu vas être dans la merde quand mon père le saura, tu sais pas déconner hein. Crit Ilyes les larmes au yeux.

Je me rends compte de la connerie que je viens de faire... Frapper mon ami, le fils du proviseur... Je me retourne et marche rapidement vers la sortie. Je ne veux pas assumer mon acte pour le moment, je ne saurais pas quoi dire.

Sur le chemin j'imagine avec effroi ce que diraient mes parents si jamais le père d'Ilyes décide de les appeler. Est ce que mon ancien ami le dirait à son père ? Il avait l'air quand même vachement énervé...

Je pousse la porte de ma maison et salue mes parents. Aucune réaction ! Je me détends d'un seul coup, c'est bon Ilyes va laisser passer et demain j'irai m'excuser auprès de lui. Je monte dans ma chambre et lance une partie sur ma console. Alors que je joue tranquillement, je reçois un message de mon « ancien ami ». Je me précipite sur mon téléphone, espérant qu'il fasse le premiers pas pour qu'on puisse s'expliquer mais il m'a envoyé une vidéo.

Intrigué, j'ouvre la vidéo et découvre, médusé, son horrible contenu. Ma sœur est en train de donner une fellation à un gars, avec une queue noire de taille très correcte. Elle a les yeux fermés et rentre quasiment toute la bite dans sa bouche, de la bave coule le long de ses lèvres alors qu'elle s'active sur le membre. Ça fait déjà 30 secondes que je regarde la vidéo, je suis écoeuré par ce que je vois. Ce connard d'Ilyes s'est vengé ! Je m'apprête à jeter mon téléphone le plus loin possible de moi mais le plan change et ma sœur est maintenant à quatre pattes. Le gars la prend en levrette et la bourrine comme un fou, ses gémissements retentissent dans les haut-parleurs de mon téléphone. Je regarde, subjugué par ce que je vois.

La réalité revient alors à moi :

- Tom ! Vient à table!

C'est ma mère qui vient de m'appeler. Je glisse mon téléphone dans ma poche, essayant de ne pas montrer mon trouble. Je descends, décontenancé par ce que je viens de visionner. Ma petite sœur que je pensais si gentille et naïve, en train de coucher avec je ne sais quel gars. Et puis surtout le calibre de la bite de ce gars !

Dans le salon ma mère et mon père m'attendent, mains sur les hanches. Je reconnais cette ambiance, je m'apprête à me prendre un sacré savon... Et effectivement après 20 minutes de cris et d'engueulades, j'apprends que ma mère et moi avons rendez vous avec le proviseur Mr Diabé dès demain matin. Mon père travaille et ne peut pas venir, tant mieux je me dis car je me serais surement fait encore plus disputé. Il peut être beaucoup plus sévère que ma mère comme souvent chez les parents.

Le lendemain, je me lève le coeur lourd. J'ai peur de ce qu'il va se passer. Le fils du proviseur ça l'a fout mal... Et puis il a quand même vachement saigné... J'espère qu'il va bien...

On prend la route avec maman. Ma mère est une belle femme brune avec de magnifiques yeux clairs. De taille moyenne, elle fait beaucoup attention à son apparence et ne néglige pas la salle de sport. Elle ressemble un peu à ma sœur avec 30 ans de plus, en tout cas ma sœur tient ses seins imposants de maman ça c'est sûr. J'ai remarqué depuis longtemps que ma mère avait une très belle poitrine à cause de sa manière de s'habiller plutôt sexy. Mon père plutôt bel homme a quand même du galérer pour arriver à la marier.

Nous arrivons au lycée, un samedi matin il n'y a quasiment personne à part ceux qui ont des heures de colles. Ma mère se rend compte de ce que signifie être convoqué un samedi matin, au milieu des mauvais élèves, et me foudroie du regard.

- On en rediscutera jeune homme ! Tu n'es pas tiré d'affaire ! Me dit-elle d'un ton menacant.

Je regarde mes pieds dans le bureau de Mr Diabé. Ma mère, assise à côté de moi, discute avec mon proviseur. Impossible pour moi de me défendre... Comment expliquer à ma mère et au proviseur pourquoi j'ai frappé son fils ? Ils apprendraient pour ma sœur et ce serait la honte, sans parler de ce que penseraient mes parents d'elle.

- Qu'as tu à dire pour ta défense Tom ? Demande Mr Diabé en me sondant avec son regard dur.

J'ai pas envie de mettre ma sœur dans cette situation et sur la défensive, je fais passer mon acte pour une action sur un coup de tête, censée faire rire mes amis. Ce qui bien sûr ne passe pas du tout aux yeux de ma mère et du père de la victime. Quel débile, sous le stress j'ai dis la pire excuse possible.

- Tom tu sais que j'ai le pouvoir de te renvoyer de ton cycle d'étude mais aussi de porter plainte contre toi et je t'assure que ça pourrait aller loin. Il s'agit d'une agression volontaire avec coups et blessures.

Je sais très bien de quoi il parle, tout le monde sait que Mr Diabé est quelqu'un d'influent. Il connaît beaucoup de monde en ville mais surtout il est assez proche de l'élu local...

- Mr Diabé pitié pas ça. Mon fils est jeune, c'était une simple bêtise. Supplie ma mère, se lamentant de savoir que son fils risquait sûrement le tribunal.

- Je comprends bien que vous vouliez le meilleur pour votre fils mais je veux le meilleur pour le mien aussi Mme Potier, pour son honneur je suis dans l'obligation de dénoncer votre fils aux autorités et de l'exclure de sa formation sinon tout le monde pensera que frapper le fils du proviseur est un acte impuni.

Ma mère étouffe un sanglot. Je sais qu'elle pense à ce que dira le reste de ma famille, elle est très fière de nous et c'est un peu la compétition avec les enfants de ses sœurs. De plus, les contacts de Mr Diabé sont assez impressionants...

- Que puis-je faire pour vous faire changer d'avis ? Je le punirai ne vous inquiétez pas ! Il ne recommencera jamais ! Promet ma mère d'une petite voix.

- Une simple punition ne suffira pas Mme Potier, si vous voulez éviter la police, il faudra être plus convaincante. Rétorque le chef de l'établissement.

- Dites moi ce qui serait à la hauteur à vos yeux ? Demande maman.

J'ai soudain peur de ce qu'il pourrait dire. Je m'imagine déjà passer tous mes samedis matin à nettoyer le lycée. La loose...

- Il y a bien quelque chose que vous pourriez faire pour laver cette humiliation. Mais cela implique d'importants sacrifices... déclare mon proviseur, énigmatique.

- Dites moi s'il vous plait. Répond ma mère, la voix empreinte d'espoir.

- Il faudrait que l'humiliation change de camp Madame. Me comprenez vous ?

Je le regarde, les yeux ronds, je ne comprends pas vraiment où il veut en venir. Ma mère semble dans le même état. Son air interloqué la trahit.

- Je demanderai une obéissance exemplaire de votre part... Et de celle de votre fils bien entendu... Je veux pouvoir vous humilier tous les deux.

Ma mère le regarde les yeus ronds.

- Comment ça ? Croasse-t-elle.

- Vous ne semblez pas être très vive, critique Mr Diabé. Je vous veux soumise à moi et pour une durée qui me semblera nécessaire à expier les fautes de votre fils.

Je me tourne vers ma mère, je viens de comprendre les enjeux de sa demande. Ma mère croise mon regard, les larmes aux yeux.

- Maman, c'est pas grave. Je trouverai autre chose et on se battra au tribunal si il faut ! Criai-je.

- Monsieur vous ne pouvez pas nous demander ça. Implore ma mère à notre maître chanteur.

- Je le peux madame et c'est votre dernière chance d'accepter le marché, je n'ai pas le temps d'argumenter sur ce sujet. Rétorque Mr Diabé d'une voix décidée.

Ma mère baisse la tête, le ciel s'abat sur sa tête. Elle ne peut pas laisser son fils endurer tout cela. Elle doit céder au chantage...

- Je... J'obéirai Monsieur... J'accepte... Abdique-t-elle dans un souffle.

Je suis horrifié par la tournure des évènements. A cause de moi, ma mère va devenir le jouet de ce malade. J'essaie bien de négocier des travaux d'intêret générale, qui me paraissent être une punition légère à présent, mais rien n'y fait.

- Voilà une sage décision Mme Potier. Vous ne voyez pas de soucis à ce qu'on commence tout de suite, j'ai un peu de temps devant moi ? Demande Mr Diabé, un sourire carnassier aux lèvres.

Ma mère hoche la tête, vaincue. Je regarde mon proviseur, la colère me voile le regard et je dois faire d'énormes efforts pour ne pas lui sauter dessus. Ce serait la pire action possible... Je reste donc droit, immobile. Et alors le cauchemar commença.

Ma mère est forcée de se mettre à 4 pattes. Elle proteste tant bien que mal disant qu'elle accepte de réaliser les souhaits de son maître chanteur mais pas devant son fils tout de même.

- Obéissez Madame, vous êtes à moi maintenant tout comme votre fils et ceci est mon premier ordre, lui rappelle mon proviseur.

Coincée, ma mère s'agenouille, fébrilement. Mr Diabé l'oblige à avancer comme cela sous mon regard horrifié. Elle fait le tour de la classe dans un silence glauque. Je n'ose pas bouger, je ne saurais pas quoi faire, il nous tient et je ne veux pas avoir des problèmes avec la justice.

- C'est bien. Vous commencez à comprendre votre rôle, vous allez voir ce n'est que le commencement! dit Mr Diabé.

Ma mère étouffe un sanglot et n'ose pas croiser mon regard. Mr Diabé se lève et défait sa ceinture. Je me rends compte qu'il va fesser ma mère et que je ne peux rien faire contre cela... Maman aussi s'en rend compte et secoue la tête de droite à gauche, la lèvre du bas tremblante. Mais le proviseur ne montre aucune pitié et lui assène un coup de ceinture sur sa fesse droite.

Ma mère pousse un cri.

- Taisez vous! gronde Mr Diabé. Je ne veux pas ameuter toute l'école.

Il assène d'autres coups plus puissants tandis que ma mère se déplace dans la salle de classe. Sa jupe est relevée et je découvre qu'elle porte des collants noires.

Mr Diabé la traite de vache et d'autres insultes dégradantes. Ma mère, larme aux yeux, refoule ses cris de douleurs et essaie de faire bonne figure. Je peux voir une énorme bosse déformée le pantalon de son tortionnaire. Ce pervers se délecte de la situation de ma pauvre maman.

Moi je suis toujours assis sur la chaise, paralysé par la situation. Je regarde malgré moi les nouvelles sévices dégradantes qu'il inflige à ma mère. Les claquements et insultes résonnent dans la pièce dans une ambiance lourde.

Mr Diabé déchire son collant, laissant apercevoir un string noir. Ma mère assise sur le bureau de mon proviseur, le visage rouge de honte et les jambes écartées, regarde Mr Diabé qui se tient devant elle. Il passe lentement un index le long du string de ma mère, appuyant sur son vagin. Je proteste vivement devant ce geste mais Mr Diabé ne m'écoute pas. C'est comme si je n'existais plus.

Il fait plusieurs aller retour comme cela, stimulant ma maman, soufflant comme un bœuf. Cette dernière, le regard honteux, baisse la tête dans le silence.

- Votre chatte commence à s'échauffer Mme Potier. Cette séance de fouet vous a mis en forme. Déclare Mr Diabé, triomphant.

Je suis abasourdi par ce que j'entends, le corps de ma mère semble la trahir malgré elle. C'est une réaction naturelle, j'en suis sûr. Comment une femme aussi respectable que ma mère pourrait succomber à ce traitement. Il continue de promener son doigt le long de sa fente. Ma mère a le regard fuyant et recule son bassin.

Mr Diabé enlève son doigt et gifle ma mère.

- Ne recommencez plus ! Gronde-t-il.

Il reprend son manège en insistant bien sur le haut de vulve, là où se situe le clitoris... Ma mère envoie un coup de bassin ponctué d'un petit jappement.

- Quelle cochonne! Devant votre fils en plus, vous avez vraiment besoin d'être prise en main. Je vais m'occuper de vous, ça vaut mieux, ça vous empêchera de tromper votre mari à la première occasion.

Ma mère ouvre la bouche pour protester mais une autre gifle vient la faire taire. Je me lève de ma chaise, je ne le laisserai pas frapper ma mère.

Mr Diabé se retourne vers moi, le regard dur. Je me rends compte de la taille et la largeur d'épaule de mon proviseur et me sens vraiment impuissant face à lui.

- Assis toi gamin! Ne t'en fais pas, ta maman sait qu'elle mérite cette punition. N'est ce pas?

Ma mère, relève la tête, pitoyable. Elle sait qu'elle doit obéir pour sauver son fils de la justice.

- Oui... Oui je le mérite. Déclare-t-elle, écrasée par la honte de s'abaisser de la sorte.

- Tu refais un mouvement Tom et je cours prévenir les flics.

Avec un regard mauvais, je me rassois, vaincu. Ce connard force ma mère à dire ces choses, c'est certain.

- Branlez vous Madame, ordonne Mr Diabé.

Ma mère le dévisage, les yeux ronds. Mais le regard glacial et dominateur de son maître chanteur empêche toute protestation.

Doucement, elle descend sa main droite vers ses parties intimes. Elle écarte son string et commence à masser son clitoris. Je m'aperçois alors de la moiteur présente sur son string. Mr Diabé regarde la scène avec un regard vicieux. Bientôt elle lui mangera dans la main, il le sait...

Ma mère, sous les encouragements de Mr Diabé, agite ses doigts plus énergiquement. Je vois sa respiration soulever sa poitrine.

- Si votre mari vous voyait... Voir sa femme donner un tel spectacle. Dit Mr Diabé méchamment.

Remarque accueillie par un grognement de la part de ma mère. Elle s'est plongée 2 doigts dans la fente et se masturbe, jambes écartées, perdant peu à peu sa pudeur. Mr Diabé continue sa litanie :

- Que diraient vos enfants si ils voyaient leur maman se doigter comme la dernière des chiennes. Ah mais j'oubliais, votre fils est là on va lui demander.

Ma mère supplie de me laisser tranquille mais Mr Diabé n'en a que faire. Il se retourne vers moi, un sourire malsain sur le visage.

Il me découvre, les yeux fuyants. J'essaie à tout prix de ne pas regarder le spectacle donné par ma génitrice mais mes yeux ne cessent de se reporter dessus. Elle est forcée par ce pervers, ma pauvre maman.

- Vous êtes un connard. Laissez ma mère tranquille. Assénai-je à son tortionnaire.

- Ne t'inquiète pas. Il te faut encore un peu de temps pour t'habituer à voir ta maman révéler sa nature de femme blanche soumise mais elle apprendra vite. Réplique Mr Diabé, d'un ton calme.

Ma mère laisse échapper un gémissement à ses mots, que j'attribue à une plainte.

- Plus vite salope, je veux vous voir jouir.

Ma mère augmente la rapidité de ses doigts. Ils foncent à toute vitesse dans sa chatte. Elle sent son instinct lui supplier un orgasme. Non elle ne peut pas faire ça, pas forcée par cet homme, pas devant son fils. Mais sa chatte laisse échapper un filet de mouille qui lui rappelle que cette soumission forcée met à rude épreuve la résistance de son corps.

Elle sent l'orgasme monté, inexorablement, depuis les profondeurs de son vagin. Elle va jouir elle le sent!

- Arrêtez!

Elle stop ses mouvements. Ouf, l'humiliation extrème que cela serait de jouir sous ses ordres est évitée. Mais une partie d'elle implore cet orgasme... Elle la refoule aussitôt.

Mon proviseur jubile, il voit bien que sa nouvelle soumise voulait jouir. Cette chienne doit être délaissée par son mari, c'est certain, cette femme lui obéira bientôt totalement.

- Voyons on ne jouit pas devant son fils... la sermonne Mr Diabé. Vous êtes une très vilaine mère. Excusez vous d'être une pute en manque tout de suite!

Ma mère n'en croit pas ses oreilles. Cet homme qui l'a forcé à se dépraver lui fait maintenant la morale. Elle se sent sale de s'être laissée aller à ses bas instincts et honteusement s'excuse :

- Pardonnez moi...

- Que je vous pardonne de quoi? s'enquiert Mr Diabé.

- D'être une pute en manque... finit par lâcher ma mère, à contre coeur.

- Bien. Je pense qu'on en a fini pour aujourd'hui. Je vous convoque vous et votre fils dès la semaine prochaine. Il faut qu'on continue de régler son problème de discipline. Déclare Mr Diabé en souriant. Allez sortez tout les deux!

Ma mère se rhabille rapidement et me chuchote qu'on s'en va. Nous marchons rapidement jusque la voiture sans parler. Le trajet se passe en silence jusque la maison et je comprends que ma mère compte faire comme si il ne s'était rien passé.

Arrivée à la maison, elle embrasse mon père comme de rien était et moi je monte dans ma chambre. Je suis horrifié par ce que je m'apprête à faire mais il faut que je me branle. La vidéo de ma sœur. La déchéance forcée de maman. Trop d'images se bousculent dans mon esprit et je ne tarde pas à jouir en criant, expulsant une quantité de sperme anormal qui atterrit sur mon ventre. Fautif, je nettoie rapidement et décide de descendre manger. Bien décidé à ne plus jamais reparler de ça...

Le week end se passa sans imprévu mais à notre grand effroi, dès le lundi ma mère reçut un message de Mr Diabé. Elle me prévient que nous sommes convoqués en fin d'après midi dans son bureau.

Je lui ai demandé si elle voulait qu'on en parle à la police, que tout ceci pourrait s'arrêter mais elle m'a répondu que Mr Diabé était un homme trop influent et que si on commettait cette erreur, je pourrais finir en prison. Notre sort était donc scellé...