Trois sœurs: Roxane

BÊTA PUBLIQUE

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- Pas encore, pitié papa, pas encore...

- Si, si encore.

- Pourquoi tu me fais ça, papa?

- Pour venger Anne de ce que ta sœur, Lindsay et toi lui faîtes.

Roxane répond dans un souffle.

- J'ai rien fais... de mal... papa, c'est Anne ... qui veut...

Cette pute ferait n'importe quoi pour que je la laisse tranquille. Je connais la vérité, puis les marques sur le corps de Anne ne mentent pas.

- Menteuse, j'ai vu le corps de Anne, les traces de coups. On est amant maintenant. Alors je vais la venger.

Je me relève en faisant relever Roxane. De nouveau je la plie en deux sur la table. Il lui reste un pucelage à prendre, mais ce ne sera pas pour de suite. J'ai envie de profiter encore une fois de sa petite chatte si serrée. Quand je la pénètre de nouveau, les hurlements de Roxane reprennent immédiatement. Cette fois je ne prends pas de gants, je me mets à la défoncer immédiatement, à grands coups de reins.

- Argh!!! Arrête, papa, arrête!!!

Je la défonce en geignant, lui massacrant la chatte, la déchirant, la faisant saigner. Cette petite putain est vraiment trop étroite pour ma queue. A chaque fois que ma bite sort du vagin détruit de Roxane, elle se couvre un peu plus de rouge. Je ne le saurais que plus tard, après en avoir fini pour cette fois, mais ses blessures sont légères et bénigne. Au bout de dix minutes dans son conduit trop étroit pour recevoir un engin de ma taille, je me mets a accélérer mon viol. Mes gémissements de plaisirs montant, se mêlent aux hurlements de douleur de ma fille.

- Je vais jouir Roxane, putain, je vais joui!!!

- Pas dedans, papa, pas dedans. Je ne veux pas tomber enceinte de toi!!!

- Si, si, je veux te faire un môme!!!

Quand je me fiche en elle, j'inonde sa matrice de mon sperme, criant mon plaisir.

- Noooooon!!!

Roxane a crier une nouvelle fois, autant par douleur, que par la peur d'être imprégner par mon sperme.

- Sors! Je t'en supplie, papa, sors!!!

- Non. Je vais recommencer!!!

- Pas encore, pitié, pas encore!!!

Je n'en ai cure, sans ressortir, je recommence à aller-et-venir dans le vagin remplie de sperme de ma propre fille, de ma petite dernière. Cette fois, les hurlements de Roxane sont moins fort, moins long, moins puissant. Elle s'épuise. C'est ce que je veux, la baiser alors qu'elle ne crie plus, qu'elle ne bouge plus. Peu importe le nombre de viols que cela demandera, j'ai mes petites pilules pour ça. Puis quand elle sera totalement muette lors de mes viols, je lui défoncerais l'anus, histoire de lui faire reprendre ses hurlements. Je veux la détruire, la briser pour tout ce qu'elle a fait à Anne.

J'ai jouis cinq fois de plus en elle, avant que Roxane ne soit complètement inerte quand je la viole. Je savoure ce septième viol silencieux, ma fille n'ayant même plus la force de geindre quand je lui fais trop mal. Seul son visage qui se déforme, montre les signes de sa douleur. Anne quand à elle est toujours dans sa chambre, elle a pour consigne de ne descendre que quand je l'appellerais. En attendant elle doit me laisser jouer avec sa plus jeune sœur. Je vais au bout de ce nouveau viol. J'éjacule en elle, en rajoutant à la quantité phénoménale de mon sperme déjà présent dans son corps. Quand je me retire, un flot impressionnant de sperme rosé coule du petit vagin de Roxane. Sa vulve reste grande ouverte. En geignant doucement, elle glisse de nouveau au sol. S'y roulant en boule, le corps secoué de spasmes de douleurs. Je suis vidé, je vais prendre une nouvelle pilule et je vais m'asseoir dans le canapé, le temps qu'elle fasse effet. Je viens de détruire la plus jeune de mes filles. Roxane n'a que dix-huit ans et ne connaîtra jamais le bonheur. Tant pis, cela lui apprendra à faire ce qu'elle a fait à Anne.

Petit à petit, la pilule fais effet. En matant mon enfant à terre, pleurant de tout son saoul, murmurant comme une litanie : « Pourquoi, papa? Pourquoi, moi?». Ma bite où le sperme et le sang de Roxane a désormais sécher est de nouveau dur. Je me lève, je la fais mettre à quatre patte.

- Pitié, pas encore, pas encore!

Je n'ai cure de ses suppliques. Au contraire, ils m'excite. Je la fais avancer vers le canapé, en la tirant par les cheveux.

- Papa, laisse-moi, j'ai mal! J'ai si mal!!!

Une fois devant le canapé, je la soulève, je la met sur l'accoudoir. Torse et visage sur le canapé, ventre sur l'accoudoir, pieds au sol. Dans cette position, son cul magnifique est surélevé, offert. C'est par là que je vais la prendre, à sec, sans préparation. Ni par un lubrifiant, ni digital.

- Papa, pitié, je n'en peux plus!

Pour toute réponse, je glisse mon pieu entre ses fesses, mon gland contre son anus.

- Tu fais quoi, papa?

- Je vais t'enculer. Tu as vu Anne, tu sais le mal que cela fait de se faire sodomiser.

- Je t'en supplie papa, pas ça! Pas ça!

Pour toutes réponses je commence à forcer. Son sphincter cède rapidement, ma bite rentre alors en entier entre les fesses de Roxane. Mon ventre heurtant ses fesses dans un bruit de grandes claques mouillées. Le hurlement de ma fille est inhumain. Elle cabre de tout son corps, avant de retomber, toujours hurlante, sur l'accoudoir du canapé. Je lui tire les cheveux pour lui faire prendre une meilleure position. Puis je commence alors à la pistonner violemment. Déclenchant une série de hurlements plus affreux les uns que les autres. Moi, j'apprécie ce fourreau si étroit. Le conduit anal de la belle, serre ma bite en entier, fait rare pour une sodomie. Je sens les parois de ses entrailles palpité de chaque côté de mon membre. C'est tellement serré que c'en est presque douloureux pour mon chibre. Mais je la viole néanmoins comme un sauvage. Cette conne se contracte à l'extrême, rendant encore plus douloureuse sa sodomie. Mais je n'ai cure de rien, je la sodomise comme un malade, lui fissurant l'anus. Le sang de son pucelage anal, ainsi que celui de ses fissures, lubrifient un peu son conduit. Je glisse un peu mieux en elle. Mais cela n'atténue en rien les hurlements de Roxane, au contraire, ma putain de gamine hurle à s'en démettre les cordes vocales. Je veux la défoncer, la traverser de mon braquemart devenu couteau, épée, lance. Mon engin lui massacre l'anus, le rectum, les entrailles. Mais ce n'est qu'un début, je compte bien la détruire de mon engin. Je la tiens par les cheveux tout le long de mon enculage. Ses cheveux comme son corps sont trempés de sueur. Je lui fais le plus de mal possible, cherchant à la faire gueuler de plus en plus fort. Je la viole ainsi de longues minutes. Son hurlement devient plus strident quand, tel un geyser, ma semence lui inonde les intestins. Quand je me retire, son anus palpitant reste grand ouvert, peinant à se refermer. Roxane reste sur l'accoudoir, la tête dans les coussins. Je lui soulève le visage, m'assois en dessous, puis je fais redescendre sa tête sur mon chibre. Enfonçant dans sa bouche une bite souillée de sperme, de sang et de merde. Elle m'a nettoyée la bite de sa langue, une nouvelle fois, j'ai jouis dans sa gorge.

Une fois sa pipe fini, j'ai portée Roxane dans sa chambre. Je l'ai violée toute la nuit par tout ses trous. A la fin, épuisée, totalement vaincu, ma fille se laisse baiser sans bouger, comme un pantin désarticulé, comme une poupée gonflable vivante aux orifices si agréable. Elle fixe le plafond de ses yeux morts, subissant mes derniers viols sans aucune réaction. Je me suis endormi vers huit heures du matin. Quand je me suis réveillé, il est quinze heures. Roxane dors. Je me retiens de la baiser en voyant son corps nu, couvert de bleus. Son entrecuisse est devenu violette à force des frottements de mon corps. Mais je ne la touche pas, j'ai envie de mon amour, d'Anne. J'installe deux caméra Wi-fi, que je cache, pour pouvoir surveiller Roxane. Je sors de sa chambre en fermant la porte à clés. Je descend, Anne est dans le salon, nue. Elle me fais un grand sourire en me voyant. Ma fille adorée mets en marche la machine à café. Elle s'approche de moi, me roule une courte pelle. Puis elle se recule.

- En attendant que le café soit prêt.

Elle s'agenouille devant-moi, baisse mon caleçon et avale mon engin. Je me laisse faire, savourant cette première fellation matinale.

Quand je jouis dans sa bouche, Anne avale tout. On s'assoit à la table pour pouvoir boire chacun notre café.

- Alors?

- J'ai jouis au moins quinze fois. Je me suis masturbée comme une folle en te regardant violée Roxane et me venger.

En effet la veille pendant que Anne se faisait forcer par sa sœur, j'en ai profité pour installer des caméra wi-fi dans tout le salon. J'ai souris à ma fille.

- Et ce n'est que le début. La suite va être encore plus dur.

- Comment ça?

- Je te le dirais plus tard. En attendant, cela te dirais que l'on aille dans ta chambre pour que je visite ton vagin et ton anus?

- J'en rêve.

Je me suis levé, j'ai pris Anne par la main et on est allés dans son lit.

J'ai jouis deux fois dans son ventre et une fois dans son anus avant que l'on soit rassasiés. Tout en tenant Anne dans mes bras, j'engage la conversation.

- Je vais appeler Pierre, pour qu'il vienne avec Kevin.

Pierre c'est mon frère. Il a un fils de vingt-quatre ans, Kevin. Il est retardé, il a le niveau d'un enfant de quatre ans. Pourtant c'est une force de la nature, un géant de deux-mètres-quinze. Seule Anne l'appelle par son prénom, Lindsay et mes deux autres filles le surnomme le débile. Mon frère élève mon neveu seul depuis la disparition de sa femme neuf ans plus tôt. Anne me regarde étonnée.

- Pourquoi tu veux appeler tonton et Kevin?

- Pour qu'ils viennent.

- Et Roxane? Si ils l'entendent hurler?

- D'abord tu sais bien que Kevin est amoureux d'elle depuis toujours. Ensuite, j'ai un secret à t'avouer.

- Lequel?

- Ta tante n'est pas décédée... Elle n'a pas disparue non-plus...

- Quoi?

Kevin à été sexué tôt, à onze ans. A douze ans c'est devenu intenable pour lui. Il produit trop de testostérone, trop de sperme...

Pour vous en faciliter la compréhension, et offrir un meilleur confort de récit, je vais passer de la retranscription de ma conversation avec Anne à un descriptif.

Il est obligé de se branler pour se vider au moins dix fois par jour. Sinon, il devient fou. Julia sa mère et Lydie, une jeune orpheline que le couple à engagé le jour de ses dix-huit ans, et son renvoi de l'orphelinat, s'occupent de lui h24. Mon frère est un grand chirurgien gynécologique, il a d'ailleurs sa propre clinique privé généraliste. Julia et mon frère ont eut Kevin jeunes, ils n'avaient que quinze ans. Julie est une vrai bombe brune à la peau mat, aux formes pleines malgré une taille mince. C'est une sicilienne très pieuse. Lydie que le couple à sauvé du foyer pour jeune et ensuite de la rue, voue à la mère de Kevin une admiration sans borne. Si Julia laisse son fils se masturber, c'est sous l'insistance de mon frère. Elle est contre et n'en vois pas les conséquences que cela auraient. Chaque année, mon frère et moi, partons deux semaines ensemble. Dans une vieille cabane, perdu au fond des bois du centre de la France. Une partie de chasse. Enfin, ce que nous appelons chasse. En fait, nous sommes contre la violence contre les animaux, nous chassons à l'appareil photo. C'est notre passion, prendre les animaux sauvages en photos, sur le vif. Par contre nous avons beaucoup moins de pitié pour le genre humain. Moi, de par mon travail d'alors, soldat d'élite. Mon frère, de par ce qu'il a vu dans la pratique de son métier. Pendant cinq ans, avant de lancer sa clinique privé, il a travailler pour une ONG sur place dans plusieurs pays en guerre. Bref, sans nous en rendre compte, ce que chacun de nous à vu nous a donné une profonde haine des humains. Mais nous adorons toujours, et de plus en plus, les animaux. Bref, nous sommes donc partis deux semaines en vacances. Les parents de Lindsay s'occuperaient de mes filles. Julia et Lydie de Kevin qui est alors âgé de quinze ans. Il mesure déjà un mètre quatre-vingt dix. A ce moment nous ignorions que ce voyage va changer notre vie.

En rentrant, je raccompagne mon frère chez lui. Les deux semaines ont été superbes, nous avons pris des tas de photos, descendus beaucoup de bière. Rigoler comme des ados. Notre complicité est énorme avec mon frère. Il lui tarde autant de revoir son fils, que moi mes filles. On est même rentré avec un jour d'avance, sans prévenir personne, histoire de leurs faire la surprise. Quand on est entrés tout est dévasté dans le salon. On retrouve sur le sol les vêtements et les sous-vêtements d'au moins deux personnes. On fouille le rez-de-chaussée, il n'y a personnes. Puis on monte au premier. Les chambres de Lydie et de Kevin sont vide. Par contre dans la chambre de Julia et de mon frère, c'est l'horreur que nous découvrons. Lydie et Julia s'y trouvent, nue, le corps couverts de marque de coups et de sperme. Les orifices déchirés, massacrés, ouverts. Les deux femmes sont évanouis. Quand à Kevin, il dort, j'hallucine sur la taille de son sexe, au moins trente centimètres, pour dix de diamètre, un véritable bras. Les deux femmes ont dut grave morfler. Il est l'auteur de tout cela. Mon frère ne réagit pas. Ayant vu nombre d'horreur, je le tire par le bras, nous redescendons.

- Mon dieu, il c'est passé quoi?

- Je regarde mon frère.

- Ton fils à violé sauvagement sa mère et Lydie.

- Merde, je fais quoi?

- Tu n'as que deux solutions. Soit tu ne dis rien, soit on appelle les flics.

- Mais en prison, il ne pourra pas survivre. Et en hôpital psychiatrique encore moins!

En effet la maladie de mon neveu a empêché son cerveau normal de se développer, seul le cerveau reptilien l'a fait, prenant le dessus. C'est un animal.

- Il ira surement en hôpital psychiatrique... Pas en prison.

- C'est encore pire.

Je regarde mon frère, je sais que je peux tout lui dire.

- Ou alors on ne dis rien.

- Mais Julia, Lydie, on en fais quoi?

- On les laisses à Kevin. On les cachent. Elles n'ont pas d'amis, aucune vie sociale, personne ne s'apercevra de leurs disparition. Tu achète une maison isolée, tu aménage le sous-sol, tu en fais des cellules pour les deux.

- Mais c'est horrible.

- Je sais, je t'énonce tes choix.

- Je ne peux tout d'abord pas envoyer Kevin en prison. Puis il y a autre chose, un truc encore pire...

- Pire que cela?

- Oui, ça m'a excités de voir ces deux putains comme cela... Tu vas me prendre pour un monstre, mais je bande.

Je souris à mon frère.

- Alors on est pas frère pour rien, je bande aussi.

On a réveillé tout ce beau monde. On a enfermé Kevin dans sa chambre, devant des films de culs. Lydie est choquée au plus haut point, incapable de parler. C'est Julia, dans un état à peine meilleure qui nous raconte tout. La mère de Kevin à voulus guérir son fils de ses pulsions sexuels. Pour elle ses branlettes sont pire que tout, cela heurte au plus haut-point ses convictions religieuse. Elle a voulut le guérir en lui ôtant ses films pornos, en lui attachant les mains dans le dos, la corde, pour l'empêcher de se branler. Mais cela à rendu mon neveu fou, sa fureur à décupler sa force. Il a arraché ses liens alors que les deux femmes le nourrissait. Il a assommé Lydie d'un coup de poing. Avant qu'elle n'ai put réagir, il était sur sa mère, lui arrachant ses vêtements, la violant comme un malade. Par la chatte, la bouche, le cul. Lydie s'est réveillée ensuite. Il s'est jeté sur elle, lui défonçant tout ses orifices. Battant sauvagement les deux femmes. Cela à été un enfer de sexe, de coups et de violences pour elle, pendant ces deux semaines. Kevin les violant quinze fois chacune par jour, par leurs chattes, leurs culs, leurs bouches. Après le récit, j'ai violé Julia, Pierre s'occupant de Lydie. Puis une fois que chacun à jouit dans le cul, la chatte et la bouche de sa victime, on a échangés, s'occupant de tout les orifices de l'autre. Une fois vidés, on les a offerts de nouveau à Kevin. Leurs hurlements ont été horrible. Pendant longtemps, très longtemps. On a achetés des menottes, pour attacher les deux femmes, les menottant chacune a un anneaux que l'on a fixé au sous-sol. On a finalement fais un autre choix que d'acheter une maison isolée. On en avaient hérités une de nos parents. Une maison loin de tout, ayant servit de planque aux résistants pendants la seconde guerre mondiale. Il y avaient aussi une demi-douzaine de cellule caché au sous-sol. Pendant la guerre, elles servaient pour garder les prisonniers ennemis. On a juste eus à tout remettre à neuf. Dix jours plus tard, Lydie et Julia en occupe chacune une.

Tout c'est bien passé pendant deux mois. Kevin violant autant se mère que Lydie. Puis il s'est lassé de Lydie. La touchant de moins en moins, mais devenant de plus en plus violent avec elle. Seule Julia, sa mère trouve encore grâce à ses yeux, mais cela fait beaucoup de viols journaliers pour elle, vu qu'elle subit en plus ceux qu'il n'inflige plus à Lydie. On est donc allé en Italie, on a enlevé une jeune femme d'une vingtaine d'années. Cela à été facile, elle était saoul, rentrant de boîte. On l'a prise dans un endroit discret. On l'a d'abord violée nous, avant de la ramener à Kevin. Il à été fou de joie d'avoir une nouvelle copine de jeu. On a donc contacté le mafieux qui règne sur la prostitution, le porno et le trafic de femmes dans notre ville. C'est un pote à Pierre qui lui a donné son nom. C'est un roumain, un certain Radiu. Il nous à débarrassé de Lydie, il était quand même hors de question pour nous de la tuer. Il l'a envoyé en Afrique, dans un bordel pour black travaillant dans une mine de diamant. On la lui a filé gratuitement. Depuis on fais ainsi, en plus de Julia, il y a constamment entre deux et trois filles enlevées, violées d'abord par nous, qui deviennent ensuite les esclaves sexuelles de Kevin. Bien sur, Pierre et moi en profitons aussi. En ce moment c'est une jeune black de dix-huit ans, avec une belle paire de seins, et un formidable cul de black. Il y a également de italiennes de vingt ans. Une jolie châtain, petite et mince, avec de petits seins et un petit cul. L'autre est une fille un peu en chair, pas grosse, non, pulpeuse, avec un cul un peu trop développer, mais surtout une paire de seins énormes et fermes.

On garde les filles entre un et trois mois, cela dépend de Kevin qui s'en lasse plus ou moins rapidement. On les enlèvent assez loin de chez nous, la plupart du temps. Il y a eus de tout, des blacks, des asiatiques, des américaines du nord et du sud, des slaves, des arabes, des australiennes, des européennes du nord ou du sud, des maghrébines. On prends surtout les fugueuses, les sans-papiers, les migrantes. Mais dans un tiers des cas, ce sont des touristes, ou des habitantes du coin.Seule, par deux ou par trois. Copines, mère et filles, jumelles, tout est bon pour nous tant que l'on en a l'opportunité. Que des filles majeurs, jamais en dessous de dix-huit ans. Une fois que leurs remplaçante est trouvée, on les donne à Radiu. Il les envois soit dans des maisons de passe ou d'abattage en Turquie, au Mexique ou en Afrique. Parfois, pour les plus abîmées, elles finissent à faire des shows avec des animaux. Là, leur espérance de vie ne dépasse pas les six mois.

Quand j'ai finis de raconter mon histoire, je regarde Anne.

- Tu m'en veux?

- Non, je comprends. Je comprends aussi pourquoi tu voyais autant tonton.

- Bien, d'ailleurs, quand nous serons prêt, j'enverrais Roxane à un pote de Radiu.

Anne me regarde ahuri.

- Tu va t'en débarrasser?

- Non, juste pour quelques nuits, le temps de bien la punir. Quand Lindsay et Romane reviendront, je la garderais ici.

- En parlant des deux autres, tu as trouvé pour elles?

- J'ai mon plan, reste à trouver les gens pour le faire.

- Je connais quelqu'un qui peux nous aider.

- Qui?

- Lorenzo.

- Le copain de Roxane?

- Oui, le seul à avoir été gentil avec moi. Il m'a même aidée.