Méchant Conte de Noël

Informations sur Récit
Un conte de Noël monstrueux.
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SalomeD
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Même si à priori ici, le gens ne comprennent pas les avertissements, je vais en remettre un, je dirais même que c'est une interdiction aux prudes de lire mon histoire. Ce texte est basé sur le viol. Je l'épelle en majuscule pour que l'on comprenne bien : V. I. O. L. Le non consentement, la violence. Donc si tu n'aimes pas le genre ne lis pas. Si tu lis, tu es un grand garçon, prends tes responsabilités et ne commente pas pour dire c'est mal, c'est pas bien, mon petit être tout sensible est choqué. Si tu le fais, ben je crois que l'on ne peux rien pour toi, tu es du genre à traverser une autoroute à l'heure de pointe et te plaindre de t'être fait écraser, de gueuler contre la délinquance routière, en gros, un être stupide. Attention, j'accepte les critiques, que ce soit sur la qualité, l'histoire, etc. Mais pour me dire que l'on n'aime pas le genre, que la violence c'st mal, alors que je marque un avertissement, non. Je précise que c'est une histoire fantastique, que rien de ce que j'ai écris, n'existe, du moins à ma connaissance. Pour tout les autres, bonne lecture.

2013, fin de l'été.

Agaya est magnifique, blonde, petit cul, petit sein, un vrai canon. Elle est jeune, à peine sortie de l'adolescence à tout juste cent cinquante ans. Moi c'est Olaf, je suis plus vieux, bien qu'encore un jeune homme avec mes deux cents ans. Agaya est une lutine et moi un elfe, le seul à bosser ici. Mais de par ma nature, je suis différent, pervers, j'adore le sexe, même si ici, cela se résume à me branler. Mon patron, Santa étant très restrictif avec cela, enfin, sauf pour lui bien entendu. Mais bon, il ne voit pas d'inconvénient à la clope, l'alcool et la beuh en dehors des heures de travail, donc ça me va. Bref, revenons sur moi. Je pense au sexe à longueur de temps, même pendant tout le temps où je travaille. Travail très dur et éprouvant à l'approche de Noël.

Cela fait cent ans que je bosse pour mon patron, mais j'ai toujours vécu ici. Agaya elle, n'est là que depuis cinquante ans. Mais tout à dérapé ce funeste jour du vingt août 2023. J'ai passé toute ma journée à fabriquer des jouets, on a pas mal de boulot. Je n'ai pris qu'une courte pause pour manger. Là, il est vingt heures, ma journée de douze heures vient enfin de se terminer. Je rentre chez moi, dans ma petite cabane. Je n'aime pas fumer de pétard dans ma maison, alors je sors le fumer dehors. Je prends avec moi la bouteille de whisky. Je suis sur la fin, autant de la bouteille que de mon dixième pétard, quand je vois un mouvement. C'est Agaya qui rentre chez elle. Elle me fait un coucou, j'adore son sourire, ses yeux verts. Avec l'intensité du boulot cette année, je n'ai pas pus me soulager sexuellement depuis des semaines, au moins une dizaine. Je ne sais pas ce qui me prends, ou plutôt je le sais, j'en meurs d'envie depuis ma première branlette. Ce que je ne sais pas, c'est pourquoi mes défenses se sont briser. Certainement le cocktail dut à l'alcool, la drogue, la fatigue et le manque de sexe.

En tout cas, dès que Agaya à ouvert la porte de sa cabane, je me suis précipité, avant que la porte ne se referme, je l'ai poussée dans ses appartements. Je me suis jeté sur elle. Je l'ai violée une bonne partie de la nuit. Dans la bouche, la chatte, le cul. Avant même que je ne la pénètre, a petite chienne à la tête de sainte-nitouche n'est plus vierge d'aucun orifice, même dans son cul, je suis rentré facilement. Elle a dut être enculée il n'y a pas longtemps. Quand j'en ai finis, je suis rentré chez moi. Je me suis laissé tombez sur mon lit, enfin bien vidé. Je me suis endormi de suite.

Le lendemain, c'est la porte de ma cabane volant en éclat qui me réveille d'un coup à sept heures du matin. C'est le boss qui est là, rouge de colère.

- Tu as fais quoi à Agaya !!!

Je n'ai jamais vu le boss comme ça.

- Ben on a baisé...

- Tu lui a demandé son accord ? Espèce de salaud !

Je savais bien que j'avais oublié quelque chose.

- Heu, non...

- C'est un viol ducon, tu entends, c'est un viol.

Bon, sur le moment je ne l'ai pas vu sous cet angle, mais bon, on ne va pas en faire un drame non plus.

Le boss se calme d'un coup.

- Merde, c'était ma préférée. J'ai étais obligé de la renvoyer dans son village. Si ma femme savait ça !!! Si Agaya en avait parlé, ma femme aurait été au courant que je la trompe allégrement!

Bon, je vois le problème de Santa Clauss, mon boss. C'est lui qui baise Agaya. Je m'en suis douté, il baise la plupart des lutine du coin, ainsi que les elfettes. Dans le dos de sa femme. Mais bon, c'est une star, le Père Noël en personne. Toutes les lutines et les elfettes sont folles de lui, prête à se donner à ce vieux pervers. Il n'aime que deux choses, faire plaisir aux gosses en leurs offrants de merveilleux cadeau, et baiser toutes les femmes du coin le reste de l'année.

- J'en ai baisé des centaines moi, mais toujours avec leurs consentements, souvent même à leurs demandes. Mais toi !!! Pervers !!!

Bon, je vois qu'il est plus embêté par le renvoi de Agaya que par ce que je lui ai fais. Il est vraiment égocentrique ce gars. Si nous, les travailleurs qu'il exploite, on avaient pus baiser, on en seraient pas là.

- Vous... vous allez me faire quoi ?

- Je ne peux pas te juger, sale con, tu le sais, ma femme serais au courant de tout.

Et là, il passerait un sale quart d'heure le vieux Santa. Elle n'est pas vraiment facile la Mère Noël.

- Je savais que je n'aurait pas dus t'accueillir ici enfant.

- Mais vous m'avez trouvé bébé, abandonné dans la neige.

- Ce n'est pas la vérité. Tu es le fruit du viol d'une Elfette par un Orc.

- Quoi ?

Santa Clauss réfléchit puis continue :

- Tu as été conçu lors d'un raid Orc sur un village elfe. Ta mère t'a abandonné à la naissance, je t'ai recueillit. Et toit tu viole une lutine ! On m'avais prévenu que ta partie Orc prendrais le déçu sur ta partie Elfe. Ils avaient raison, tu te saoule, tu te drogue, et maintenant tu violes !Je vais t'exiler, tu vas errer sur la terre.

Bon, pour vous dire la vérité, le Père Noël ne vie pas sur Terre, je ne vous dirais pas où, mais on s'occupe de plusieurs planètes. Certaines avec des humains, d'autres avec d'autres espèces. Les elfes et des lutins sont les peuples élus pour travailler avec Santa Clauss. La pire Terre planète est sûrement la pire punition, le pire endroit de cette partie de l'univers, et de loin. Pourtant Orcs et autres Gnomes ne sont pas des plus sympathique je peux vous le dire. Mais vous, les terriens, à part la beauté de vos femelles...

- Pitié, pas sur Terre !

- Tu garderas tes pouvoirs magiques, tu sera éternel, mais oui, tu iras sur Terre. Sans possibilité d'aller ailleurs!

Le Père Noël marmonne un truc, et me voilà parti. Moi qui crois aller en enfer, pour l'éternité en plus, je vais en fait me retrouver au paradis.

Je me suis retrouvé dans une usine qui fabrique des figurines pour Noël mas pas que. Beaucoup de lutins, mais aussi des Elfes, plus rare. Je suis en céramique, une petite statuette d'environs trente centimètres. Mon âme prend alors possession de cette coquille vide, suite à la malédiction de Santa Clauss. Moi qui l'ai toujours adoré, je le haïs maintenant. De là, je suis envoyé dans un magasin Walmart, dans une ville que l'on appelle Nouyorque. Où un truc comme ça. Je ne sais pas pourquoi, mais du mois d'Aout je passe à mi-décembre.

Je suis immobile, dans mon personnage en céramique, au milieu de ces centaines de coquilles vides. Trois humaines arrivent quelques jours après mon arrivée, d'après ce que je comprends, elles sont ravis de faire des achats de décoration de noël. Si elles savaient le monstre lubrique qu'est cet enfoiré de Santa, pas certain qu'elles soient aussi heureuse. Mais bon, il gâte les enfants... Une blonde au décolleté affriolant me prend.

- Tiens, un elfe, ça va ma changer de mes lutins. Il ira très bien au pied de mon sapin.

- Lou, allons, on ne mets pas d'elfes, ce ne sont que des lutins que l'on met pour noël.

- Un peu de changements ne fera pas de mal.

La blonde, Lou, me choisit. Elle me saisit, je vois que son manteau est déboutonné, qu'elle a une belle paire de seins. Ces deux amies, une rousse et une brune sont très belles aussi. Mais Lou, blonde aux yeux verts, me plaît le plus. Elle ressemble un peu à Agaya, quoique plus fine, plus belle et mieux foutu. Je la vois hésité un peu, puis je l'entends dire :

- Allez, un dollars cinquante, il ne vaut rien, je le prends.

Elle me met dans un panier, puis me paie en caisse. Deux heures plus tard, je suis chez elle.

Elle me met au pied du sapin, sur un buffet. Au milieu de tas de lutins dans différentes position. L'endroit ne me plaît pas trop. J'utilise un peu de ma magie. Je l'entends alors dire :

- Kate et Sandy ont raison, tu ne vas pas bien au milieu des lutins. Mais je t'aime bien, je vais te mettre sur l'étagère de ma chambre.

J'entends alors son rire résonner.

- Reprends toi Lou, tu as vingt-deux ans, on ne parles pas aux elfes en céramique. C'est comme le prince charmant, ce n'est qu'imaginaire.

Elle se tait quelques secondes, puis clôture sa phrase.

- Dommage pour le prince charmant, sinon je ne serais plus vierge... Dommage que je ne sois pas lesbienne comme Kate et Sandy, on aurais pus faire un trouple au lieu qu'elles soient un couple...

Puis me tenant dans ses mains, elle m'emmène dans sa chambre. L'appartement n'est pas grand, un petit salon, une petite chambre, avec la salle d'eau intégré. Sur l'étagère j'ai une vue parfaite, donnant à la fois sur le lit de Lou, mais aussi sur la cabine de douche sans rideau. Moi, je passe mon temps à me demander comment un tel canon peut être encore vierge à son âge.

De là où je suis, je deviens fou. Je la vois aller dans la salle d'eau. Se déshabiller. J'adore son soutien-gorge, son petit string. Elle me dévoile de gros seins, lourds, fermes. Un petit cul à la chute de reins bien cambrés, un corps svelte, de longues jambes galbées, un fin buisson de poils blond qui coure sur son bas-ventre. La salope est une vrai blonde. Le pire, c'est qu'elle reste nue, chez elle. La belle lit un bouquin pendant un heure. Puis pendant deux heures elle disparaît, je suppose qu'elle mange. Qu'elle regarde la télé, car j'entends les voix d'un film, avec coups de feux et tout le tralala. Bon cela me surprend, car je ne connais pas encore cet engin, je n'apprendrais qu'au fil du temps ce qu'est une télé.

Il fait chaud chez elle, la belle laisse le chauffage allumé, même la nuit. Elle se couche nue, par dessus les draps. Je peux l'admirer. Quand je comprends qu'elle dort, je sais que je peux jouer. Je reprend ma forme d'elfe, la vraie pas celle de la statuette. Bon, je suis petit, un mètre cinquante pour quarante kilos. Mais par magie je peux changer cette taille, pour l'instant je n'en vois pas l'intérêt. Surtout que la magie est un alliage de savoir et de pouvoirs magiques. Pour le savoir, j'en ai beaucoup, j'ai étudié tout les livres disponible au pays du Père Noël. Pour le pouvoir, c'est comme une batterie, il se recharge avec le temps et diminue quand on l'utilise. Quand je suis arrivé ici, j'étais à zéro. En tant que personnage en céramique, je recharge moins vite. Là, j'en suis que à vingt pourcent de charge. Mais cette nuit, je vais pouvoir rechargé plus vite.

Je regarde Lou dormir, ses longs cheveux blonds s'étalant en corolles autour de son sublime visage. Elle dort sur le dos, j'ai une vue parfaite sur ses gros seins. Je veux me soulager avec elle, mais pour l'instant je ne veux pas me défaire de trop de charge. Alors je marmonne un sort qui va la maintenir endormie. Je ne pourrais pas me faire sucer ou même faire une branlette espagnole avec ses gros seins. Le sort suffisant demande peu de charge quand on est plein, mais là, même deux pourcent c'est trop. Je la fais dormir juste suffisamment pour qu'elle ne sente pas ma présence, ni que des caresses la réveille.

De ma main gauche je commence à me branler, de la droite, je caresse sa peau. Elle est d'une douceur extrême. C'est trop pour moi, j'éjacule un geyser de foutre. Merde le sort de Santa à vidé ma charge de magie, mais pas mes couilles. Dix secondes, c'est mon record de vitesse. Heureusement que j'ai utilisé ce sort léger. Son sein est trempé de semence, enfin ses seins et son torse. Mais j'ai encore envie, alors je recommence à me caresser. Je jouis deux fois de plus avant de m'arrêter. J'ai inondé son ventre puis son visage. Je peux l'essuyer, mais il est tôt, tout juste une heure du matin, cela aura sécher d'ici à son réveil. Quand je me retransforme en céramique, j'en suis à quarante pour cent de charge magique. Le sort que le Père Noël m'a lancé n'utilise pas de mes pouvoirs, tant mieux, cela peux servir.

Redevenu céramique, je sais que je vais la baiser. Mais pas endormie. Pas tant que je n'en aurais pas le pouvoir, surement d'ici à deux nuits, trois maximum, mais je veux la prendre réveiller. Ce sera ma première pucelle, je la veux consciente. D'ailleurs après Agaya ce sera tout juste ma deuxième baise avec une femelle. Une humaine, après les elfes ce sont sans doutes les plus belles femelles de l'univers.

Le lendemain matin, elle grimace sous la douche en voyant la pellicule qui recouvre ses seins et son ventre. Mais elle n'y prête pas plus attention que cela. Ensuite elle quitte l'appartement pour la journée, sûrement pour aller travailler. Elle revient vers dix-sept heures trente. Comme la veille, Lou se couche à vingt-trois heures. Elle s'endort aussitôt. Je reste en céramique jusque à minuit, là, je reprend ma forme d'elfe. Je n'ai pris que deux pourcent de charge depuis la veille, merde, cette forme en céramique me ralentit vraiment, je me dis que demain, quand elle sera au travail, je reprendrais forme pour recharger la journée aussi. Là le sort de sommeil est plus fort. Pas encore suffisant pour me faire sucer, mais suffisant pour ce que je veux faire.

Je retourne son corps nu sur le ventre, je me couche sur elle. Ma bite dans la raie de son cul. Je fais aller mon sexe à l'horizontal entre ses fesses. Je me branle ainsi pendant une dizaine de minutes. Puis j'éjacule en me mettant à genoux, lui inondant les fesses et le dos. Merde que j'aime cette salope, enfin surtout son corps sculptural.

Je la retourne ensuite sur le dos, je vais me branler entre ses seins énormes. Ils ont de larges aréoles à peine plus foncés que la peau, de petits tétons bien ronds. Ils sont aussi fermes que doux. Je suis obligé d'utiliser un peu de magie pour que ses mains maintiennes ses seins l'un contre l'autre. Je peux me branler entre eux. Je le fais une grosse heure, éjaculant deux fois. Inondant son cou et son visage. Quand je me retransforme en céramique, j'ai rechargé à cinquante pourcent, trop juste pour ce que je veux faire.

Le lendemain, il est neuf heures quand je reprends ma forme elfique. Je m'assois sur son lit, rechargeant. À quinze heures je suis plein, c'est trop bon de sentir ce pouvoir en moi. Je retourne sur mon étagère et redevient céramique. Cette nuit là, quand je la fais dormir magiquement profondément, je pourrais la baiser, voir l'enculer en y mettant un peu plus de pouvoir, mais dix pourcent c'est suffisant comme utilisation pour ce soir.

Je n'ai pas fait que l'endormir. Quand je lui ouvre la bouche, et lui enfonce mon chibre, elle se met à me sucer. Une vraie pipe, qu'elle ne saurait faire consciemment, vu qu'elle n'en a jamais faite, mais qu'elle sait faire par magie. Je la gorge profondément, je savoure ses caresses linguales. Je reste deux heures à me faire sucer, éjaculant cinq fois, à chaque fois elle a avalée. J'ai utilisé un peu de magie pour pouvoir jouir aussi souvent. J'ai perdu vingt pourcent de pouvoir, pas grave, je recharge demain quand elle sera au travail.

Je le fais ainsi cinq nuit de plus, me faisant sucer pendant trois heures, ayant jusque à sept jouissance. Puis le vingt-quatre décembre arrive. Je sais qu'elle va réveillonner avec les deux amies avec qui elles étaient lorsque Lou m'a achetée. Je me les ferais bien aussi mais ce sera plus tard. Elles sont canons, mais plus vierge, d'ailleurs Kate et Sandy se moque gentiment de Lou à ce sujet. Je le sais, elle téléphone en mettant le haut parleur de son téléphone, ce qui fait que j'entends tout. Ses deux amies lui conseille même de devenir lesbienne comme elles, au moins Lou aura le sexe sans devoir perdre son pucelage. Mais la magnifique Lou refuse.

Je veux me faire Lou le vingt-cinq décembre, en hommage à ce bon vieux Santa. Il a crut me punir, j'ai crus être punis, mais je m'éclate bien sur cette planète. Je ne me suis jamais fais sucer avant, sauf par Agaya. Mais je préfère avec ma belle au bois dormant. D'ailleurs heureusement que ce n'est pas la vraie belle au bois dormant que je me suis tapé, je ne serais pas là aujourd'hui. Personne ne l'aurait sut. Mais bon, vu que tout le monde se la tape déjà, je n'ai jamais voulus passer sur elle. Elle doit être trop large maintenant. D'ailleurs on l'a même avortée des dizaines de fois, pour une meuf dormante, c'est un record je crois. Bref, pour vous donner le vrai conte, tout le monde sait comment la réveiller, mais personne ne l'embrasse. Ils préfèrent tous se la taper endormie, car vivante elle ne coucherait avec personne. De toutes façon, c'est une conne.

Je vais vous spolier tant que j'y suis Cendrillon. En fait si le prince la recherche, ce n'est pas pour l'épouser, dans la réalité, le con est déjà marié et père de cinq enfants. C'est juste un coureur de jupon qui veut se taper le maximum de vierge de son royaume, et les plus belles en plus. Il en a parfaitement le droit, par rapport au droit de cuissage. Quand il l'a retrouvé, il ne l'a pas épousée ou un truc du genre. Le divorce est interdit pour les princes ou les rois chez lui. Il l'a donc violée par tout les trous. Il l'a fait gardée dans son donjon, la prenant de force pendant plus d'un an. Quand il en a eut marre, il l'a offerte à ses hommes. Je crois qu'elle tourne toujours comme chienne à soldat. Quand à la gentille marraine, c'est en fait une rabatteuse, qui a touchée le pactole pour Cendrillon. D'ailleurs depuis le prince est devenu roi, la marraine est sa maquerelle attitrée. Je pourrais vous raconter la véritable histoire de tas de conte de fée, comme blanche neige la nympho qui se tape les sept nains, mais bon, je préfère vous parler de mon histoire à moi.

Il est deux heures quand Lou rentre. Elle est alcoolisé. Sa courte robe est drôlement sexy. Elle l'enlève devant moi, elle n'a pas de soutien-gorge en dessous, juste un string. Elle l'enlève aussi, en ayant du mal à garder l'équilibre. Puis nue, elle se met devant moi.

- Je suis bourrée l'elfe. Dommage que tu ne sois pas en chair. J'aurais vraiment besoin de me faire baiser. Là, maintenant. Je suis vierge, allez, devient en chair l'elfe. Fais de moi une vraie femme bien baisée!!!

Elle rigole de sa blague, je ne vais pas la décevoir. Elle hurle quand j'apparais sous ma forme d'elfe. Mais rapidement, je deviens autre chose. Sans que je n'utilise ma magie. Je deviens grand, très grand. Je deviens vert, je deviens un Orc. Je suis aussi abasourdi qu'elle, suivant les besoins je peux prendre la forme de mon père, et plus celle de ma mère. Mais c'est inné, sans véritable contrôle, enfin pour cette fois, car ensuite je vais apprendre à changer de forme à volonté. Cela va être pratique en cas de bagarre, mais surtout pour prendre des humaines de force. Je regarde Lou, la conne s'est évanouit. Remarquez, quand je me mate dans un miroir je la comprends, surtout en voyant ma bite énorme, épaisse, couverte de pustule.

La salope va la sentir passer, c'est une vraie batte de base-ball que j'ai, quoique je ne pense pas qu'il en existe des vertes pustulée. Je ne sais pas comment je le sais, mais je le sais, ma bite fait quarante centimètres pour douze de diamètre. Un truc impressionnant. J'espère que Lou va survivre au coït vaginal, son tout premier, car je la veux en vie pour son premier coït anal. J'espère également que je vais la mettre enceinte, j'imagine la tête de toubibs quand ils verront le croisement d'un Orc et d'une humaine. Mais pour l'instant je vais me faciliter la tâche. Je prends une rallonge dans la chambre de Lou, je lui lie les poignets sur le devant. Quand elle va se réveiller, je veux la baiser immédiatement.

SalomeD
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