Trois sœurs: Roxane

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Roxane ma plus jeune fille subit notre vengeance.
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Attention, ce texte est violent, basé sur l'inceste et le viol. Si vous entamez sa lecture, vous le faîtes en toutes connaissances de choses. Si vous n'aimez pas ce genre, passez votre chemin, cela ne vous apportera rien de le lire, au contraire, pour les autres bonne lecture.

Après son hésitation durant laquelle je ne dis rien, Anne reprend.

- Romane, Roxane et Lindsay.

Je reste stupéfait. Mes deux autres filles, et leurs meilleure amie, la fille dont je suis le parrain, forcent mon aînée à se laisser violer. Je ne comprends rien.

- Quoi?

J'ai crié.

- Je suis désolée papa.

- Ce n'est pas ta faute, raconte moi tout.

- D'accord.

Alors ma fille m'a tout raconté.

Cela à commencé le lendemain soir de son anniversaire, le lendemain soir de ses dix-huit ans. C'était un vendredi, ses sœurs et Lindsay avaient organisées une fête surprise chez Lindsay, une fête qui dura tout le week-end, jusque au dimanche soir. Elles avaient maquillées Anne, lui avaient choisis ses dessous, prétextant que pour sa majorité ma fille aînée devait mettre des sous-vêtements sexy. Les trois avaient aussi choisis la tenue de Anne, une petite robe très sexy, limite pute. Si bien que pour la première fois de sa vie, ma fille ressembla à une véritable vamp. Des portes-jarretelles, un mini string, un soutiff transparent, et une robe super décolletée devant comme derrière, ne cachant pas grand chose de son anatomie. Il y avait une centaine d'invités chez Lindsay. Tous des garçons. Ceux de la classe de Anne, ainsi que des amis de Roxanne, Lindsay et Romane. La plupart sont dans le jardin, mais il y en a également beaucoup dans le salon. La jeune fille n'a pas le temps de réaliser qu'il n'y a pas une seule fille, que ses deux sœurs et sa meilleure amie la pousse au milieu du salon. Tout les regards sont braqués sur ce véritable canon, de loin la plus belle fille du lycée. Leur fantasme à tous, l'image de leurs rêves érotiques et de leurs branlettes. Les trois filles l'entourent, Anne s'imagine qu'elle va recevoir son cadeau, sûrement une belle surprise pense la jeune majeure. Ses deux sœurs la prenant chacune par une main, Anne est conduite au milieu du salon. Lindsay les suit.

Un cercle de garçon se forme autour d'elles. Anne se sent devenir un peu claustrophobe. Tout les regards sont braqués sur elle. Ses sœurs et Lindsay recule un peu. Un géant black d'une quarantaine d'années s'approche alors de Anne. Le jeune fille de tout juste dix-huit ans le regarde, ouvrant grand ses yeux éberlués, cet homme lui fais peur. Il jette un regard sur Romane. Du coin de l'œil, Anne voit Romane faire un hochement de tête. Alors l'enfer s'abat sur la jeune rousse.

L'homme s'approche lentement de Anne.

- Roxane? Romane?

Aucune des deux ne lui réponds. Il est presque contre elle.

- Lindsay?

Là encore aucune réponse. Anne veut reculer, mais elle heurte une table qui lui bloque les fesses, l'empêchant de reculer plus loin. Le géant la surplombe, Anne doit lever les yeux pour le regarder.

- Déshabille-toi!

- Quoi?

Une puissante paire de gifle, qui lui éclate la lèvre, l'envoi au sol en hurlant de douleur. Un mince filet de sang coule sur son menton. Deux coups de pieds dans le ventre, la font se rouler en boule.

- Tu vas te déshabiller ou je dois continuer à te frapper?

- D'acc... d'accord...

Anne est en larmes. Le black la relève par les cheveux. Terrorisée, pleurant à grands renforts de sanglots, Anne fait descendre sa robe. Leurs dévoilant ses dessous sexy.

- Merde, elle fait sa pleureuse, mais elle s'est habillée en pute pour venir se faire enculer!

D'un signe de lui, elle comprend que c'est son soutiff qu'elle doit enlevée.

- Pitié...

Il n'a besoin que de lever la main pour que Anne lui obéisse. La jeune rousse passe ses bras dans son dos et défait son soutien-gorge. Elle l'enlève et le fait tomber à terre. Leurs dévoilant ses seins gros, fermes et lourds.

- Tourne sur toi. Lentement.

La jeune fille obéit encore, montrant son cul que l'on croit nu, tant la ficelle minimaliste de son string est caché par ses fesses bombés.

- Joli cul. Enlève le string, mais garde les portes-jarretelles.

Anne hésite, mais la peur des coups est la plus forte. Elle glisse ses pouces dans les échancrures de son string.

Anne pleure de plus en plus. Ses lèvres tremblent. Elle bave. Mais néanmoins, terrorisée, elle descend son dessous. Offrant aux yeux de tous, son bas-ventre, orné d'un buisson touffu de poils roux. Quand l'homme lui caresse la joue, Anne s'urine dessus de terreur. La pauvresse tremble de tout son corps. Elle ouvre la bouche pour parler, mais aucun son ne sort. Le géant black l'attrape par les cheveux et la retourne. Il la plie en deux sur la table, lui écrasant les seins dessus, lui arrachant un petit cri de douleur. Roxane et Romane lui attrape chacune un bras, lui maintenant le torse en croix, tandis que Lindsay grimpe sur la table et s'assoit sur le dos de la rousse. Les trois filles l'empêchent ainsi de bouger et par là même de se débattre. Anne sent alors un liquide visqueux et froid couler dans le sillon de ses fesses.

- C'est juste pour que ça rentre, sinon c'est impossible.

Puis le black fais le tour de la table, il soulève la tête de Anne, pour lui montrer sa bite qui sort de sa braguette. Un engin monstrueux de vingt-cinq centimètres pour au moins six de diamètre.

- Je vais t'enculer avec ça!

Anne est horrifiée, jamais cela ne pourra rentrer dans un si petit trou.

Déjà le black est derrière elle. Anne sent qu'on lui écarte les fesses, ce sont ses sœurs qui lui font ça. L'instant d'après une espèce de champignon intense se colle contre son anus, forçant pour rentrer. Le black se battra quinze minutes avec les sphincters de la fille. Avant de gagner la bataille, de rentrer le bout de son gland en elle. Intromission accompagner d'un hurlement inhumain de la part de la jeune enculée. Hurlement qui s'intensifie au fur et à mesure que le pieu de chair pénètre en elle et que son anus s'agrandit au maximum de ses possibilités. Anne en aurait ruer tellement la douleur est vive, mais ses sœur et surtout le poids du corps de Lindsay sur son dos l'en empêche. La pauvresse est au bord de l'évanouissement quand le ventre du black touche ses fesses, la bite de son violeur en totalité dans ses entrailles. Puis le purgatoire est là. Il se met à la défoncer comme un malade. Lui fissurant l'anus, faisant couler le sang de sa victime le long de sa bite. Il l'a massacrée, détruite, ruinée. L'homme l'a violée longtemps. Très longtemps, la faisant hurler et hurler tout au long de sa sodomie forcée. Il a jouit comme un malade dans ses entrailles. Un flot de sperme, de sang et de merde mélangée est alors sortie de son trou du cul béant et fissurée. Puis ce fut l'hallali, pendant cinq jours, tous l'ont sodomisée, et se sont vidée dans sa bouche, sur son corps, son visage ou encore dans ses cheveux. La forçant à sucer, écarter les fesses, les branler avec ses mains ou entre ses seins. La battant à coups de ceinture, jouant avec des clopes sur son corps. Mais toujours à des endroits que l'on ne verraient pas une fois habillé. Tel les seins, les fesses, le sexe. Moi, je comprends enfin d'où viennent les marques sur son corps.

Anne finit son histoire dans un sanglot. Moi j'ai la haine contre mes deux autres filles et ma filleule. Je vais la venger, les trois vont vraiment payer.

- Je suis une putain, papa. Tu m'en veux?

- Non, je ne t'en veux pas, tu es une victime. Je m'en veux à moi de n'avoir rien vu.

- Tu étais parti un mois avec Tonton et Kevin.

Je m'en rappelle, il allait falloir que je lui parles de cela aussi.

- Elles ne t'ont faîtes violées qu'une fois?

- Non, chaque fois que je sors avec elles, elles me prostituent, deux euros la pipe ou la sodo. Un euro la branlette espagnole ou avec les mains. Une cinquantaine de gars par nuit. Au lycée aussi, les mecs me prenaient dans les chiottes aux récrés, entre midi et deux, et après les cours, jusque à dix-huit heures. En plus deux nuit par semaine, je reste avec le copain de Roxane, Lorenzo, mais je t'expliquerais après pour lui.

- Merde, ça continue encore?

- Oui. Et à la maison, Roxane, Romane ou Lindsay me forcent à les lécher, ou alors elles m'enculent avec des godes ceintures. Surtout les soirs où tu n'es pas là, mais les autres soirs aussi, mais moins durement.

- Dans ta chambre?

- Oui, quand elles dorment à la maison, on ne discutent pas, elles me violent. Mais aussi chez Lindsay, quand on rentrent, après que tout ces mecs m'es violée. Même le père de Lindsay me viole, la mère participe aussi. Cette salope est peut-être la pire de tous, elle me fist carrément le cul!

- Tes sœurs et Lindsay te violent de la même façon? Autant de fois les unes que les autres?

- Oui, aucune pour rattraper l'autre. D'ailleurs, elles m'ont promis qu'à la rentrée, elles mettraient mon pucelage vaginal aux enchères. C'est Roxane qui doit s'en occuper pendant que Romane et Lindsay ne seront pas là...

- C'est finis, je vais te venger.

- Quoi?

- Je vais leurs faire subir ce qu'elles te font subir. Je vais les violer. Toutes les trois.

Alors je lui ai expliquer mon plan.

On a passé le reste de la semaine à faire l'amour. J'ai pris Anne par tout ses trous. On ne le sais pas encore, mais je viens de mettre ma fille enceinte. Père et grand-père à la fois. Cela me fera bizarre. Ce sera une fille, on l'aimera comme un couple normal. Mais en attendant d'en arriver là, j'ai peaufiné mon plan avec l'aide de Anne. Roxane serait la première à subir notre vengeance. Roxane n'a que dix-huit ans, petite, un mètre cinquante-huit, blonde aux yeux verts, elle a un visage magnifique. Quand à son corps, il est simplement parfait. Mince, elle a des seins de belle taille. Un petit cul bombé, mais mis en valeur par une cambrure extrême, rare, splendide. Romane devait partir avec les parents de Lindsay, pendant un mois, dans un grand studio prêté par un ami du couple, le soir de notre retour. Le studio se trouve sur la Côte D'Azur. D'habitude Roxane part avec eux, pas cette année. Officiellement pour rester avec son copain. Dans la réalité, elle ne reste que pour trouver celui qui paiera le plus pour la virginité de Anne. Lorenzo, son petit ami, qui se vide avec Anne, aurait facilement accepté que Roxane parte, j'imagine que c'est tant qu'il peut se taper le cul de la jolie rousse. En fait, mes deux filles et Lindsay ont chacune un mec. Mais elle veulent rester vierge de leurs trois orifices jusque au mariage. Alors pour éviter que les gars aillent voir ailleurs, c'est Anne qui les vident avec son corps. Tout leurs est permis sur elle, sauf le viol vaginal et la mort.

Tout est goupillé parfaitement. Quand on arrivent chez moi, la voiture des parents de Lindsay est déjà là. Je me découvre des talents caché de comédien. Tant je fais le gars enjoué avec tout ce joli monde. On les regardent partir avec Anne et Roxane. Je regarde ma dernière. C'est une vraie allumeuse, habillée moulante ou très court. Je n'y avais jamais vraiment prêté attention, mais maintenant je m'en rends compte. Quand Roxane met ses jupes courtes, et qu'elle s'assoit, on voit le petit triangle fait par sa culotte. Si ce n'était que de moi, je l'aurais violée le soir même. Mais Anne m'a convaincu d'attendre le lendemain, pour que sa sœur passe une dernière soirée heureuse avec nous. Décidément Anne est vraiment trop gentille. Pourtant cela signifie pour mon aînée de devoir léchée le vagin de sa sœur cette nuit. Moi je vais me coucher, je me lève en silence quand j'entends Anne rentrer dans la chambre de Roxane. J'ai des trucs à faire dans la maison. Je colle au passage mon oreille contre la porte de la chambre où se trouve mes deux filles. J'entends aucun bruit, mais il me semble deviner les petits gémissements de plaisirs de l'une et des sanglots étouffés de l'autre.

Quand je me lève à neuf heures, le lendemain matin, Roxane est déjà levée. Ma fille est assise devant la table du salon. Un café devant elle, Roxane regarde des trucs sur son ordi portable. Je lui fais la bise et me sers un café. Elle est en tee-shirt et short de nuit. Je ne porte qu'un jeans. Heureusement que je ne suis pas en caleçon, car en la regardant, je me suis mis à bander à l'idée de ce que je vais lui faire subir. Je bois mon café, puis m'en ressert un autre.

- Tu m'en fais un autre aussi, papa?

- Bien sûr.

Tout en buvant mon café, je fais couler celui de ma fille. J'ai finis le mien, avant de la servir. Je pose le café de Roxane devant elle. Puis au lieu de m'asseoir, je reste debout derrière elle.

- Tu regardes quoi?

- Mes mails. J'efface les pubs.

Je ne lui répond pas, au lieu de cela je pose mes mains sur ses épaules.

- Un petit massage ma puce, comme quand tu étais petite?

Gamine, je lui massais souvent les épaules le matin, Roxane adore ça. J'ai arrêté vers ses quatorze ans, elle était devenu trop âgée, cela aurait put prêter à confusion.

- Oh oui papa, ça fait si longtemps.

Je commence alors à lui masser doucement les épaules. Roxane est heureuse, rien ne laisse présager l'orage qui va bientôt s'abattre sur elle.

- J'adore, continue papa.

Je souris.

- OK ma puce.

Je lui masse encore les épaules deux ou trois minutes. Puis mes mains emprisonne ses seins par dessus son haut. Ils sont un peu plus petits que ceux de Anne, mais aussi ferme. Ils sont de belle taille, Roxane à elle aussi de gros seins.

- Papa... Papa tu fais quoi?

Je ne lui réponds pas, je continue de lui malaxer les seins. Elle tente de m'enlever les mains, mais je suis trop fort.

- Arrête, je suis ta fille.

- Je sais. Tu es tellement belle. J'ai envie de toi.

Roxane panique, elle ne sait pas quoi faire. Elle ne pense pas encore à crier. Mes mains lâche ses seins, elles descendent, remontent son haut au-dessus de sa poitrine. Je vois enfin ses gros seins, ils sont laiteux, bien ronds, gros, avec de petites aréoles rose et de petits tétons.

- Papa, arrête... par pitié, arrête...

Je ne lui réponds pas. Je reprends ses seins en main, ils sont d'une douceur extrême, encore plus doux que ceux de Anne. Elle tente de se lever, je l'en empêche en lâchant ses seins et en pesant sur ses épaules. Je lui fais alors un étranglement. Rapidement elle manque d'air. Sa respiration devient rauque, on dirait une asthmatique qui respire. Elle à la voix de Dark Vador quand elle parle.

- Papa, pitié... Je ne... peux plus... respirer...

Je sens ses forces l'abandonner, il ne faut que trente secondes pour s'évanouir en se faisant étrangler. Je ne vais pas au bout, mais presque, quand je lâche la pression, elle ouvre la bouche pour reprendre de l'air. Comme un poisson que l'on sort de l'eau.

J'en profite, je lui enlève son haut. Puis je la lève de sa chaise, mon bras entourant toujours son cou, ses mains poser dessus, tentant vainement de me faire lâcher prise. J'envoie valdinguer l'objet d'un coup de pied, la chaise se retrouvant loin de nous, Roxane tente de se débattre. Inutilement. Je la courbe en deux sur la table. Sa poitrine lourde s'écrasant dessus, la faisant japper de douleur. Je descend sa culotte sous ses fesses. Dévoilant une petite chatte toute rose, un petit trou du cul hermétiquement fermé. Je retire mon pantalon tout en la tenant. Je sors juste ma queue de mon caleçon. Je bande dur, je sors mon pieu que je fais monter et descendre le long de son vagin.

- Papa... Papa... je suis vierge!!!

- J'espère bien!

Mon gland maintenant est contre sa vulve. Je ne force pas, je fais durer le plaisir de l'attente.

- Prends Anne, c'est une pute et une salope!

- Quoi?

- Elle suce des tas de bites, se fait enculer par tout le lycée et des clients. Pour de l'argent ou par plaisir, cela dépend.

- Ta sœur se prostitue?

- Oui, elle joint l'utile à l'agréable. On ne paieraient pas pour cela, elle le ferait quand même.

- Mais je veux une chatte vierge.

- Elle est vierge de la chatte! Papa, baise-là elle, Anne voudra, moi c'est un viol!

Dans sa tête de violeuse d'Anne, Roxane est persuadée de ce qu'elle dit, moi je connais la vérité.

- Je m'en fou, c'est ta chatte que je veux!

Je ne lui laisse pas le temps de répondre, je fais avancer mon gland dans son ventre vierge de toute visite. Du moins jusque à présent.

Je rabats les poignets de Roxane dans son dos, les tenant d'une main, l'immobilisant. Mon gland est contre son hymen, c'est très serré.

- Papa, pitié, papa!!! Pas toi... Pas toi, papa...

Je ne lui réponds pas. Mon autre main est sur sa hanche gauche. Je me propulse violemment en avant. Elle hurle. Roxane est une femme, je suis à fond dans son sexe. Ses fesses fermes sont contre mon ventre. C'est vraiment étroit, je sens les parois de son sexe contre ma bite, mon gland est dans son utérus.

- Sors, papa, sors! Tu me fais mal, je te jure papa, tu me fais mal!

Je crois que ma fille ne connaît pas le sens du mot douleur. Je vais le lui apprendre. Je ressorts lentement ma bite, la faisant gémir de douleur. Mon engin est couvert de son sang virginal. Une fois seul le gland dans son ventre, je rentre de nouveau en elle, d'un seul coup. Roxane cabre, hurle. Je mets à la défoncer, comme si mon braquemart, devenu lance, cherché à la traverser de part en part. J'y mets toute ma force, toute mon ardeur. Je sens son vagin palpiter contre mon pieu. Jamais je n'ai eus un sexe aussi petit, aussi étroit. La plus jeune de mes enfants a un vagin de petite fille. J'aurais pus la blesser gravement, tellement je met de la force dans mon viol. Heureusement il n'en sera rien, Roxane pourra avoir des enfants, mes enfants, ou ceux d'autre, peu importe. Son sexe est assez solide pour résister à toute l'ardeur et la violence que je met. Je suis tellement à l'étroit dans ce fourreau, que je ne vais pas tenir longtemps. Pas grave, ce sera pour le second round, ou un des suivants, j'ai des tas de pilules sexe-dur dans ma poche. En attendant, je sens venir le plaisir dans le creux de mes reins, plaisir décupler par les hurlements de mon enfant. Un orgasme fulgurant me foudroie quand j'éjacule dans le ventre forcé. Sentant mon sperme chaud en elle, Roxane comprend que je jouis dans son sexe.

- Papa, je ne prends pas la pilule, je ne prends pas la pilule.

Je ne lui réponds pas, j'espère même qu'elle sera enceinte. Je ne lui laisse pas le temps de reprendre son souffle. Je la soulève de la table par les cheveux, je fais agenouiller Roxane au sol. Je lui ouvre la bouche de force, je m'enfonce alors en entier dans sa cavité buccale, lui violant la gorge. Son hurlement de douleur est étouffé par ma bite, devenu bâillon de chair. Sa bouche est ouverte au maximum de ses possibilités, ses commissures menaçant à tout moment de rompre. Mais je n'en ai cure, je lui défonce la bouche. Me servant de ses lèvres comme d'un sexe. Me nettoyant le sexe sur sa langue. Mon pieu prend tellement de place, que Roxane ne sais pas comment placer sa langue, la bougeant pour lui trouver une place. Me procurant ainsi des caresses merveilleuse bien qu'involontaire. Ayant déjà éjaculer dans le ventre de ma fille, la fellation dure plus longtemps, bien plus longtemps.

Je suis resté vingt bonnes minutes à lui baiser le visage. J'ai jouis directement dans sa gorge, lui faisant avaler son premier sperme. Quand je me suis retiré, un mince filet de semence coule de la commissure gauche de Roxane. Je la lâche enfin, ma fille s'écroule sur le sol. Elle se roule en boule, le corps secoué de sanglots. Je vais tranquillement à mon pantalon. Je fouille dans une poche, j'en retire une petite boîte. Je prends une pilule sexe-dur dedans. Puis en sifflotant, je vais tranquillement me faire un café. Je n'ai pas fini de le boire, que déjà ma bite reprend consistance. Quand j'ai bu mon breuvage, je retourne vers Roxane toujours en pleure. Mon sperme s'écoulant toujours de son vagin. Je m'agenouille près d'elle. Quand je lui attrape l'épaule, ma fille geint.