Trois sœurs: Roxane

BÊTA PUBLIQUE

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- Comment ça?

- Roxane est grave amoureuse de lui, il ne l'aime pas du tout. Quand il a appris qu'elle m'avais faîtes violée dans une tournante, il à exigé de pouvoir m'avoir aussi. Au moins une nuit par semaine, vu qu'elle ne veut rien faire avec lui. Elle à accepté et fais accepter à Romane et Lindsay. Les deux autres s'en foutent de qui me viole, tant que l'on me viole.

- Il te force et tu le trouves gentil.

- Non, il ne me touche pas. Devant les filles, il me bâillonne, comme cela, elles ne sont pas étonnée de ne pas m'entendre crier. Il aimerait pouvoir faire plus, mais avec mes nuits de prostitutions, celles où je vident les copains de Romanes et Lindsay, ainsi que ces deux putes, il n'y a pas d'autres nuits de libre.

- Vous faîtes quoi?

- Je me repose et on discute. C'est un mec bien. Si je n'étais pas resté pour toi, il m'aurait emmené loin d'ici.

- Pour moi?

- Oui, je t'ai toujours aimé papa. Comme une fille, mais aussi comme une amoureuse. J'ai toujours su que l'on finirais ensemble. Mais Lorenzo peut nous aider, il connaît bien le black qui m'a violée en premier, et celui-ci peut organiser la même chose pour Lindsay et Romane.

Je n'ai pas sus quoi lui répondre à part l'embrasser. Ensuite de fil en aiguille, nous avons fais l'amour.

Une fois que j'ai eus jouis dans son ventre, j'ai pris mon portable pour appeler Pierre. Il a répondu à la troisième sonnerie.

- Allô mon frère, comment-va?

- Bien, tu pourrais passer chez moi, avec Kevin.

- Oui, mais tu es seul?

- Non, il y a Anne et Roxane.

- Tu connais Kevin, ses penchants. Si Anne ne risque rien, car il la considère comme son amie, il est amoureux de Roxane.

- Je sais, ne pose pas de questions et viens.

- Comme tu veux.

Pierre à raccroché son téléphone, il est descendu au sous-sol cherché son fils. Ce dernier est en train de violer l'italienne brune, la faisant hurler en la sodomisant. On le hurlerais à moins, quand une bite de quarante centimètres pour dix de diamètre vous viole le fondement. Pierre attend que son fils est fini pour lui dire qu'ils doivent venir chez moi. Ce dernier quitte à contrecœur sa maîtresse forcée, mais est heureux de pouvoir aller voir son amie Anne, et son amoureuse Roxane.

Mon frère, intrigué par ma demande de passer avec Kevin, alors que je ne le voulais d'ordinaire jamais, à filé un somnifère à son fils. Son métabolisme ultra-rapide fais que le comprimé ne marcherais que deux heures sur lui, au lieu de huit chez un humain normal. Donc mon frère entre seul chez moi, Kevin dort dans la voiture. J'ouvre la porte, il me fais la bise. Je suis juste en caleçon, en l'attendant, j'ai sodomisé Roxane. On entre dans le salon, il embrasse sa nièce, Anne.

- Finalement Roxane n'est pas là?

- Non, elle est dans sa chambre, elle est malade.

- Je vois, tu veux que j'aille la voire?

- Oui, ce serais une bonne chose.

Mon frère, Pierre, ne vois pas le sourire de connivence que l'on se fais avec Anne. Il monte directement à l'étage. Il tape à la porte de la chambre de Roxane et entre. Ma fille est de dos, couchée dans ses draps, seule la tête dépasse. Pierre ne vois que ses cheveux blonds. Aux bruits de sa nièce, il comprend qu'elle pleure.

- Tu es malade ma puce?

Choquée par une énième sodomie, elle ne répond pas, se contentant de pleurer. Il baisse un peu les draps, pour dégager son visage. Elle à les yeux complètement rougis par les larmes. Roxane lève les yeux vers son oncle. Elle murmure, du bout des lèvres, à peine un souffle.

- Laisse-moi, tonton.

En geignant de douleur, et tout en restant dans les draps, elle se retourne, pour tourner le dos à mon frère. Ce dernier est inquiet, ce n'est pas normal qu'elle est mal comme cela. Puis en plus, voir Roxane pas trop habillée lui fais envie, malgré tout ce que l'on vies ensemble Pierre ne m'en a jamais parlé, il fantasme sur mes filles.

D'un geste il enlève le drap du corps de Roxane. Cette dernière est en chien de fusil, ses bras autour de ses genoux. Il ne vois que son dos, ses fesses, et la fin de sa vulve. C'est bien assez. Roxane ne s'est pas lavée. Mon sperme et le sang de ses légères blessures anales et vaginales ont séché. Mais cela ne fais aucun doute, sa nièce à été sauvagement violée. Pierre sent son sexe devenir dur comme de l'acier.

- Il faut que je t'examine.

- Non, tonton, ne me touches pas. Je ne veux pas que l'on m'examine.

En silence, il se déshabille.

- Pourquoi?

- Je ne veux pas que l'on voit mon sexe, mon anus.

- Tu t'es faîtes violée, c'est ça?

Pierre est obligé de tendre l'oreille à chacune des réponses de Roxane tant elle parle doucement et difficilement.

- Ou... Oui...

- Merde, tu sais j'ai l'habitude d'examiner des filles violées, je suis également légiste et expert en violence sexuelle.

- Je sais, mais...non...

Roxane murmure et pleure en même temps. Mais Pierre comprend tout.

- Qui t'as fais ça?

Roxane ne répond pas. Pierre pied nu et torse nu, est en train d'enlever son pantalon.

- Roxane répond où je préviens la police.

- Non, pas les flics.

- Alors dis-moi c'est qui.

- C'est papa, il est devenu fou.

- Quoi? Ton père?

- Oui, il n'a pas arrêté depuis hier, sous un faux prétexte.

Pierre est maintenant complètement nu, sa nièce lui tourne toujours le dos.

- Je vais t'examiner pour voir si au moins tu n'as pas de blessure interne grave.

- Non, tonton, je ne veux pas que tu regardes là...

- Si, il le faut. Mais tu peux rester dans ta position. Je vais juste jeter un coup d'œil.

Quand elle sent son oncle grimper dans son lit, Roxane ferme les yeux. Elle sait qu'elle ne pourras pas le faire changer d'avis. Alors autant le laisser faire.

Elle sursaute en geignant, quand elle sent les mains de son oncle se poser contre ses épaules. Mais elle ne se retourne pas, elle n'ouvre pas les yeux. Par contre quand elle sent son corps se coller au sien, Roxane comprend qu'un truc pas net se passe.

- Tu fais quoi Tonton?

- Je vais t'examiner sans regarder. Et pour ça, il n'y a qu'une seule façon.

Quand elle sent le pénis de son tonton se glisser entre ses fesses, Roxane va pour se retourner. Ce n'est pas possible, pas lui aussi. Mais son geste est stoppé par son oncle, qui la maintient en place en la tenant fermement par les épaules.

- Tonton, tu ne peux...

La fin de sa phrase se termine dans un hurlement, son oncle viens de pénétrer ses entrailles de toute sa longueur, entrant facilement dans le trou du cul de la fille encore largement ouvert. Il la viole comme ça, elle en chien de fusil, lui la plaquant contre lui, en la tenant par le torse, ses mains pétrissant les seins énormes de la jeune fille.

- Putain, tu es vraiment serrée toi! En plus tu te contracte comme une conne, c'est divin.

Il la sodomise rapidement, jouissant en elle au bout de cinq minutes. Mais à peine s'est-il retiré de l'anus de sa nièce, qu'il la retourne sur le dos. Il se glisse entre ses cuisses et lui viole la chatte.

Pierre est resté une heure avec Roxane. Quand il redescend, il n'est qu'en caleçon.

- Alors, tu me racontes?

- Après, tu ne veux pas que l'on aille chercher Kevin?

- Il va la déchirer!

- Et alors, tu es capable de la recoudre facilement?

- Certes. Mais il reste deux heures avant que les somnifères de Kevin ne fasse plus effet. - Tu ne veux pas que l'on s'amuse un peu avec Roxane tout les deux?

- Bonne idée, j'ai hâte de tester ses trous de putain, avec une bite dans la chatte et une dans le cul.

Je regarde Anne en souriant.

- Va jeter de temps en temps un coup d'œil à Kevin. Il est dans la voiture de ton oncle. - -- Nous en attendant, on va s'amuser avec ta sœur.

- Allez-y, et défoncez-la au maximum.

Pierre me regarde intrigué par la réponse de Anne.

- Allez, Pierre, prenons une pilule et allons visiter Roxane. Pour le reste on t'expliquera quand Kevin jouera avec sa cousine.

Je suis donc monté avec mon frère, après avoir pris chacun une pilule. Quand Roxane nous vois tout les deux, elle gémit. Comprenant que quoi qu'il advienne, ce sera douloureux et sexuel pour elle. Le futur immédiat lui prouva qu'elle avait raison. On lui a tout fait. Notre duo étant maintenant parfaitement rodé. Roxane est tellement traumatisée par les viols qu'elle a subit, qu'elle ne nous oppose aucune résistance. Elle s'empale elle-même sur la bite de Pierre quand ce dernier se couche sur le lit. Ma fille est un peu étonnée quand il la plaque contre son torse. Quand je l'encule, ses hurlements commence alors à sortir. Si elle est la pute la plus étroit que j'ai baisé quand je l'ai violé seul, son étroitesse se sent encore plus avec deux bites en elle. Jamais Pierre et moi n'avons été autant compressé dans des orifices. En la soignant plus tard, il m'en expliquera les raisons. Roxane à un vagin et un conduit anal beaucoup plus étroit que la normale, une malformation rare. Mais surtout il est beaucoup moins élastique, reprenant ainsi après chaque viol son étroitesse initiale. Elle donnera ainsi une impression de violer une vierge toute sa vie. Par contre, cela l'empêche d'accoucher d'une manière normale, il faudra à chaque fois, lui faire une césarienne. Mains nous n'en sommes pas là. Une fois vidé dans son vagin et son anus, on a échangé les conduits. Puis on l'a violés à deux dans la chatte, avant de la prendre à deux dans le cul. Quand on est descendu bien vidé, ma fille n'est plus qu'une loque immobile. Fixant le plafond d'un regard vide et fixe. Roxane pense avoir vécu le pire, Kevin va lui prouver que le pire c'est lui.

Quand on est redescendu, Kevin est dans le salon avec Anne. Mon aînée joue avec lui. C'est sûrement la seule femme qui peut rester seule avec lui sans rien risquer. Quand ils nous vois descendre, ils nous fais un grand sourire.

- Papa, tonton, Kevin envie baiser.

- D'accord, viens, on a une surprise pour toi.

On le guide vers la chambre de Roxane. Arrivé devant la porte, on le fait se mettre nu. Son sexe est dur. Comme à chaque fois sa taille hors-norme m'impressionne. Je lui ouvre la porte. Roxane est restée dans la même position. Couchée sur le dos, jambes écartées, ses yeux fixant le plafond. Kevin se met à baver d'envie en voyant son amoureuse nue.

- Kevin peut baiser Roxane?

- Oui mon neveu, tu peux.

- Merci tonton!

Kevin ne se le fait pas dire deux fois. Nu, il se dirige vers ma fille. Roxane quand à elle ne semble rien avoir entendu de notre conversation. Roxane n'a pas bronché quand Kevin s'est couché sur elle. Par contre, quand la bite monstrueuse du jeune homme est entré dans son corps, massacrant ses chairs tendres, dévastant tout sur son passage, le visage de ma fille s'est transformé en un horrible masque de douleur, tandis que le hurlement le plus terrible que je n'ai jamais entendu est sorti de sa gorge. Kevin à alors entrepris de la défoncer, dans son style fais d'une violence terrible. Pierre et moi sommes alors sortis de la chambre, les laissant dans la plus strict intimité. Pour hurler, Roxane à hurler toute la journée, jusque à ce qu'elle s'évanouisse de douleur et que Kevin, enfin vidé s'endorme dans le corps de sa cousine, après une énième éjaculation. Pierre, Anne et moi étions alors couché depuis longtemps. Le lendemain, nous sommes allé chez Pierre. Nous avions estimé que c'était mieux. En effet, mon frère et moi pourrions jouer avec les prisonnières, tandis que Kevin s'amuserait avec Roxane. Bien entendu, je n'oublie pas Anne à qui je fais souvent l'amour. Notamment en regardant le viol de Roxane par le jeune homme. On a laissé joué Kevin trois jours complets avec Roxane. A la fin, la plus jeune de mes filles est complètement brisée, totalement détruite. Ses orifices massacrés restent grands ouverts, n'arrivant pas à se refermer. J'ai également violé les trois prisonnières de Pierre, ainsi que Julia que je me lasse pas de me faire. Mon frère qui dans sa villa à une salle d'examen gynécologique, s'occupe alors de Roxane. Il soigne et cautérise les différentes petites plaies, douloureuse mais sans gravité, du vagin et du rectum de ma fille. Puis je décide de rencontrer ce fameux Lorenzo.

Du téléphone de Roxane, Anne envoi un message à Lorenzo : « Je suis chez mon oncle, avec Anne, on garde sa maison. Tu peux passer te la faire si tu veux. Dis-moi si tu ne viens pas, j'appellerais ses clients. ».

- Tu es certaine qu'il va venir?

- Oui, je te l'ai dis, il me protège autant qu'il peux.

En effet, sa réponse n'a pas tardé.

- Envoi-moi l'adresse, j'arrive.

En effet Lorenzo est arrivé moins de trente minutes plus tard.

Le jeune homme est un grand brun de vingt ans. Mince, mais musclé. Il est un peu surpris quand c'est Anne qui lui ouvre la porte. Il est étonné de la voir.

- Ce n'est pas Roxane qui ouvre?

- Entre, je vais t'expliquer.

Le jeune homme entre. Il fixe Anne droit dans les yeux.

- Alors?

- Roxane m'as dis de te dire qu'elle t'attend dans la chambre du premier, juste en face les escaliers. Elle t'expliqueras.

- OK.

Lorenzo grimpe les marches, il ouvre la porte de la chambre et reste immobile, étonné par ce qu'il voit.

Roxane, en pleures, est nue sur le lit. Le corps couvert de bleus et de spermes. Un collier fermé par un cadenas et relié au mur par une chaîne d'acier lui enserre le cou. La voir ainsi le fait bander immédiatement. Certes il ne sera pas le premier à la prendre, mais au moins il pourra se la faire. En le voyant, Roxane se cache les seins et le vagin de ses mains. Il doit tendre l'oreille pour comprendre ce qu'elle dit, en murmurant, entre deux sanglots.

- Lorenzo, aides-moi. Pitié, aides-moi.

- Oui, je vais t'aider.

- Merci, mille fois merci.

Lorenzo pense qu'il ne sait pas comme il va l'aider. Il est en short et tee-shirt. Il ne porte jamais de caleçon. Il grimpe sur le lit. Roxane le regarde pleine d'espoirs. Mais au lieu de la détacher, il se couche sur elle et lui roule un patin. D'une main il sort son pieu, et lui aussi viole Roxane. La jeune fille crie dans la bouche de ce nouveau violeur. Il la violera longtemps, avant de jouir lui aussi dans le ventre serrée de la putain. Puis, comme les autres, il la retournera, et c'est cette fois son petit anus qu'il défoncera sauvagement. Roxane comme c'est maintenant son habitude, le subira, en hurlant, pleurant et suppliant. Quand Lorenzo à finis, il se relève, remet juste son short qu'il a enlever pendant son viol et sort de la chambre. Il doit voir Anne pour savoir ce qu'il se passe. Quand il arrive dans le salon, il est surpris de voir Anne en compagnie de Pierre Kevin et moi. Il nous regarde plus curieux qu'effrayé.

- Mince, c'est quoi ce bordel?

Je le regarde en souriant. Pierre sort avec Kevin, pour le remonter voir Roxane.

- Anne m'a dis ce que tu as fais pour elle et je t'en remercie. J'ai un plan, tu me diras si tu marches ou pas.

Sous les hurlements de Roxane et le retour de Pierre, Lorenzo écoute ce que j'ai à lui dire. A la fin de mon explication, il me donne immédiatement sa réponse.

- Putain oui que je marche.

Dans un premier temps, je décide de prostituer Roxane la nuit. C'est Radiu, le gars chez qui on se débarrasse des filles enlevées pour Kevin, qui s'occupe d'organiser cela. Violée par nous la journée, à l'abattage la nuit, Roxane fut vite psychologiquement détruite. Entre deux viols, elle reste prostrée, silencieuse, l'air indifférente. Tous les soirs, une voiture venait la chercher. On la maquillait, on lui faisait enfiler des dessous de soie, une jolie robe et, les yeux bandés, elle était conduite jusqu'à un squat à la périphérie de la ville. Lorenzo l'avait accompagnée les premières fois, mais maintenant elle y va seule avec l'homme qui loue ses services.

C'était un endroit vraiment peu engageant. Les murs étaient lépreux, les portes défoncées. Il y avait des immondices dans les couloirs, des fils électriques qui pendaient, des fenêtres fermées par des bâches en plastique. On entendait des cris, des rires... C'était un repaire de toxicos, de clandestins et de réprouvés en tout genre, une vraie cour des miracles. Roxane était toujours conduite au premier étage, dans une pièce nue où trônait un vieux lit en fer avec un matelas défoncé et taché. Les hommes faisaient la queue. On se passait le mot. Des jeunes, des voyous, des clochards, des pervers, des drogués, des vieux, il y avait de tout. Le premier soir, ils étaient une dizaine à attendre, et après une semaine plus de trente. Ils faisaient la queue, ils se branlaient. Certains jouissaient avant leur tour. Ils lui pissaient dessus pour se venger. Elle gardait les yeux bandés. Ses poignets étaient attachés aux barreaux de fer du lit qui grinçait. Elle sentait les ressorts du matelas dans son dos. Certains se couchaient sur elle, enfonçaient leur langue dans sa bouche. Au bout de quelques minutes ses vêtements étaient déchirés, ses bas filés, son rouge étalé sur sa bouche et son mascara lui coulait sur les joues. Beaucoup jouissaient dans sa bouche plutôt que dans son ventre. Elle bavait du foutre. Bien sûr, son cul avait des amateurs. Ils la soulevaient par les fesses, ils les lui écartaient et ils violaient son petit trou. Elle avait mal au début, et puis au bout d'un moment elle ne sentait plus rien. Ils se succédaient, limant ses orifices, crachant leur sperme dans sa bouche, sur son visage, sur son corps, dans son vagin ou son anus. Certains revenaient plusieurs fois. Toute la zone entre ses jambes était irritée et très rouge. Souvent, ils étaient saouls, ou camés. Certains étaient tendres, d'autres brutaux, même violents. Ceux-là la pinçaient, la giflaient, lui crachaient dessus, cherchaient à lui faire le plus mal possible avec leur bite. L'un d'entre eux manqua même l'étrangler. Le pire, c'était quand le dernier avait fini de se vider les couilles et qu'ils étaient tous partis en rigolant et en se disant à demain. Son corps retrouvait ses sensations et elle sentait alors la douleur. Elle était si fatiguée qu'elle avait du mal à tenir debout. Le foutre coulait le long de ses jambes. Elle n'arrivait pas à marcher normalement. Elle était forcée de tenir les cuisses ouvertes, tant sa chatte était gonflée et meurtrie. Elle pleurait beaucoup. L'homme la ramenait et systématiquement la violait dans la voiture, la traitant de tous les noms et lui promettant que le lendemain elle aurait encore plus de « clients » à satisfaire.

Une fois rentrée, elle était autorisée à se coucher, souvent sans même avoir été nettoyée. Ce n'est que le lendemain matin que je la lavait et désinfectait ses orifices avec une solution antiseptique. Le reste de la journée, elle la passe à satisfaire Pierre, Kevin, Lorenzo et moi. Avant qu'à vingt et une heures la voiture vienne la prendre pour la conduire au squat où une nouvelle file d'hommes l'attendent déjà.

Et puis, un soir, une semaine après le début de son abattage, c'est moi, son propre père, qui l'accompagne au squat.

Je suis tellement excité que dans la voiture qui nous y conduit je lui demanda de me faire une fellation. Elle porte une jolie robe noire, très courte, et des bas-résille. Elle est maquillée. Je sors ma queue et la caresse. Elle se penche et prend la bonne bite de papa dans sa bouche. Il y a un autre homme sur la banquette arrière. Tous les soirs il accompagne Roxane, il mate, et quand elle est remplie à ras bord de foutre il la baise sur le chemin du retour. Il a glissé une main sous l'ourlet de la robe et il caresse la chatte boursouflée et tuméfiée.

« Oui, salope, suce-moi bien... », dis-je à ma fille.

Elle a enveloppé le gland paternel de ses lèvres fardées et la queue grossit dans sa bouche. L'autre lui triture la chatte. Il lui demande de se soulever un peu et il lui enfonce deux doigts dans le trou du cul.

« La salope mouille? » je le demande à mon compère.

L'autre rit.

« Pas encore, mais plus tard vous allez voir! Un vrai trou à bites! »

« C'est ma fille ».