Les Préservatifs 02 (Confidences)

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« C'est comme une friandise. Tu sais, ces bonbons fourrés. »

« Pourquoi fourrés? », questionne Arthur.

« Parce que, dans ces bonbons, il y a beaucoup de crème, comme dans tes énormes bourses »? répond Fleur.

Est-ce cette phrase ou la succion accélérée de Fleur qui déclenche l'éjaculation d'Arthur? Les giclées se succèdent, toujours aussi volumineuses, dans la bouche de Fleur, qui n'arrive pas à tout avaler. Lorsque Fleur se redresse enfin, de grosses coulées de sperme débordent au coin des lèvres, et coulent alors sur ses petits seins. Fleur étale le sperme sur sa poitrine, comme s'il s'agissait de lait pour le corps, avant de dire :

« Et bien, toi, quand tu jouis, c'est quelque chose ! Tu m'en as mis partout. Alors, tu vas me nettoyer. »

Fleur se place au-dessus d'Arthur et lui offre ses seins à sucer. Il s'assure de sa tâche avec beaucoup de plaisir, pour lui comme pour elle. Fleur l'en remercie par un long baiser à pleine bouche, où Arthur retrouve encore le goût de son propre sperme.

Après ces instants d'un fort érotisme, Fleur pose sa tête sur le ventre de son Nounours, son nouvel oreiller. Après le plaisir, c'est le moment du partage amoureux. Arthur cherche à exprimer ses sentiments :

« Tu vois, Fleur, je suis loin de pouvoir t'apporter tout ce que tu peux attendre d'un mari. C'est triste. J'aurais tellement aimé que tu sois ma femme. C'est tellement dommage ! »

Fleur reste un long moment avant de s'exprimer, elle aussi :

« Mon Nounours, si tu veux de moi comme femme, pourquoi refuserais-je? Il n'y a pas que le sexe dans la vie, et puis nous trouverons plein de moyens de faire des choses très excitantes ensemble... »

«Mais... » l'interrompt Arthur, que Fleur ne laisse pas finir :

« Non, pas de mais. J'ai envie de te faire des confidences, très intimes. Ça clarifiera les choses. Tu veux bien? »

« Oui... c'est une grande confiance que tu me fais », répond Arthur.

Alors Fleur commence son long récit.

« A 18 ans, j'étais toujours vierge. Mes copines avaient eu des rapports sexuels bien plus tôt. J'ai voulu rattraper mon retard, alors j'ai flirté avec le premier garçon venu, dans ma classe. Je n'avais aucune attirance pour lui. Il n'était là que pour me débarrasser de ma virginité. Je n'ai même pas cherché à savoir s'il avait déjà fait l'amour. En fait, il était aussi inexpérimenté que moi. Je me suis mise nue devant lui, couchée sur mon lit, jambes écartées, offerte, pour que ça se passe au plus vite. Cette vue l'a bien fait bander, mais moi, ça ne me faisait aucun effet. J'étais toute sèche. Il m'a pénétrée sans le moindre préliminaire, d'un coup. Cela a été doublement douloureux pour moi, avec ce frottement sur mes lèvres bien sèches et la perforation de mon hymen. Je n'avais qu'un peu de sang comme lubrifiant, pendant qu'il me ramonait comme un fou, si vite que, moi, je n'ai pas pu passer de la douleur au plaisir, et que, lui, a atteint la jouissance au bout d'une minute. Il s'est vivement retiré et son sperme a gicle sur le sol, au pied du lit. Je l'ai congédié vite fait. »

« Tu n'as pas eu de chance. J'espère que tu as pu trouver mieux ensuite », s'apitoie Arthur.

Fleur poursuit :

« Si on peut dire... enfin, pas vraiment. Après cette défloration malheureuse, je me suis dit que j'aurais pu tomber enceinte de ce crétin, s'il ne s'était pas retiré à temps. Je suis alors allée voir un médecin, qui m'a prescrit la pilule. Après seulement quelques jours de prise, j'ai commencé à rencontrer divers problèmes de santé, dont des saignements. Le médecin m'a dit que la pilule contraceptive ne me convenait pas. Il m'a proposé un stérilet, dont la pose invasive m'inquiétait. Quant au diaphragme, avec sa gelée à mettre au dernier moment, cela m'a paru un 'tue l'amour', pour une efficacité très relative. Je me suis dit que j'utiliserai des préservatifs.

Comme ma première expérience avait été très négative, je ne me suis pas précipitée, à cette époque vers d'autres garçons. J'avais souvent recours à ma main et, même si je n'atteignais pas l'orgasme, cela me faisait beaucoup de bien. J'ai même essayé quelques légumes et c'était assez excitant, surtout quand je les choisissais bien gros. Cela a duré jusqu'au jour où j'ai rencontré un étudiant qui était beau comme un dieu grec. »

« Et là, cela a été beaucoup mieux, j'imagine... », dit Arthur.

« Oui et non », répond Fleur, « Ce garçon, s'il était beau, n'en était pas moins très prétentieux, considérant les femmes qu'il mettait dans son lit comme juste des trophées. Quand il est venu dans ma chambre, j'ai eu bien du mal à le convaincre de mettre un préservatif. C'était essentiel pour moi, car j'étais au plein milieu de mon cycle. Plutôt que de repartir bredouille, il a fin par accepter. Là, il m'a bien préparée par des caresses des mains et de la bouche. Je me sentais toute chaude. La pénétration n'a pas été désagréable. J'ai même senti des frémissements dans tout le corps, lorsqu'il me ramonait. Il savait visiblement y faire. Je n'ai pas réussi à atteindre la jouissance. Peut-être le caoutchouc limitait-il mes sensations? C'est possible. Il a fini par jouir. Il s'est retiré et a fait glisser le préservatif bien rempli, qu'il a jeté sur mon pubis en criant 'on ne sent rien avec cette cochonnerie', puis il est parti, furieux, sans même un baiser. »

« C'était encore bien décevant, n'est-ce pas? », dit Arthur.

Mais Fleur rétorque :

« Sur le moment oui, mais pas après... car il y a un après ! Lorsque je me suis retrouvée seule, j'étais encore toute chaude et je me sentais frustrée, privée du plaisir que j'espérais. J'ai commencé par faire passer mon index sur mon clitoris. Cela maintenait mon excitation, mais sans la faire vraiment monter. Il m'aurait fallu, un lubrifiant, une crème, dont je ne disposais malheureusement pas. C'est alors que mon regard s'est posé sur le préservatif. Je l'ai soulevé et, le retournant, j'ai fait couler une goutte de sperme sur mon clitoris. La caresse de mon doigt est devenue sublime. Je sentais mon excitation monter et que j'allais, pour une fois, m'approcher de la jouissance. J'étais déjà bien au-dessus du résultat de toutes mes caresses antérieures, même avec les plus gros légumes.

Je devais ce plaisir nouveau un peu à la lubrification mais surtout à l'idée que je faisais quelque chose de dangereux. Je n'avais versé qu'une grosse goutte sur mon clitoris, mais je savais qu'elle pouvait glisser plus bas, entre mes lèvres et peut-être couler dans mon vagin. J'avais cette sensation à chaque fois que je faisais couler une autre goutte sur mon clitoris, pour permettre à mon index de mieux glisser. Il aurait fallu que je resserre mes cuisses pour limiter le risque, en refermant ainsi mes lèvres, mais mon excitation m'empêchait de le faire. C'est vers le contraire que mon envie m'a poussée.

Je me suis levée pour aller chercher la glace grossissante et orientable qui me sert pour mon maquillage. J'ai placé deux oreillers, l'un sous mes fesses pour faire remonter ma chatte, et l'autre sous ma tête pour mieux voir. Puis, j'ai écarté mes cuisses le plus que je pouvais. J'ai positionné la glace tout près de mon sexe. Ainsi je pouvais voir ma chatte en gros plan. Alors, des deux mains, j'ai bien écarté mes petites lèvres, qui ne se touchaient plus qu'à leur base, ultime barrière d'accès à mon vagin. J'ai pris le préservatif qui était encore bien plein, l'ai retourné et ai fait couler tout doucement son contenu entre mes lèvres vulvaires. C'était incroyablement excitant de voir le niveau du sperme monter dans ce réceptacle improvisé, comme dans un petit vase. Je me suis demandée alors si le seul poids du sperme allait écarter un peu plus les lèvres. Je versais lentement et peu à peu. A chaque fois, je m'attendais à cette fin inéluctable qui approchait. Je jouais vraiment avec le feu. Je redoutais et espérais cet 'accident'. J'ai versé jusqu'à le dernière goutte de semence dans ce réceptacle intime et rien ne s'est passé. Mon excitation était au plus haut et je me suis sentie comme frustrée. Alors, contre toute raison, j'ai pincé le bord des lèvres entre les doigts de chaque main et j'ai tiré très doucement. Lorsque, tout à coup, j'ai vu le niveau du sperme baisser rapidement, j'ai joui violemment, comme ça ne m'étais jamais arrivé, hurlant de plaisir, me tordant sur mon lit, enfonçant une main complète dans mon vagin, barattant fortement en moi tout ce sperme. Penser à une inéluctable fécondation a prolongé incroyablement mon orgasme, me laissant complètement épuisée... mais si heureuse.

J'ai eu la chance qu'il n'y ait eu aucune conséquence.

Voilà, tu sais tout. »

Pour Arthur, une telle révélation est d'une grande valeur, comme il l'exprime :

« Fleur, je suis vraiment heureux que tu te sois confiée à moi, avec un récit aussi personnel. Je dois t'avouer que, lorsque je regarde des vidéos cochonnes, qui m'excitent beaucoup, j'apprécie les situations où les risques de grossesse sont importants. C'est peut-être parce que je sais qu'engrosser une femme est proche de la mission impossible pour moi. Si le sexe de l'homme est énorme, mon excitation n'en est que plus forte, peut-être pour la même comparaison avec moi. Lorsqu'une femme mariée, blanche, risque d'être engrossée par un noir, je trouve excitant de penser à l'humiliation du mari. Tu vois, je te dis tout de mes fantasmes... enfin... presque. »

« Là, tu m'intrigues, Nounours. Allez, parle. Tu en as déjà trop dit pour t'arrêter », intervient Fleur, qui paraît bien excitée.

Arthur reprend timidement :

« Voilà, c'est... délicat, car il s'agit de toi. Lorsque je regarde ces vidéos, c'est toi que j'imagine à la place de ces femmes et... ça m'excite dix fois plus. Je te fais honte, n'est-ce pas? »

Fleur le détrompe en disant :

« Non, pas du tout ! Au contraire... d'ailleurs... »

Elle ne finit pas sa phrase mais guide la main d'Arthur vers sa chatte, pour qu'il sente comme elle est mouillée.

Alors, Arthur, plus sérieux, revient sur le sujet majeur :

« Fleur, j'aimerais t'épouser, si un mari un peu diminué sur le plan sexuel te convient tout de même. »

« Je serai heureuse de vivre avec toi », lui répond Fleur, « et je sais que tu trouveras des moyens de compenser, pour me donner le plaisir que j'espère, n'est-ce pas? »

Fleur veut être certaine qu'ils se sont bien compris, aussi lance-t-elle un échange de questions et réponses :

« Si, par exemple, j'avais besoin de me sentir désirée, pourrais-je flirter un peu? »

« Évidemment, mais il faudra que rien ne se passe sans que je le sache »

« Pourrai-je me laisser embrasser? »

« Oui. »

« Même si c'est un baiser passionné où les langues se mêlent? »

« Bien sûr. »

« Les petites caresses sur mes seins seront-elles acceptables? »

« Oui, même si cela va jusqu'à te faire sucer les pointes. »

« Et si c'est plus bas? »

« C'est la même chose. »

« Admettons que l'homme veuille me prendre, que devrais-je faire? »

« Te faire baiser, si possible devant moi. »

« Mais cela voudrait dire que tu serai cocu, mon Nounours chéri. »

« Oui, mais un cocu heureux. »

« Devrais-je me limiter à un seul amant? »

« Non, il n'y aura pas de limite. »

« Même si c'est en même temps? »

« Oui, je t'ai dit qu'il n'y a pas de limite. »

« Et si un amant veut m'emmener en week-end, loin de toi, ou même en vacances? »

« Ça sera difficile pour moi, mais, oui, ça sera possible. »

« Si un amant un peu trop possessif voulait se réserver certaines choses, pour lui seul? »

« Même réponse. »

« Si un homme voulait me partager avec ses copains? »

« Pourquoi pas? Surtout si je peux assister. »

« Et, si, ses copains, il les faisait payer? »

« C'est à toi de voir. C'est toi seule que ça concerne. »

« Si un amant voulait me prendre sans protection, y aurait-il un moment interdit? »

« Je ne crois pas. Ce sera ton choix. »

« Même s'il s'agit d'un noir? »

« Oui, et je crois même que c'est ce qui m'excitera le plus. »

Avec toutes ces assurances, Fleur conclut :

« Tu seras mon gentil mari cocu, mais je ne ferai pas tout ce que je viens de te dire, rassure-toi. Maintenant, soyons sérieux et commençons la préparation du mariage. »

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... à suivre ...

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4 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 8 mois

On est vraiment embarqués par cette relation bravo

TamokinkTamokinkil y a 9 mois

Encore un chapitre trés bien écrit, j'ai pris beaucoup de plaisir à le lire bien que ce ne soit pas dans mes fétiches habituels, c'est là que je vois le talent! Hâte de lire le troisième!

AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Un couple se forme incluant un futur mari cocu dont les humiliations vont déferler sur lui comme un tsunami

AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Et bien ils se complètent bien tous les deux, leurs fantasmes se rejoignent :)

OlivX

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