Les Préservatifs 01 (Rencontre)

Les préservatifs - 1 (rencontre)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Arthur, assis derrière son bureau du collège, a les yeux rivés sur l'écran de son ordinateur. C'est tout à fait normal pour un documentaliste qui doit faire des recherches à la demande des professeurs. Ce qui est moins normal, c'est qu'il regarde essentiellement des vidéos pornographiques. Il est vrai qu'au collège de Miriville, en ce début d'année scolaire, les professeurs viennent juste de commencer leurs cours et n'ont pas beaucoup eu besoin de lui pour l'instant.

Arthur est à ce poste depuis deux ans et la situation de Miriville, au bord de la Manche, lui plaît bien. Il y a une longue plage de sable, qu'il aime parcourir, d'autant plus qu'elle est bordée de dunes qui permettent à certains couples de faire du nudisme sauvage en journée ou même quelques folies de leu corps dès la nuit tombée.

Ce jeune homme de 24 ans a une expérience sexuelle très limitée, car il a été peu gâté par la nature. Malgré un visage d'angelot agrémenté de cheveux bouclés, le reste est loin d'être à la hauteur. Son tout petit sexe, posé sur de très gros testicules, ne peut être vu que dans une glace, tant son obésité le masque à ses yeux. Arthur a bien vite compris que tout cela ne lui faciliterait pas les conquêtes, d'où son goût pour un voyeurisme qui reste seul possible pour lui. Il se masturbe souvent, à l'aveugle, utilisant pouce et index sur sa bite minuscule. C'est ce qu'il fait en ce moment, sa braguette ouverte cachée par son bureau.

Tout à coup, on frappe à sa porte. Arthur panique presque, essayant de changer rapidement l'affichage de son ordinateur, tout en disant :

« Entrez. »

Il n'a pas eu le temps de faire rentrer son petit engin dans son pantalon. Il s'est contenté de garder sa main droite posée dessus et d'avancer un peu son siège pour que son bureau masque mieux le tout. Quelle n'est pas a surprise de voir entrer une jeune femme magnifique, dont les cheveux bruns assez courts encadrent un visage de rêve, que les yeux verts rendent encore plus beau ! Elle est mince, avec des rondeurs parfaites. C'est trop pour Arthur : après l'excitation de ses activités interrompues et cette vision sublime, il éjacule dans sa main.

La jeune femme, tout sourire, lui dit :

« Bonjour. Je viens me présenter. Je suis la nouvelle prof de français. C'est mon premier poste. Je m'appelle Fleur, vous c'est Arthur, je crois? »

Elle lui tend une main qu'Arthur serre avec retard, car il vient de la frotter rapidement sur la jambe de son pantalon.

'Va-t-elle s'étonner de ce contact un peu gluant?', s'inquiète Arthur. Il semble que non, mais il reste tout de même perturbé, perdant un peu ses moyens, lorsqu'il répond :

« Oui, c'est ça. Je... vous... enfin... euh... je vous souhaite la bienvenue. N'hésitez pas à venir me voir. J'aurais plaisir à faire des recherches de documents pour vous. »

Avec un sourire très charmeur, Fleur dépasse les attentes d'Arthur, lorsqu'elle lui dit :

« Vous pourrez probablement me documenter sur d'autres sujets, car je viens d'arriver et j'aimerais découvrir cette belle région. Peut-être serez-vous, mon guide, Arthur? »

Curieusement, Fleur s'est sentie attirée par ce gros garçon tout frisé, qui lui fait penser à un gros 'nounours', et elle se dit qu'en elle-même elle va l'appeler ainsi. Elle a 22 ans et elle est contente de rencontrer quelqu'un qui doit être d'un âge proche du sien.

Arthur est si surpris qu'il tarde encore à répondre :

« C'est... c'est sûr, ... je serai votre guide, avec grand plaisir. »

« Bon, je vous laisse travailler », dit-elle, se penchant vers lui pour lui serrer de nouveau la main.

Dans le mouvement, son chemisier très ouvert, permet à Arthur de voir, pendant un instant fugitif, deux jolis seins jusqu'aux pointes, qu'aucun soutien-gorge ne cache.

Fleur quitte rapidement la pièce, en faisant un mouvement de doigt depuis ses lèvres comme pour envoyer un baiser à son 'Nounours'.

Paralysé, Arthur n'a même pas eu le temps de lui dire au-revoir.

Le soir, rentré à son appartement, il se demande comment gérer une telle relation. Lui aurait-elle fait des avances? Non, ce n'est pas possible ! Ça ne lui est jamais arrivé. Pourquoi une femme si magnifique s'intéresserait à lui? Il serait fou d'elle, c'est certain, mais comment satisfaire une telle femme avec son 'équipement'? Il sait bien que rien n'est possible avec ce qu'il a entre les jambes. Il a déjà vu dans une glace que son sexe, en érection, fait à peu près la taille d'un pouce, pas plus. Quant à sa situation au repos, la chose est à peine visible, recroquevillée dans des replis de peau.

Cependant, Arthur veut mettre toutes le chances de son côté. Ce soir, il va essayer de pénétrer une femme. Il se rend en bordure d'un petit bois, où ce trouve garée la camionnette d'une prostituée, dont il a déjà utilisé les services qui se sont limités à une masturbation rapide.

« Bonsoir, mon bonhomme, tu viens pour ta branlette, comme d'habitude », l'accueille la professionnelle.

« Euh, non », répond Arthur, « je... voudrais essayer une... pénétration. »

« Tu me parais bien optimiste, mon gars, mais on peut tenter. Ça te coûtera le double, n'oublie-pas », dit-elle en s'allongeant sur un vieux matelas dans la camionnette.

Arthur s'équipe d'un préservatif, le plus petit modèle évidemment, et se couche sur elle. Ses tentatives sont infructueuses, son petit engin n'arrivant qu'à se frotter sur les lèvres du sexe et le clitoris de la dame. Arthur finit par jouir dans le préservatif.

Devant la déception évidente de son client, la prostituée a tout de même un mot de consolation :

« Ça ne marche pas, mais lorsque tu te frottes comme ça, cela fait du bien à ta partenaire. »

Ce samedi matin, Arthur est au volant de sa petite voiture hors d'âge, moteur arrêté. C'est là que Fleur lui a donné rendez-vous. Hier, elle est passée à son bureau pour lui demander de la guider dans ses visites et ils sont convenus d'aller jusqu'au Mont Saint-Michel. Viendra-t-elle à ce rendez-vous? Arthur n'en est pas sûr. Elle lui a certainement fait une blague et elle va lui poser un lapin.

Contre toute attente, Arthur aperçoit Fleur s'avançant vers lui. Il sort de sa voiture pour l'accueillir. Il ne peut s'empêcher de la détailler. Fleur est magnifique. Les premiers jours de septembre étant encore bien chauds, elle a choisi une tenue qu'Arthur trouve hyper sexy. Un petit bustier noir couvre des seins libres, dont les pointes déforment le fin tissu. Son short jaune découvre ses jambes très haut et, par derrière, la découpe laisse voir le bord des fesses. Arthur repère tout de suite qu'aucune marque de slip ne paraît visible, et son petit sexe durcit instantanément, mais, malheureusement pour lui, en toute discrétion.

Arthur tend la main pour la saluer, mais Fleur pose ses mains ses épaules et l'embrasse, comme si ils étaient de vielles connaissances. Le baiser, attendu sur la joue, est même au coin des lèvres. 'Etait-ce volontaire ou ai-je bougé?', se demande Arthur, craignant une remontrance qui n'arrive pas.

Le voyage, puis la visite du site se passent comme dans un rêve. Arthur, qui a préparé cette journée, surprend Fleur par ses connaissances. Pendant leurs pérégrinations, la main de Fleur ne quitte jamais celle d'Arthur, qui est heureux d'offrir un déjeuner sur le Mont à sa nouvelle amie. Au cours du repas, Fleur lui dit :

« Nous pourrions nous tutoyer, n'est-ce pas? »

« Oui, vous avez raison », lui répond Arthur, ce qui la faire rire, avant de lui dire :

« Bon, tu commences bien mal ! »

Au moment du dessert, Fleur se tourne vers son voisin pour dire :

« Arthur, ne te vexe pas, mais je t'ai donné un surnom et j'aimerais t'appeler comme ça. C'est 'Nounours'. Ça te va? »

« Oui, évidemment », répond Arthur, pour qui toute appellation venant d'elle aurait été acceptée.

« C'est bien, mon Nounours », lui dit Fleur en lui posant un baiser sur la joue, ou plutôt au bord des lèvres.

Cette fois, surpris, Arthur n'a pas bougé et il se rend compte que ce baiser un peu polisson était sûrement voulu. Cela lui paraît juste incroyable.

Après le repas, ils flânent encore un peu sur le site, avant de reprendre la route. Arrivés à Miriville, ils disposent encore d'un peu de temps, alors Arthur, qui veut prolonger son rêve, propose de voir la plage. Fleur, en marchant, le tient par la taille et Arthur ose faire de même. Sa main est sur la peau nue de sa compagne, entre la brassière et le short. Sans vraiment s'en rendre compte, Arthur oblique vers les dunes, derrière la plage, puis, en traversant cet endroit, fait un petit commentaire :

« Tu vois, Fleur, quand il y a un beau soleil, certains viennent ici pour se faire bronzer... tout nus. »

'Comment ai-je pu dire ça?', s'inquiète Arthur, sans raison car Fleur le questionne alors :

« Peut-être m'y accompagneras-tu un jour? »

« Euh... oui... peut-être... mais il y a autre chose, ici, le soir... », ose-t-il répondre, encouragé par les paroles de Fleur.

« Oui, et c'est quoi? », questionne-t-elle, curieuse.

Après un moment d'hésitation, Arthur, se lance :

« Et bien, des couples viennent ici pour faire... l'amour, en plein air. »

« Là, Nounours, je ne te crois pas », dit Fleur.

« Viens voir », dit-il en la tirant par la main vers l'arrière d'une dune.

Arthur, lui montre, au sol, quelques préservatifs usagés.

« Oh là, là, oh, là, là », s 'exclame Fleur, toute tremblante, se serrant fortement contre son compagnon, qui ne comprend pas cette réaction.

« Qu'y a-t-il, Fleur? », questionne Arthur, inquiet.

« C'est... très spécial... je t'expliquerai...peut-être... un jour... mon Nounours », lui répond Fleur, visiblement encore très perturbée.

Lorsqu'ils se séparent, en cette fin de journée, Fleur remercie Arthur et lui fait un petit baiser d'adieu, cette fois, juste sur la bouche.

Rentré dans son appartement, Arthur s'interroge : est-elle une amie ou peut-il espérer plus? Si c'est ce dernier cas, comment ne pas la décevoir? Si cela va plus loin, cela finira mal lorsqu'elle découvrira ses attributs.

Arthur est persuadé que son rêve va s'arrêter de la pire des façons, dans sa totale humiliation, alors, il va l'oublier et retourner à ses habitudes de vieux garçon. Aussi s'installe-t-il devant son ordinateur. Il retrouve tous les sites pornographiques qu'il affectionne, pour commencer une branlette qui sera d'autant plus efficace qu'il va imaginer Fleur à la place de toutes les femmes des vidéos. Il aime particulièrement les scènes qui montrent des femmes pénétrées par de très gros sexes, comme il voudrait en avoir. Il apprécie les films qui montrent des éjaculations sur la vulve ou dans le vagin, avec un petit plus lorsque c'est accidentel, comme par la rupture d'un préservatif. Penser que la femme pourrait se retrouver enceinte, l'excite particulièrement, peut-être parce qu'il sait qu'il a peu de chances d'engrosser une femme un jour. Lorsque que l'homme est noir, c'est pour lui le summum. Il y a à la fois la taille du sexe, c'est bien connu, et le contraste de peau avec une femme blanche, qui deviendra probablement enceinte. De plus, si elle est mariée, quelle humiliation pour le mari au moment de l'accouchement ! C'est en regardant ce dernier type de film, alors que, pour lui, la femme ne pouvait être que Fleur pour lui, qu'Arthur éjacule copieusement.

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... à suivre ...