Les Préservatifs 02 (Confidences)

Informations sur Récit
D'une première à relation à des confidences intimes.
5.6k mots
4.38
3k
2

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 08/22/2023
Créé 07/14/2023
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Les préservatifs - 2 (confidences)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Bien qu'il soit plongé dans son travail de documentaliste du collège de Miriville, Arthur le fait machinalement. Ses pensées sont ailleurs.

Son amie Fleur est encore passée le voir pour lui proposer d'aller au cinéma avec lui, ce soir. Malgré quelques avances, qui ont été tout au plus un simple et rapide baiser d'adieu sur la bouche, il n'est toujours pas convaincu qu'elle puisse vraiment s'intéresser à lui, dont l'obésité le rend si peu attirant. Il craint aussi qu'une relation plus poussée, quoi qu'improbable, fasse découvrir à son amie la bite minuscule dont il est équipé? Quelle humiliation ce serait pour lui. La sagesse, pense-t-il, serait de couper les ponts avec Fleur, mais comment pourrait-il se priver d'une telle relation, aussi magnifique que rare?

Lorsqu'ils se retrouvent devant le cinéma de Miriville, Arthur n'a que d'yeux pour son amie. La soirée étant encore très douce, après une bien chaude journée, Fleur porte un chemisier blanc, très fin et même un peu transparent, semble-t-il. Une longue jupe en lin d'un beige clair la couvre jusqu'aux chevilles. Les chaussures d'été, dont les talons sont tout de même assez hauts, provoquent une belle cambrure. Arthur est réveillé dans sa contemplation par un :

« Allez, Nounours, on entre. Qu'est-ce que tu attends? »

Il est encore surpris par ce surnom qu'elle lui a donné, mais, finalement ça lui convient bien.

Dès leur entrée, Fleur l'entraîne vers le dernier rang, où ils sont seuls. Lorsqu'elle s'assied, la jupe fendue découvre largement une jambe que Fleur ne cherche pas à recouvrir. Arthur ne va pas pouvoir quitter des yeux cette jambe, ou plutôt cette cuisse qui l'attire.

Le film choisi par Fleur, du genre romantique, n'intéresse pas trop Arthur. Sa compagne, au contraire, semble apprécier le scénario. Lorsque, sur l'écran, un couple s'embrasse fougueusement, Fleur vient poser de petits baisers sur la joue de son 'Nounours'. Alors Arthur tente sa chance et prend le visage de Fleur entre ses mains pour déposer un timide baiser sur les lèvres de Fleur, qui donne alors sa bouche complètement. Leurs langues se cherchent, se trouvent, dans des caresses interminables. C'est à bout de souffle qu'ils terminent leur baiser. Arthur n'en revient pas. Aussi incroyable que ça soit, Fleur est vraiment attirée par lui.

Alors, Arthur s'enhardit et pose une main sur la cuisse découverte, juste au-dessus du genou, timidement, car il s'attend à être repoussé. Comme ce n'est pas le cas, il ose caresser doucement, faisant remonter sa main jusqu'au départ de la fente de la jupe. Il caresse du bout des doigts une peau qui frissonne, descendant puis remontant chaque fois un peu plus haut. Lorsque sa main passe sous le tissu de la jupe, jusqu'à venir frôler une petite culotte de dentelle, Fleur repousse cette main.

'Je suis allé trop loin', se dit Arthur, qui craint d'avoir ruiné complètement ce moment magique.

Fleur paraît ne plus se concentrer maintenant que sur le film. Arthur, lui, ne regarde que sa compagne, attentif à toute réaction après sa bévue. Il est alors surpris de voir son amie défaire un bouton de son chemisier, puis un second, puis un troisième. Le chemisier n'est plus fermé qu'à la taille. De côté, Arthur peu voir presque entièrement un joli sein nu. Instantanément, sa petite bite se raidit sous son pantalon. L'effet est encore plus grand lorsque Fleur lui prend la main et la glisse dans son chemisier.

Arthur, trop heureux d'une si bonne fortune, caresse le sein, le palpe amoureusement, en fait rouler le téton entre pouce et index. Il caresse, caresse, caresse, longuement. Il est si excité qu'une goutte de sueur perle sur son front, mais ce n'est pas la seule goutte qui perle, se rend-il compte, s'il en croit une légère humidité dans son slip. Tout à coup, Fleur repousse sa main et referme rapidement son chemisier. Un retardataire vient d'entrer dans la salle et passe dans leur rangée pour venir s'asseoir deux fauteuils plus loin. En passant, l'homme a bien vu la longue fente de la jupe, qui découvre très haut la cuisse de Fleur, qui dit à l'oreille de son Nounours :

« Je crois que l'homme nous regarde. »

« Ah bon? Et ça ne te gène pas? », questionne Arthur.

« Non, je crois même que ça m'excite. Je suis toute mouillée... », lui répond Fleur dans un murmure.

Arthur sent alors la jambe de Fleur se presser contre la sienne. Dans le mouvement, la jupe est remontée encore plus haut, découvrant la petite culotte de dentelle. Alors, Arthur ose poser sa main à cet endroit, caresser doucement, presser un peu, écartant ainsi les lèvres, poussant légèrement le tissu entre elles, avant de dire :

« Tu es vraiment trempée ! C'est le regard de ce voyeur qui te fait cet effet? »

« Devines ! »lui répond seulement Fleur.

Alors qu'Arthur poursuit ses caresses intimes, sa compagne pose sa main sur son pantalon et fait glisser le zip de la braguette. Inquiet de la découverte qu'elle pourrait avoir, Arthur lui bloque la main et la repousse. Surprise, Fleur le taquine :

« Alors, Nounours, tu n'as pas envie qu'une femme te caresse. Monsieur serait-il un adepte des plaisirs solitaires? »

Arthur ne sait que répondre :

« Heu, non... enfin... je ne sais pas... »

Malgré son inconfort, Arthur ne peut s'empêcher de continuer de caresser la chatte de Fleur à travers sa petite culotte. Il va même jusqu'à glisser un doigt au-dessous pour frôler un clitoris bien dur. Fleur lui dit alors :

« Monsieur le masturbateur solitaire a l'air de bien aimer ma petite culotte... alors, je vais être gentille... je vais faire quelque chose pour lui... »

Fleur fait glisser son sous-vêtement, qu'elle fait passer autour de ses pied et donne à Arthur, qui, gêné, la met tout de suite dans sa poche. Elle relève alors sa jupe jusqu'à la taille et fait glisser un doigt sur son clitoris, se donnant en spectacle à Arthur et aussi au voyeur qui, deux sièges plus loin, s'est carrément tourné vers eux. Ces petites caresses qu'elle s'offre n'empêchent pas Fleur de dire à Arthur :

« Nounours, ma petite culotte n'est pas un cadeau. C'est juste un prêt. Il paraît que les garçons aiment bien se caresser avec les culottes des filles. Alors, tu vas devoir me la rendre très bientôt. »

Cette fois, Fleur a parlé très distinctement et non dans un murmure. Le regard du voyeur montre qu'il a bien entendu. Arthur ne sait que dire :

« Euh... oui... sûrement... enfin... peut-être... »

« Bon, je t'ai dit de me la rendre rapidement... alors, qu'attends-tu? », lui dit Fleur, qui a maintenant enfoncé deux doigts en elle et se ramone frénétiquement le vagin.

Excitée, elle ajoute :

« Allez, Nounours, vas-y tout de suite. Va faire ta petite affaire et reviens vite. »

Arthur, obéissant, se lève et va dans les toilettes. Assis sur le siège, il commence par porter le sous-vêtement à ses narines, pour bien sentir l'odeur féminine. Il passe même sa langue à l'intérieur de l'entre-jambes. Il sort enfin son petit zizi tendu, dont il découvre le gland avec deux doigts, repoussant le prépuce en arrière. Il frotte son sexe avec la petite culotte, laissant un peu de liquide pré-séminal la mouiller encore plus. Son érection est si forte maintenant qu'elle en est presque douloureuse. Il ne pourra s'en libérer qu'avec la jouissance, pense-t-il. Alors Arthur place la culotte bien étalée dans sa paume gauche, l'intérieur au dessus. Il se masturbe, maintenant le gland au contact de l'entre-jambes du sous-vêtement. Il est si excité à la pensée que Fleur lui a donné sa petite culotte pour faire ça, qu'il éjacule d'un coup. Son sexe est tout petit mais ses gros testicules sont pleins, alors le sperme inonde cette partie de la petite culotte, en plusieurs couches épaisses.

Maintenant, l'esprit d'Arthur est envahi par le doute : Fleur voulait-elle qu'il aille si loin? Peut-être pensait-elle qu'il allait se masturber en regardant sa petite culotte? Peut-être en s'y frottant un peu, mais sans aller plus loin? Mais, c'est trop tard. Il doit assumer. Il va devoir lui rendre sa culotte dans cet état. Il replie délicatement la culotte qu'il entoure d'un grand papier heureusement mis à disposition à cet endroit, puis il place le tout précautionneusement dans sa poche.

Lorsqu'il revient s'asseoir à côté de Fleur, il remarque tout de suite un changement et s'en ouvre à elle :

« Notre voyeur est parti, dirait-on? », ajoutant après un instant :

« N'a-t-il pas tenté de s'approcher de toi? », question à laquelle Fleur répond sans détour :

« Il est venu s'asseoir à ma gauche et a remplacé mes doigts par les siens, en moi. J'ai écarté complètement mes jambes et il est tout de suite venu se placer entre elles. Il a ouvert sa braguette et sorti un sexe énorme, très long et très gros. Malgré ça, il s'est enfoncé en moi, jusqu'au bout, en un seul mouvement, tant j'étais déjà trempée. Il m'a ramonée à une vitesse folle. Puis, son affaire finie, il est parti sans même me dire un mot, mais il m'a laissé un joli cadeau. Moi qui suis sans contraception, je suis remplie de son sperme. »

Voyant Arthur, les yeux exorbités et la bouche ouverte, Fleur le rassure :

« Mais non, gros malin, je te taquine encore. Ça ne s'est pas passé du tout comme ça ! Il est bien venu s'asseoir tout près de moi et a posé sa main sur ma chatte, mais il s'est récupéré une bonne claque, qui lui a fait retirer sa main et quitter la salle tout de suite. »

Fleur regarde Arthur droit dans les yeux, comme pour sonder ses pensées, avant de lui dire :

« J'espère que tu es rassuré, mon Nounours... », s'interrompant un instant pour le dévisager encore avant de poursuivre :

« A moins que tu ne sois... comment dire... un peu déçu? »

Arthur ne peut que faire un « heu, heu », qui ne répond en rien à la question.

Cependant, Arthur sent son sexe se tendre en imaginant ce qui aurait pu se passer, car gros sexe et risque de fécondation ont toujours peuplé ses rêves érotiques. Aurais-je aimé qu'elle fasse ça, se dit-il? La question reste sans réponse dans son esprit. Il est interrompu dans sa rêverie par la demande de Fleur :

« Mais, au fait, tu ne m'as pas rendu ma petite culotte. J'espère qu'elle t'a permis de te faire du bien. Allez, donne-la moi ! »

Arthur, tremblant d'inquiétude, sort lentement le papier de sa poche et l'ouvre, présentant le tout dans la paume de sa main. La vue de l'intérieur de l'entre-jambes, complètement souillé, fait réagir Fleur :

« Alors là, bravo ! C'est dingue : il y en a partout, et même en épaisseur ! Monsieur a de gros moyens, dirait-on? »

Arthur est rassuré. Sa copine n'est pas choquée, mais plutôt amusée, comme en atteste son grand sourire.

Sur l'écran du cinéma s'affiche le générique de fin. Alors, Fleur prend la petite culotte dans sa main, laissant le papier dans celle d'Arthur, qui s'étonne de la voir faire passer avec précaution le sous-vêtement autour de ses pieds. Fleur se relève alors et fait remonter la culotte jusqu'à ce qu'elle touche sa chatte. Lorsqu'elle est en place, elle la tire bien par la taille. Arthur a le temps de voir alors l'entre-jambes écarter ainsi les lèvres vulvaires et se glisser entre elles, avant que Fleur ne laisse retomber sa jupe en disant :

« Allez, je m'en vais ! On se verra demain. »

Dès qu'ils ont quitté la salle, Fleur part chez elle, sans même accorder un baiser d'adieu à Arthur qui a du mal à comprendre cette femme.

Dans son parcours de retour, Arthur se remémore que Fleur lui a dit qu'elle était sans contraception et rien ne peut être plus excitant pour lui. Cependant il se demande ce qu'il en est vraiment : cette phrase n'était-elle qu'une part de la blague qu'elle lui avait faite?

Pour Fleur, son départ précipité n'avait pour raison que son extrême excitation et son besoin de calmer tout ça, chez elle, au plus vite. Dès son retour, Fleure se débarrasse de sa jupe, se couche sur son lit et retire la petite culotte souillée. La moitié du sperme d'Arthur y est restée collée. Alors, elle la nettoie complètement avec sa langue, se délectant de cette saveur. Elle avale tout goulûment. Puis, sa main descend vers les lèvres de sa chatte, qui sont complètement recouvertes de l'autre moitié de la semence d'Arthur. Son index vient se lubrifier dans la flaque blanche avant de venir caresser son clitoris. Des soupirs d'excitation échappent à Fleur, qui sait bien qu'elle ne va pas pouvoir résister à son envie. Elle va souiller plusieurs doigts et les enfoncer profondément en elle. Ce sera d'autant plus excitant qu'elle n'est effectivement sous aucune contraception. Alors c'est avec trois doigts qu'elle se fouille profondément. Elle finit même par pousser tout ce sperme en elle, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien à l'extérieur. Cuisses largement écartées, elle pousse son ventre en avant à la rencontre d'un doigt tendu qui la fouille et étale bien la semence sur l'ouverture du col de son utérus.

Évidemment, Fleur n'est pas, en ce moment dans une période risquée, mais est-on jamais certain, se dit-elle. A cette pensée, son corps se met à vibrer. Elle sent l'orgasme monter et, pourtant, encore une fois, il n'arrive pas, en tout cas pas complètement. Évitera-t-elle un jour cette frustration qu'elle ressent si souvent? C'était bon, très bon, se dit-elle, mais tout de même incomplet.

Le lendemain, dès son travail terminé, rentré dans son appartement, Arthur se lance dans son habituelle occupation, ou plutôt son obsession, devrait-on dire. Effectivement, il est là, devant l'écran de son ordinateur, sa petite bite sortie. Il se masturbe en regardant une vidéo pornographique, qu'il a bien choisie. Sur l'écran, un noir, athlétique, enfonce son énorme membre dans le vagin étroit d'une jeune femme, toute menue. Pour Arthur, cette fille ne peut être que Fleur. Le femme supplie son partenaire de ne pas jouir en elle, expliquant qu'elle ne prend pas la pilule et est juste au milieu de son cycle. Arthur, qui a déjà regardé plusieurs fois cette vidéo, sait comment cela se termine. Malgré ses supplications, la jeune femme va recevoir tout le sperme du noir en elle. C'est évidemment à cet instant qu'Arthur va atteindre la jouissance, toujours en imaginant qu'il s'agit de Fleur.

Au moment où la toute dernière scène commence, le téléphone sonne et Arthur se précipite pour répondre et entendre :

« Mon Nounours, c'est moi. Je t'ai quitté vraiment comme un voleuse après le film. Je n'étais pas fâchée... surtout ne crois pas ça... bien au contraire. Alors, pour me faire pardonner, je t'ai préparé un bon petit dîner, chez moi. Nous ne serons que tous les deux, en... amoureux. Tu peux venir tout de suite. »

« Oh, bien sûr ! Merci. J'arrive. »

Arthur ne prend que le temps d'aller acheter un somptueux bouquet de fleurs avant de se rendre chez elle.

Lorsque Fleur lui ouvre la porte, Arthur n'en croit pas ses yeux : elle ne porte qu'une longue tunique, très fine et totalement transparente, sous laquelle elle est intégralement nue. Arthur n'a jamais bandé aussi vite et aussi durement. Il la prend dans ses bras et l'embrasse fougueusement. Leur baiser est à la fois passionné et interminable. Ils en perdent quasiment le souffle. Quand Arthur, enflammé, laisse ses mains glisser sur elle pour la caresser partout, Fleur le repousse en disant :

« On regarde, mais on ne touche pas... enfin... pour l'instant... »

Lorsque Fleur se détourne pour aller chercher un vase et y placer le bouquet, Arthur se dit que l'envers vaut l'endroit.

Pendant le repas, leurs mains se frôlent souvent. Ils se comportent comme deux amoureux. Ne rêve-t-il pas, se demande Arthur. Leur conversation se poursuit, sous l'impulsion de Fleur, dans le domaine des sentiments :

« Nounours, te sens-tu bien avec moi? »

« Plus que bien. Fleur, je pense à toi tout le temps. »

« Je me rend bien compte que je plais à mon Nounours, mais n'est-ce pas seulement une... comment dire... une attirance physique. »

« Tu es hyper excitante Fleur et si belle, mais il n'y a pas que ça. C'est vraiment de l'amour, tu sais. Je me sens prêt à faire tout ce que je peux pour te rendre heureuse, même lorsque ce n'est pas mon intérêt. »

« C'est plus que gentil, ça, mon Nounours, mais explique-moi, donne-moi un exemple. »

« Bon, c'est difficile. Tu vois, nous avons fait des choses érotiques, très excitantes ensemble, mais, toi et moi, nous ne sommes, ensemble, jamais allés jusqu'au bout... »

Fleur l'interrompt d'un :

« Mais rien ne nous en empêche. C'était même mon idée, ce soir ! »

« Laisse-moi continuer . C'est déjà difficile pour moi », poursuit Arthur, « Si, par exemple, au lit, tout n'était pas au mieux, c'est à dire si je ne te satisfaisais pas vraiment... »

« Et pourquoi donc ce serait le cas? », l'interrompt encore Fleur.

« C'est... c'est une hypothèse », continue Arthur, « Si c'était le cas, je ferais tout pour que tu puisses prendre le plaisir dont tu as besoin, à condition que tu restes toujours avec moi. »

« Tu m'achèterais des gros sex-toys, par exemple? », lui dit Fleur en riant.

« Oui... mais pas que ça... », répond Arthur.

« Bon, arrêtons les hypothèses fantaisistes et viens plutôt avec moi, mon gros Nounours », conclut Fleur en l'entraînant vers sa chambre.

Devant le lit, Fleur se débarrasse de sa tunique transparente, dans un geste d'une extrême sensualité, puis se couche sur le lit, écartant ses jambes dans une position d'offrande qui serait presque obscène si elle n'était pas si belle. Alors, Arthur pose sa bouche sur la vulve offerte. Tout ce qu'il a vu dans des films lui permet d'être bien efficace, si l'on en croit les gémissements de Fleur, dont les doigts fourragent dans les boucles des cheveux d'Arthur. Après avoir pris un peu de plaisir sans atteindre l'orgasme, Fleur se redresse, disant :

« Mais, tu es encore habillé, mon pauvre Nounours. Je veux te donner un peu de plaisir aussi. »

Arthur, sentant l'angoisse monter, reste comme paralysé. C'est alors Fleur qui entreprend de le déshabiller. Lorsqu'il n'a plus que son slip, Fleur lui dit :

« Je vais aimer ce gros ventre. Je serai bien dessus. Ce sera un bon oreiller. »

Elle y passe doucement la main, avant de lui dire :

« Fais comme moi tout à l'heure, couche-toi sur le dos. »

Arthur, toujours aussi inquiet, obéit. Fleur fait glisser ses deux mains sur le gros ventre jusqu'au bord du slip. C'est le moment de vérité que craint Arthur. Lorsque le slip passe sur le haut des cuisses, Fleur s'arrête, interdite. Arthur a bien vu l'étonnement dans les yeux de sa compagne. Elle va le rejeter, c'est certain, se dit-il. Fleur commence à dire :

« C'est, c'est... comment... comment dire? »

Arthur, qui est au bord des larmes termine la phrase :

« Oui, c'est minuscule. »

« Mais non... », dit Fleur qui cherche ses mots, « C'est... c'est... c'est mi... c'est mi... c'est mignon. Voilà, c'est ça, c'est mignon... même très mignon. »

« Mais... », commence Arthur.

« Ne dis rien, Nounours. Laisse-moi faire », l'interrompt encore Fleur.

Alors, avec pouce et index, elle décalotte le prépuce et commence à branler doucement la petite bite. Par moments son pouce vient passer sur le bout du gland, y étalant un copieux liquide pré-séminal. Arthur s'est souvent fait ça lui-même, mais ça n'a jamais été aussi bon. Il soupire maintenant très souvent. Les doigts de Fleur s'activent de plus en plus rapidement. Arthur s'attend à une éjaculation imminente. Cependant Fleur ralentit son rythme jusqu'à l'arrêt. Va-t-elle le laisser frustré? C'est ce que pense Arthur, y voyant une punition pour avoir un sexe aussi inadéquate.

Tout à coup, ce sont les lèvres de Fleur qu'il sent sur son gland. Puis elle aspire sa petite bite en bouche, complètement, ce qui n'est pas un exploit, évidemment. Elle suce délicatement comme s'il s'agissait d'un sucre d'orge. Entre les succions, Fleur commente pour son Nounours :

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