Un Vieux M’emmène en Voiture

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C’est un vieux fantasme que je traîne.
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Rainett
Rainett
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C'est un vieux fantasme que je traîne derrière moi, une stimulation pour ma libido malsaine. J'ai tant de fois imaginé le scénario, tant de fois revécu la même scène, j'ai l'impression de l'avoir déjà pratiqué. Une jeune fille, docilement assise, les jambes écartées, et qui se laisse tripoter par un vieux cochon.

Impossible de me rappeler d'où me vient cette chimère, c'est tellement présent, et depuis si longtemps, que ça fait partie de moi, comme un organe ou un membre. Rien que de me remémorer l'intrigue, j'ai des papillons dans le ventre et ma chatte qui s'humidifie. Mais il faut que je me presse. Bientôt 24 ans, si j'attends trop longtemps, je n'aurai plus rien de la jeune fille innocente de mon rêve.

Je reprends pied dans le présent, et je chasse mes pensées obscènes. Je suis assise à mon bureau, les jambes soigneusement croisées sous mon siège, mes talons vernis et mes collants transparents cachés à la convoitise de mon manager qui est assis en face de moi. Je tape une communication interne destinée à l'ensemble de l'entreprise, quelques centaines de personnes, une mise à jour pour les employés. Mélange de mémos, de compte-rendu, de potins hautement indigestes. Ce travail occupe mes doigts, pas mon cerveau qui vagabonde.

Toujours ces pensées cochonnes qui reviennent me divertir pendant ce travail d'une affligeante banalité. Je m'installe dans la voiture d'un vieux monsieur. Je suis vêtue sexy, à la limite un peu pute. Et là, les scénarios diffèrent. Soit il m'entreprend immédiatement, soit c'est moi qui le suce. Jolie jeune fille cherche moment intime avec un senior. La réponse est toujours la même : combien?

Mais bon sang, je ne cherche pas à gagner du fric. Je veux de l'émotion. Je cherche à recréer le scénario porno que j'ai imaginé. Jeune femme et senior. Un grand-père et une jeunette de 23 ans. J'ai frotté tant de fois ma chatte devant des images pornographiques, sur mon écran d'ordinateur, montrant de vieux pervers occupés à baiser de jeunes ingénues à peine pubères. L'idée d'être soumise aux caprices d'un vieil homme me fait venir à chaque fois. C'est mon truc, ma marotte, mon fantasme le plus cher.

Alors je me suis arrangée pour que mon fantasme devienne réalité. Un vieux monsieur à répondu à mon annonce. Après quelques échanges par courrier électronique, nous avons convenu d'un rendez-vous, pour faire connaissance. Dans un jardin public, et je m'approche du banc où il est assis. Il paraît vieux et fatigué. Un peu anxieux aussi, il jette de fréquents coups d'œil autour de lui. Pourvu qu'il ne me claque pas entre les mains.

J'ai soigné ma tenue, comme il me l'a demandé. Des chaussettes blanches qui montent à mi-cuisse, et une minijupe qui laisse voir un peu de chair entre le bas de la jupe et le haut des chaussettes. Aux pieds, des sandalettes vernies. Un chemisier très décolleté qui expose mes seins pressés dans un soutien-gorge push-up. L'écolière un peu pute, qui vient se faire pardonner par son grand-père, en lui suçant la bite.

Il a des rides profondes autour des yeux et de la bouche, un ventre bedonnant d'abus de bière. Je fais comme si je le connaissais de longue date pour les curieux qui me suivent du regard. Je me penche sur lui, l'embrasse sur les deux joues, j'ajoute même un tendre câlin comme si c'était un membre de ma famille. Il se lève, je presse mon corps mince contre lui, il m'enlace, glisse son bras à ma taille, et m'entraîne derrière lui.

Nous partons, bras dessus, bras dessous, et je tortille mon cul pour les spectateurs éventuels. Pour les pervers qui assistent à la scène en se demandant si je suis sa petite-fille ou sa pute. Il serre mon corps gracile avec sa grosse paluche rugueuse et me demande :

« Veux-tu faire un tour en voiture? »

« Je pense que c'est le mieux »

Le contact de ce vieil homme me transmets une chaleur sexuelle qui taquine ma chatte et me fait mouiller. Je n'ai pas mis de culotte, et la fraîcheur de la brise me fait serrer les cuisses en marchant. Un coup d'œil derrière moi avant de monter en voiture, personne ne semble s'intéresser à nous. Il me tient la portière, très vieille France, alors j'écarte largement mes jambes en m'asseyant pour qu'il profite du spectacle. Un peu pour le remercier, beaucoup pour l'émoustiller.

Les portes de la voiture sont fermées, le système de verrouillage centralisé est activé, les vitres teintées procurent une illusion d'intimité. Il se penche vers moi avec une lueur de convoitise dans le regard.

« Waouh, tu es magnifique. Une taille aussi fine, avec d'aussi gros seins, c'est incroyable. Merci de m'accorder tes faveurs. J'aurais bientôt 72 ans, j'espère que cela ne pose pas de problème? »

Il me sourit timidement, plein d'espoir. Je le rassure, lui caresse délicatement la joue et dépose un chaste baiser sur ses lèvres. Aussitôt, sa langue s'insère entre mes lèvres, et il me roule un patin baveux. Je n'ai rien contre le principe mais là, on est en pleine ville. Je ne veux pas être arrêtée pour attentat à la pudeur. Je le calme temporairement, et je lui demande de m'emmener faire une balade dans un endroit plus intime. Il acquiesce, démarre le moteur, et s'insère dans la circulation.

Sa main plane dans l'air autour de son levier de vitesse, mais ne se pose pas sur ma cuisse. Il me fait la conversation, ce qui me désoriente un peu. Dans mon fantasme, on se jetait l'un sur l'autre et on baisait. Pas besoin de raconter sa vie. Pour passer le temps, autant que l'émoustiller un peu, je lui raconte mon fantasme d'être séduite par un senior, et qu'il me prenne dans son auto avec toute la sauvagerie dont il est capable.

Mais sa main tremble à présent. Pourvu qu'il n'ait pas un malaise. Je le saisis par le poignet et je mets sa main bien au chaud entre mes cuisses. Puis je pose ma main sur son entrejambe pour vérifier son état. Il bande, ce qui est une bonne nouvelle. Je le caresse par-dessus le tissu du pantalon. J'aimerais être plus audacieuse, mais j'ai peur qu'on ait un accident. Pendant ce temps, sa main s'est faufilée entre mes cuisses, sous ma jupette, et caresse ma chatte nue et soigneusement épilée. Arrêté au feu rouge, un camion, à côté de nous, nous klaxonne. Je me penche, lui sourit, et je lui fais un petit coucou de ma main libre. Le gars a les yeux qui lui sortent de la tête, mais il ne m'intéresse pas, trop jeune.

La voiture roule maintenant sur un boulevard plus calme, et je regarde amoureusement mon futur amant. Il est excité, un peu nerveux, ému aussi, car il tremble un peu. Je trouve cela émouvant, et j'ai envie de le sucer. Mes doigts se frayent un chemin le long de son aine pour palper sa bite en érection. Sa braguette ferme par un Velcro très pratique à ouvrir. Il tient à me prévenir qu'il ne porte pas de sous-vêtement. Tant mieux. Il prétend que c'est plus confortable. Menteur, c'est pour mieux me baiser, vieux cochon !

Mais je suis indulgente, et je lui pardonne ce petit mensonge en glissant mes doigts dans l'ouverture. Ma main se referme sur l'objet de mon désir, une belle saucisse bien dure. Je sors sa bite, et je plonge ma main plus bas, pour aller palper ses couilles pleines de foutre. Heureusement, tout me semble fonctionnel là dedans. Mes doigts enroulés autour de sa queue, je l'ai lentement caressé pendant qu'il conduit, le corps légèrement penché sur lui, mais regardant le paysage comme si j'étais une petite fille innocente.

Arrêté à un autre feu rouge, il respire fortement en gémissant un peu. J'ai lubrifié mes doigts avec ma salive et ils coulissent rapidement sur sa bite dressée. Quand la voiture redémarre, je n'y tiens plus. Je me penche sur lui pour prendre sa bite dans ma bouche. Ma tête passe tout juste entre son bide et le volant. Ma main attrape ses couilles et les malaxe. Il pousse un grognement d'encouragement. Ma bouche glisse sur sa queue. Elle est suffisamment petite pour que je puisse la gober confortablement sans m'étouffer au fond de ma gorge.

J'ai avalé presque la totalité de son pénis et je commence à le sucer, les cahots de la route faisant heurter sa bite profondément dans ma gorge pendant que nous roulons. Je suce sa queue sur toute sa longueur, puis je me retire en aspirant fortement jusqu'au gland. Ensuite, je lèche le gland en le faisant tourner dans ma bouche, puis je répète le mouvement en suçant sa bite jusqu'à la base, et je recule en aspirant fortement. Et pendant ce temps, je malaxe ses couilles velues. Ma chatte devient juteuse pendant que je suce la bite de mon vieux. Il n'avait pas prévu qu'une fille aussi jeune puisse lui sucer la bite comme une professionnelle.

Je sens la voiture ralentir. Nous avons quitté la route principale. J'ai levé la tête pour voir que nous roulons dans un sous-bois. Bientôt, nous pénétrons sur un parking près d'un plan d'eau. Mon vieux gare sa voiture un peu à l'écart. Des gens se promènent, avec des enfants, ou des chiens. Personne ne semble s'occuper de nous. Mon regard fait le tour du lieu. Je n'ai pas envie que mon fantasme de baiser un vieux se transforme en expérience de dogging, et me retrouvée encerclée par une meute de vieux cochons.

Je garde mes pensées pour moi, mais je regarde les promeneurs, essayant d'analyser leur comportement. Est-ce que se sont d'innocents badauds ou de vieux satyres? Il a éteint le moteur et me propose de passer sur la banquette arrière pour plus de confort. J'accepte et je m'installe derrière pendant qu'il avance les sièges de devant. Les vitres arrière sont sur-teintées, ce qui rend l'endroit plus intime. Je n'ai pas besoin de grand-chose pour être à l'aise. Juste trousser un peu ma jupette pour découvrir mes fesses, dégrafer deux boutons de mon chemisier, et sortir mes seins des bonnets du soutien-gorge.

Il me rejoint et il ôte son pantalon. Il a les jambes toutes maigres. Il me demande poliment de soulever mes fesses pendant que je le suce, afin de me doigter plus confortablement. J'accepte gentiment, m'agenouille sur la banquette à côté de lui, les reins cambrés, les fesses levées, le visage enfoui dans son entrejambe. Je lèche et je suce sa bite, ses couilles, je salive et je lui caresse le scrotum pendant qu'il me doigte par derrière. Ses vieux doigts râpeux m'ont caressés les fesses pendant que ma chatte tremblait d'anticipation.

Puis, brutalement, ses énormes doigts épais écartent largement ma chatte et plonge un doigt profondément dans ma chaleur moite. Je pousse un cri étouffé par sa bite, un cri de surprise, de douleur et de désir mêlés. Aussitôt, j'accélère le rythme en suçant plus profondément sa savoureuse bite. Il enfonce un deuxième doigt en moi en forçant ma petite chatte, puis je sens son pouce épais pousser contre mon trou de cul. Il frotte mon anus avec son pouce pendant qu'il me doigte la chatte, et je mouille en savourant ce qu'il me prépare.

Il retire ses doigts, lève sa main, je pense qu'il va me fesser, mais non, il crache sur ses doigts, et étale sa salive sur mon trou du cul. Il récupère ma mouille et l'étale avec son pouce puis, sans avertissement, il introduit délibérément la première phalange de son pouce dans mon cul. Et il remet tranquillement ses deux doigts bien au chaud dans ma chatte. Pendant qu'il me branle vigoureusement, je me demande s'il ne m'a pas confondue avec une boule de bowling. Mais les sensations qui m'assaillent sont si fortes que je ne pose pas la question bien longtemps.

Sa bite est si agréable à sucer, l'action de ses doigts dans mes orifices est si énergique, que je gémis dans son entrejambe, en proie à une montée rapide du plaisir. Tout mon corps s'excite et vibre du désir d'être baisée par un vieux pervers, sur la banquette arrière d'une voiture, comme une vulgaire pute. J'ai mal aux mâchoires à force de le sucer avec l'énergie du désespoir, je n'avais pas imaginé qu'un vieux serait aussi résistant et aussi long à venir. Il a accéléré le rythme de ses doigts en moi, et c'est moi qui craque la première. Je jouis en m'étouffant sur sa bite, car sa main libre crochée dans ma tignasse maintient ma tête en place.

« Accélère, ne t'arrêtes pas, je vais jouir ! Allez, suce-moi bien à fond, continue, petite pute, suce ! »

Il me crie dessus, des horreurs, mais ça m'excite encore plus, et ma chatte se serre autour de ses doigts épais. Je jouis sans discontinuer en sentant ses couilles se contracter, et le premier jet vient heurter ma gorge en m'étouffant. Il se raidit, se tend, pousse sa bite dans ma gorge pendant qu'il éjacule. Je jouis, je n'ai plus d'air, je vois danser des papillons rouges devant mes yeux, je meurs de plaisir. Fini le vieux monsieur galant qui me tenait la portière, il se sert de moi comme d'une catin pas chère, et cela me comble de plaisir. Il a fini de se vider, il retire ses doigts de mon cul et de ma chatte, je continue de le sucer doucement pour le nettoyer, mais je sens son corps trembler, parce que sa bite devient trop sensible maintenant.

« Putain de petite bonne femme ! Tu es un sacré numéro ! J'ai du mal croire que j'aie autant de chance de t'avoir rencontrée ! J'espère que tu accepteras qu'on se revoie ! En attendant, veux-tu changer de position afin que je te rende la pareille? »

Je m'appuie contre la portière, les jambes écartées, les talons posés sur les dossiers des sièges, l'un sur la banquette arrière, l'autre sur le siège passager, et je me cambre pour lui offrir ma chatte à sucer. Je sens la brosse de sa moustache stimuler mon clitoris, et les poils de sa barbe mal rasée tourmenter les lèvres de ma chatte. Il est déterminé et aguerri, ses coups de langue glissent profondément dans les plis de ma chatte. Il connait son affaire, mon corps ne s'est pas encore remis de sa première extase qu'il est de nouveau sollicité. Je pose mes mains sur sa chevelure grise entre mes cuisses écartées, et je lui caresse la tête. Mais bientôt, mon souffle s'accélère, je serre mes cuisses sur sa tête, et la violence de l'orgasme secoue mon ventre.

Il n'a pas cessé de me faire minette, tout le temps que mon corps a vibré, palpité et tremblé. Mais dans ma rémanence, je repousse sa tête à deux mains. Repue, fatiguée mais heureuse, je me blottis contre lui pour lui prendre la bouche. On s'embrasse amoureusement, comme des collégiens, je suis satisfaite de mon vieux, il a pleinement réalisé mon fantasme. Il m'a fait jouir si fort que je lui suis reconnaissante. Je prépare mon discours pour le remercier, et lui demander de me reconduire, afin de rentrer chez moi prendre une douche. Mais, à cet instant, je réalise que sa bite dressée heurte mon ventre.

Devant mon regard surpris et interrogatif, il rougit et m'avoue avoir pris ce qu'il faut, c'est-à-dire une pastille bleue, pour pouvoir satisfaire la jeune dame. D'ailleurs, si la jeune dame avait la bonté de se remettre en position, ce ne devrait pas être trop long, il me le promet. Bonne fille, j'ai repris la pose, à demi en appui contre la portière, les jambes levées, les talons sur les dossiers, et il s'est introduit en moi souplement. Les reins cambrés, mes hanches accompagnent ses poussées du bassin afin que sa bite coulisse entièrement dans ma chatte. Il me baise lentement, paisiblement, et je jouis de l'endurance de mon vieux. Il m'a baisée longtemps, malgré sa promesse, et j'ai jouis plusieurs fois.

Quand il a éjaculé en moi, l'orgasme a été beaucoup plus intense que tout ce que j'avais connu jusqu'alors. Je suis tellement comblée que je l'ai sucé encore un peu avant de nous rhabiller pour qu'il me ramène à l'endroit où avait commencé cette merveilleuse aventure. Je sais maintenant que j'ai beaucoup plus de plaisir avec mon vieux qu'avec n'importe quel jeunot de mon âge, c'est pourquoi j'ai accepté de le revoir et d'échanger nos numéros de portable. Avant de sortir de la voiture, nous avons échangé un long baiser amoureux, avec la langue, sa main fouillant entre mes cuisses et, en ouvrant la portière, je lui ai lancé :

« Merci, chéri ! »

Le mec planté sur le trottoir, qui nous a regardé nous galocher, puis qui a eu la vision de mes jambes écartées quand je suis descendue de voiture, en est resté statufié.

Rainett
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