Les Préservatifs 03 (Marié et Cocu)

Informations sur Récit
Cocufié le jour de son mariage.
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Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 08/22/2023
Créé 07/14/2023
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Les préservatifs - 3 (marié et cocu)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Arthur n'arrive toujours pas à croire que Fleur, qui l'a surnommé Nounours, soit prête à se marier avec lui. Ils ont fait récemment plein de choses très coquines ensemble, mais il sait bien qu'il n'est ni un Apollon, avec sa grosse bedaine, ni une bête de sexe, avec son zizi minuscule. Il est vrai qu'il lui a dit être prêt à lui laisser une certaine liberté, au plan sexuel, pour ne pas la priver des plaisirs auxquels elle a droit, d'autant plus que Fleur n'a jamais réussi à atteindre un orgasme aussi fort que celui qu'elle avait eu en jouant avec un préservatif usagé lors d'une période féconde.

Ils ont fixé une date de mariage très proche, pour profiter de l'été indien du mois d'octobre. Ce choix, proposé par Fleur, tient surtout au fait qu'elle a envie d'avoir une belle robe de mariée, très fine et très découverte. Le mariage à l'église, alors qu'ils ne sont pas vraiment pratiquants, ni l'un ni l'autre, a pour seule raison le désir de Fleur d'une cérémonie qui la mettra bien en valeur. Ils seront très peu nombreux, n'invitant que la proche famille et quelques collègues du collège, car ils ont peu de moyens, même si leurs parents les ont un peu aidés. Ils ont d'ailleurs préféré garder leur argent pour un voyage de noce en Guadeloupe, qu'ils ne feront qu'au moment de Noël, profitant des congés scolaires.

Fleur a choisi, malgré la dépense inconsidérée, de se faire confectionner par un tailleur sa robe de mariée, refusant tout prêt à porter que certains auraient déjà pu voir ailleurs. C'était aujourd'hui son dernier essayage. Bien que le secret doive être préservé vis à vis de son futur époux, elle a envie de partager son plaisir avec Nounours, qui l'interroge, dès son arrivée à son appartement :

« Fleur, ma chérie, es-tu satisfaite de ta robe? »

« Bien sûr », lui répond-elle, « Elle est magnifique mais il n'est pas question que je te la montre, ni même que je te la décrive. »

« Ça s'est bien passé avec le tailleur? », la questionne-t-il.

Fleur lui adresse un petit sourire coquin, avant d'expliquer :

« C'est un petit bonhomme d'une soixantaine d'années, plutôt moche, qui s'est occupé de moi. Le premier jour, il a pris mes mesures. Comme je voulais une robe très ajustée, il m'a demandé de me déshabiller et de ne garder que mes sous-vêtements. Il a pris vraiment beaucoup de mesures, même un tour de cuisse. Sentir ses mains, qui posaient le mètre de couturière partout sur moi, me faisaient frissonner. A un moment, après avoir pris mon tour de poitrine, il m'a dit que la mesure n'était pas parfaite à cause du soutien-gorge, qu'il m'a demandé d'enlever. J'ai obéi et il a recommencé les mesures. Il a fait passer le mètre juste sur mes tétons. Il a dû s'y reprendre à plusieurs fois, car mes pointes, se tendant, faisaient un peu glisser le mètre, qu'il a passé beaucoup de temps à réajuster, me disant qu'il voulait une mesure parfaite. Le contact de ses mains a fini par me faire mouiller ma petite culotte, mais, heureusement, il regardait ailleurs... »

Fleur interrompt alors son récit pour dire à Arthur :

« Mais dis donc, qu'est-ce que je vois, là? Qu'est-ce que fait ta main sur ton pantalon, à cet endroit? Mon récit t'exciterait-il? »

Avant qu'Arthur ait le temps de répondre, Fleur poursuit :

« Bon, il était convenu qu'il ne se passerait rien entre nous deux, jusqu'au mariage, pour que nous soyons en manque pour notre nuit de noce, mais je vais tout de même t'aider un peu. »

Alors, Fleur ouvre la braguette et sort le petit sexe d'Arthur, pour commencer à faire coulisser deux doigts autour d'une tige minuscule mais bien dure.

« Tu dois encore avoir des choses à me raconter, n'est-ce pas? », lui dit alors Arthur.

« Oui, évidemment », poursuit-elle, « Pendant les séances d'essayage qui ont suivi, ses mains me touchaient légèrement, un peu partout, pour fixer des épingles. C'était d'autant plus sensible que la coupe de cette robe est complètement incompatible avec un soutien-gorge. A chaque fois, je me sentait bien chaude. Aujourd'hui, c'était le dernier essayage. La robe était parfaite, mais il m'a fait remarquer que, le tissu étant très fin et très ajusté, une marque de slip était trop visible. Je lui ai dit que j'en choisirai un plus fin, mais il m'a assuré que ça ne changerait pas grand-chose. Sans me prévenir, il a relevé le bas de la robe, passé ses deux mains au-dessous et a fait glisser ma petite culotte jusqu'à mes chevilles. Machinalement, je m'en suis débarrassée. J'ai trouvé qu'il gardait ma robe retroussée un bien long moment. Quand il l'a laissée retomber et s'est relevé, il a lissé la robe, sur mes hanches, comme une longue caresse. Je n'ai pu éviter de penser alors à des plaisirs sexuels. C'est à ce moment que j'ai vu la bosse de son pantalon, une bosse qui allait jusqu'à la taille.

Je ne sais pas ce qui m'a prise, mais j'y ai posé ma main, comme pour vérifier si c'était possible. Comment un si petit bonhomme pouvait-il avoir un engin pareil? J'ai continué de faire glisser ma main sur le tissu, de haut en bas et de bas en haut, plusieurs fois, en serrant un peu. Je me suis demandée jusqu'où un membre si long pourrait aller en moi. J'imaginais le gland buter sur le col de mon utérus. Je mouillais comme une folle, alors que je continuais mes caresses à travers son pantalon sans même m'en rendre compte. Quand je l'ai entendu gémir, je me suis arrêtée, un peu honteuse. Tu ne m'en veux pas, mon chéri? »

« Non, bien sûr », lui répond son fiancé, « ce n'était pas grand-chose. »

« C'est que... il y a eu... une suite... », laisse-t-elle entendre.

« Oh, là, raconte-moi », lui dit alors Arthur, d'une voix rendue rauque par le désir.

« J'espère que tu ne seras pas fâché, Nounours », poursuit-elle, « Lorsqu'il a eu emballé la robe, alors que je m'apprêtais à payer, il m'a dit qu'il pouvait me faire une belle réduction, si je terminais ce que j'avais commencé. Peut-être n'aurais-je pas dû accepter? Cette robe était vraiment hors de prix, alors je me suis dit que quelques caresses ne tireraient pas à conséquence. Évidemment, ce petit bonhomme était vraiment hideux, mais ce n'était pas son visage que j'allais regarder, n'est-ce pas? Lorsqu'il a sorti son engin, j'ai eu confirmation de sa longueur exceptionnelle. Son sexe était fin et tout dur. Pour le caresser de mes mains, comme le tailleur était petit, je me suis mise à genoux. Voulant en finir au plus tôt, j'ai pris un rythme très rapide. Dans ma position, mon visage était à quelques centimètres de son gland. J'ai eu un moment envie de sucer son membre, mais j'étais une peu inquiète, aussi me suis-je abstenue. Quand j'ai senti qu'il allait jouir, j'ai pensé qu'il allait en mettre partout, sur les coupons d'étoffe qui reposaient au sol, à côté de moi. Alors, en bonne petite ménagère, pour éviter ce gâchis, j'ai ouvert ma bouche en grand, quasiment autour de son gland, sans le toucher. Cette vision a dû l'exciter car de longues giclées m'ont rempli la bouche, m'obligeant à déglutir plusieurs fois pour éviter tout débordement. J'ai eu droit ensuite à une très très belle réduction. J'espère, mon futur mari, que tu es heureux d'épouser une femme capable de bien gérer un budget et même de faire des économies. »

Pendant son récit, Fleure avait bien ralenti la masturbation de la petite bite de son futur époux, voulant éviter de lui faire atteindre la jouissance.

Plutôt que de répondre à Fleur, Arthur, pour monter qu'il ne lui en veut pas, l'embrasse à pleine bouche, y trouvant un goût bien spécial qui ne peut que rappeler celui du sperme.

Arthur n'a pas le temps de réagir, car Fleur lui dit :

« Ah, j'allais oublier, j'ai une bonne nouvelle pour toi. Je suis retournée chez le médecin aujourd'hui et il a pu me prescrire une toute nouvelle mini-pilule contraceptive. Elle est à peine moins efficace que les autres, mais je devrais bien la supporter. Tu sais que je me sens encore trop jeune pour être mère et que j'ai envie de profiter de la vie avec toi pendant quelques années. C'est une bonne nouvelle, n'est-ce pas? »

Arthur, dubitatif, lui répond :

« Avec moi, il y a peu de risque que tu tombes enceinte, vu ce que j'arrive à faire... alors? »

« Mais tu as déjà oublié ce que tu m'as promis », rétorque Fleur, « Si je profite de ta permission pour prendre un peu de plaisir hors mariage, il y a bien un risque, non? »

Arthur, ne répond rien, mais Fleur voit bien que la petite bite, toujours sortie, de son futur mari, a gardé ou peut-être même renforcé son érection, aussi le met-elle en garde avant de le quitter :

« Et surtout ne t'avises pas d'essayer de te finir. Tu sais que c'est interdit. Aucune masturbation jusqu'au mariage. »

Arthur a contacté un photographe professionnel, pour garder un souvenir de l'évènement. Cependant, les images classiques des mariés, avec ou sans les invités, lui paraissent insuffisantes. Fleur a donné tant d'importance à cette robe de mariée, modèle unique, qu'il a semblé à Arthur qu'une série de photographies de sa future épouse, seule, juste avant la cérémonie, serait un souvenir parfait et très complémentaire. Au moment de la commande, le professionnel lui a demandé s'il souhaitait seulement des photographies classiques ou, en plus, quelques unes avec des poses un peu plus recherchées. Arthur lui a répondu qu'il apprécierait certaines plus érotiques. Le futur marié n'a pas jugé bon de prévenir Fleur et s'est contenté d'indiquer heure et adresse au photographe.

Une heure avant la cérémonie, Fleur est avec une collègue, amie, qui l'aide à se préparer. La robe est magnifique. Le dos est découvert très bas, même un peu plus bas que la taille, s'arrêtant juste à la limite des fesses. Devant, le décolleté est aussi très profond, tout en pointe, le haut de la robe étant si serré que la poitrine est comme moulée par le tissu blanc. Le bas de la robe est aussi très ajusté jusqu'à mi-cuisses, puis s'évase au-dessous. L'amie de Fleur s'étonne qu'elle soit totalement nue sous sa robe, mais finit par admettre que c'est la seule solution. Lorsqu'elle voit que Fleur avait préparé une jarretière, elle ne peut que critiquer :

« Mais, Fleur, c'est complètement 'has been' ce truc ! Tu ne vas pas mettre ça? Et le jeu de la jarretière où chaque homme donne un billet pour faire remonter un peu la jupe à chaque fois, ça ne se fait plus du tout ! En plus, tu n'as même pas de culotte, alors ! »

« Et bien, tu vois, j'y tiens, alors je vais remettre ça à la mode. De plus, je pense que mon petit mari va apprécier », répond Fleur, ajoutant quelques instants après :

« Je crois qu'il aime bien me montrer aux autres. »

« C'est un drôle de cochon que tu vas épouser ! », s'exclame son amie.

Sans commenter, Fleur enfile la jarretière sur sa jambe, en la faisant remonter très haut, un peu plus haut que la limite de la partie ajustée de la robe.

A cet instant, on sonne à la porte. L'amie de Fleur s'empresse d'aller ouvrir. Se trouve devant elle un bel homme, assez 'play-boy', qui porte un gros appareil photo en bandoulière et un trépied avec projecteur dans une main.

« Je viens pour les photos de la mariée. Je suis envoyé par le futur mari », dit-il.

« C'est un peu tôt ! Ne deviez-vous pas venir juste au début de la cérémonie? », interroge Fleur.

« Non, c'est votre futur mari qui a tout organisé. Il souhaite un album où vous serez seule, dans cette robe magnifique, avant qu'elle ne soit un peu fripée. »

Cette explication convient bien à Fleur, qui confirme :

« Oui, c'est une bonne idée et une bonne surprise. »

« Je crois que je ferais mieux de vous laisser », dit l'amie de Fleur, « à plus tard, ma belle ».

Le photographe installe son matériel pour avoir un bon éclairage, puis commence par des portraits. Ensuite, pour les photos en pied ou assise au bord du lit, il lui fait prendre des poses qui l'obligent à retoucher la position assez souvent. Fleur trouve que les mains qui la touchent à ces occasions ont tendance à rester sur elle plus longtemps qu'il ne serait nécessaire, mais elle ne fait aucune remarque, car cet homme lui plaît beaucoup. Lorsque le photographe repousse légèrement le décolleté, rendant la pointe d'un sein visible sur une photo prise de côté, Fleur intervient :

« Hé, qu'est-ce qui vous prend? »

« C'est à la demande de votre futur mari, mademoiselle », précise le photographe, « Il m'a demandé de compléter l'album avec une série un peu érotique. »

« Bon, si c'est ça, allez-y », dit-elle alors.

L'homme continue de prendre des photos du décolleté, montant une poitrine de plus en plus découverte, jusqu'à une où le sein est complètement sorti. Fleur rentre dans le jeu, car, pour cette photo, elle prend un air surpris, comme si c'était un accident. Puis le photographe lui demande de remonter progressivement sa robe, prenant un cliché à chaque étape. Lorsque le liseré arrive un peu au-dessus du genou, Fleur le prévient :

« Juste au-dessus, je porte une jarretière, que j'ai mise pour ce jeu un peu démodé. »

« C'est très bien », réagit-il, « nous allons continuer, comme si des spectateurs payaient pour la découvrir ».

Après chaque 'clic', Fleur remonte tout doucement sa robe, mais s'arrête juste à la limite de la jarretière, pour dire :

« Je l'ai peut-être placée un peu trop haut... et... je n'ai rien sous ma robe... »

« C'est encore mieux », réplique le photographe, « cela va plaire à votre futur mari, j'en suis certain. »

Alors, de photo en photo, la jupe remonte et Fleur va jusqu'au bout, découvrant sa chatte. Puis, l'homme lui demande de s'asseoir au bord du lit, sans rabaisser la robe. Il va même jusqu'à poser ses mains sur les genoux de Fleur et presser pour lui faire un peu écarter les cuisses, pour de nouvelles photos, dont certaines en gros plan. Ce ne sont plus seulement des clichés érotiques, se dit Fleur. Elle devrait mettre un point d'arrêt à ce moment, mais elle a senti son excitation monter et sa chatte se mouiller un peu. Il serait triste d'en rester là, pense-t-elle, et il lui prend l'envie de donner une touche personnelle à l'album prévu pour Arthur, aussi dit-elle :

« Vous est-il possible de faire des photos en déclenchement automatique? Ainsi, nous pourrions, ensemble, ajouter quelques clichés un peu plus coquins pour mon futur mari. Il m'a fait une surprise et j'aimerais bien lui en faire une également. »

Le photographe, qui a bien compris où tout cela menait, a une meilleure idée :

« Je vais mettre mon appareil en mode vidéo et, comme ça, je pourrai sélectionner dans le film les plus belles photos. »

Ceci fait, l'homme s'approche de Fleur, qui, assise sur le lit, ouvre la braguette qui est juste en face de son visage. Elle a du mal à en extraire le gros sexe, tant il est tendu. Elle branle alors ce long membre. Elle le fait lentement en pensant aux images qui viendront compléter l'album. Par moments, elle vient essuyer, d'un coup de langue, une petite goutte qui perle sur le méat. Cela, évidemment, la conduit à prendre cette grosse pine en bouche, pour bien la sucer, l'aspirer, tout en lui tenant les bourses dans une main qui caresse, serre, pince. Lorsqu'elle sent le sexe palpiter sur sa langue, Fleur s'attend à la jouissance de l'homme. Tout à coup, le sperme gicle dans sa bouche et la lui remplit. Fleur essaye de ne rien avaler, car elle vient à l'instant de penser au baiser du marié à la mariée, qui l'attend dans un heure environ.

Garder tout aussi longtemps est impossible, mais, en faisant tourner longuement le sperme en bouche, avant d'avaler, elle sait que le goût va bien y rester. Ce sera une surprise très excitante pour son mari, pense-t-elle. Avant de déglutir, Fleur ouvre la bouche en grand, sachant que l'image sera captée sur le film et qu'elle viendra certainement s'ajouter à son album.

Le photographe arrête l'enregistrement pour un cadrage et un éclairage différent. Il fait placer Fleur au bord du lit, la robe toujours aussi relevée, et lui fait écarter largement les cuisses et même ses lèvres vulvaires, qu'il dispose au mieux du bout des doigts. La pose n'est plus érotique mais carrément obscène. Projecteur et objectif sont positionnés pour un parfait gros-plan. Ce sera le point d'orgue de l'album, pense le photographe.

L'homme, qui vient pourtant d'éjaculer dans la bouche de Fleur, a encore des ressources, comme en témoigne un membre qui durcit de nouveau. La vue de la chatte ouverte de la future mariée y est pour beaucoup également. Alors, le photographe déclenche de nouveau l'enregistrement vidéo et vient se placer entre les cuisses de Fleur. Il frotte lentement son gland sur les lèvres d'une chatte déjà bien humide, avant de le faire entrer, puis ressortir, puis entrer de nouveau, sans toutefois aller plus profondément. Les photos qu'il pourra tirer du film seront ainsi plus explicites. Puis, les mouvements deviennent plus amples, jusqu'à ce que cette longue et grosse pine disparaisse dans le vagin de Fleur. Celle-ci pousse même maintenant son ventre à la rencontre du mandrin qui la ramone. Ses gémissements augmentent comme la fréquence et la force des pénétrations.

Fleur se dit alors qu'elle a bien fait de reprendre une contraception. Elle va pouvoir laisser l'homme jouir en elle, sans risque, ou vraiment très peu. Son mari va être cocu le jour de son mariage et même avant leurs vœux. Cette pensée et la sensation du sperme qui l'inonde provoquent chez elle un mini-orgasme. Il lui a manqué quelque chose pour atteindre une jouissance explosive, mais c'était tout de même très, très bon, se dit-elle.

D'un « oh, je vais être en retard », Fleur congédie le photographe qui, en toute hâte, range ses affaires professionnelles... et... personnelles.

Elle lui rappelle de ne pas oublier sa mission principale, qui est de faire l'album officiel du mariage.

Fleur ne prend même pas la peine du moindre nettoyage, se contentant de se relever et de laisser retomber sa robe de mariée. Un peu de sperme a coulé sur une cuisse et s'est arrêté au contact de la jarretière.

Devant l'appartement de Fleur, l'attend une grosse limousine de location. C'est son père qui a décidé d'en être le chauffeur pendant cette journée exceptionnelle. Son père a dépassé la soixantaine. En effet, la mère de Fleur avait toujours eu un penchant pour les hommes beaucoup plus âgés qu'elle. Peut-être était-ce, chez elle, jeune fille, le fantasme du père? Sa mère avait donc épousé un homme de vingt ans de plus qu'elle. Malgré son âge, le père de Fleur a encore une belle allure, en bonne forme physique et avec ses cheveux gris, presque blancs.

Lorsque son chauffeur du jour tient la porte arrière ouverte pour que sa fille s'installe, celle-ci relève très haut sa robe, pour ne pas en salir le bord, probablement... à moins qu'un peu d'exhibition n'en soit aussi la cause. Son père ne peut que voir... non, plutôt regarder ce qui s'offre à ses yeux. Lorsqu'il prend sa place derrière le volant, son père se rend compte que son sexe fait une grosse bosse dans son pantalon. 'Ce n'est pas possible que ma fille me fasse cet effet !', se dit-il. Cependant, il ne peut que se rendre à l'évidence. Pendant le court trajet vers l'église, il change la position du rétroviseur pour centrer la vue sur les genoux de sa fille? C'est avec une certaine déception qu'il constate que la robe est bien en place, couvrant complètement les jambes.

Pour entrer dans l'église, comme le veut la tradition, la future mariée rentre au bras de son père. Fleur, dès l'entrée, lui dit discrètement à l'oreille :

« Mon papa chéri, j'ai remarqué une certaine bosse dans ton pantalon. Ce n'est pas moi qui te fais cet effet là, j'espère. »