Les plaisirs d'Anna -- 04 (droguée)

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Enfin, Paul-Arthur la libère, retirant les coussins. Anna, dont les reins sont douloureux, peut alors s'étirer. Son sexe se vide doucement du reste d'alcool. Alors elle sent le corps de l'homme la recouvrir progressivement, passant du contact du torse sur son ventre, puis sur ses seins, à celui du sexe en érection contre sa vulve. Paul-Arthur pousse son gland qui écarte un peu les lèvres.

« Non, pas cela. Il ne faut pas ! », dit Anna, dont les propos sont contredits par son attitude, ses bras se serrant autour du cou de l'homme, dont elle a envie de sentir la chaleur sur elle, en elle.

Une poussée un peu sèche et le gland pénètre entièrement. L'alcool, après l'avoir inondé, a asséché son vagin. La pénétration est une brûlure.

« Doucement ! », lui dit-elle tout bas.

Heureusement, Paul-Arthur la ménage et progresse lentement en elle, tout en douceur, pour finir par introduire entièrement son sexe. Il commence alors un lent va et vient. Leurs sexes sont brûlants, sous les piqûres de l'alcool et l'absence de lubrification naturelle. Pour faciliter la pénétration, Anna écarte les cuisses le plus possible. Elle est si ouverte que sa position en est presque obscène. Un peu de liquide pré-séminal commence à napper le gland et permet enfin un coït moins douloureux. Paul-Arthur, trempé de sueur, le regard vague, accélère un peu la cadence. Anna est inquiète, consciente des risques. Pourtant la drogue annihile sa volonté, l'empêche de refuser l'étreinte. Elle ne peut que lui dire à l'oreille, dans un souffle :

« Je t'en prie. Fais attention. En ce moment... »

En l'embrassant sur la bouche pour toute réponse, Paul-Arthur continue son long coït. Puis, Anna le sent se crisper tout à coup et l'entend pousser un cri rauque, alors qu'il se retire brusquement et arrose son pubis de longues giclées de sperme.

Après que Paul-Arthur l'ait quittée, Anna, toute à ses sensations, reste un moment alanguie, jambes toujours largement écartées. C'est alors qu'elle sent soudain deux mains s'appuyer fortement sur ses cuisses, comme pour les forcer à s'ouvrir encore plus. Lucas vient de la saisir ainsi, se plaçant d'autorité entre ses jambes. Avant qu'elle n'ait eu le temps de réagir, le gland la touche déjà à l'entrée de son sexe. Alors Anna se redresse à demi et cherche à le repousser.

« Non ! », dit-elle, « laisse-moi ! »

Pourtant elle sent toujours le membre tendu presser sa vulve ouverte. Lucas ne daigne pas lui répondre, mais, s'adressant à Paul-Arthur, dit :

« Tiens-la bien ! »

Lorsque les mains de Paul-Arthur se plaquent sur ses épaules pour la maintenir, Anna sait qu'elle ne pourra leur résister et se refuser à Lucas. Malgré l'euphorie de la drogue, elle sent une angoisse l'envahir. Elle n'a aucune confiance en Lucas, dont le jugement est altéré par l'alcool, et elle craint qu'il ne puisse se contrôler. Elle est dans cet état d'esprit lorsqu'une brûlure fulgurante la traverse. D'un coup de rein violent, Lucas vient d'enfoncer à demi son sexe en elle.

« Mais, elle est toute sèche, la gueuse ! », crie-t-il, ajoutant ensuite :

« Il faut lubrifier tout ça ».

Anna, les réflexes émoussés par la boisson et la drogue, n'a pas le temps de réagir. Elle ne peut que voir Lucas passer son membre sur son pubis, le barbouillant du sperme de son précédent partenaire, puis l'enfoncer dans son vagin.

« Arrête ! Non ! Tu es fou ! Ne fais pas ça ! », supplie-t-elle.

Mais rien n'interrompt son coït. Lucas continue de la besogner fortement, en profondes pénétrations. Peu à peu, la volonté de Anna s'émousse. Ses sens reprennent le dessus sur sa raison. Sous l'effet de la caresse du membre englué de foutre, son sexe se mouille de nouveau. Dans des mouvements proches de contractions incontrôlables, son ventre ne peut que se pousser à la rencontre de ce sexe qui la perce. A chaque fois, la pointe frappe sa matrice. Après quelques mouvements plus rapides, plus violents, Lucas maintient son sexe tendu planté en elle, puis le fait bouger sans le décoller du fond du vagin. Ainsi, Anna sent le gland gonflé frôler le col de son utérus, le presser, le contourner, pour s'y appuyer encore. Elle en tremble d'excitation.

Malgré le traitement qu'il a subi auparavant, son vagin coule comme une fontaine. Elle sent que le gland est encore tout gluant du sperme que Lucas est allé cherché sur son ventre souillé, et qu'il l'étale en elle, tout autour du col. Les mains se serrent sur ses hanches. Le regard de Lucas devient plus trouble encore. En elle, Anna sent le gros gland, toujours au fond de son vagin, bouger très lentement, presque imperceptiblement, le long du col, pour venir se plaquer au bout et s'y presser fortement. Elle sait que, sous la pression du gland, le méat s'ouvre sur le col de l'utérus, comme s'il s'agissait d'une petite bouche en embrassant l'ouverture. Lorsque Lucas presse son torse contre elle, lorsqu'elle reçoit sa respiration haletante près de son oreille, lorsqu'elle sent au contact de son vagin une grosse veine palpiter sur le sexe qui la remplit, Anna serre son corps contre celui de l'homme, fébrilement, et, dans un murmure, répète inlassablement « non, non, non, non, .... », pendant qu'elle sent la semence de son violeur gicler sur l'ouverture de son utérus et l'engluer en nappes épaisses.

Depuis plusieurs heures, Jules s'inquiète. Anna devrait être rentrée. A quatre heures passées, il se décide à prendre la route pour aller la rechercher. Lorsqu'il arrive devant la maison, aucun bruit ne lui parvient. Hésitant à sonner pour ne pas risquer d'éveiller la maisonnée, Jules entre dans le jardin, pour trouver la porte de la maison ouverte. Il s'y introduit sans faire de bruit et se dirige vers la seule pièce éclairée. Il découvre alors des corps endormis, dans une totale nudité, dans des poses qui ne laissent aucun doute sur leurs ébats. Il n'a d'yeux que pour sa femme couchée, nue, sur le dos. Ses cuisses sont largement écartées. Ses poils pubiens sont collés de foutre séché. Sa vulve est brillante d'humidité, et de longs filets blancs maculent ses lèvres intimes entre lesquelles s'étale une petite flaque blanche.

Comment a-t-elle osé aller jusque là, se dit Jules. Mais son inquiétude ne l'empêche pas de ressentir tout à coup une intense érection.

Ramassant la robe d'une main, il prend son épouse dans ses bras et la porte jusqu'à la voiture, ses yeux plongés dans les siens. A ce regard bizarre, absent, qui le dévisage sans le voir, Jules comprend.

Anna a dormi presque toute la journée. A son réveil, elle s'est d'abord sentie honteuse de s'être montrée ainsi devant son mari, qui, pourtant ne lui a fait aucun reproche, essayant même de la rassurer. Anna s'est alors dit qu'elle avait la chance d'avoir un si gentil mari et qu'elle devrait peut-être se forcer un peu pour lui offrir plus souvent de vrais plaisirs sexuels. Mais cette idée s'est vite estompée, remplacée par la pensée obsédante des conséquences possibles de cette nuit de débauche. Aussi Anna a-t-elle décidé qu'elle ne toucherait plus jamais à une drogue, aussi douce soit-elle. Bien qu'elle prenne parfois un certain plaisir à 'lâcher prise', le fait de perdre tout contrôle sur elle-même lui paraît maintenant insupportable.

L'angoisse des conséquences l'a habitée pendant encore deux semaines avant d'être libérée par le retour de ses règles. Anna s'est jurée d'être dorénavant plus prudente. Mais y arrivera-t-elle vraiment?

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... à suivre ...

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1 Commentaires
mikdo28mikdo28il y a presque 2 ans

un véritable récit particulièrement excitant découpé en épisodes torrides, rares sont ces textes d'un telle intensité érotique. Merci et bravo mais surtout encore et encore !!

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