Les plaisirs d'Anna -- 03 (massages)

Informations sur Récit
Pour Anna, des massages plus qu'érotiques et un cocu frustré.
2.9k mots
4.5
7.5k
1

Partie 3 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 04/26/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Les plaisirs d'Anna -- 03 (massages spéciaux)

-----------

Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

-----------

Dans la salle d'attente du kinésithérapeute, Anna, tout en feuilletant distraitement un magazine, repense à ce qui l'a amenée ici. La cause est bien évidemment médicale, car elle s'est blessée au cours d'une partie de tennis très accrochée, se faisant une élongation d'un muscle de la cuisse.

Pourtant le choix du praticien n'a pas été innocent. Lorsque, au retour de sa visite chez le médecin, Anna a annoncé à son mari, Jules, qu'il lui avait prescrit des séances de massage, elle s'était entendu répondre:

« Ma biche, tu devrais bien choisir le masseur, un homme évidemment, car les massages peuvent avoir un caractère très érotique ».

Elle avait alors, sur le ton du reproche amusé, traité son mari d'obsédé sexuel. Sans tenir vraiment compte de ses conseils, elle avait toutefois sélectionné un cabinet dans lequel officiait un homme.

Lors de la première séance, elle avait été fort agréablement surprise lorsque le kiné l'avait accueillie. L'homme, à l'allure de play-boy, portait bien. L'arrivée de cheveux grisonnants avait apporté une touche de distinction à sa quarantaine sportive. Mais Anna avait, plus que tout, été sensible aux yeux bleus qui la fixaient sans aucune gêne, comme savent le faire les hommes sûrs de leur charme. Elle s'était sentie littéralement fondre, comme hypnotisée, telle la proie prise dans le regard perçant du rapace.

Lorsque l'homme lui avait demandé de se déshabiller et de s'allonger sur la table de massage, elle avait remarqué la chaleur de la voix, les intonations trop étudiées pour être naturelles, où la recherche d'un certaine sensualité était flagrante. Bien qu'elle en ait senti le côté artificiel, Anna se savait déjà prise au piège. Lorsqu'elle s'était déshabillée pour ne garder sur elle que ses sous-vêtements, elle avait ressenti une certaine gêne, qui n'eut pas existé dans les mêmes circonstances si elle ne s'était pas trouvée sous le charme.

Le kiné l'avait massée longuement, appuyant fortement sur sa jambe. Le contact des mains sur elle ne paraissait que très professionnel. Pourtant certains mouvements l'avaient vite laissée mal à l'aise. Par moments, la pression se relâchait pour passer à un effleurement des doigts proche de la caresse, la faisant frissonner sans qu'elle le veuille. Elle avait été surprise lorsqu'il lui avait aussi massé un peu le ventre, alors qu'aucune douleur à ce niveau ne le justifiait. Toutefois, elle s'était retenue de lui en demander l'explication. L'ambiguïté était encore apparue plus nettement au moment où il avait un peu baissé le slip, assez bas sur le pubis, dont les poils s'étaient ainsi trouvés découverts, accentuant sa gêne. Elle s'était alors demandée si cette attitude était bien professionnelle.

Pourtant il massait consciencieusement son ventre, de la paume de la main. Mais, quelques instants plus tard, seul le bout des doigts restait en contact avec sa peau et venait coiffer les poils pubiens, pour finir enfin à la limite du sexe, tout près du clitoris. Puis, sans un mot, l'homme reprenait le massage de la cuisse. Tout paraissait de nouveau normal, dans le mouvement, dans la pression des mains, si ce n'était le trajet des doigts qui remontaient peut-être un peu haut, venant ainsi se perdre jusqu'au creux de l'aine. Anna ne pouvait éviter certains frissons, une réceptivité de son corps accentuée par ce regard enjôleur dont le kiné l'enveloppait. Malgré elle, son sexe était le siège d'une excitation croissante, et ses lèvres intimes se couvraient d'une certaine moiteur.

Les mains s'étaient posées à nouveau sur ses hanches pour baisser encore un peu plus le slip. Cette fois, son pubis était totalement découvert, l'élastique de la culotte pressant le haut des lèvres, à l'endroit précis du capuchon clitoridien. D'une main ferme, il lui avait alors écarté plus largement les jambes. Dans cette position, le slip trop baissé laissait un espace important sur la face intérieure des cuisses. Anna s'était sentie rougir à la pensée qu'il pouvait certainement apercevoir sa vulve humide. Malgré cette gêne, imaginer ce que l'homme pouvait voir à cet instant n'avait fait qu'augmenter son excitation. Il va se rendre compte que je mouille, avait-elle tout de suite pensé, un peu honteuse. Alors le kiné avait repris son massage, faisant remonter lentement ses mains sur la cuisse, en partant du genou. Au fur et à mesure de sa progression, sa pression se faisait plus faible, surtout du côté intérieur, poursuivant le mouvement comme une caresse. Le bout des doigts était venu jusqu'à l'aine, sous le slip détendu, pour venir enfin toucher l'extérieur des lèvres. Ce n'était d'abord qu'un contact furtif, comme par inadvertance. Puis, les mouvements se répétant, le toucher était plus prolongé, plus net, jusqu'à en suivre même la crête sensible et maintenant trempée.

Au cours de la séance, le kiné n'avait pris aucune autre initiative, restant en permanence à la limite d'une attitude purement médicale, la dépassant par instants, pour revenir ensuite à un comportement plus conventionnel. Anna ne pouvait douter du fait qu'il profitait honteusement de la situation, sans toutefois pouvoir le rembarrer ouvertement. Mais en aurait-elle eu vraiment le désir? Elle était trop attirée par cet homme, qui lui plaisait beaucoup physiquement, malgré son côté un peu snob, un peu hâbleur.

Lorsqu'elle s'était rhabillée, après qu'il lui eut fixé le rendez-vous suivant, il s'était soudain plaqué contre son dos, la serrant dans ses bras. Anna n'avait su quelle contenance prendre, et lui avait laissé l'initiative. Elle avait alors senti sa bouche se poser dans son cou, en même temps que ses mains passaient sur ses seins, pour venir se poser ensuite sur son ventre. Le kiné avait alors pressé fortement ses doigts sur le sexe d'Anna à travers le tissu de sa jupe. Elle avait ressenti une intense chaleur monter de son ventre, avant qu'il ne desserre son étreinte et la laisse partir sans qu'ils n'aient échangé un seul mot.

Anna aurait aimé pouvoir raconter à son mari ces moments érotiques, mais Jules était en voyage professionnel. Il ne rentrera qu'au soir de son prochain rendez-vous. Ce n'est que partie remise, se dit-elle, pensant qu'elle aurait alors probablement plus de choses à lui raconter, du moins l'espère-t-elle.

Anna, dans la salle d'attente, est encore perdue dans ses souvenirs lorsque la porte du cabinet s'ouvre. Arborant un grand sourire, le kiné l'accueille par ces mots:

« Entrez, chère madame. »

Il lui demande alors de se mettre dans la tenue adéquate, comme la dernière fois. Rien dans son attitude ne montre une quelconque familiarité, rien qui ne puisse laisser penser que la dernière séance a ouvert la porte à une relation sexuelle, voire simplement à un certain érotisme entre eux.

Allongée en slip et soutien-gorge sur la table de massage, Anna sent les mains palper sa cuisse, la masser sans équivoque aucune. L'homme n'a pas cherché à modifier la tenue de sa patiente. Ses doigts ne se sont pas posés sur la bordure du slip, comme Anna s'y attendait. Elle se surprend à le regretter, espérant retrouver ces instants d'érotisme qui avaient si bien su l'enflammer la dernière fois.

Elle va en prendre son parti, lorsque, tout à coup, le masseur, interrompant un mouvement, se penche vers elle et pose sa bouche sur les lèvres d'Anna. Il l'embrasse ainsi longuement. Tout d'abord, non pas réticente mais plutôt peu active, elle se laisse enfin aller à répondre vraiment à son baiser, mêlant sa langue à la sienne. Elle trouve qu'il embrasse bien. Même si cela n'était pas le cas, elle aurait cependant une grande indulgence, tant elle se sent fondre sous le regard de l'homme.

Les mains du kiné se glissent maintenant sous ses épaules, la soulevant légèrement de la table, pour atteindre la fermeture du soutien-gorge qu'elles dégrafent, libérant les seins nus. Puis c'est au tour de ses hanches de sentir les doigts de l'homme les frôler pour se glisser sous l'élastique du slip, qu'ils cherchent à faire descendre. Sans rien dire, ne se concentrant que sur ses sensations, Anna se cambre un peu pour l'aider à lui retirer son dernier vêtement. Le slip glisse sur ses jambes pour tomber au sol, la laissant totalement nue, allongée sur la table, près de l'homme qui la regarde. Il la caresse alors, suivant ses courbes du bout des doigts. Il palpe les seins, les entoure, les serre un peu. Ses doigts en pincent légèrement les pointes, en les faisant rouler. Anna se sent bien. Elle aime ces caresses qui la font frémir. Elle sent déjà une moiteur envahir son sexe, bien que le masseur n'y ait pas encore porté la main.

Les doigts quittent son buste, dérivent vers son ventre, pour venir suivre le pli de l'aine et y chercher une chaleur un peu humide. Ils remontent sur le pubis, dont ils flattent la toison, jouant avec les boucles. Les jambes d'Anna ne sont pas réellement jointes, mais elle n'a cependant pas osé ouvrir ses cuisses. Malgré son penchant pour l'exhibitionnisme, elle n'a pu offrir la vue de son intimité à l'homme qui la caresse. La main est maintenant venue plus bas, recouvrant la vulve humide de sa paume. L'homme la masse ainsi, lentement, faisant rouler les lèvres mouillées. Puis la main se fait pressante en haut de la cuisse, pour forcer les jambes à s'écarter.

Alors Anna ne résiste plus, livrant son sexe. L'homme passe un doigt sur le sillon, l'enfonçant à peine, avant de remonter doucement vers ce point où converge toute la sensibilité de la femme. Il tourne autour du clitoris, sans vraiment le toucher, se contentant d'en caresser le capuchon en lents mouvements circulaires, plus proches à chaque passage. Le bout du doigt l'écarte enfin pour atteindre le clitoris dont il titille légèrement l'extrémité.

Anna soupire et respire plus rapidement. Par moments, le kiné vient poser un baiser sur sa bouche, avant de reprendre ses caresses. Les doigts maintenant se font plus inquisiteurs, s'enfoncent entre les lèvres de la vulve, pour aller enfin fouiller le vagin détrempé. Les mouvements sont plus rapides et s'accompagnent d'un clapotis caractéristique qui excite Anna. Elle sent déjà venir en elle un grand frisson. Les doigts se replient en elle et viennent presser sur son point G. Alors, elle sent émerger la jouissance qui précède l'orgasme. Elle s'abandonne. Pourtant, alors qu'elle se sentait sur la voie du plaisir, la main se retire, son contact cesse, et l'homme s'éloigne sans rien dire, la laissant seule dans la pièce.

Anna, un peu frustrée, ne sait que faire. Elle aurait envie de laisser sa main descendre vers son ventre, venir toucher son sexe et chercher sa jouissance dans une longue caresse de son bouton. Pourtant, jamais elle n'oserait le faire devant cet homme qu'elle connaît à peine. Elle est prête à se livrer. Elle est prête à subir. Mais l'initiative personnelle lui parait exclue, presque inconvenante dans cette situation. Elle ne s'interroge même pas sur cette dissymétrie, cette inégalité, qu'elle trouve inconsciemment naturelle. Elle est la femme qui subit l'homme, qui en accepte ou peut-être même en recherche l'emprise.

Elle est toute à ses sensations, à ses pensées qui la ramènent aux récents instants de plaisir, lorsque le kiné revient dans la pièce. Il s'avance vers elle. Sa blouse est ouverte. De son pantalon sort un sexe en érection. L'obscénité de la scène n'échappe pas à Anna, qui, pourtant, ne s'en offusque pas, mais en ressent au contraire toute l'excitation. L'homme s'est approché d'elle. Son membre, long et gros, touche le bord de la table, tout près de la main d'Anna. Celle-ci ne peut quitter ce sexe des yeux. Ses doigts sont si proches. Elle pourrait le toucher. Pourtant, encore une fois, elle n'ose pas prendre l'initiative. Son regard croise enfin celui de l'homme, et elle ne peut qu'y lire une invite explicite. Alors, Anna se décide, comme on se jette à l'eau. Sa main se pose sur le membre, dont elle sent la chaleur dans sa paume. Elle entoure la hampe de ses doigts et commence une lente masturbation. L'homme parait apprécier. La main glisse plus bas et vient soupeser les gros testicules dont le poids l'étonne. Ses doigts remontent et viennent faire coulisser la peau du prépuce pour découvrir un gland gonflé de désir. Elle passe son pouce à son extrémité pour étaler doucement la goutte qui sort du méat, augmentant encore ainsi l'excitation de l'homme.

Le kiné, dont le regard devient trouble, se libère de la caresse d'Anna pour venir se coucher sur elle. Son sexe se présente à l'entrée de la vulve, qui dégouline tant que la pénétration se fait tout naturellement. Le membre rentre jusqu'au fond, puis ressort lentement. Le coït est tout en souplesse, apportant une impression de douceur qui n'empêche aucunement de fortes sensations. Anna aime supporter le poids d'un homme sur son corps. Elle aime aussi ce va et vient, cette impression d'une caresse intérieure, profonde, glissante. Elle sait qu'elle aurait dû se soustraire à cette pénétration, dangereuse pour elle, particulièrement en ce moment précis. Mais elle en avait tellement envie que son désir s'est imposé à sa raison. Aussi se contente-t-elle de murmurer:

« S'il vous plaît, faites attention », s'en remettant totalement à l'homme qui la possède.

Elle vient de sentir distinctement le membre durcir en elle, lui remplissant encore mieux le vagin. Pour profiter pleinement de cette sensation, Anna a envie de bien serrer ce sexe en elle. Au risque de faire jouir son amant, elle resserre alors ses cuisses, emprisonnant le membre tendu dans son vagin. Elle ressent encore mieux ce contact intime et se concentre sur cette seule sensation. A cet instant, elle sent parfaitement la grosse veine, qu'elle avait vue en le masturbant, battre contre sa muqueuse, dans une palpitation annonciatrice de l'orgasme. Dans un cri, l'homme se rejette alors en arrière, se relevant à demi sur ses bras tendus, et arrose le ventre d'Anna avec des giclées convulsives d'un sperme abondant.

Trop contractée par les circonstances, Anna n'a pu atteindre la jouissance, mais elle s'en est sentie très proche. La séance lui a plu, l'a excitée. Elle sait qu'elle la racontera à Jules, qui lui fera l'amour lorsqu'ils partageront ce souvenir érotique. Alors, lorsque le kiné lui tend un mouchoir pour s'essuyer avant de se rhabiller, Anna ne fait qu'une toilette partielle, gardant précieusement quelques filets blancs accrochés dans sa toison pubienne. Elle sait que, ce soir, cette vision sera appréciée comme il se doit par son mari.

Effectivement, dès son retour, Jules la serre contre lui, sentant sur elle l'odeur de l'amour récent. Excité, il la presse de questions. Anna commence son récit, n'omettant pas le moindre détail, cherchant ainsi à donner du plaisir à son mari. Celui-ci lui retire fébrilement ses vêtements pour l'allonger, nue, sur le canapé du séjour. Il se déshabille très vite car c'est là qu'il veut la prendre, immédiatement, tout en écoutant fébrilement son récit. Lorsqu'il se jette sur elle, Anna le repousse, sans lui donner d'explication. Après la pénétration qu'elle vient de subir avec délice, elle n'a pas envie de sentir en elle une si petite bite. Le tenant de ses deux mains éloigné d'elle, Anna écarte ses jambes dans une position presque obscène et dit à son mari :

« Regarde-moi. »

Jules parcourt son corps du regard et ses yeux sont attirés par les filets blancs accrochés dans les poils du pubis. Alors, il se met à genoux entre les jambes d'Anna et se penche vers son ventre. Sans hésiter, il vient essuyer doucement, du bout de sa langue, les restes du sperme du partenaire de sa femme. Il s'en délecte. Son petit sexe n'a jamais bandé aussi durement. Il lui dit :

« Oui, oui, c'est bon de te nettoyer comme ça ! »

Anna pose la main sur la tête de son mari, presse vers elle et le guide ainsi un peu plus bas. Jules mâchonne furieusement les lèvres de la vulve trempée, pousse sa langue à l'entrée du vagin, lèche, suce, aspire. C'est comme s'il avait atteint son Graal. Pour Anna, qui presse toujours aussi fortement sur la tête de son mari, c'est la jouissance qui la traverse d'un seul coup, mêlant dans son esprit les sensations du moment et le souvenir de sa séance de plaisir avec le kiné. Elle a, en même temps, une sensation de puissance. Elle est maîtresse de la situation présente.

Lorsque Jules se relève enfin, Anna se sent obligée de lui apporter un peu de plaisir. Elle prend son sexe en main et le branle rapidement, tout en lui disant combien ce qu'elle a fait avec son nouvel amant l'a excitée. Anna lui dit alors :

« Tu m'as fait beaucoup de bien lorsque tu m'as sucé comme ça. »

Puis elle ajoute :

« Cela a été encore meilleur que quand... », ne terminant pas sa phrase.

Jules questionne alors :

« ... meilleur que quand? ... Quoi? »

Anna, après une longue hésitation, lui répond dans un murmure timide, à peine audible :

« ... meilleur que... quand tu me baises. »

Jules reste sans voix, alors qu'Anna s'en sort par une question :

« Quand je te raconte mes aventures, que tu me nettoies et que je te masturbe, est-ce que c'est bon? »

« Oui, bien sûr », répond Jules, qui entend alors Anna suggérer :

« Peut-être serait-ce la bonne façon pour nous deux de prendre du plaisir ensemble? »

« Serait-ce la seule façon? », interroge Jules, ce qui lui vaut comme réponse :

« Oui, pourquoi pas? »

Complètement désarçonné, Jules ne peut que dire, d'une voix cassée par l'angoisse :

« Je ne sais pas... c'est difficile pour moi. Enfin... peut-être... »

-----------

... à suivre ...

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
ZachariasvarZachariasvaril y a presque 2 ans

Excellent. Cocu en cours de formation qui se dirige droit vers le déni permanent

CocuforeverCocuforeveril y a presque 2 ans

montée du cocufiage vraiment bandant

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Addiction à la Fessee Une jeune mariée découvre le plaisir de la fessée.
Un Vieux Couple Un vieux couple séduit un étudiant naïf pour le plaisir.
L'esclave Mystère Ch. 01 Peter découvre que ses désirs secrets sont connus...
Massage pour Emilie Enceinte Sensualité et jouissance pour Emilie
Les Bijoux de Florence NICOLE et les bijoux de florence.
Plus d'histoires