L'Appât Du Gain (Partie 05)

BÊTA PUBLIQUE

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Lorsque la femme ouvrit la porte, ce fut pour découvrir des escaliers qui s'enfonçaient sous la maison. Clarisse eut alors peur qu'ils aient prévu de la faire dormir dans la cave, elle qui était claustrophobe. Elle se rappela ses appréhensions lorsque la veille, elle se croyait abandonnée sous l'usine, se mettant à imaginer des créatures tout autour d'elle.

Ses craintes furent confirmées lorsque la vielle actionna un interrupteur qui illumina les marches avant de se placer sur le côté pour la laisser passer.

- Ta chambre est en bas, lui dit-elle. Tu y passeras la nuit et si tu as des envies pressantes, il doit y avoir un seau.

Clarisse hallucinait, se demandant comment elle avait pu en arriver là en quelques heures. Elle n'aurait jamais dû s'enfuir de chez Noël car même s'ils abusaient de son corps, elle était bien mieux traitée qu'ici. Elle se rappela alors qu'elle était partie pour éviter qu'ils ne prennent les cent mille euros sur son compte mais là, elle était dans une situation qui l'inquiétait bien plus.

Pourtant, malgré l'angoisse qui s'était emparée d'elle, elle emprunta les escaliers laissant la vieille refermer la porte derrière elle. Elle entendit le verrou qui tournait et sut qu'elle était prisonnière dans cet endroit lugubre.

En descendant les escaliers, elle se rendit compte que l'air était humide et que sa nudité n'aidait en rien. En parvenant en bas, elle découvrit une petite pièce qui avait été aménagé en chambre sommaire. Le béton sur lequel elle marchait était froid et un petit lit ainsi qu'une armoire s'avéraient être les seuls mobiliers disposés dans ce sous-sol.

Elle aperçut le seau de nuit dans un coin de la pièce et pour se réchauffer, il n'y avait qu'une couverture posée en boule sur le matelas.

Ce n'était pas une chambre mais une cave humide avec quelques meubles abîmés et elle n'avait même pas une petite bouteille d'eau si elle voulait se désaltérer.

Clarisse, frigorifiée, alla ouvrir la vieille armoire dans l'espoir de découvrir des draps ou un vêtement à se mettre sur le dos. Elle ne fut pas surprise de découvrir que le meuble était vide à l'exception d'un sac de voyage déposé sur l'étagère du bas.

Curieuse, elle s'empara du sac qu'elle alla déposer sur son lit. Qui avait bien pu laisser ses affaires dans ce sous-sol ressemblant plus à une prison qu'à une chambre d'invités.

En l'ouvrant, elle découvrit que ce dernier contenait juste quelques chemises de nuit, une brosse pour les cheveux et des revues datant de plus de trois ans. Étalant son trésor sur son matelas, elle examina attentivement le sac mais n'y trouva qu'une étiquette à moitié effacée, écrite au stylo, et sur laquelle elle ne put lire qu'un prénom.

Une certaine Élisa était la propriétaire du bagage et elle se demanda où elle était passée.

Vu le froid qui régnait dans la cave, elle saisit la chemise de nuit qui sentait le moins fort et l'enfila sur son corps transi.

Le vêtement était bien trop grand et large pour elle mais cela n'avait pas d'importance. Après avoir remis toutes les affaires dans le sac qu'elle déposa par terre, elle déplia la couverture poussiéreuse et se glissa dessous sans chercher à éteindre la lumière.

Elle n'avait pas envie de se retrouver dans le noir, dans ce lieu qui lui faisait très peur, et, réussissant à se réchauffer un peu, elle essaya de dormir.

Elle mit beaucoup de temps pour trouver le sommeil, repensant à tout ce qui s'était passé depuis son arrivée ici. Elle était devenue leur captive et était partagée entre la peur et une certaine excitation qu'elle ne parvenait pas à comprendre.

Elle était tombée dans les bras de Morphée lorsqu'un bruit léger la sortit de ses rêves. C'était le verrou de la porte qu'on venait de tourner et elle pensa alors être au lendemain.

Au bruit de pas lourds dans les escaliers, elle sut que c'était Mireille qui venait la chercher. Elle était toujours aussi fatiguée malgré sa nuit passée ici et mit ça sur le dos de l'humidité.

- Coucou Clarisse, c'est maman qui vient voir si tu es bien installée. Il est minuit et je me suis dit que tu devais sûrement t'ennuyer seule en bas.

Tournant la tête, tout le corps de Clarisse frissonna en découvrant l'énorme gode qu'elle tenait à la main. Elle comprit alors pourquoi elle était fatiguée car elle n'était endormie que depuis peu de temps et son corps n'avait pas récupéré de la fatigue du jour...

Elle ne tenta même pas de retenir la couverture lorsque la vieille la retira pour la jeter au sol. En découvrant qu'elle avait mis une chemise de nuit, elle ne put s'empêcher de rire.

- J'avais complètement oublié que j'avais laissé les vêtements de nuit d'Élisa ici. Cette tenue de nuit ne te va pas du tout, tu vas me retirer ça tout de suite que je mette tout ça à brûler.

Clarisse ne savait pas si elle devait résister ou obéir à la vieille, ne voulant pas se retrouver toute nue avec le froid ambiant. Pourtant, ce fut son côté soumis qui prit le contrôle de son corps et sans rien dire, elle s'assit sur le matelas pour retirer son vêtement de nuit.

- Bien, mais comme tu as été une mauvaise fille en mettant des affaires qui ne t'appartiennent pas, je vais être dans l'obligation de te punir.

- J'avais froid....

- Tu avais une couverture

- C'est que...

- Tais-toi ou il t'arrivera la même chose qu'Élisa.

Clarisse ignorait qu'elle avait été le sort de l'autre fille, mais elle eut très peur tout en sentant l'adrénaline envahir tout son corps.

- Allonge-toi et écarte les cuisses.

Clarisse se rendit compte que la vieille n'avait pas fermé la porte et que vu l'heure, son fils devait dormir. Elle aurait très bien pu sauter du lit et essayer de s'échapper pour partir loin d'ici. Elle avait même beaucoup de chance d'y parvenir vu que la femme, de par son âge et son physique, ne devait pas être très rapide. Mais dans la nuit et toute nue, aurait-elle pu aller très loin en sachant qu'ils seraient partis à sa recherche sur un terrain qu'ils connaissaient très bien.

Se rendant compte que la fuite n'était pas la meilleure solution, elle s'allongea et écarta en grand les cuisses, ne cherchant pas à désobéir.

- Décidément, tu me surprends. Élisa était bien moins conciliante que toi et contrairement à elle, tu es vraiment la femme idéale pour mon bébé.

La jeune femme respira lentement alors que la vieille approchait l'énorme gode près de sa chatte sans défense. Son sexe allait sûrement morfler car il n'était pas préparé à ça. Le dildo faisait plus de quatre centimètres de diamètre et aucune caresse n'avait lubrifié son intimité pour recevoir ce monstre.

Pourtant, elle était excitée d'offrir ainsi son con, même si c'était à cette femme répugnante. Elle poussa un petit cri lorsque d'une petite poussée, la vieille pénétra sa vulve sans aucune précaution. Heureusement pour Clarisse, l'excitation d'offrir son corps l'avait fait mouiller légèrement ce qui permit à l'engin de la pénétrer sans dégât.

- Non seulement tu es belle mais en plus tu es courageuse, remarqua la vieille. Je vais bien te préparer pour mon garçon

La jeune femme dut faire un gros effort pour rester immobile tout en gardant les cuisses ouvertes. La vieille qui ne voulait pas non plus la blesser, commença des vas et viens assez lents avant d'accélérer petit à petit. Elle ouvrit grand la bouche pour mieux respirer alors que la main de la vieille, tenant fermement le gros gode, s'activait entre les jambes avec une vitesse toujours plus rapide.

- J'avoue que c'est surtout pour moi que je suis descendue, j'adore t'entendre couiner comme une petite truie, je trouve ça très excitant.

Clarisse ne l'entendait plus tant le plaisir était violent. Elle se faisait défoncer la chatte et elle adorait ça.

La vieille pour bien maintenir son corps, avait posé l'autre main sur son ventre pour la plaquer sur le matelas alors qu'elle la labourait sans pitié.

Jamais encore elle n'avait était prise de la sorte et, les yeux fermés, elle se laissait aller à une jouissance torride qui prit bientôt possession de son âme.

Elle poussa un cri alors que son sexe gicla de plaisir, emporté par un orgasme violent.

- Tu aimes quand ta future maman s'occupe de ton petit minou, je crois que je vais le faire souvent car j'adore ça moi aussi.

Clarisse haletait essayant de reprendre ses esprits alors que le gode continuait à pourfendre son intimité.

En constatant que la jeune femme n'aurait peut-être pas d'autre orgasme, la vieille retira le gode du sexe et ordonna d'une voix n'admettant aucune discussion.

- Il est temps que je prépare ton petit trou pour mon bébé. Je ne voudrais pas qu'il se fasse mal si tu es trop étroite.

En voyant que la jeune femme ne bougeait pas, la grosse femme éleva la voix.

- Retourne-toi que je t'élargisse l'anus.

Clarisse frémit en l'entendant. Elle n'aimait pas spécialement la sodomie même si elle avait pris du plaisir avec Philippe en le faisant la veille mais elle savait que refuser pourrait être dangereux. Cette femme lui faisait peur aussi, lentement, elle se retourna pour se mettre sur le ventre.

Elle offrait sciemment son fondement en sachant que le gode risquait de lui faire très mal. Même le fils de Noël, qui était pourtant bien doté par la nature, n'avait pas un diamètre aussi gros que celui du dildo.

La jeune femme allait se laissait sodomiser en toute connaissance de cause. Si la vieille la prenait avec la même hargne qu'elle venait de le faire dans son intimité, elle risquait de la déchirer.

Malgré ses appréhensions, Clarisse se positionna comme demandé, excitée étrangement en pensant à ce qu'elle allait subir. Elle avait certes peur d'avoir mal mais d'un autre côté elle aimait obéir et se faire maltraiter.

Elle pensa au sous-sol de l'usine, lorsque, pendue au plafond, Virginie l'avait violemment fouettée. Elle se dit que ce que la grosse allait lui faire ne pouvait pas être pire et même si cela était, cela ne la tuerait sûrement pas.

La jeune femme sursauta lorsque la main vint lui flatter les fesses, les caressant avec une étrange douceur.

- J'adore ton petit cul et je suis sur que mon bébé est d'accord avec moi.

Hélas la vieille n'avait pas l'intention de la caresser longuement, se contentant de quelques minutes avant de placer le gland du gode contre son petit œillet. Clarisse serra les dents lorsqu'elle sentit la poussée sur l'engin heureusement déjà un peu lubrifié par sa mouille.

Elle ne put s'empêcher de gémir lorsque, millimètre par millimètre, il s'inséra en elle, lui ouvrant l'anus inexorablement. La douleur fut intense et pourtant la jeune femme restait dans la même position, ne cherchant pas à se dérober même si c'était insupportable.

- Je n'en reviens pas que tu te laisses faire, Il m'avait fallu quatre jours pour qu'Élisa cesse de se débattre sans que je doive l'attacher. Il faut dire qu'à la fin elle était épuisée et que c'était bien plus facile, dit-elle en rigolant

Clarisse n'écoutait pas vraiment Mireille, essayant de se décontracter alors que l'engin s'enfonçait en elle. Finalement, la vieille y allait lentement et malgré la douleur, c'était moins pire que ce qu'elle craignait.

Lorsque son cul céda et que le gode s'enfonça entièrement, la jeune femme ne put s'empêcher de pousser un râle.

La vieille commença alors de lents vas et vient, ne cherchant pas à la brusquer en signe de récompense. Elle s'était laissé enculer sans rien dire et pour montrer son contentement, Mireille ne la prenait pas brutalement.

La jeune femme finit par s'habituer à la douleur et commença a apprécier ces allées et venues au fond de ses entrailles. Elle aimait être cette chose sans défenses entre des mains dominatrices et la grosse femme avait une telle emprise, qu'elle n'avait plus envie de s'y soustraire.

Pourtant elle savait que la mère et son fils n'étaient pas très équilibrés et qu'elle était en danger de mort. Qu'était devenue cette Élisa dont Mireille parlait en permanence et dont le bagage traînait dans l'armoire. Qu'allait-il lui arriver si elle les décevait ou s'ils se lassaient d'elle.

Clarisse tenait trop à la vie pour prendre le danger par-dessus la tête et pourtant elle se laissa aller au plaisir qui envahissait son corps alors que le gode allait de plus en plus vite dans son anus martyrisé.

Elle se fit pilonner durant de très longues minutes, hurlant de plus en plus fort tant cela devenait intense. Elle n'était plus la fille sage et introvertie qu'elle était quarante huit heures plus tôt. Elle était redevenue cette soumise qui, entre les mains de Noël, acceptait les tortures.

Même si elle n'eut aucun orgasme, elle y prit tout de même du plaisir et lorsque la vieille l'abandonna pour retourner se coucher, Clarisse resta un long moment sur le ventre, essayant de calmer ses pulsions ainsi que la douleur émanant de son cul.

Elle savait qu'elle devait tout faire pour échapper à la femme et son fils et pour ne pas de subir le même sort qu'Élisa.

Elle ne savait rien sur cette fille à part le pressentiment qu'il lui était arrivé quelque chose d'horrible. Si son bagage traînait ici c'est qu'elle n'était sûrement jamais repartie de cette demeure maudite.

Tout son corps frissonna en pensant à cela sauf que cette fois, ce n'était pas à cause du froid.

À SUIVRE

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Anonymous
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8 Commentaires
gdiabologdiaboloil y a 6 mois

Les personnages de la mère et du fils, excellents !

AnonymousAnonymeil y a 6 mois

J'aime bien cette suite en espérant que ça devienne bien trash

JB

AnonymousAnonymeil y a 6 mois

J adore l'histoire. L histoire d Elisa pourrait intéressante

AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Excellent, comme toujours. J'espère que l'histoire finira mal comme certaines de vos histoires.

APVapvAPVapvil y a 6 mois

J'avais bien aimé le début. Ce retournement me laisse perplexe.

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