L'Appât Du Gain (Partie 04)

Informations sur Récit
Un repas pas comme les autres.
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Partie 4 de la série de 6 pièces

Actualisé 11/15/2023
Créé 08/26/2023
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Clarisse eut du mal à ouvrir les yeux mais les douleurs émanant de son corps la rappelèrent très vite à la réalité. Pourtant, en apercevant le réveil posé sur la table de nuit, elle fut surprise de découvrir qu'il était déjà 10 heures du matin. Elle venait de dormir d'une traite, preuve que son corps, souvent mis à contribution, avait eu besoin de récupérer.

Au ronflement qu'elle entendit juste à côté d'elle, elle réalisa que Noël dormait encore et décida de ne pas bouger.

Elle venait de vivre 24 heures incroyables et en se remémorant tout ce qui venait de se passer, elle avait encore du mal à réaliser que c'était bien réel.

Elle avait signé ce contact où elle offrait son corps contre une grosse somme d'argent à la seule condition qu'elle tienne 48 heures. Elle en avait fait la moitié et pourtant elle avait l'impression qu'elle était entre leurs mains depuis bien plus longtemps.

Plus qu'un seul jour et elle sera libre et riche et pourtant elle n'arrivait pas à s'en réjouir sans vraiment en connaître la raison.

La nuit qu'elle venait de passer aurait pu effrayer beaucoup de femmes alors qu'au contraire, elle avait aimé être à leur merci, même si elle avait ressenti de la jalousie envers Virginie qui avait pris sa place.

Elle avait été humiliée en étant promenée nue dans la ville, attachée à une laisse. Elle avait été prise par de nombreuses personnes et avait eu le droit à une séance BDSM et étrangement elle ne regrettait rien.

Bien sûr, il y avait cette somme de 400 000 euros qui l'attendait mais elle savait que la raison de son bonheur n'avait plus rien à voir avec cela. Elle se sentait changée et même lorsqu'elle pensait à son fiancé Julien, elle le voyait différemment.

Tout en restant immobile pour ne pas réveiller son maître, elle se demandait ce qu'ils avaient prévu pour elle. Elle n'avait plus peur pour son corps et était impatiente de poursuivre l'aventure. Elle se mit à se caresser et à tirer les anneaux de tétons qu'ils lui avaient posés la veille. La douleur dans ses mamelons était devenue supportable par rapport à la veille où ils étaient très sensibles.

Et s'ils la ramenaient sous l'usine pour continuer les tortures où qu'ils l'emmenaient chez Dylan, le barman qu'elle trouvait très mignon. Elle était prête à tout subir sans demander aucune rallonge contrairement à la journée qui venait de s'écouler.

Elle s'imaginait plein de choses lorsque le septuagénaire bougea et qu'une main vint la caresser. Noël était réveillé et sans même y être invitée elle glissa au niveau de son membre pour lui faire une gâterie matinale.

- Gentille fille, se contenta-t-il de dire en sentant la bouche de Clarisse emprisonner sa queue.

La jeune femme aimait lorsqu'il lui parlait gentiment et pour le remercier, elle s'appliqua à faire la meilleure fellation possible, le dégustant avec énormément de plaisir.

Et dire qu'elle n'aimait pas sucer le sexe de Julien, ne le faisant que pour lui faire plaisir mais en ayant toujours des hauts de cœurs.

Maintenant, elle aimait sentir un membre dans sa bouche depuis qu'elle avait été obligée de passer sous la table pour le plaisir du vieux.

Elle se rendait bien compte qu'elle n'était plus la même depuis qu'elle était arrivée chez eux et bizarrement elle aimait cette nouvelle Clarisse qui avait beaucoup moins de limites.

Tous les interdits qu'elle s'était imposés jusqu'ici, que ce soit par pudeur ou par peur, s'étaient avérés êtres des sources de jouissances qu'elle n'aurait jamais pu connaître sans ce contrat signé la veille.

Tout en pensant à cela, elle continuait de sucer le vieil homme qui était sur le dos en pleine jubilation. Pour lui ce fut un réveil fantastique car en très peu de temps, elle était devenue très douée pour donner du plaisir juste avec sa bouche.

Lorsqu'il finit par exploser, il adora sentir la langue venir le nettoyer comme l'aurait fait une chienne qui lécherait avec gourmandise un os rempli de moelle. Jamais il ne se serait douté que cette jeune femme rencontrée dans le train allait être autant obéissante, même avec l'argent comme carotte.

Pourtant, malgré le plaisir qu'il prenait, Noël préféra repousser Clarisse car il était déjà 10 heures et il avait pas mal de choses à faire. La jeune femme ne le savait pas mais l'homme avait commandé un traiteur pour le repas de midi et il voulait tout superviser.

Il avait invité à manger un homme à qui il avait l'intention d'acheter l'entreprise. Cette dernière n'était pas au meilleur de sa forme et pourtant elle aurait pu avoir pas mal de potentiel en étant mieux gérée.

Noël espérait faire une excellente affaire et pour ça, il avait une idée qui trottait dans sa tête.

Il l'avait rencontré à plusieurs reprises et après s'être un peu renseigné, il avait appris que l'homme de quarante cinq ans était veuf et avait une fille qui avait dix-neuf ans.

Comme cette dernière vivait encore chez son père, il les avait invités tous les deux.

Juste avant de quitter la chambre, il se retourna pour dire à Clarisse de l'attendre sur le lit car il avait une surprise pour elle. La jeune femme, même si elle aimait les cadeaux, se doutait que ce que le septuagénaire allait lui apporter était sûrement à doubles tranchants.

Il n'était pas du genre à faire plaisir sans aucune contrepartie.

Pourtant, elle n'était pas inquiète et attendit, assez impatiente, de savoir de quoi il s'agissait.

Lorsque, quelques minutes plus tard, il revint en tenant un sac contenant des vêtements, Clarisse eut du mal à croire qu'ils lui étaient destinés. Depuis qu'elle était arrivée chez eux, elle était toujours restée nue et là, elle était très surprise qu'ils l'autorisent à se vêtir.

- Tu prends une douche et tu les essayes, moi je vais voir où en est Philippe.

Il déposa le sac sur le sol et sortit sans attendre de réponse. Elle était vraiment curieuse de découvrir les vêtements qu'il avait emmenés mais comme elle ne voulait pas lui désobéir, elle fonça dans la salle d'eau attenante pour se laver comme il le lui l'avait ordonné.

Clarisse resta longuement sous l'eau chaude, savonnant son corps avec minutie pour être parfaite pour les deux hommes. Elle ignorait ce qu'ils attendaient d'elle mais elle ne voulait surtout pas les décevoir.

Une fois séchée, elle alla voir ce que contenait le sac et fut surprise en y découvrant une minijupe en cuir rouge ainsi qu'un top à fines bretelles dont la matière légère devait laisser voir la poitrine.

Il n'y avait aucun sous-vêtement mais cela ne la dérangeait pas, s'étant habituée à ne plus rien porter.

Que voulaient-ils qu'elle fasse habillée de la sorte. Ils n'allaient tout de même pas lui demander de faire le tapin même si cela ne la dérangeait pas. La tenue était vraiment sexy et elle se dépêcha de la mettre pour pouvoir s'admirer.

La jupe lui allait vraiment à raz les fesses alors que le top ne cachait pas grand-chose de sa poitrine et de ses anneaux de tétons qui étaient bien visibles. Elle était à la fois obscène et superbe et elle était presque sûre maintenant qu'elle allait devoir se prostituer.

Elle attendit une dizaine de minutes avant que Noël ne revienne et lorsqu'il la vit, un grand sourire apparut sur son visage.

- Tu es superbe mais j'avoue que je ne pensais pas que ton top était aussi sexy. Finalement ce n'est pas plus mal.

- Vous voulez que je fasse le trottoir?

L'homme éclata de rire et tout en ne la quittant pas des yeux, il lui répondit.

- Pas du tout, je veux que tu joues un rôle pour moi.

- Hein... lequel?

- À midi on va recevoir des invités pour dîner et je veux que tu sois la fille de Philippe, autrement dit, ma petite fille.

Clarisse fut surprise par la demande tout en étant heureuse de jouer la comédie. Pourtant, quelque chose n'allait pas dans le rôle qu'elle devait endosser.

- Pour les vêtements, ça ne va pas si je suis votre petite fille, ils sont trop osés et je n'ai même pas de sous-vêtement.

- Moi je les trouve très bien, et en plus j'aime l'idée d'avoir une descendante délurée et très obéissante, répondit il en souriant.

- Mais comment je devrais vous appeler?

- Papy... J'ai toujours rêvé d'avoir une petite fille mais mon grand benêt de fils pense trop au sexe pour se caser.

Même si elle aurait préféré quelque chose de plus excitant, elle adorait tout de même l'idée de jouer ce personnage. C'est vrai que sa tenue ne collait pas au rôle mais si c'était ce qu'il voulait, elle obéirait sans rien dire.

Lorsqu'ils quittèrent la chambre pour se rendre dans la salle à manger, un homme d'une trentaine d'années et tout vêtu de blanc s'affairait à mettre la table. En voyant Clarisse, il la regarda surpris, étonné de voir une femme aussi belle se dévoiler autant puis, se ressaisissant, il fit comme si de rien était et reprit sa besogne.

Ils trouvèrent Philippe dans le petit salon, en train de boire un verre comme si de rien était.

- Tu ne trouves pas qu'il est un peu tôt pour picoler, lui reprocha son père.

- Je goûte pour être sûr que le whisky n'a pas tourné. Je vois que notre petite Clarisse est aussi excitante habillée que nue.

- Je te connais, je t'interdis de la sauter avant le repas, j'ai des projets pour elle.

Avec ce qui s'était passé cette nuit et Virginie, qui avait fini aux urgences, le vieux avait peur que son fils refasse une connerie. Il avait tendance à ne pas prendre de gants lorsqu'il baisait une femme et il avait trop besoin de Clarisse pour le repas qui allait débuter.

- N'oublie pas ce qu'on a dit, lui rappela Noël, Clarisse est ta fille et si elle t'appelle papa, tu ne la gifles pas.

Le quarantenaire ne pas répondit pas à son père, préférant ne pas envenimer les choses. Ce dernier lui en voulait encore mais il savait que cela passerait vite car il était son fils unique.

Ils restèrent dans le salon pour laisser le traiteur œuvrer en toute tranquillité, que ce soit dans la salle à manger pour finir de préparer la table ou dans la cuisine pour commencer à faire chauffer les préparations culinaires.

Ils n'attendaient pas leurs invités avant midi et demi en espérant qu'ils ne soient pas en retard. Clarisse s'était assise à coté du septuagénaire pour ne pas tenter Philippe qui ne la quittait pas des yeux. Elle ne se faisait pas d'illusion, elle savait que si elle se retrouvait seule avec lui, il la sauterait immédiatement quitte à désobéir à son père.

- Avant qu'ils ne soient là, Clarisse tu es ma petite fille et je veux que tu fasses tout ce que je te demanderais, même si cela peut surprendre

- Oui Monsieur

- Non, ce n'est pas Monsieur mais c'est Papy et tu me tutoies, du moins jusqu'à ce qu'ils repartent

- Oui papy.

Noël sourit et lui caressa la cuisse pour la récompenser comme il l'aurait fait avec une petite chienne. Clarisse aimait ces marques de gratitude et elle se laissa tripoter sans aucune résistance. Elle avait accepté au début de leur appartenir pour une grosse somme d'argent mais avec le temps elle y prenait énormément de plaisir.

Ce fut à midi et demi précise que l'on sonna à leur porte d'entrée. Noël demanda à Philippe et Clarisse de se rendra dans la salle à manger pendant qu'il allait accueillir leurs invités.

Le traiteur avait bien fait les choses et la table était dressée avec beaucoup de goût. Une bonne odeur émanait des cuisines et la jeune femme, qui ne mangeait pas à chaque repas, en avait l'eau à la bouche.

- Dommage que je n'ai pas le temps de te prendre sur cette table avant qu'ils n'arrivent, lui dit Philippe à voix basse.

- Ce n'est que partie remise, papa, lui dit en souriant Clarisse qui se permettait des choses qui en temps normal auraient été punies.

L'homme lui lança un regard cruel qui en disait long sur ses intentions. Il allait lui répondre lorsque Noël et ses deux invités pénétrèrent dans la pièce.

Le nouvel arrivant avait l'air fatigué, épuisé sûrement pas de nombreuses nuits blanches. Ses problèmes financiers devaient le travailler et il devait sûrement cumuler les cauchemars pour avoir une telle tête.

Il faisait plus que ses quarante-cinq ans par rapport à sa fille qui paraissait bien jeune. Cette dernière, une petite rousse de dix-neuf printemps, était mignonne comme tout, ce qui n'échappa pas à Philippe qui la voyait déjà dénudée dans son lit.

- Monsieur Pezat, je vous présente mon fils Philippe et ma petite-fille Clarisse.

- Enchantée, appelez-moi Florian, et voici ma fille Clémentine.

C'est alors que les nouveaux venus découvrirent la tenue de Clarisse et plus particulièrement le top, qui laissait deviner les anneaux au bout de ses tétons. Durant quelques secondes, ils restèrent interdits devant ce beau spectacle avant de réaliser qu'ils étaient discourtois de mâter de la sorte la poitrine de la fille.

- Venez vous asseoir de ce côté, dit Noël qui feignit de n'avoir rien vu alors qu'il plaçait sciemment Clarisse devant Florian et Philippe face à sa fille.

Lui, par pure stratégie, alla se placer au bout de la table pour mieux gérer ses troupes.

Une fois tout le monde installé, le septuagénaire fit signe au traiteur resté près de la porte, d'emmener l'apéro pour débuter le repas.

Au début, la conversation fut un peu empruntée, abordant des sujets pas trop intéressants. Florian, qui avait Clarisse juste devant ses yeux, ne pouvait s'empêcher de lancer des regards sur sa superbe poitrine sans vraiment le vouloir.

Noël, un sourire aux lèvres, attendit le bon moment pour lancer l'offensive.

- Je vois Florian, que vous regarder le cadeau que j'ai fait à ma petite fille.

- Hein, quoi?

- Pour son anniversaire, je lui ai offert ces deux jolis anneaux en or et j'ai vu que vous les admiriez.

- Hein, pas du tout...

Clémentine était perdue à coté de son paternel, se demandant ce qui arrivait. Elle aussi avait vu les anneaux mais elle ne pensait pas que son père allait les mettre dans cette situation.

Noël se retourna alors vers Clarisse et avec une voix d'une gentillesse extrême, il s'adressa à elle.

- Ma petite fille adorée, retire ce top pour montrer à monsieur Pezat le joli cadeau que je t'ai fait.

- Oui papy

Et comme si cela était la chose la plus naturelle du monde, la jeune femme fit passer le vêtement par-dessus sa tête, le jetant derrière elle. Elle dévoila ses seins sans aucun complexe, comme si c'était normal d'être topless à table pour le plus grand plaisir du vieux qui buvait du petit lait.

Florian et sa fille Clémentine devinrent pales comme un linge, ne sachant plus quoi dire. Ils avaient tous les deux le regard fixé sur la jolie poitrine, ne comprenant pas du tout comment c'était possible d'en arriver à cette extrémité.

- Ils sont magnifiques n'est-ce pas, et entièrement ciselés à la main

- Heu... oui... Mais comment avez pu....

Pezat aurait bien voulu demander comment un homme normal pouvait faire ça à sa petite-fille mais son besoin d'argent l'empêchait de s'exprimer franchement. D'un autre côté, ces seins dont les tétons étaient ornés par des anneaux en or le fascinaient énormément.

Clémentine regardait tour à tour son père et la poitrine exposée de façon impudique. Elle ne savait plus du tout quel comportement adopter et si son père n'avait pas autant été endetté, elle se serait sûrement levée pour quitter cette maison de fous.

- Votre fille est très jolie, vous n'avez jamais pensé à lui offrir ce genre de bijoux.

- Ça va pas non! s'exclama à haute voix Clémentine qui regretta immédiatement son emportement en voyant tous les regards posés sur elle.

Elle savait que son père avait besoin de vendre et, se reprenant, elle dit d'une voix plus calme.

- Je suis désolée, c'est juste que j'ai peur que cela me fasse mal et que je ne suis pas adepte de ce genre de chose.

- C'est dommage, lui dit Philippe, je suis sûr que tu as une adorable poitrine, n'est-ce pas Florian?

L'homme devint encore plus blême en entendant la question.

- Je... je ne sais pas... je n'ai jamais regardé .... Heu....

- Mon père n'a jamais vu ma poitrine, répondit Clémentine pour venir au secours de son paternel.

- Comment est-ce possible, demanda Noël qui feignit l'étonnement. Vous avez une adorable fille et vous n'avez jamais vu son corps?

- heu... non... ce serait incestueux...

Un silence pesant se fit autour de la table alors que Noël, tout sourire attendit un peu avant de demander à sa soi-disant petite-fille.

- Ma chérie, lèves-toi et retire ta jupe pour montrer à monsieur Pezat qu'il n'y a aucun mal à se montrer nue devant ses parents.

- Oui papy.

Clarisse adorait de plus en plus le rôle qu'elle jouait, trouvant cela très érotique même si en réalité cela choquait les invités.

Elle se leva comme l'obéissante petite-fille qu'elle voulait faire paraître et une fois debout, elle fit glisser sa jupe le long de ses cuisses pour se mettre toute nue.

Le traiteur qui entrait à ce moment-là avec un plat d'amuse-gueules faillit le renverser en découvrant Clarisse. Essayant de se reprendre, il dut faire un effort pour paraître normal et déposer le plateau sur la table comme si de rien était.

- Comment pouvez-vous demander une telle chose à votre petite fille, demanda clémentine outrée tout en se sentant bizarre.

- Ton père t'a forcément vu nue quand tu étais bébé. Ne plus le faire maintenant c'est soit de l'hypocrisie, soit de la pudeur mal placée alors qu'il est ton géniteur.

- Pas du tout, répondit en colère la jeune femme, c'est juste que...vous ne pouvez pas lui demander ça...

- Tais-toi, intervint son père d'une voix sèche. Monsieur Rochon a le droit d'élever ses enfants et ses petits-enfants comme il veut.

Clémentine comprit alors qu'elle n'aurait jamais dû intervenir et qu'en montrant son hostilité envers la façon dont il élevait sa petite fille, elle ne rendait pas service à son père qui était proche de la faillite. Elle décida de ne plus parler sans y être invité pour ne pas embarrasser davantage son géniteur.

Alors que Clarisse était debout, les bras le long de son corps entre sa chaise et celle de son prétendu père, ce dernier vint lui peloter les fesses.

- J'adore son petit cul, dit-il comme si cela était normal qu'il caresse le postérieur de sa fille.

- Moi ce sont ses seins que je préfère palper, renchérit Noël sous le regard abasourdi des deux invités.

Si son père n'avait pas été là, Clémentine serait sûrement partie et pourtant en voyant cette fille nue se faire tripoter sans rien dire, elle se sentait de plus en plus étrange. C'était choquant et immoral et pourtant elle sentait en elle une excitation l'envahir.

- Si vous voulez, vous pouvez nous départager, demanda le vieux à son invité.

- Hein! quoi?

- Nous dire de ses fesses ou de ses seins, quelles parties sont les plus agréables.

Florian, en se rendant compte qu'ils le prenaient à partie, ne sut plus quoi répondre. Il ne pouvait faire une telle chose devant sa fille même s'il en mourrait d'envie. La petite-fille de son hôte était vraiment superbe et on lui demandait d'aller la tripoter.

Clémentine fixait son père, se demandant s'il allait le faire. Elle n'osait pas parler de peur de tout gâcher mais espérait tout de même qu'il allait les envoyer promener.

C'est alors que Clarisse vit Noël lui faire un petit geste discret, lui faisant comprendre d'être plus entreprenante. Du coup, pour forcer leur invité à prendre sa décision, elle fit le tour de la table pour venir près de lui.

- On compte sur vous pour nous départager, insista Noël lorsque Clarisse fut juste devant Florian.

- Heu...

Clémentine ouvrit de grands yeux en voyant son père tendre la main pour toucher les seins de la jeune femme. En réalisant qu'il allait obéir, elle eut envie de crier pour stopper son geste incongru mais pourtant elle resta silencieuse. Même si elle ne voulait pas le reconnaître, elle était captivée par ce qui se passait, trouvant cela sensuel tout en étant blâmable.

Clarisse se sentit vraiment bien lorsque les doigts de l'homme se posèrent sur son sein Elle adorait la façon dont il la dévorait des yeux, trouvant même émouvant de voir sa main trembler en touchant sa poitrine

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