Mauvais Flics

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Succession d'histoires brèves.
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Rainett
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Chapitre 1 : Même si Charlène est la femme la plus parfaite que je connaisse, il n'est pas facile d'être le compagnon d'une belle épouse qui attire, bien malgré elle, l'attention des autres hommes. Parfois, des hommes grands et musclés aiment flirter avec elle. Quand je vois cela, j'éprouve un sentiment d'insécurité, d'envie et de jalousie. Je me demande si elle est attirée par les hommes plus virils que moi. Le fantasme d'un homme au physique d'athlète, ayant des rapports sexuels avec ma femme, m'excite toujours.

Un soir, en rentrant d'une réception, nous avons eu un accident de la circulation. J'avais pas mal bu et je l'ai laissée conduire pour rentrer, sans penser qu'elle avait bu presque autant que moi. Un immense policier noir et chauve s'est présenté pour faire les constatations. L'alcootest de Charlène c'est avéré positif. Il a dit qu'un accident en état d'ébriété c'est un crime, et qu'il devait l'arrêter.

Charlène a eu peur et elle a commencé à pleurer doucement. L'idée d'aller en prison la terrorise. Je suis sorti de la voiture et j'ai dit au flic que passer la nuit en prison la fait flipper. Le flic m'a jeté un regard mauvais et m'a répondu que c'est la loi. Je suis très embêté parce que je me sens coupable, alors j'ai demandé s'il peut y avoir une solution pour éviter cela. Il m'a demandé si j'essayais de le soudoyer.

J'ai dit : « Bien sûr que non, mais je ferais n'importe quoi pour me rattraper et éviter que ma femme aille en prison »

Il a regardé Charlène avec avidité pendant quelques secondes. Elle est restée dans la position indiquée, les deux mains appuyées sur le capot de sa voiture, les jambes légèrement écartées. Il fait presque nuit et, dans la lumière des phares, je m'aperçois que sa robe translucide ne cache presque rien de son anatomie.

Le grand flic s'est tourné vers moi, il m'a dit qu'il était en train de terminer son travail, et qu'il abandonnerait les poursuites s'il pouvait l'utiliser sexuellement cette nuit-là. Des sueurs froides coulent le long de ma colonne vertébrale, et mon cœur a raté un battement en entendant cela. Mon inquiétude combattait mon excitation, et j'ai dit que j'allais la convaincre.

Je me suis approché de Charlène pour lui expliquer le "marché". Elle avait encore les larmes aux yeux. Elle était complètement choquée et n'aimait pas cet arrangement. Plusieurs fois, elle m'a répété "mais c'est un noir". Son visage, très pâle au début, rougissait progressivement. Je lui ai assuré que c'était la seule alternative. Elle avait l'air confus et ne savait apparemment plus comment réagir. Alors, je me suis tourné vers le grand flic noir, et je lui ai dit :

« C'est d'accord pour nous »

Le policier noir nous a fait asseoir à l'arrière de sa voiture de police, et nous a conduits à un hôtel voisin. Charlène est restée silencieuse, les yeux baissés, perdue dans ses pensées. Elle était nerveuse, et elle tremblait d'appréhension. Cependant, j'ai été un peu déçu qu'elle ne résiste pas beaucoup, même si elle ne semblait pas très heureuse de cet accord.

Sur le parking, devant l'hôtel, le policier lui a ouvert la porte, il lui a galamment tendu la main pour l'aider à sortir de la voiture. A peine avait-elle posé ses pieds au sol, il a hardiment soulevé sa robe bien au-dessus de sa taille, révélant son cul rond à tout le parking. Charlène est restée figée, stupéfaite par une action aussi obscène en public. Quelques personnes ont profités du panorama avec curiosité. Le flic regarda son cul avec convoitise, et lui a dit "tu es bonne".

Une fois dans la chambre, il ôte rapidement ses vêtements. Sa bite noire est très grosse. Il me dit de déshabiller Charlène. Elle est embarrassée et mal à l'aise, moi aussi, mais elle m'aide à ôter sa robe. Le flic noir la fait asseoir à côté de lui sur le bord du lit. Il la baratine pour qu'elle regarde et qu'elle touche sa grosse bite noire. Il arrive à la persuader et finalement elle accepte de poser sa main dessus. Aussitôt, il saisit le poignet de ma femme, et l'oblige à caresser son manche de pioche.

Elle est docile, ma petite femme bien-aimée, sa petite main blanche caresse doucement l'outil impressionnant du flic noir. Elle semble comme absente, seuls ses yeux écarquillés, fixés sur l'énorme sexe noir, trahissent son émoi. Je ne peux qu'imaginer ce qui se passe dans son esprit. Je suis sûr qu'elle est en train de comparer la taille de nos bites respectives, ma petite bite et cet énorme engin.

Apparemment, l'abus d'alcool, combiné aux évènements de la soirée, et cette grosse bite qui s'épanouit dans sa main, ça fait beaucoup d'émotions pour ma petite femme. Elle court aux toilettes et elle vomit. Elle en ressort au bout d'un moment, et s'allonge sur le lit. Je m'approche pour voir si tout va bien et je lui demande si elle se sent prête pour cet homme noir. Elle n'est pas sûre, la taille de sa bite l'effraye un peu. Elle me demande à voix basse si je veux qu'elle s'offre à lui, et je lui dis oui. Puis je fais un signe de tête au flic.

Il s'approche avec sa grosse bite noire se balançant devant lui vers le côté du lit où se trouve Charlène. Je sais qu'à partir de ce moment-là, notre couple ne sera plus jamais le même. Ma charmante petite femme va se faire baiser par une grosse bite noire, sous mes yeux !

Je n'ai jamais vu un énergumène aussi enthousiaste que ce flic noir. Il est partout sur elle, léchant, suçant et tripotant chaque centimètre carré de son corps nu. Une véritable sangsue gourmande, il laisse des marques rouges partout sur son corps. Lorsqu'il met la tête entre ses cuisses, elle devient sauvage, essaye de l'arrêter, mais il est trop fort pour elle. Il dévore avidement sa chatte blanche de femme mariée. Sa bouche, sa langue et ses doigts tourbillonnent dans et sur la chatte de Charlène.

Son joli visage est crispé et devient vraiment rouge. Elle ne parvient pas à retenir ses discrets gémissements ni quelques petits cris bien féminins. Vraiment, ce gars connaît son affaire avec les femmes, je n'ai jamais réussi à plonger Charlène dans un tel ravissement. Un moment, il a même relevé la tête pour me dire que ma femme est vraiment mouillée. Charlène a gardé les yeux fermés et s'est passivement soumise à un flic noir qu'elle ne connaissait même pas une heure plus tôt. Je lui ai demandé s'il voulait un préservatif, il m'a répondu qu'il n'utilise pas ces trucs. Et il a ajouté :

« Comment veux-tu que je mette ta poule en cloque avec un préservatif? »

Je suis resté planté là comme un idiot, en pensant que j'avais commis une grosse erreur en laissant ce sale flic utiliser la femme que j'aime. Puis il s'installe entre les jambes écartées de Charlène, et se positionne pour la pénétrer. Mais avant de la baiser, il a une dernière formalité. Il veut que Charlène lui dise qu'elle veut sa bite, il veut même qu'elle le supplie. Elle s'exécute à voix basse, toute rougissante.

Je suis tout excité en pensant que ma petite femme va se faire baiser par une grosse bite noire, et que je vais voir tout le spectacle. Imaginez le tableau : un grand lit King Size, dessus une femme blanche et un homme s'apprêtent à copuler. Au pied du lit, un canapé. Je m'installe dessus. Je suis idéalement placé, à proximité des jambes écartées du couple, je suis aux premières loges pour voir la chatte de Charlène se faire baiser le monstre noir.

Quand Charlène s'aperçoit que je m'approche, elle me regarde, impuissante, et elle commence à protester. Elle ne veut pas que je reste tout près pour la regarder subir l'assaut. Mais soudain, son regard change, et elle pousse un cri. Le grand flic noir vient de la pénétrer sans douceur. Ses reproches cessent aussitôt, elle s'accroche aux épaules de l'homme qui la cloue au lit avec sa grosse bite.

Il la baise de toute la longueur de sa bite, pleinement, avec vigueur. Charlène a le souffle court, elle presse son front contre les pectoraux saillants, et ses ongles s'incrustent dans les épaules musclées. Aucune protestation, aucun pleur, mais tout dans son attitude prouve qu'elle souffre. Je me penche pour voir entrer et sortir le monstre noir de la chatte de ma femme. C'est une image que je n'oublierai jamais.

La grosse bite écarte sa chatte, ses lèvres sensibles semblent s'agripper à sa tige. Sa chatte s'étire pour s'adapter à la taille de sa virilité. En entendant un gémissement, je lève les yeux. L'attitude de Charlène a radicalement changé. Elle ne subit plus, elle participe. Elle prend la totalité de la grosse bite noire dans sa petite chatte et ses hanches accompagnent chaque coup du grand flic.

Alors qu'il la baise avec force en enfouissant son énorme bite en elle, elle laisse échapper de petits cris bien féminins, accompagnés de soupirs que je n'avais jamais entendu auparavant. Le contraste entre son attitude résignée et soumise du début, et son dévergondage soudain est si frappant qu'il en est choquant. Elle semble submergée de désirs, et se laisse porter par ses sensations. Il l'embrasse avec la langue et elle ne se défend pas.

Je suis là, assis au pied du lit, tripotant ma petite bite en regardant ma femme prendre son pied sous mes yeux. Il n'y aura pas de retour en arrière. Je ne sais pas si je suis heureux ou déçu. Soudain, Charlène lève la tête et son visage se fige. Le grand flic noir lui parle à l'oreille. Il lui dit qu'il va éjaculer en elle. Elle accepte.

Il lui demande de répéter à haute voix pour que je l'entende, et elle l'a presque crié. Elle le serre contre elle avec ses bras, elle enroule ses jambes autour de lui, et elle répète comme une litanie « viens, viens » Sa queue entre et sort d'elle si vite qu'elle en devient floue. Elle est brillante des jus de ma femme. Et ce bruit humide que fait la chatte juteuse de Charlène quand son énorme sexe plonge à l'intérieur.

Jusque-là, j'ignorais que deux personnes pouvaient baiser avec une telle passion. Ma femme crie mon nom, comme pour me demander pardon de s'abandonner à la jouissance qui la prend. Elle ne peut pas s'empêcher, elle jouit bruyamment, tout son corps tremble, ses yeux se révulsent. Le flic noir ne mollit pas et il prolonge ainsi sa jouissance. J'ignorais que ma femme pouvait jouir autant, et de la voir exulter m'a fait éjaculer.

Je vais à la salle de bains pour me nettoyer, et quand je reviens ils sont toujours enlacés. Ils s'embrassent passionnément, lui vautré sur elle, je me penche pour constater que la grosse bite noire est toujours à l'intérieur de ma femme. Elle l'enlace, câline, elle est amoureuse. Il lui dit une bêtise et elle éclate de rire, un rire de femme énervée qui me fait mal. Je suis jaloux.

Avec l'excitation évidente de baiser la femme d'un autre homme sous ses yeux, il ne peut pas se retenir. Lentement, il recommence à pomper dans sa chatte consentante. Elle halète, et ne retient pas ses gémissements d'extase. Ce gros con de flic a baisé ma jolie jeune femme dans toutes les positions possibles cette nuit-là.

*************

Chapitre 2 : Les patrouilleurs Coleman et Sikorski sont assis dans leur voiture de patrouille, sur le parking en face du bar. Ils regardent la jeune femme sortir seule du bar après avoir vidé quelques verres avec ses copines. La jeune épouse brune porte un chemisier bleu pâle, boutonné devant, sur une jupe bleu marine qui descend à mi-cuisses.

« Belle pouliche » Sikorski commente d'un ton neutre.

« Je l'ai déjà remarquée, mais cette fois, je vais l'essayer » déclare Coleman, le flic au volant.

Lorsque la voiture de la jeune brunette a quitté le parking du bar, Coleman l'a suivie. A la sortie de la ville, il a allumé ses lumières. La femme a garé sa voiture dans le parking vide d'un magasin fermé, juste à côté de la route. Coleman a quitté sa voiture de patrouille pour s'approcher de la portière côté conducteur. La jeune femme brune a baissé sa vitre.

« Puis-je voir les papiers du véhicule et votre permis, s'il vous plaît? »

Elle semblait déjà inquiète.

« Combien en avez-vous bu aujourd'hui? »

« Juste deux » répondit-elle d'une voix hésitante.

« Je pense que vous en avez plus que deux. Vous ne roulez pas droit. Dois-je sortir un test de sobriété? »

La femme ne répond pas. Coleman voit sa peur grandir.

« Vous refusez le test, n'est-ce pas? Je vais devoir vous emmener en prison et vous mettre en préventive »

« S'il vous plaît, je ne suis pas loin de chez moi. Et je vais bien, vraiment »

Coleman décide de ne pas perdre de temps et se lance.

« Tu veux faire un échange? Je te laisse partir, si tu es gentille avec moi ! »

« Euh, combien voulez-vous? »

Coleman lui a rendu son permis. Il attrape la ceinture de sécurité juste au-dessus de ses épaules et l'éloigne de sa poitrine. La femme croise son regard brillant de convoitise. Il admire sa poitrine. Elle baisse les yeux pour voir un peu de son soutien-gorge en dentelle blanche briller au soleil. Elle dégrafe trois boutons de sa chemise pour lui offrir une meilleure vue, puis lève les yeux vers lui et lui sourit. Elle n'a plus peur.

Coleman observe sa poitrine pleine.

« Quelques minutes avec eux et je te laisse partir, d'accord? »

La femme ne répond rien et son regard fixe droit devant elle. Coleman met sa main dans la chemise et tâte son sein par-dessus le soutien-gorge. Puis il glisse le sein hors du bonnet pour agacer son mamelon.

« C'est vraiment sympa. Bonnet C? Hein? »

« Euh? Hein? » Marmonne la jeune épouse.

A quelques pas de la circulation, Coleman a sorti les seins des bonnets et joue avec ces deux splendeurs bien fermes. La jeune épouse reste assise en silence, prenant son mal en patience, laisse le flic la palper, lui pétrir les seins en jouant avec ses tétons durcis.

Coleman se penche et pose sa main entre les cuisses protégées par les collants. Il trousse sa jupe, révélant une culotte blanche sous ses bas transparents. Il remonte la main entre ses jambes et lui frotte l'entrejambe.

« Coleman ! Nous avons un appel. Faut y aller ! » L'appelle Sikorski depuis la voiture de patrouille. Coleman lâche sa proie et lui dit :

« Traîne encore dehors le soir et tu vas y passer, petite pute »

Il retourna à sa voiture, monte et démarre.

« Comment sont ses seins? » Lui demande Sikorski.

« Pas mal. Ronds, fermes et roses, des tétons bien érectiles. Elle m'a laissé frotter sa chatte par dessus ses collants. Si j'avais eu le temps, je ne sais pas ce qu'elle m'aurait laissé faire d'autre. Elle n'était pas réticente »

« Est-ce qu'elle était effrayée? »

« Tremblante comme un jeune chiot au début, quand elle croyait que j'allais l'embarquer. Mais quand elle a compris ce que je voulais, elle a changé de musique »

« La prochaine fois, si on a plus de temps, tu peux essayer d'en faire plus » a déclaré Sikorski

« Ouais » a confirmé Coleman. « La prochaine fois... »

*************

Chapitre 3 : De l'autre côté de la ville, les patrouilleurs Rapp et Crabbe suivent une voiture qui zigzague réellement. Ils ont suivi la voiture jusqu'à ce qu'elle tourne dans une rue calme, dans un quartier résidentiel boisé et peu peuplé.

Crabbe et Rapp sont tous deux sortis de la voiture et ont fait passer un test de sobriété à la femme, marcher sur une ligne droite, toucher son nez puis ses orteils. Elle ne s'en sort pas trop mal, mais elle ne s'en sort pas très bien non plus.

Les deux flics s'amusent surtout à faire se pencher la jeune femme hispanique dans sa courte robe dos nu, dévoilant sa culotte blanche. Dans l'ensemble, elle est plutôt bonne. Après avoir menacé la femme de prison, Crabbe lui lance son ultimatum. Il lui dit qu'il ne veut pas l'envoyer en prison, mais ...

« Vous devez être punie. Enlevez cette robe »

« Pourquoi? » demande la jeune femme.

« Pas de questions, c'est une punition. Enlève cette robe »

« Mais je n'ai presque rien dessous, juste un string » proteste-t-elle.

« Enlève cette robe ! » Gronde Crabbe.

La femme attrape lentement sa robe par l'ourlet et la soulève. Le string blanc apparaît. Elle croise les bras et lève davantage, tirant la robe par-dessus sa tête et ses longs cheveux noirs. Elle ne porte plus que ses talons vernis noirs et son string blanc. Crabbe et Rapp admirent les seins nus en forme de pomme de la femme, coiffés de grandes aréoles sombres, et de tétons durcis.

« Vous dites que vous habitez à seulement trois pâtés de maisons d'ici? » demande Crabbe.

« Oui, monsieur » répond la femme, le regard baissé.

« Alors, rentrez chez vous à pied. Nous vous suivons. »

La femme jette un regard perdu aux policiers, mais ils montent dans leur voiture et ils attendent. Elle commence à marcher dans la rue en direction de chez elle, en tenant sa robe à la main. Les policiers la suivent en voiture pendant qu'elle marche. Ils regardent ses fesses qui se balancent au rythme de sa marche. Le string blanc ne cache rien.

« Son cul n'est pas mal » commente Rapp.

« Pas super, mais pas mal » renchérit Crabbe.

« Comment j'étais? » demande Crabbe.

« Bien, très convaincant » l'encourage Rapp.

« Il n'y a pas beaucoup de routes par ici sur lesquelles on peut faire ça en plein jour. Merde, j'aurais vraiment aimé prendre cette femme ce soir. Lui piquer sa culotte, et lui tripoter les seins. Je suis sûr que cette salope doit être bonne par-derrière. T'as vu ce cul qu'elle a? »

« Ouais, on ne sait jamais vraiment jusqu'où on peut aller avec ces femmes »

Après avoir suivi la femme pendant deux pâtés de maisons, les flics l'ont doublée et se sont enfuis à toute vitesse, en jetant un dernier coup d'œil à ses seins qui bougeaient pendant qu'elle marchait.

*************

Chapitre 4 : Dans une ruelle sombre d'un autre quartier de la ville, le jeune patrouilleur Graham est assis derrière le volant de sa voiture de patrouille garée. Il écoute les bruits de succion émanant de la banquette arrière. Le sergent Miller est vautré sur la banquette arrière dans une semi-obscurité. Une jeune pute noire lui suce la bite avec un professionnalisme digne d'une pute expérimentée. Lorsque le sergent Miller a giclé dans sa bouche, la pute a ouvert la portière de la voiture, et elle a craché par terre. Miller a remonté la fermeture éclair de son pantalon d'uniforme, et il a brandi le sachet qu'il a trouvé dans le soutien-gorge de la pute.

« Qu'est-ce que c'est, Shawna, de la coke? » demande le sergent Miller.

« Ouais, rends-le-moi » dit Shawna.

« Je pense que je vais confisquer le tout » déclare le sergent Miller.

« Merde, salaud, t'avais promis ! »

« Dis, tu veux une raclée, en prime? »

« S'te plaît, je m'excuse, prends pas tout ! Il y en a beaucoup là-dedans ! »

« OK, on partage, j'en prends que la moitié. Et la prochaine fois qu'on se voit, je t'encule »

Après avoir divisé la poudre blanche en deux, Shawna est sortie de la voiture de patrouille, et le sergent Miller a ordonné à Graham de quitter l'allée.

« Gamin, tu es sûr que tu ne voulais pas de Shawna? » s'enquiert le sergent Miller.

« Non, j'aime pas les putes. Se faire sucer par une pute, ça n'a pas la même saveur que de baiser la chatte d'une jeune femme mariée ou pas » déclare Graham.

« Je comprends ce que tu veux dire, fils. Mais parfois, il faut prendre ce que l'on trouve. Parfois, on n'attrape rien pendant des jours. Et puis, badaboum, un petit cul te tombe dessus. Il faut gérer. Du moment que la poulette est jeune, je suis toujours excité. Alors, nous devons garder les yeux ouverts pour saisir les opportunités, et baiser ce qui se présente »

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1 Commentaires
Yokebed83Yokebed83il y a environ 2 mois

Bonjour j'ai bien aimé surtout le chapitre 1

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