L'Appât Du Gain (Partie 05)

BÊTA PUBLIQUE

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L'homme la déposa sur le sol et lui dit d'une voix douce.

- Maman est sûrement dans la cuisine, suis-moi que je te la présente.

- Heu... oui, d'accord.

Clarisse était de plus en plus mal à l'aise mais elle ne voulait pas être impolie. Elle essayait de voir le bon côté en se disant que la ferme étant perdue, Noël et son fils ne la chercheraient jamais ici.

Elle suivit l'homme jusque dans une cuisine qui était très spacieuse mais encombrée par un tas d'instruments dont certains n'avaient pas dû être lavés depuis un certain temps. Une femme d'un certain âge était en train de remuer, dans une gamelle en fonte, une mixture dont l'odeur n'était pas engageante.

La vieille était obèse et sa robe pas très propre n'était pas adaptée à sa morphologie. Une énorme poitrine débordait d'un trop petit décolleté alors que son ventre tendait presque à craquer le tissu noir du vêtement qui datait d'un autre siècle.

- Maman, je te présente Clarisse.

La matrone, plongée dans la préparation du repas, sursauta en entendant son fils.

Tournant la tête, elle ouvrit de grands yeux en découvrant Clarisse, surtout en la voyant vêtue de façon si sexy.

- Elle fuyait son fiancé qui l'avait obligé à s'habiller ainsi, expliqua l'homme en remarquant l'air surpris de sa mère.

Ce n'était pas vraiment ce qu'elle lui avait raconté, mais elle préféra ne pas intervenir en voyant le sourire que lui fit la grosse dame.

- Bonjour Clarisse, lui dit-elle tout en l'examinant des pieds à la tête. Je suppose que vous n'êtes plus avec lui si vous vous êtes enfuie.

- Heu... oui... on a rompu

- Bien, très bien... Vous allez manger avec nous?

- Heu... oui madame. Votre fils m'a déjà invité.

- Ne m'appelez pas madame, appelez-moi Mireille, je n'ai que soixante huit ans.

Clarisse se demandait où elle était tombée mais elle n'osait rien dire. Le repas de midi s'était éternisé et elle n'avait pas vraiment faim. Pourtant, lorsque Armand mit trois couverts sur la grande table qui n'avait même pas été nettoyée, elle préféra faire bonne figure et leur fit son plus beau sourire.

- Asseyez-vous près de mon fils, vous allez tellement bien ensemble.

Étonnée, Clarisse regarda la vieille femme, mais préféra ne pas répondre pour ne pas lui faire de la peine. Elle se savait jolie et son fils était laid, comment pouvaient-ils donc être bien assortis.

La jeune femme s'installa sans un mot sur la chaise désignée, ne se sentant pas du tout à sa place. Finalement du fils et de la mère, c'était cette dernière qui l'inquiétait le plus car sa façon de la scruter était quelque peu effrayante.

Les yeux de la vieille ne cesser de scanner son corps, la jaugeant des pieds à la tête sans montrer le fond de ses pensées.

Une fois qu'Armand se fut lui aussi installé, la vieille amena sur la table la gamelle qu'elle touillait lors de leur arrivée. Lorsqu'elle servit dans son assiette une espèce de daube pas très appétissante, Clarisse fut à deux doigts de partir.

Pourtant si elle voulait que l'homme la conduise jusqu'à Arleson, elle devait y mettre du sien.

- Mangez pendant que c'est chaud, c'est ma spécialité

- Heu... Oui... merci...

La jeune femme, pour faire bonne figure, porta à sa bouche un petit morceau de viande, ne voulant pas faire de la peine. Malgré l'odeur pas très engageante, elle trouva cela pas si mauvais que ça.

- Ma mère est une excellente cuisinière, lui dit Armand, tout fier

- Oui c'est délicieux, mentit Clarisse.

Finalement, la jeune femme se força à finir son assiette et elle but même le verre de vin violet que l'homme lui servit. A priori, il n'y avait pas d'eau à table, elle qui avant, ne buvait pratiquement pas d'alcool.

- C'est toujours d'accord pour que vous m'emmeniez en ville après le souper, demanda Clarisse qui trouvait que le repas s'éternisait.

- Il est hors de question que mon bébé conduise la nuit, rétorqua la mère. Je vais vous préparer une chambre et on avisera demain.

- Mais! c'est ce qu'Armand m'avait dit...

- Vous allez dormir ici et on verra demain. Sa voiture sans permis n'a pas un très bon éclairage et je ne veux pas qu'il prenne de risques.

Clarisse en entendant le ton de la femme monter, n'osa pas insister. Après tout, elle n'était pas attendue et pouvait bien dormir ici, même si cela ne la réjouissait pas.

- D'accord, mais je ne veux pas vous déranger.

- Mais cela ne me dérange aucunement. Ce n'est pas tous les jours que mon fiston ramène une fille à la maison.

L'homme avait plus de quarante ans et sa mère le voyait toujours comme son petit garçon. C'était à la fois attendrissant mais également flippant car ce dernier ne disait rien, comme si tout cela était normal.

Après le dessert qui consista en un bout de tarte qui devait dater de la veille, la vieille femme lui proposa de prendre une douche. Clarisse qui avait les pieds encrassés par sa marche sur la route, accepta avec beaucoup de plaisir, soulagée de pouvoir se laver.

- Je vais t'emmener à la salle de bain, proposa Armand

- heu... oui merci.

Lorsqu'ils quittèrent la table, Clarisse ne fit pas attention au sourire qui illumina le visage de Mireille. Son garçon avait trouvé une fille qui était magnifique contrairement à la dernière qui était très commune.

En arrivant dans la salle de bain, la jeune femme fit la grimace en voyant l'état de la pièce. Elle ne donnait pas envie de s'y laver tant le lavabo et la cabine de douche étaient sales

- Je te laisse, lui dit Armand. Comme il n'y a pas de serviette pour toi, je vais aller voir ma mère pour qu'elle t'en ramène une.

- Merci, c'est gentil.

Une fois l'homme parti, Clarisse ferma la porte et se déshabilla. Déposant son top et sa jupe sur la panière à linge, déjà remplie de vêtements sales, elle pénétra dans la cabine en faisant fi de son état douteux.

Pour se laver, il n'y avait qu'un petit bout de savon de Marseille et c'est, un peu écoeurée tout de même, qu'elle s'en saisit pour bien frotter sa peau.

Sous le filet d'eau chaude, elle se savonna avec application, s'attardant sur ses pieds pour enlever toute la crasse qui s'y était accumulée.

Lorsqu'elle coupa enfin l'eau, elle ouvrit la porte de la cabine recouverte de buée et sursauta en découvrant Mireille une serviette à la main. Par réflexe, elle se cacha les seins et le sexe comme elle put, faisant rire la vieille femme.

La tutoyant pour la première fois, elle ne put s'empêcher de lui dire.

- Je te trouve bien pudique pour une fille dont les vêtements ne cachent pas grand-chose de son corps

- C'est que...

- Allez, sors de la douche et laisse-moi t'essuyer, je ne vais pas te manger.

Étrangement, les deux jours passés auprès de Noël l'avaient énormément transformée et elle se trouva idiote de se cacher ainsi. Depuis qu'elle était entre les mains du père et de son fils, elle avait été exhibée à de nombreuses reprises, avait eu des rapports non protégés avec des inconnus et avait même pris du plaisir à subir des tortures dans un donjon caché.

.

Là, elle avait du mal à comprendre pourquoi elle était tant stressée devant cette femme qui lui offrait pourtant l'hospitalité.

En entendant que cette grosse matrone voulait essuyer son corps, elle sentit tout de même l'excitation la gagner. Elle se trouva ridicule de résister alors qu'elle s'était découvert des penchants bien pervers.

En voyant que la jeune femme hésitait, la vielle rajouta.

- J'ai l'habitude d'essuyer Armand et il n'en est pas mort.

- Vous... vous sécher votre fils?

- Je ne vois pas ce qu'il y a de surprenant, c'est mon bébé.

La jeune femme trouva les propos de la vieille vraiment glauques. C'est vrai qu'à midi elle avait joué un rôle similaire avec Philippe, mais ce n'était pas la réalité. Là, d'imaginer la femme essuyer son fils de quarante ans, c'était plus que malsain. Pourtant, depuis qu'elle avait signé son contrat avec Noël, la jeune femme avait été conditionnée à obéir sans réfléchir, aussi, se décidant enfin, elle sortit de la douche tout en plaçant les bras le long de son corps.

- Tu es magnifique lui dit la vieille alors qu'elle commençait à passer la serviette sur ses épaules mouillées.

Clarisse resta immobile, ne sachant plus trop quoi penser. Elle se rendait bien compte qu'elle était tombée chez une famille étrange mais pourtant elle n'osait pas bouger, figée par des pulsions qu'elle ne comprenait pas.

Avec une douceur incroyable, la vielle passa la grosse serviette-éponge sur sa poitrine, faisant très attention en essuyant les mamelons traversés par les anneaux en or.

- Je trouve tes seins extraordinaires, surtout avec tes deux tétons percés. Armand va adorer.

- Hein... c'est que....

- Ne fais pas ta mijaurée. Je te connais mieux que tu ne te connais et je sais que tu es faite pour mon fiston.

La jeune femme n'osa pas protester, trouvant les propos de la femme assez écœurants en songeant au visage du fils complètement rongé par la maladie. Et si son corps était pareil, elle frissonnait d'angoisse juste en y pensant.

Lorsqu'elle passa la serviette sur son ventre, Clarisse sentit l'excitation monter encore d'un cran. Comment cette femme vieille et obèse pouvait-elle la mettre dans cet état alors qu'elle lui faisait peur de par son attitude.

- Écarte les cuisses que je puisse te sécher le minou

Mireille avait une façon de parler déroutante et pourtant la jeune femme obéit, écartant les jambes pour la laisser l'essuyer. Elle aurait bien voulu l'envoyer balader mais une force incompréhensible la forcer à obéir.

La grosse femme essuya longuement la chatte de Clarisse puis, posant sa serviette sur le bord de l'évier, elle fit passer ses gros doigts boudinés entre les lèvres humides du sexe offert.

La jeune femme fut surprise par la douceur avec laquelle la maîtresse de maison la doigta. Elle restait immobile tout en lui offrant son intimité et petit à petit elle retrouva son calme et son envie de plaire.

Deux jours passés près de Noël avaient fait d'elle une femme obéissante, surtout que cela l'excitait de plus en plus.

- Bien, très bien... dit la vielle, c'est un vrai petit trésor que tu as là. Ta foufoune est parfaite.

Reprenant sa serviette, elle lui ordonna de se retourner ce que fit sans broncher Clarisse, redevenue la soumise qu'elle était quelques heures plus tôt.

Elle se laissa frotter le dos et les fesses avant que la vieille, satisfaite, lui demande de la suivre. Elle allait se rhabiller lorsque la matrone l'arrêta.

- Viens comme tu es, mon fiston va adorer le cadeau.

Clarisse était sur le point de protester mais elle se ressaisit. Après tout, elle aurait été hypocrite de faire la fille outrée alors que depuis deux jours elle s'était exhibée presque en continu.

Décidant finalement d'obéir sans broncher, elle suivit passivement la femme qui arborait un sourire triomphal. Vu la beauté de celle-là, ils avaient intérêt à la garder longtemps.

Armand était en train de débarrasser la table, entassant les assiettes sales dans l'évier avec celles de la veille. Lorsqu'il vit la jeune femme, il ouvrit de grands yeux, surpris par cette vision de rêve.

- Regarde ce que je te ramène

- Ouah! elle est encore plus belle que je ne l'imaginais, répondit le fils admiratif.

Clarisse s'était arrêtée dans l'embrasure de la porte, les bras ballants, ne sachant pas comment se comporter. Déposant les couverts qu'il tenait à la main, il s'approcha de la jeune femme alors que sa mère s'était poussée sur le côté.

Même si l'homme avait un aspect effrayant, la jeune femme fut parcourue par un frisson qu'elle ne put réprimer. Elle ne bougea même pas lorsque les doigts du fils vinrent tirer un anneau de téton, se contentant de grimacer. Les ayant fait percer la veille, elle avait les mamelons encore un peu sensibles et malgré la douleur qu'elle pouvait ressentir elle s'était mise à apprécier d'être ainsi maltraitée.

- Comment trouves-tu mon cadeau

- Il est superbe maman, je peux la garder.

- Bien sur, elle est à toi... et un peu à moi.

Clarisse était un peu choquée d'entendre parler d'elle de cette façon et pourtant elle restait calme. Elle savait qu'elle partira le lendemain matin et pouvait bien jouer ce rôle avec ses hôtes.

L'homme cessa de tirer sur l'anneau pour caresser le sein. La jeune femme se sentait bizarre, ne comprenant pas pourquoi elle avait la sensation d'être plus un objet qu'une femme. On aurait dit qu'en l'offrant à son fils, il la voyait comme un jouet, lui enlevant ainsi toute son humanité.

- Je peux l'emmener dans ma chambre?

- Fais ce que tu veux, elle est à toi.

************

Au même moment, Noël et Philippe sortaient du bar de Dylan et ne savaient plus trop où la chercher. Lorsque ce dernier leur avait répondu qu'il ne l'avait pas vu, ils l'avaient cru, vu la tête étonnée qu'il avait faite en sachant qu'elle s'était sauvée. Ils étaient passés également à la gare pour interroger les gens présents mais personne ne l'avait aperçu.

Une jeune femme aussi belle, pieds-nus, en minijupe avec un top transparent ne pouvait pas passer inaperçue.

En ne la voyant plus dans la maison, ils avaient compris qu'elle avait dû les entendre et prendre peur. La première personne qu'ils avaient interrogée était le traiteur mais ce dernier leur avait confirmé qu'il était bien parti sans elle. Même s'il avait apprécié le cadeau qu'ils lui avaient fait, il était marié et ne voulait pas avoir de problèmes.

- Il se fait tard, on va rentrer. On continuera les recherches demain. Elle ne doit pas être loin

- En espérant qu'elle ne soit pas tombée entre les mains des deux cinglés.

- J'espère pour elle que ce n'est pas le cas.

Le père et le fils ne voulaient pas le montrer, mais ils étaient inquiets. Malgré le fait qu'ils avaient un peu abusé de la naïveté de la fille, ils ne lui voulaient pas de mal et espéraient la retrouver le lendemain.

*********

Clarisse suivit l'homme et sa mère sans un mot, déroutée par ce qui l'entourait. La chambre de l'homme était à l'image du reste de la maison ou saleté et désordre cohabitaient dans ce lieu à part égale.

Le lit n'était pas fait et les draps sales ne donnaient pas envie de s'allonger dessus. Du linge traînait sur le sol et une odeur âcre agressait les narines.

Pourtant lorsque la vieille lui fit signe de s'étendre sur le matelas, elle obéit malgré sa répugnance. La jeune femme était comme possédée, ne pouvant rien faire d'autre qu'exécuter les ordres. Elle aimait tellement être soumise que même avec la grosse femme, elle se laissait aller à la complète servilité.

- Comment t'as fait pour qu'elle soit autant obéissante?

- J'avoue que je suis assez fière de moi, lui répondit sa mère. Je l'ai dressée en quelques minutes.

Clarisse s'était mise sur le dos et attendait leur bon vouloir. La vieille s'imaginait être à l'origine de sa soumission alors qu'en fait, c'était Noël qui en était le responsable mais ça, elle ne pouvait pas le deviner.

Armand s'assit sur le lit et posa sa main sur une de ses cuisses. En voyant qu'elle ne réagissait pas, il fit courir sa paume le long de la jambe tremblante.

- Regarde maman, ça la fait frémir mais elle reste immobile. On n'est même pas obligé de l'attacher, contrairement à l'autre.

- je vois.

Clarisse s'était mise à frissonner sans savoir pourquoi. Plus elle les entendait et plus elle avait peur et pourtant des pulsions étranges la poussaient à leur donner son corps.

Lorsque le quarantenaire lui caressa le sexe, elle poussa un petit gémissement qu'elle ne put contrôler.

- Elle est toute mouillée, c'est génial.

- Vas-y, prends-la, tu dois en avoir envie depuis le temps.

Armand ne répondit pas à sa mère qui se tenait toujours debout. Se redressant, il retira à la hâte son pantalon et son slip, dévoilant un sexe de taille moyenne mais qui bandait déjà.

- Je ne t'aies jamais vu aussi raide, lui dit sa mère admirative

L'homme ne répondit pas et s'allongea sur Clarisse, trop pressé de se soulager. Cette dernière grimaça un peu en sentant l'odeur qui se dégageait de lui mais resta pour autant immobile car elle avait envie de sexe. Elle se contenta d'écarter les cuisses pour lui permettre de mieux la prendre

Lorsque la queue glissa entre ses lèvres pour plonger dans son intimité, la jeune femme poussa un gémissement qui n'échappa pas à la vieille.

- Ta fiancée adore ça, elle est la fille parfaite pour toi.

Clarisse trouva très vite du plaisir, oubliant presque le lieu et les personnes qui l'entouraient. Pour elle, l'important était de se faire prendre même si c'était dans un endroit à la limite de l'insalubrité.

L'homme, même si la nature ne l'avait pas doté d'un sexe bien épais, la prenait avec vigueur. Elle sentait la jouissance augmenter en intensité, l'emmenant vers un orgasme très proche.

Elle arriva à ne plus regarder ce visage vérolé, qui haletait à quelques centimètres du sien et dont l'haleine était des plus acides. Elle était redevenue cette fille qui aimait s'offrir sans compter et cela lui procurait du bonheur.

Lorsqu'il se cambra pour se déverser en elle, elle poussa au même moment un cri de jouissance qu'elle ne put retenir. Tout son corps fut saisi par une vague de plaisir causé par un orgasme qui la secoua tant il était violent.

L'homme n'était pourtant pas un amant hors normes et le lieu était loin d'être le paradis et pourtant le niveau de plaisir qu'elle eut à ce moment-là fut incompréhensible.

- Tu es incroyable, commenta sa mère, de plus en plus admirative. Tu l'as carrément envoyé au cinquième ciel.

Armand, très fier de lui, se retira du corps de Clarisse pour se relever et se rhabiller, ne cherchant même pas à aller se laver.

- Je veux la garder, elle est mille fois meilleure que l'autre.

- Je suis d'accord avec toi, elle sera parfaite pour mon fiston.

Clarisse était en train d'émerger et les paroles qu'elle entendit ne la rassurèrent pas du tout. Ils n'arrêtaient pas de parler d'une autre fille et elle se demanda à cet instant ce qui avait pu lui arriver.

Même si elle avait décidé de leur obéir, elle se rendait bien compte qu'ils n'étaient pas dans la normalité. L'homme et sa mère avaient une relation qui n'était pas normale et pourtant elle restait sans bouger, comme si cela ne la concernait pas.

La vieille s'assit alors sur le bord du lit, écrasant le matelas étant donné son poids. Lorsqu'elle glissa sa main entre les cuisses de Clarisse, cette dernière tressaillit en se sentant fouillée.

La femme enfonça ses gros doigts sans douceur dans sa vulve, y allant franchement et lui faisant bien mal avant de les ressortir pour venir les lécher.

- Il va falloir que tu la prennes souvent si je veux être grand-mère.

- Pas de problème, lui répondit son fils avec un sourire qui le défigura encore plus.

La jeune femme en entendant la mère, eut vraiment très peur. Elle comprit alors qu'elle était en danger et qu'elle devait la jouer serré. Si elle voulait sortir d'ici, elle devait leur faire croire qu'elle était consentante afin qu'ils ne se méfient pas d'elle.

La vieille joua alors avec les anneaux, avant de rajouter.

- Lorsqu'elle aura eu le bébé, il faudra lui enlever ces trucs pour que mon petit-fils puisse la téter sans problème.

- On n'en est pas encore là, maman, il faut que je l'engrosse avant

- Je suis sûr que ce sera rapide, dit la vieille en rigolant.

La femme se redressa alors et s'adressant à Clarisse, elle lui dit.

- Lève-toi et suis-moi, je vais te montrer ta chambre. Tu ne vas tout de même pas paresser sur le matelas de mon fils toute la soirée. Mon bébé a besoin de son lit pour dormir.

Son ton avait changé, devenant plus cassant, un peu comme si elle n'avait plus besoin de cacher sa vraie personnalité. Se levant du lit, la jeune femme emboîta le pas de la matrone pour montrer sa bonne volonté. Ils traversèrent la maison pour s'arrêter devant une porte sur laquelle était fixé un verrou. Ils n'allaient tout de même pas l'enfermer dedans.

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