L'Appât Du Gain (Partie 04)

BÊTA PUBLIQUE

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- Laisses-nous t'initier aux plaisirs de la chair, on te promet de ne pas dépasser tes limites.

- Non... je ne peux pas...

Pourtant, elle se mit à aimer la caresse qu'il prodiguait sur sa poitrine, ne se rendant pas compte que quelques heures plus tôt elle l'aurait sûrement giflé pour cela.

Clémentine était prise entre deux sentiments qui se bousculaient en elle. C'était un tourbillon d'émotions entre le bien et le mal qui l'empêchait de réfléchir. Pourtant, l'excitation qui s'emparait petit à petit de son corps finit par effacer sa volonté de résister, ne réagissant pas lorsqu'il la souleva du sol pour la porter dans le creux de ses bras.

Philippe et Noël surent à ce moment-là qu'il avait gagné la première manche et ils se dirigèrent lentement vers la chambre du vieux, tout en continuant à parler d'une voix douce.

- Tu es magnifique, laisse nous te couvrir de baisers

- Non, heu... je ne sais pas.

La jeune femme était tétanisée, n'ayant jamais connu l'amour et pourtant, elle avait d'un seul coup envie de se sentir aimée. Sa culotte était comme une armure qui protégeait son intimité mais elle sut que bientôt cette dernière allait tomber et elle ne s'en émouvait pas.

Elle venait de prendre sa décision et même si cela lui faisait peur, elle allait leur laisser son corps pour leur permettre de l'initier.

Lorsqu'ils rentrèrent dans la chambre du vieux, elle ne put s'empêcher de trembler en découvrant le grand lit blanc, sachant qu'elle allait y passer.

Philippe, toujours avec délicatesse, la déposa sur le lit, l'allongeant tel un bien de valeur.

La jeune femme s'était mise à respirer plus fort, essayant de chasser la panique qui la tétanisait. Lorsqu'elle sentit les doigts saisir les bords de sa culotte, elle n'opposa pas de résistance.

- Admirable, s'exclama Noël en faisant glisser le petit bout de tissu le long des jambes galbées de la jeune femme amorphe.

- Et la petite toison nous prouve qu'elle est bien rousse, dit en plaisantant son fils qui admirait le corps enfin nu.

Une fois débarrassée du tissu protecteur, ils commencèrent à faire courir leurs mains sur la peau douce et soyeuse de la jeune femme, n'ignorant aucune zone. Ses seins, son ventre, ses cuisses et même ses bras furent parcourus avec douceur par les deux hommes qui ne voulaient pas effrayer la jeune vierge. Ils y allèrent progressivement, cherchant dans leurs touchers à réveiller chez elle des instincts plus primaires.

Au fur et à mesure qu'ils exploraient son corps, elle s'était mis à gémir découvrant un plaisir bien plus fort que celui prodigué par ses caresses du soir, lorsqu'elle se retrouvait enfin seule dans sa chambre.

Là, c'était de la jouissance à l'était pur et de sentir quatre mains courir sur tout son corps, elle sut à ce moment qu'elle avait fait le bon choix.

- Tu es merveilleuse et ton corps fera des tas d'heureux dans le futur, lui dit à l'oreille Noël

Clémentine était dans un autre monde et ne répondit pas, profitant de chaque seconde tout en miaulant de plaisir. Philippe lui saisit les mollets pour bien lui écarter les jambes tout laissant son père caresser avec délice les deux globes de chair d'une texture incroyable.

Le quarantenaire avait des consignes pour y aller lentement, son père ne voulant pas dégoûter la jeune femme de l'acte sexuel. Il se glissa du coup entre les cuisses ouvertes pour goûter la petite chatte préservée jusqu'ici.

Ouvrant l'intimité en écartant les lèvres, il fut ému en découvrant ce trésor rose et pur qu'elle offrait pour la première fois. Tout était délicat et très appétissant et ne pouvant plus attendre, il approcha sa bouche pour déguster cette jolie moule.

Lorsque sa langue glissa entre les lèvres, remontant jusqu'au clitoris, Clémentine poussa un râle tant c'était agréable. Jamais aucune caresse ne lui avait donné ce plaisir incroyable alors que l'homme se mit à la lécher goulûment.

Philippe adora le jus d'un goût exquis qui coulait de la vulve, aimant se dire qu'il était le premier à boire cette liqueur. Il lécha très longuement le petit abricot, s'attardant très souvent sur le bouton d'amour qui gonflait de plaisir.

Clémentine sentait la jouissance envahir tout son être alors que Noël jouait avec ses seins, pinçant de temps en temps ses tétons très sensibles.

Lorsqu'ils estimèrent que la jeune femme était prête à passer à l'étape suivante, Philippe quitta la couche pour se déshabiller. La jeune femme, groggy par le plaisir, ne réagit même pas en voyant l'homme se dévêtir. Elle était excitée comme jamais par ce qu'ils lui faisaient, découvrant des sensations qu'elle n'imaginait même pas dans ses rêves les plus fous.

Philippe, tout en se mettant nu ne pouvait détacher son regard de ce corps attirant. Ce n'était pas tous les jours qu'il avait l'occasion de baiser une jeune vierge, surtout aussi jolie. Il bandait comme rarement tant cela l'excitait, imaginant son sexe glisser dans les chairs roses de la jeune ingénue.

Clémentine avait gardé les cuisses bien écartées, un peu comme une invitation pour venir la baiser. C'était trop pour Philippe qui s'empressa de s'allonger sur ce corps alangui, n'ayant plus qu'une seule hâte, celle de le déflorer.

- Il est temps que tu deviennes une femme, lui dit-il en la fixant droit dans les yeux.

- Non...

A par ce petit mot, la jeune femme ne fit rien pour dissuader cet homme qui allait lui déchirer l'hymen.

Lorsqu'il positionna son gland à l'entrée de la vulve, il put sentir sous lui des tremblements de peur qui parcouraient tout le corps de sa future victime.

- N'aie pas peur, tu vas aimer, laisse-moi faire.

- Je...

Pour la calmer un peu, Noël lui caressa la joue, essayant de calmer la panique qui venait de refaire parler d'elle. Philippe qui avait pour consigne d'y aller très lentement, commença à pousser pour faire rentrer sa queue.

Lorsque son gland perça la fine membrane, faisant de Clémentine une femme, cette dernière poussa un petit cri de douleur qui s'estompa très vite.

L'homme temporisa un peu, attendant quelques secondes avant de la pénétrer. Il préférait ne pas aller trop vite pour qu'elle retrouve son calme et cela fonctionna.

Les tremblements finirent par disparaître et sa peur qui la tétanisait se dissipa enfin.

Philippe qui adorait sentir l'extrémité de sa queue bien serrée dans cet écrin d'amour, décida de continuer. Avec prudence, il força le passage étroit pour trouver son chemin jusqu'à ce que sa queue soit entièrement en elle.

C'est alors que l'homme vit qu'elle le regardait, la bouche ouverte en grand pour mieux appréhender d'éventuelles douleurs. Pourtant, le regard de la fille trahissait un plaisir qu'elle semblait découvrir avec ce chibre hors normes bien au chaud dans son corps.

Avec une douceur dont il n'était pas coutumier, il se mit à faire des vas et viens très délicatement pour bien la préparer. D'habitude, il aimait prendre les femmes avec plus de brutalité mais cette fille si fragile devait être câlinée et non complètement défoncée.

Tout en la possédant, il ne put s'empêcher d'embrasser cette bouche entrouverte qui appelait le baiser. Ce fut vraiment magique car Clémentine se laissa faire, appréciant de plus en plus ce qui lui arrivait.

La douleur avait disparu et elle commençait à ressentir au niveau du bas-ventre un plaisir inédit. C'était une sensation bien plus forte que ce qu'elle avait connue jusqu'ici et elle n'avait pas de mot pour décrire ce bonheur.

Elle sentait ce membre bien dur aller et venir bien au chaud dans sa vulve tout en ne pouvant plus résister à la vague de jouissance qui s'emparait de son corps.

Philippe commença à accélérer la cadence en voyant que la fille adorait être prise.

Noël, quant à lui, souriait à pleines dents en regardant la scène et le plaisir non feint qui émanait du couple.

Pour une fois, son fils avait été patient contrairement à la nuit passée où il avait défoncé la pauvre Virginie qui avait terminé sa nuit au service des urgences. Là, il avait retenu la leçon et contrairement à d'habitude, agissait en réfléchissant.

Clémentine se mit à haleter à chaque coup de boutoir que prodiguait Philippe qui, oubliant les consignes de sagesses, y allait carrément. La jeune femme poussa un cri strident lorsque l'homme se cambra pour se vider en elle. Il inonda sa vulve d'une semence bien épaisse alors qu'elle ne prenait même pas la pilule tous les jours.

Lorsqu'il se retira, le visage transfiguré par un plaisir intense, ce fut pour laisser la place à son père impatient qui voulait lui aussi goûter à ce bonheur.

Même si le sexe de Noël était moins imposant que celui de son fils, il bandait tout de même dur pour son âge avancé.

Clémentine adora être prise de nouveau, découvrant que le sexe était mille fois meilleur que ce qu'elle avait pu imaginer avant.

L'homme était endurant et il put apprécier l'impressionnant orgasme qui secoua la jeune femme juste avant qu'il n'éjacule dans ce corps somptueux...

*****

Florian était revenu dans la salle à manger, suivi par Clarisse, et il fut très surpris de n'y découvrir que le traiteur qui débarrassait les couverts.

- Ils sont partis tous les trois en empruntant ce couloir, répondit-il lorsqu'il lui demanda où ils étaient passés

- Mon grand-père a dû l'emmener pour lui faire visiter le manoir.

- Tu crois?

- Bien sûr, on n'a qu'à les attendre ici.

L'homme alla s'asseoir à sa place alors que la jeune femme, coquine, alla se poser sur ses genoux pour être de nouveau caressée. L'homme eut l'air d'apprécier l'initiative de Clarisse car il se mit à la tripoter aussitôt, sous le regard jaloux du traiteur qui aurait bien aimé être à la place du quarantenaire.

Il fallut attendre plus d'une heure avant de voir apparaître le trio. En découvrant sa fille entièrement nue, Florian s'arrêta de caresser Clarisse, et, la repoussant gentiment, il se leva pour aller au-devant de sa progéniture.

- Mais! Que fais-tu comme ça ; lui demanda-t-il inquiet tout en étant subjugué par la beauté de sa fille.

- Rien que tu n'es pas fait tout à l'heure.

- Tu veux dire que....

La jeune femme préféra ne pas répondre pour ne pas envenimer la situation et alla ramasser sa robe qu'elle avait jetée sur le sol pendant le repas. Se rhabillant sans mettre de sous-vêtement, ayant laissé sa culotte dans la chambre, elle retourna près de son père pour lui faire un bisou sur la joue, comme pour lui demander pardon.

- Je crois, dît-il alors, que nous allons prendre congé, tous les papiers vous seront envoyés demain pour ce qui concerne la transaction de mon entreprise

- Pas besoin de nous les envoyer, notre stagiaire nous les emmènera directement.

- Votre stagiaire?

- Oui, Clémentine, qui commencera son stage chez nous dès demain.

- Vous! Vous ne pouvez pas... C'est!

- Votre fille a accepté et ce sera un plaisir pour nous que de l'accueillir et de la former pour qu'elle soit performante. Surtout avec le départ de Clarisse qui devra aller chez sa mère...

L'homme était devenu tout pâle et pourtant il préféra se taire. Avec sa fille il prit congé et quitta la demeure avec une boule au ventre. Elle allait se jeter dans la gueule du loup sans qu'il puisse rien y faire pour l'en empêcher.

- Bien, maintenant que tout est rentré dans l'ordre, il est temps que l'on s'occupe sérieusement de Clarisse. Après tout, elle nous coûte assez cher et il est temps d'en profiter surtout si elle nous quitte demain.

A SUIVRE

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9 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 2 jours

Brillant!

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 7 mois

Très excitant comme d'habitude !

Bitland91Bitland91il y a 7 mois

J'adore ton histoire, ta façon de jongler avec les tabous est excellente, j'attends avec impatience la suite, en espérant qu'ils mettent tellement la pression au père de façon à lui faire baiser sa fille de façon violente

dicordobadicordobail y a 7 moisAuteur

Merci pour vos commentaires, c'est super sympa

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Merci pour cette histoire. Je l'ai trouvé très excitante et bien écrite. vivement la suite.

JB

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