La Reine de Glace Pt. 03

BÊTA PUBLIQUE

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La cérémonie se passa comme dans un film. Elle réussie à dire son « oui je le veux » d'une voix forte et sans hésitations. Au moment où le prêtre invita le Parrain à embrasser la marié, elle réussi à contrôler son réflexe de recule. Elle marchait au bras de son nouveau mari, sous les hourras et les confettis. Tout allait bien.

La noce aussi était merveilleuse. Le tout se passait sur les terrains d'un immense hôtel aux allures de château. Une grande scène avait été aménagée et de nombreux musiciens renommés devaient s'y produire. Tout le gratin de San Felicia était sur place : des politiciens, des magistrats, des artistes, des personnes influentes. Marie suivait son mari partout, souriant à chacun. On prit de nombreuses photos. L'orchestre jouait de beaux airs et les gens dansaient. Au moins une centaine de personne avaient venté les charmes de la mariée. Bref, Marie était grisée par l'atmosphère.

Soudainement, l'orchestre se tut et l'animateur annonça que les nouveaux mariés allaient les quitter pour un moment. Marie ne comprenait pas ce qui se passait. Tous les spectateurs formèrent un corridor qui menait à une petite estrade. Celle-ci était en fait le balcon de la chambre nuptial. Sous les bravos, les vivas et les applaudissements, le couple entama une lente procession vers le balcon. Des commentaires paillards fusaient ici et là. On lançait des pétales de rose sur leurs pas. Marie réalisa soudain ce que signifiait cette comédie. On la menait à sa chambre. Le mariage serait bientôt consommé et tous les gens présent savaient maintenant que dans quelques minutes Raphaël Da Silva la posséderait. Elle rougie.

11.

La porte se referma sur le nouveau couple. Raphaël pris sa nouvelle femme par les mains et se plaça directement en face d'elle.

-Marie, Je sais que dans d'autres circonstances, je n'aurais pas été ton choix.

-En effet.

-Je voulais simplement te dire que mon choix n'est pas innocent. Tu me plais beaucoup Marie. Tu me plais non seulement physiquement, mais aussi en tant que personne.

Marie le regardait droit dans les yeux, sans agressivité, mais avec un regard ferme et une lueur de curiosité. Le temps était venu.

-Tu dois être nerveuse.

-Oui, un peu.

-Je tiens à t'assurer que je serai le plus doux possible et que je ferai tout ce que je peux pour que cette expérience te soit agréable.

-Monsieur...

-Raphaël. SVP.

-Euh, Raphaël. Nous sommes mariés. Ce qui va venir n'est pas une surprise. Je suis prête et je vous assure que tant que vous agirez convenablement avec moi, je ne me refuserai pas à vous. Ni aujourd'hui, ni dans l'avenir.

L'aplomb avec laquelle Marie fit sa déclaration estomaqua le Parrain. Il s'attendait à tout sauf à ça. Il n'aurait pas imaginé qu'elle résiste, mais jamais il n'aurais cru qu'elle s'offrirait à lui librement. Comme pour appuyer ses paroles, elle entreprit de se dévêtir.

Avec l'aide bienveillante de son mari, elle se retrouva bientôt à moitié nue. Marie n'avait jamais mis son corps en valeur. Raphaël lui trouvait un charme certain, mais il fut impressionné par son corps.

Elle avait retiré ses souliers à talon, mais garder ses bas de nylon fin qui moulait parfaitement ses jambes. Ses cuisses étaient un peu minces, mais semblaient d'une douceur infinie. Sa culotte était d'un blanc virginal. On pouvait clairement voir sa toison rousse à travers le tissu transparent. Ses fesses étaient petites et bombées. Leurs courbes étaient parfaites. Son ventre était plat et ferme. Elle avait retiré ses lunettes Son petit nez retroussé lui donnait un air digne. Des taches de rousseur pimentaient ses joues et son torse lui donnant une allure gamine. Sa peau était d'un blanc laiteux. Ses seins étaient petits et un peu coniques. Ils pointaient droit devant elle. Ils se terminaient par de larges auréoles rosées et de petits mamelons discrets. Elle se tenait droite et fière devant son mari. Marie Da Silva était belle à croquer.

Plus jeune, Raphaël lui aurait sauté dessus. Il s'approcha tout près d'elle. Il l'embrassa. Elle lui rendit son baiser. Il recommença en passant le bout de sa langue sur ses lèvres. Elle répondit à cette caresse et leurs langues dansèrent un moment. Ils s'enlacèrent timidement. Raphaël était soufflé par l'attitude de sa femme. Elle semblait un peu distante, mais elle entrait de plein gré dans le jeu. Il l'étendit tendrement sur le grand lit qui trônait au centre de la pièce.

Pendant plus d'une heure, il la caressa. Ses mains, ses doigts et sa bouche s'activèrent avec une délicatesse surprenante. De la plante des pieds aux creux de ses coudes, aucune partie de son corps ne fut épargnée. Marie se laissait faire passivement, gémissent discrètement à l'occasion. Raphaël retira sa culotte et caressa longuement les petits poils drus qui couvraient son pubis. Il embrassa chastement sa chatte, puis, n'y tenant plus, il plongea entre les jambes de sa belle.

Si les caresses de Da Silva avaient été agréables, cette invasion de son intimité rendait Marie mal à l'aise. Elle se concentra pour tenir ses cuisses ouvertes et attendit quelques minutes. Elle se releva doucement et s'approcha du pantalon du Parrain qui le retira prestement. Le moment était venu.

Elle approcha timidement les mains de son caleçon. Elle hésita encore.

-Tu as déjà touché à un pénis?

-Non

-Tu as déjà vu un vrai pénis?

-Non

La bosse qui déformait son caleçon sembla grossir. Il abaissa rapidement son sous vêtement et sa queue bondit avec un effet de ressort devant la jeune femme. Marie semblait fascinée. Elle approcha les doigts du membre viril. C'était vraiment très gros.

-Tu peux lui toucher. Prends-le dans ta main.

Ses petits doigts entourèrent la hampe de Da Silva. De ses deux petites mains, elle arrivait à en faire le tour. Elle regardait le pénis de son mari avec un intérêt presque académique. Elle le soulevait, le lâchait, le reprenait, passait ses doigts sur le gland. Elle observa avec un brin de dégoût les couilles poilues de l'homme. Personne ne parlait. Raphaël se demandait s'il avait déjà été aussi excité.

Soudainement, Marie pris une grande respiration. Elle approcha son visage du membre et pris le gland dans sa bouche. Il y avait longtemps qu'elle s'était faite une raison. Elle n'échapperait pas à ce genre de caresse alors aussi bien que ça vienne d'elle. Elle fit comme elle l'avait lu. Elle mouilla le gland de salive, taquinant la base avec sa langue tout en massant lentement le pénis avec sa main. Occasionnellement, elle abandonnait le gland pour glisser sa langue sur toute la longueur de membre avant de reprendre sa caresse initiale. Raphaël Da Silva était sur le point de hurler de bonheur.

Il cassa la fellation. Il releva la jeune femme et l'enlaça passionnément. Marie n'était pas confortable de se retrouvée ainsi, debout avec l'énorme membre qui frottait sur son entrejambe. Elle se tenait sur la pointe des pieds tout en soutenant tant bien que mal le baiser fougueux de Raphaël. Il prit un petit drap brodé qui reposait sur une table de chevet et l'étendit proprement sur le lit. Il positionna Marie de manière à ce que ses fesses reposent sur le tissu. Les mots n'étaient pas nécessaires. Marie s'étendit docilement et écarta les jambes. Raphaël, à genoux devant elle, le membre dressé admirait son sexe offert.

-Ça va aller.

Il approcha son membre de la chatte de Marie et s'arrêta au seuil de son vagin. Elle le regardait dans les yeux, mais retenait son souffle. Il appliqua du lubrifiant sur son membre et il entra en elle très lentement. Il se buta à son hymen. Raphaël appliqua un peu plus de pression et traversa la barrière. Marie grimaça.

Il entama un léger mouvement de va et viens. Au plus, il entrait le tiers de son membre dans la jeune femme. Elle s'écartait au maximum pour minimiser son inconfort. Elle aurait cru la pénétration plus douloureuse. Elle devait admettre que Raphaël avait été particulièrement attentionné. Elle regardait avec détachement le crâne chauve et en sueur de son mari alors qu'il prenait un de ses seins dans sa bouche. Elle s'étonnait de voir comment elle avait put prendre le contrôle de cet homme si puissant simplement en mettant son membre dans sa bouche. Elle s'amusait silencieusement de lire l'excitation sur son visage grimaçant.

Raphaël accéléra le rythme, submergé par le désir.

-Aie!

-Je m'excuse.

Il reprit la pénétration plus doucement, mais perdit le contrôle peu de temps après. Marie serra les dents. Malgré ses efforts, l'homme entrait un peu trop profondément en elle. Soudain, il se raidit et déversa son flot de jouissance dans son jeune corps. Il s'effondra sur elle en l'embrassant.

Raphaël se redressa, mais s'assura que les jambes de Marie restent bien écartées. Il regardait fasciné le mélange de foutre et de sang qui s'écoulait de son sexe. Une vierge. Il avait tout fait sexuellement, pratiquement rien ne lui était inconnu, mais une vierge...

Il essuya doucement le sexe de sa femme avec le petit drap, puis il l'emmena sous la douche. Dehors, la musique jouait toujours.

12.

Ils avaient passé deux heures dans la chambre lorsque Raphaël ouvrit la porte du balcon. Marie avait enfilé une robe de soirée des plus élégantes, mais elle était craintive de retourner dans la foule pour le banquet du soir. Tous sauraient que le mariage avait été consommé.

Comme si un signal d'alarme avait retenti, la musique s'interrompit à l'instant où le couple fit son apparition sur le balcon. Tous les regards se tournèrent vers eux. Souriant, Raphaël se dirigea vers le bord du balcon. Marie se tenait sur sa gauche, mais restait un peu en retrait. Elle ressentait une gêne sans fin. La femme mature et calculée avait fait place à la petite fille terrorisée. La petite foule se massa sous le balcon, comme si elle attendait quelque chose.

Dans un geste solennel, il déplia le petit drap maculé de sang et de sperme et l'exposa comme un drapeau. Un tonnerre d'applaudissement s'éleva dans la foule. Des cries de joie retentirent, des commentaires grivois aussi. Raphaël Da Silva exposait la preuve de la dé floraison de sa femme devant tout le monde.

Marie était sur le bord de l'évanouissement, la gorge serrée. Elle dû s'agripper à Raphaël pour ne pas tomber. Jamais elle n'aurait crue vivre une telle honte, elle n'aurait jamais crue qu'une telle humiliation soit possible. Incapable de faire face à cette foule bruyante et chahutante, elle se retourna vivement sur sa gauche.

De chaque côté de la petite estrade, les organisateurs avait aménagé deux petits enclos fermés afin d'y entreposer des tables, chaises et autres accessoires. Ces endroits n'étaient visibles que du balcon. En se retournant, Marie avait une vue plongeante sur un de ces espaces. Sa sœur Sylvie, les seins nus, la jupe relevée en haut de la taille était à accroupie à califourchon sur un homme qui était étendu par terre. Debout à côté du couple, le gros italien qui lui avait servi de père, Rodrigo, avait roulé sa chemise sur son ventre. On pouvait voir son pénis luisant de salive bien en érection sous son imposante bedaine. Derrière eux, Maxime assistait à la scène les bras croisés. Tous les visages étaient tournés vers Marie et Raphaël. Rodrigo et Maxime souriants alors que Sylvie affichait un regard triste et des yeux nimbés de larmes.

L'homme couché au sol cria quelque chose en frappant son derrière avec force. Sylvie se mit immédiatement à onduler des hanches. Rodrigo enregistrant le mouvement agrippa ses cheveux à deux mains et le visage larmoyant disparu dans la panse du bonhomme. Incapable de supporter ce spectacle, Marie fit volte face.

Dans l'autre enclos, sa mère Jeanne était assise sur une chaise. Le devant de sa robe avait été rabaissé et ses seins pendaient à l'air libre. Elle regardait Marie droit dans les yeux. Son regard était toujours dur, mais il affichait une grande tristesse. Marie comprit que ce chagrin était pour elle. Assis juste derrière, Alfonso Da Silva lui malaxait la poitrine tout en lui soufflant la fumer de son gigantesque cigare dans les narines.

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1 Commentaires
AgentChelateurAgentChelateuril y a presque 14 ans
Une très bonne suite

J'aime beaucoup cette suite. Toujours aussi fine.

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