La Reine de Glace Pt. 03

Informations sur Récit
La cérémonie.
8.7k mots
4.09
21.1k
1

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 04/04/2022
Créé 06/19/2010
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Pt. 3. La Cérémonie

1.

Extérieurement, Marie Castillo avait l'air calme, mais intérieurement, elle luttait contre la panique. La journée avait été longue et éprouvante. Par moment, elle se sentait confuse et sur le bord de l'évanouissement. Elle combattait les larmes et une incontrôlable envie de se rouler en boule comme une petite fille en voyant la voiture qui ramenait sa mère à la maison. Sa sœur était partie il y a plus d'une heure et maintenant, elle restait seule.

Raphaël lui avait appris un peu plus tôt que son nouveau statut faisait en sorte qu'elle pourrait désormais vivre dans l'immense domaine des Da Silvas. Situé en Campagne, dans un coin isolé, la résidence du Parrain était impressionnante. L'immense terrain de la propriété était constitué de trois pavillons indépendants. Un pour Da Silva, un pour les invités et un pour le personnel. Le tout s'organisait autour d'une cour centrale munie d'une piscine, d'un tennis, d'une fontaine et d'un jardin aux fleurs exotiques et scintillantes. À l'extrémité du quadrilatère, on retrouvait une écurie dont le luxe aurait fait rougir bien des bourgeois. Au-delà de l'écurie, trente acres de prairies et de forêts défendus comme une forteresse.

Marie fut installée avec tout les honneurs et les attentions dans la maison des invités. Il aurait apparemment été indécent qu'elle vive sous le même toi que son futur mari. Elle pleura une partie de la nuit et tomba d'épuisement alors que le soleil se levait.

Tôt le lendemain matin, on lui apporta un petit déjeuner fort copieux et on lui annonça que ses affaires personnelles seraient là sous peu. Raphaël se présenta à sa porte un peu après midi. Il était accompagné de son oncle Alfonso. Celui-ci lui expliqua le fonctionnement et les règlements du domaine. Elle avait le loisir d'aller et de faire ce qui lui plaisait, mais elle ne pouvait avoir accès à la maison principale sans y avoir été invité. De plus, elle ne pouvait sortir du domaine seul. On l'amènerait visiter sa mère régulièrement. Marie appris avec consternation que ce serait désormais l'oncle Da Silva qui s'occuperait personnellement du bien être de Jeanne. Finalement, il annonça que le mariage aurait lieu le 26 mai prochain, dans plus de huit mois.

Rétrospectivement, cette période aura été plutôt agréable pour Marie. L'adaptation à ce nouvel environnement n'aura certes pas été facile, mais cette nouvelle vie avait des avantages. De un, sa chambre était superbe et donnait sur une grande pièce, mi-bibliothèque, mi-atelier parfaitement équipée. De deux, Marie a développé à cette époque une véritable passion pour l'équitation. Elle avait sa propre jument. Elle pouvait passer des heures à brosser, cajoler et monter l'animal. Et de trois, Raphaël Da Silva était toujours agréable avec elle. Son attitude n'avait rien à voir avec celle de l'homme qui avait violé sa mère et qui l'avait humilié elle et sa sœur. Mais surtout, Marie n'était plus seule.

Toute sa vie, elle avait été solitaire. Elle avait peu d'amis et préférait de loin les livres aux humains. Une fois installée chez Da Silva, elle se lia d'amitié avec plusieurs membres du personnelle du Parrain. Il y avait bien sur Léo, le responsable des écuries qui était un ancien fermier de la région, mais surtout sa fille Anne dont la principale responsabilité était de répondre aux besoins de la future madame Da Silva. Il y avait aussi Line et Mireille, deux jeunes femmes de ménage qui étaient d'une grande culture et d'une gentillesse sans failles. Ces gens étaient beaucoup plus abordables que les serviteurs un peu snobs qui avaient peuplé son enfance. Pour la première fois de sa vie, Marie avait de vraies amies.

Elle aurait bien pu s'abandonner à cette vie de princesse, mais quelques nuages lui cachaient le soleil. Tout d'abord, il y avait sa mère. Chaque samedi, elle quittait le domaine pour visiter la villa Castillo. La maison était pratiquement déserte et ressemblait à un musée. Semaines après semaines, Jeanne semblait plus faible et amaigrie. Son attitude était toujours aussi rigide, mais son regard était de plus en plus triste. Leurs conversations se résumaient à peu de chose. Elles échangeaient des banalités et Jeanne lui rappelait de garder courage, de rester elle-même et de ne pas renier son nom et son héritage. Jamais elle ne se plaignait de sa condition et jamais elle ne parlait de sa sœur. Pour l'essentielle, elles passaient l'après midi en silence, se tenant parfois par la main, jusqu'à ce que le chauffeur signale le moment du départ.

La seconde épine dans le cœur de Marie était sa sœur Sylvie. Au départ, elle restait compréhensive envers son aînée, mais avec le temps, son attitude devenait de plus en plus désagréable et inquiétante. Le repas du dimanche amenait pratiquement toujours des invités au domaine. Bien qu'elle n'aimait pas vraiment ces rencontres, Marie gardait toujours une attitude diplomatique et polie face aux invités. Sylvie était presque toujours du nombre. Après la cérémonie des fiançailles, elle avait rapidement emménagé avec son amant, Maxime. Elle était en amour par-dessus la tête avec cet homme et l'exprimait sans ménagement.

Marie détestait cet individu trop beau, trop poli, trop élégant, trop parfait. Elle détestait la manière avec laquelle il traitait sa sœur, son attitude condescendante et paternaliste envers Sylvie. Elle détestait son regard et surtout son sourire charmeur qui émouvaient toutes les femmes qui l'approchaient. Elle se méfiait de lui plus que de la peste. Mais plus le temps passait, plus Sylvie l'irritait.

Sa sœur se comportait comme une véritable catin lorsqu'elle était avec son amant. En fait, Marie ne se souvenait pas vraiment d'avoir été seule avec sa sœur. À cette époque, elle le suivait partout comme un petit chien, toujours accrochée à lui. Elle l'embrassait à pleine bouche partout et devant tout le monde. Elle se frottait littéralement sur lui. Cherchant à peine à se cacher, ils se pelotaient d'une manière tout à fait indécente à la moindre occasion. Souvent, le couple s'éclipsait en douce pour aller faire l'amour en vitesse. Leur réputation n'était plus à faire parmi le personnelle du domaine. Les récits coquins mettant en vedette la belle Sylvie chevauchant son amant dans les écuries ou hurlant son plaisir dans les buissons faisaient fureur. Rarement, quittait-elle l'endroit avec ses vêtements proprement ajustés. Au contraire, il y avait souvent de l'herbe ou du foin dans ses sous vêtements.

Une chose inquiétait Marie par-dessus tout : le regard de Sylvie. Il n'était jamais franc. Elle faisait beaucoup de bruit, mais il y avait une absence dans ses yeux. Jamais elle ne la regardait directement. Elle évitait d'être seul avec sa sœur. Au début, c'est elle qui entraînait son amant dans les buissons. Avec le temps, son regard est devenu de plus en plus éteint, ses yeux de plus en plus vitreux. Mais surtout, ce n'était plus elle qui avait le leadership dans le couple. Tranquillement, elle prenait le second rôle. De plus en plus, elle avait l'aire d'une petite fille soumise à son amant. Il lui disait quoi faire et elle le faisait avec le sourire. Leur sexualité était toujours aussi exubérante, mais c'était maintenant Maxime qui décidait du où et du quand. Un soir, Marie le vit clairement traverser la pièce après avoir fini son verre, attraper Sylvie par le bras, interrompant sa conversation, pour l'attirer vers les toilettes. Dix minutes plus tard, elle était de retour décoiffée et son soutien gorge avait disparu.

Finalement, il y avait Bruce. C'était le chien de Da Silva. Un gigantesque rottweiler, costaud et agressif. Selon ce qu'on en disait, c'était une bête merveilleuse. Pour Marie, ce chien semblait tout droit sorti d'un film d'horreur. Sa puissante mâchoire pouvait briser une jambe sans efforts. Quand il était au domaine, Raphaël était toujours accompagné de son chien, même à table où on le nourrissait de filets mignons. C'était stupide, même intimidant, ce n'était qu'un chien. Mais l'animal lui rappelait constamment qu'elle vivait sous l'emprise d'un homme cruel.

2.

De son côté, Sylvie était sur un nuage. Le lendemain de leur nuit d'amour, Maxime se présenta à la porte de sa chambre. Étendue, nue dans son lit, elle se caressait doucement en repensant à la nuit qu'elle venait de passer avec Maxime. Jamais, elle n'aurait crue qu'une femme puisse jouir aussi souvent et avec autant de force. Elle était profondément troublée par les émotions que cet homme créait en elle. Elle sursauta et se couvrit rapidement lorsqu'il cogna à la porte.

-Oui. Qui est là?

-C'est moi, Maxime

-Oh! Entre mon amour.

Il entra en vitesse

-Tu es toujours couché?

-Euh, en fait, je pensais à toi.

Il s'approcha d'elle, retira les couvertures et, constatant sa nudité, il sourit à pleines dents. Il se pencha et l'embrassa passionnément. Il posa la main sur sa chatte et constata qu'elle était trempée. Il taquina son clitoris.

-Tu te branlais?

-Hi! Hi! Je pensais à toi.

-Et c'est ce qui te fait mouiller comme ça?

-Hi! Hi! En fait, j'ai déjà dû me changer 2 fois de culottes ce matin. Je mouille constamment.

-Continue. Montre-moi comment tu fais.

Timidement, ses doigts retournèrent à sa chatte. Il écarta ses jambes pour mieux voir. Sylvie ferma les yeux et s'offrit en spectacle. Moins de cinq minutes plus tard, Maxime était profondément enfoncé dans son vagin et elle criait de nouveau sa jouissance. Une fois le calme revenu, il lui dit.

-Je suis venue te dire que tout est organisé. Si tu le veux, dès demain, tu pourras venir habiter chez moi.

-Tu es sérieux?

-Absolument.

-Ohhh! Maxime!

Elle lui sauta littéralement dessus. Elle l'embrassa longuement. Sa bouche explorant chaque partie de son corps pour finalement s'arrêter sur sa queue. Bientôt, Sylvie se retrouva à quatre pattes, le pénis de son amant poussant délicatement sur son anus. Au moment où il s'enfonçait dans son cul, elle dit :

-Mon trou du cul t'appartient mon amour!

3.

Sylvie emménagea donc chez Maxime. Les premiers jours, ils ne quittèrent le lit que pour manger et encore les repas se passaient souvent sous le signe de l'érotisme. Maxime dû retourner rapidement à ses occupations. Officiellement, son travail était de faire la gérance des différents bars contrôlés par Da Silva. Sylvie était loin de se douter que sa principale fonction était d'être le souteneur numéro un de la ville. Il s'assurait de fournir des filles de qualités aux riches clients de ses réseaux et surtout il s'assurait que leurs performances étaient à la hauteur des attentes du client. Il patrouillait les bordels et les bars de danseuses pour maintenir la discipline et s'occuper des intérêts de l'organisation. Professionnel, il ne touchait jamais aux filles, mais ses activités étant nocturne, il passait peu de temps à la maison.

Sylvie s'installa donc rapidement dans une routine caractérisée par de longues périodes d'ennuie et de brèves moments de passion brûlante. Une journée type dans sa vie commençait vers midi, au moment où Maxime se réveillait. Elle attendait impatiemment ce moment pour lui faire l'amour tendrement. Il quittait en début d'après midi. Le reste de la journée était insupportablement long. Bien entendu, elle courait les magasins, allait au cinéma, flânait à la piscine etc. Le soir, elle se préparait, se mettait belle et sexy pour son homme et attendait impatiemment son retour. Il rentrait généralement vers trois heures du matin. Il était alors invariablement excité et lui faisait l'amour sur le champ. Il va s'en dire que la communication n'était pas le point fort du couple

Elle vivait maintenant dans un immense penthouse, en plein centre ville. Elle était libre de ses allez et venus, mais elle était toujours accompagnée d'un chauffeur. Sylvie aurait très bien pu renouer des liens avec d'anciens amis, mais sa priorité était Maxime, son sauveur, et elle n'avait pas le cœur à grand-chose quand il était absent. Ses journées se vivaient en montagne russe; très intense avec Maxime et très ennuyante sans lui. L'angoisse et le mal de vivre reprenaient le dessus sur elle. L'appartement possédait cependant une pharmacie bien remplie de produits aidant à calmer les esprits troublés.

Les jours passèrent. Leurs relations sexuelles pouvaient se résumer ainsi : caresses, amour oral et pénétrations dans différentes positions. Régulièrement, la relation se terminait avec le pénis de Maxime profondément enfouit dans les fesses de Sylvie. Un matin, alors qu'il se lançait dans une nouvelle série de caresses. il fit glisser sa main vers son bas ventre, elle l'arrêta.

-Attention, j'ai commencé mes règles cette nuit.

-Ce n'est pas grave, je peux toujours te caresser un peu et ensuite... tu t'occuperas de moi. Tu veux?

C'est ainsi que Sylvie se livra à une pipe matinale des plus enflammée. Au moment où Maxime allait jouir, elle lui demanda gentiment :

-Ne viens pas dans ma bouche SVP. Je n'aime pas ça.

L'attitude de Maxime changea instantanément. Il poussa un soupir de frustration. Il se leva, se plaça derrière Sylvie et l'encula sans aucune préparation.

-Aie! Non, Max! je ne suis pas prête. NON!

Mais rien n'y fit. Au bord de l'orgasme, il la pistonna avec vigueur jusqu'à la délivrance. Le couple resta un moment en silence.

-Je m'excuse dit Maxime

-Ce n'est pas grave mon amour.

-C'est que ta bouche était si douce, si chaude. C'est très frustrant pour un homme de se voir refuser sa semence.

-Je m'excuse. Je n'ai jamais été à l'aise avec ça.

-Je t'ai fait mal?

-Pas vraiment. J'ai plutôt été surprise. Il faut croire que mon corps est fait pour ton sexe hi hi hi!

Un peu après deux heures la nuit suivante, la porte de l'appartement s'ouvrit. Sylvie, poitrine nue, s'avança sensuellement vers Maxime et s'agenouilla devant lui. Dix minutes plus tard, elle goûtait pour la première fois de sa vie à la semence d'un homme. Pris d'un haut le cœur, elle recracha le tout. Le couple éclata de rire.

À partir de ce moment, Sylvie dû performer une fellation à tous les matins sur le membre de son amant. Une autre petite crise survint peu de temps après tant et si bien que trois semaines plus tard, Sylvie avalait sa ration de sperme à chaque matin.

4.

Pour briser la routine, Maxime amenait occasionnellement sa conjointe au travail. Ils se rendaient dans des discothèques de luxe où Maxime réglait ses différentes affaires dans ses bureaux pendant que Sylvie s'éclatait sur la piste de danse. Elle attirait les regards et de nombreux hommes flirtaient avec elle n'hésitant pas à prendre ses fesses et parfois ses seins. Sylvie prenait un malin plaisir à cette attention et elle était d'autant plus excitée qu'elle savait que Maxime allait la satisfaire dès la soirée terminée. Inutile de dire que ces virées étaient riches en alcool et autres substances.

Une nuit, Maxime l'amena dans un établissement qu'elle ne connaissait pas. L'endroit était encore plus chic qu'à l'habitude et beaucoup plus tranquille. Le couple resta ensemble toute la soirée, partageant danse, boisson et rires. Un peu après minuit, Maxime entraîna sa belle vers le fond de l'établissement. Ils entrèrent dans une zone isolée gardée par deux géants noirs. La pièce était sombre, simplement éclairée par de petites lampes rouges accrochées aux murs.

Sylvie se figea sur place. Ses yeux s'ajustant à l'absence de lumière, elle remarqua une femme assise sur un banc. Ses jambes étaient largement écartées, ses seins pendaient à l'air libre. Un homme était agenouillé entre ses jambes. Partout où elle regardait, des couples s'activaient. Ici une femme montait un homme assis sur une banquette. Là, une autre dansait seulement vêtu de ses bas de nylon pour deux gars qui la caressait. Ailleurs, une femme était étendue sur une table, la queue de son amant profondément fourrée dans la chatte. La musique était très forte, l'ambiance irréelle et très érotique. Maxime l'entraîna vers un coin tranquille et ils firent l'amour merveilleusement parmi tous ces autres couples.

5.

La sexualité des deux amants était de plus en plus intense. Pour Sylvie, chaque relation, chaque nouvelle expérience était meilleurs que la précédente. Par un après midi ensoleillé, elle enfila une robe légère. À la demande de Maxime, elle ne portait aucun sous vêtements. Alors que la voiture roulait vers Blackpoint, Il banda les yeux de son amoureuse et il la caressa doucement pour l'aguicher. Sylvie mouillait abondamment. Une fois la voiture immobilisée, il fit descendre sa partenaire toujours aveugle et ils entrèrent dans un endroit climatisé. L'odeur de l'établissement était bizarre, troublant. Des voix amplifiées parlaient en anglais. Maxime retira le bandeau.

Ils étaient dans un cinéma. Debout dans l'allée centrale, Sylvie fut aveuglée momentanément par l'écran. Une minuscule asiatique aux allures connues se penchait sur un énorme pénis noir, l'avalant entièrement. Ils descendirent l'allée et Maxime la fit asseoir en plein centre de la salle sur un vieux siège à la propreté douteuse. Il la prit par les épaules et porta son attention sur le film.

Rapidement, Sylvie constata du mouvement autour d'elle. Un vieil homme aux cheveux jaunis venait de prendre place à deux sièges d'elle. Un gros barbu s'installa derrière, un vieux noir était debout tout près. D'autres s'approchaient. Maxime lui glissa à l'oreille.

- Relaxe.

Il défit les boutons de sa robe, libérant ses seins. Les hommes s'approchaient. Une main toucha son épaule et ouvrit sa robe plus largement. Sylvie, tendue comme une barre, se retourna pour voir le gros barbu, debout, qui se masturbait tranquillement. Elle regarda à sa gauche, puis à sa droite. Partout, les hommes avaient leur queue en main. Maxime retroussa sa robe et se mit à jouer avec son clitoris. Malgré son malaise, sa chatte inondait le siège. Le vieillard à sa gauche avança une main et elle sursauta au contact des doigts froids et ridés du grand père sur son sein.

Maxime se glissa à genoux devant elle et se mit à lui manger la chatte. Voyant que la femme était réceptive, le petit groupe d'homme se resserra. D'autres mains touchèrent son corps. Le gros barbu présenta son pénis à sa bouche. Elle fit signe que non et il se retira quelque peu en lui caressant les cheveux. Les efforts de Maxime commençaient à sérieusement exciter la jeune femme. Le vieillard sembla éjaculer et se retira en vitesse. Un homme dans la cinquantaine pris immédiatement sa place. Plus hardi, il se pencha sur les seins de Sylvie pour lui sucer un mamelon. Sur l'écran, l'asiatique se lamentait de plus belle pendant que la monstrueuse queue noire lui défonçait le cul sans ménagement et ce, en gros plan. Deux hommes maintenaient Sylvie par les chevilles et caressaient ses jambes. L'un d'eux retira sa chaussure et frotta son pénis sur la plante de son pied. Le gros barbu, n'y tenant plus, éjacula abondamment sur ses cheveux. Les doigts de Maxime caressaient son anus, pénétraient son vagin. Son clitoris était enflé.

Prise de spasmes et de tremblements, Sylvie orgasma bruyamment pendant près d'une minute. Un autre homme s'approcha et éjacula dans son cou. Son pied gauche s'englua de sperme. Maxime se releva et chassa le groupe d'homme encore restant, Il prit Sylvie par la main et l'entraîna vers une porte dérobée qui donnait sur l'extérieur. La voiture les attendait là et démarra rapidement. Les jeunes amants riaient à gorge déployée. Maxime dégrafa son pantalon et retroussa la robe de Sylvie. Il la pénétra en poussant un grognement et il se soulagea en elle sous les yeux d'un camionneur fort intéressé. Une fois le calme revenu, Sylvie éclata de rire. Elle n'avait plus qu'une seule chaussure.

6.

Quelques jours plus tard, le couple était attablé avec deux amies. Un petit homme à la calvitie précoce et au ventre mou et une superbe blonde platine aux jambes sensuelles. La conversation tourna rapidement au sexe et la femme offrit à brûle pour point :