Initiation - 10 (extrême perversion)

BÊTA PUBLIQUE

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« Profite bien de ton cadeau, ma chérie. »

Manon sait bien qu'ainsi attachée, elle est offerte à la pénétration, sans moyen d'y échapper. Elle se sait impuissante, condamnée à subir, sans pouvoir s'opposer à quoi que ce soit. Elle va être à la merci de tous et y penser l'excite terriblement. Manon craint toutefois une pénétration trop rapide, sans préliminaires. Une femme aime une montée progressive de son excitation pour atteindre un plateau au plus haut, presque sans limite ni de temps ni de plaisir. Les deux femmes présentes le savent bien. Alors Manon sent une bouche prendre la sienne, une langue y tourner délicieusement. Est-ce sa mère? Est-ce Roxana?

Des mains caressent ses seins tout en douceur. Des doigts tournent autour des pointes sans les toucher avant de venir les pincer légèrement, furtivement. Des mains frôlent sa taille puis descendent vers le pubis, fourrageant dans les poils. Des doigts découvrent le clitoris et une langue le flatte d'une très légère succion, alternant avec quelques aspirations aussi fortes que brèves. Manon ne sait pas qui lui fait quoi mais sa seule certitude est qu'il ne s'agit pas d'un homme. C'est quelqu'un qui sait très bien, par expérience, ce qu'une femme ressent. L'excitation de Manon monte encore d'un cran lorsqu'une bouche mâchonne doucement sa vulve, lorsqu'une langue se pousse à l'entrée du vagin, puis lorsqu'un doigt glisse en elle pour venir presser le point G. Manon n'en peut plus lorsqu'elle sent un index s'enfoncer dans son anus et en masser l'intérieur. C'est le summum lorsque deux doigts, l'un dans son vagin, l'autre dans son fondement se frottent l'un contre l'autre à travers la fine paroi qui sépare les deux conduits intimes. Alors Manon se met à trembler de tout son corps et un orgasme la traverse.

Manon récupère lentement, heureuse que son 'cadeau' commence si bien. Ses pensées sont interrompues par un bruit de moteur électrique et un mouvement vertical du lit. Elle se doute qu'on la place à la bonne hauteur pour sa pénétration par le sexe d'un premier partenaire.

Manon s'attend au contact chaud sur sa chatte d'un sexe bandé. Quelle n'est pas sa surprise de sentir ses lèvres vulvaires s'écarter sous la pression d'un métal froid ! Que font-ils? Est-ce un gode? Et, tout à coup, alors que cela pénètre un peu plus dans son vagin, elle comprend. C'est Adrien, son mari, qui la baise avec son petit sexe dans sa cage de chasteté. La sensation est surprenante, pas très agréable car c'est à la fois dur et froid. Pourtant l'excitation est là, une excitation très cérébrale, liée à la perversion de cette action anormale. C'est honteux de faire ça, se dit Manon, mais c'est cela qui l'approche d'une jouissance qu'elle n'atteint pas car son mari se retire, alors qu'elle entend sa mère dire :

« Mais tu ne vas pas y arriver comme ça ! Je vais te libérer. »

Nathalie, utilisant la clé de secours dont elle dispose, retire la cage. Adrien se replace tout de suite et enfonce sa petite bite dans le vagin trempé de sa femme. Manon, habituée à d'autres calibres ne sent pas grand chose et son excitation retombe un peu. Son mari s'active de plus en plus rapidement mais Nathalie lui rappelle vite son engagement :

« Adrien, n'oublie pas que tu ne dois pas éjaculer en elle. Tu l'as promis ! Tu ne voudrais tout de même pas engrosser la fille après la mère? »

Entendant cette révélation, Manon se rend compte que sa mère lui avait caché l'origine de sa grossesse extraconjugale infructueuse. Au lieu de la rebuter, cette découverte lui fait penser que cette perversité de sa mère ne peut que lui avoir été transmise. Je suis une vrai salope, fille de salope, se dit Manon. Cette pensée l'excite plus que le coït endiablé que lui impose son mari. Elle se sent proche d'un orgasme très cérébral lorsqu'elle se contracte, son vagin serrant fortement la petite bite de son mari comme pour en extraire tout le jus. Malgré la jouissance de sa femme, Adrien se retire avant l'irréparable.

Pendant quelques instants, de douces mains de femmes flattent tout le corps de Manon, alors qu'un léger bruit de moteur lui montre que la hauteur du lit va être bien réglée pour le coït avec un autre homme.

Deux fortes mains serrent ses hanches, alors que des doigts féminins écartent les lèvres vulvaires pour faciliter la pénétration d'un gros gland qui dilate l'entrée du vagin. D'un seul mouvement lent, le sexe progresse jusqu'au fond, aidé par la lubrification naturelle abondante provoquée par l'orgasme précédent. Manon ne sait pas de qui il s'agit et cette ignorance l'excite. Les yeux bandés et attachée comme elle l'est, Manon sait que les organisatrices de cette fête peuvent offrir son intimité à n'importe qui.

Au premier mouvement de retrait du gros sexe en elle, Manon sent cette pression particulière sur son point G et sait maintenant que c'est Albert qui la baise avec son sexe tordu. Un bruit de clapotis accompagne le coït tant le vagin est trempé. Manon prend un réel plaisir, bien plus qu'avec son mari. Avec son bandeau sur les yeux, elle n'a plus la vue de ce visage hideux qui la rebute. Elle a maintenant envie de remercier cet homme si gentil, si amoureux. Alors, elle accompagne les mouvements, forçant sur ses liens pour arriver à se pousser vers lui lorsqu'il cherche à aller au fond. A chaque fois, le gros gland vient buter sur le col de son utérus, ce qui la fait vibrer, puis le mouvement de retrait provoque la pression sur le point G. A cet instant, Manon serre fortement son vagin juste sous le gland. C'est une sorte de réflexe, c'est vrai, mais aussi sa volonté, car elle en est presque à vouloir le faire jouir en elle. A chaque fois qu'elle fait ce mouvement, elle s'attend au jaillissement interne qu'elle désire. Elle finit par entendre raison, se disant qu'avec son excitation le col de son utérus doit être bien ouvert, prêt à capter toute la semence qui ne pourra que l'engrosser après cette ovulation forcée qu'elle a détectée aujourd'hui. Imaginant la progéniture impensable que lui apporterait un tel homme, Manon retient maintenant ses mouvements, recherchant une passivité difficile à contrôler, mais elle ne peut éviter un violent orgasme en pensant aux risques inconsidérés qu'elle prend. Puis, elle se contente de laisser Albert la baiser à son rythme, sans qu'elle puisse éviter quelques soupirs, tremblements et même convulsions, tant le frottement de ce pénis difforme la ramone différemment de tout autre sexe. Elle ne peut que souhaiter qu'il arrive à se retenir. Elle est libérée lorsqu'elle entend son mari dire :

« Allez, Albert, laissez la place ! »

« Bien, Monsieur », répond Albert, avec une voix de majeur d'homme stylé, ce qui déclenche des rires, alors qu'il se retire.

Un long mouvement du lit vers le haut fiat penser à Manon que son prochain partenaire doit être de très grande taille. Serait-ce ce colosse de Mamadou? Manon en a confirmation lorsqu'elle entend son mari dire :

« Toi, tu vas me donner 200€ ! Si Manon est une putain, tu dois payer pour la baiser ! »

Manon apprécie que son mari 'punisse' ainsi l'homme qui l'a prostituée. Elle se sent un peu vengée, tout en pouvant continuer à profiter de cette grosse bite qui lui donne tant de plaisir. C'est bien mieux que son idée d'ignorer Mamadou en se frustrant elle-même, pense-t-elle.

Manon sent maintenant deux mains serrer ses cuisses comme pour l'attirer vers l'homme qui veut la prendre. Comme elle est immobilisée par ses liens, Manon ne peut bouger vers lui, mais elle se doute que, faisant ainsi, Mamadou cherche à lui montrer sa totale emprise sur elle. Au même instant, elle ressent une énorme dilation presque douloureuse de son vagin. Le gros sexe est venu, en un seul mouvement buter contre le col de son utérus.

Manon profite alors du plaisir qui monte en elle à chaque coup de boutoir du grand noir. Le gland frappe de plus en plus fortement sur le col de son utérus. Manon a l'impression qu'il va le lui retourner. Mamadou l'emmène dans un coït de plus en plus violent. Il se déchaîne en elle pour montrer sa force, pour se laver de l'humiliation qu'il vient de subir. De plus, il en veut pour son argent ! Mamadou ahane comme un bûcheron et des gouttes de sueur tombent sur le corps de Manon, qui sent monter son plaisir jusqu'à un point qu'elle n'aurait pas cru possible.

Il veut me défoncer, pense-t-elle. Il ne veut se servir de moi que comme 'vide couilles', se dit-elle. Cette pensée lui rappelle le risque fou qu'elle prend en ce moment. Sera-t-il capable de se retenir? Le veut-il vraiment? Ce sont les questions angoissantes et sans réponse que se pose Manon. Penser aux conséquences d'une fécondation et à l'humiliation de son mari lors de l'accouchement devrait faire retomber son excitation. Bien au contraire, son plaisir atteint un tel sommet qu'elle serre son vagin sur le sexe qui la ramone, au risque de le faire jouir. Elle s'attend à cette jouissance incontrôlable qui va l'ensemencer, c'est certain. Mais l'homme se retire, au moment où elle entend son mari crier :

« Allez, ça suffit ! Au suivant ! »

A peine Mamadou s'est-il retiré que Manon sent un sexe la pénétrer légèrement. Seul le gland est entré. Manon découvre alors qu'une bouche vient de se poser sur la sienne dans un baiser qu'elle reconnaît instantanément : c'est un de ses fameux 'baisers du soir' qu'elle a partagé avec son père, souvenirs de son initiation. Manon se sent pleinement heureuse de s'offrir ainsi à son papa chéri, prenant tous les risques pour lui. Elle n'a jamais été aussi excitée. Elle sait bien qu'être engrossée ainsi serait briser le tabou le plus extrême qui soit. Elle ne le veut pas, surtout pas, mais elle se sent impuissante à s'y opposer. Leurs mouvements fluides sont conjugués. Ils ne baisent pas, ils font l'amour et rien ne peut le leur interdire. La pensée qu'ils le font d'une façon si évidente, si différente de la luxure, devant sa propre mère, fait encore monter l'excitation de Manon. Elle se dit que non seulement elle se donne au mari de sa mère mais qu'elle le lui prend, en face d'elle. C'est pour Manon comme si elle voulait montrer à sa mère que, dans leur compétition pour être la reine des salopes, c'est elle qui gagne, haut la main ! Alors que les va et vient de son père se font maintenant plus rapides et plus amples, Manon entend sa mère dire :

« Eric, contrôle-toi ! Tu as promis, ne l'oublie pas. »

C'est un homme frustré, à la limite de la jouissance, qui obéit en se retirant, mais, trop proche de l'instant final, il ne peut éviter l'éjaculation, qui envoie un premier jet de sperme dans les poils pubiens de Manon qui ne peut retenir son orgasme. Les jets suivants sont bloqués par la main de Roxana qui serre fortement le sexe à sa base, dans un geste d'une précision et d'une efficacité très professionnelle, en disant :

« Si je n'avais pas été là, tu n'aurais sûrement pas pu tenir ta promesse. »

Sans faire de commentaire, Adrien se penche encore sur sa fille pour partager avec elle un long baiser passionné, alors que Manon lui murmure à l'oreille :

« Si quelqu'un n'avait pas pu éviter de jouir en moi, j'aurais adoré que ce soit toi, mon papa chéri ... »

Nathalie, s'approchant de Manon, dit à son mari qui s'est éloigné de sa fille :

« C'est toujours ta femme qui doit nettoyer tes cochonneries ! »

Elle pose alors sa bouche sur le pubis de Manon pour aspirer la moitié du sperme qui s'y trouve. Puis elle se penche sur sa fille et l'embrasse à pleine bouche, y transférant ainsi la semence paternelle, puis lui dit sur un ton sarcastique :

« C'est un goût que tu connais bien, n'est-ce pas? »

Manon ne daigne pas répondre à sa mère mais s'inquiète lorsque celle-ci fait passer ses doigts dans les poils du pubis pour y pousser une grosse coulée de sperme vers les lèvres vulvaires :

« Mais que fais-tu, Maman? Pas là ! C'est trop dangereux ! »

Sans d'abord répondre, Nathalie caresse le clitoris de sa fille avec le sperme, puis c'est au tour des lèvres vulvaires de subir la même chose. Lorsque Manon ne peut retenir sa jouissance, sa mère lui dit :

« Tu vois, ma chérie, tu adores les jeux dangereux. »

Épuisée de plaisir, Manon, toujours plongée dans le noir par son bandeau, remercie tous les participants :

« Merci ! Merci à toutes et à tous. J'ai eu très peur mais tant de plaisir ! C'était un magnifique cadeau, vraiment exceptionnel ! »

C'est alors que Roxana lui dit :

« Mais ce n'est pas fini, ma chérie. Tu n'as pas encore eu ta surprise ! »

Manon ne laisse échapper qu'un « oh ! » d'inquiétude, à moins que ce soit de curiosité. Qu'ont-ils ou qu'ont-elles encore prévu? Comment la suite pourrait-elle être plus excitante que ce qu'elle vient du subir? Ce sont les questions que se pose Manon, qui n'imagine pas que la suite puisse la décevoir, comme en atteste sa chatte qui se mouille encore plus.

Les pieds de Manon sont tout à coup tirés vers le haut par les moteurs qui enroulent les câbles. Le mouvement ne s'arrête que lorsque les fesses de Manon sont décollées du lit d'une bonne quarantaine de centimètres. Une pile de coussins est alors placée au-dessous pour rendre la positon plus confortable. Un contact métallique froid entre ses lèvres vulvaires fait sursauter Manon, puis une forte pression de chaque côté dilate l'ouverture du vagin jusqu'au maximum du supportable, ce qui fait dire à Manon :

« Mais que faites-vous? »

« Ma chérie, je t'ai placé en spéculum », explique Roxana, « veux-tu le voir? »

C'est un « oui » angoissé que laisse entendre Manon avant que sa mère ne lui enlève son bandeau.

La scène qu'elle découvre surprend Manon. Dans cette position, son vagin tout ouvert et tourné vers le haut lui fait penser à un réceptacle. Roxana vient de tirer d'une main, un gros projecteur rond, mobile, accroché au plafond, comme il en existe dans les hôpitaux. Elle l'a orienté pour bien éclairer l'intérieur du vagin. Grâce à un grand miroir orientable fixé sur le projecteur, Manon a la même vue que Roxana, qui lui dit alors :

« Il est essentiel que tu puisses bien voir. Est-ce bien réglé, ma chérie? »

« Oui, oui ... mais que vas-tu me faire, Roxana? », répond-elle d'une voix inquiète.

Manon voit alors son mari placer une caméra sur trépied entre ses cuisses écartées. Bien orientée la caméra prendra en gros plan l'intérieur de son vagin. Cette exhibition forcée ainsi que l'incertitude sur ce qu'elle risque de subir font remonter de nouveau l'excitation de Manon, qui tremble maintenant en permanence.

Roxana approche précautionneusement un long tube de plastique souple, transparent, du col de l'utérus et vient en place le bout arrondi juste sur l'ouverture. Manon, dont le regard ne quitte pas le miroir, s'inquiète encore :

« Qu'est-ce que tu fais avec ça, Roxana? »

« Tu vois bien, ma chérie », lui répond-elle, « Je place une sonde dans le col de ton utérus. Je vais l'enfoncer doucement, jusqu'à atteindre ta matrice. Ne t'inquiète pas, ça n'est pas douloureux. Ça te fera même du bien, crois-moi ! »

Manon, qui n'a jamais été pénétrée si profondément prend un certain plaisir, très cérébral, à la progression de la sonde. C'est pour elle comme si elle était déflorée de nouveau, mais sans douleur. Les petits mouvements que fait Roxana pour bien placer la sonde la font trembler d'excitation. Son plaisir est accentué par la sensation d'être totalement dominée, de n'avoir plus aucun contrôle sur cette situation pourtant si intime, si personnelle. Sur l'ouverture extérieure de la sonde Roxana vient fixer un petit entonnoir. A quoi cela sert-il? Manon n'ose pas poser la question, l'incertitude faisant, à sa grande surprise, monter encore plus son excitation.

Roxana s'absente quelques secondes puis revient, tenant à la main un verre qu'elle présente bien devant les caméras. Il est à demi rempli qu'un liquide blanc. Alors Manon questionne :

« Tu vas verser ce liquide dans l'entonnoir, n'est-ce pas? Qu'est-ce que c'est? »

« C'est du sperme, évidemment, ma chérie », répond Roxana, « Ta mère a branlé chacun des hommes pour les faire éjaculer dans ce verre. Ils en avaient tous bien besoin, même ton père dont j'avais bloqué la jouissance. »

Alors que Roxana commence à pencher le verre au-dessus de l'entonnoir, Manon, s'écrie :

« Arrête ! Arrête ! Ils avaient tous promis de ne pas éjaculer en moi ! »

C'est sa mère qui lui répond :

« Ils ont tous tenu leur promesse, ma chérie. Ils n'ont pas éjaculé en toi ... mais dans ce verre. »

Roxana verse tout et Manon voit maintenant le sperme couler doucement dans le tuyau transparent. Prise de tremblements, elle ne peut s'empêcher de crier :

« Non, non, non ! Pas ça ! Pas ça ! »

Lorsque Manon voit la semence blanche atteindre l'ouverture du col de l'utérus, ses cris se changent en :

« Oui ! Là, là ... oh, oui, oui ... »

En se demandant combien d'ovules seront fécondés et par qui... et probablement par des hommes différents, Manon entre dans un orgasme dévastateur si fort qu'il lui fait perdre connaissance.

---------- FIN ----------

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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Cette histoire a été rondement menée. On sort de l'ordinaire et c'est très agréable. Merci

AurailiensAurailiensil y a 4 mois

Je partage l'avis précédent. J'ai dévoré ce chapitre mais pour moi cette perversité finale pourtant extrême est un peu frustrante. Est-ce parce que je suis un homme ? C'est juste un ressenti. En tous cas merci pour cette histoire

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

toujours aussi jouissif

Cependant un petit bémol

je trouve ce texte moins explicite que les précédents

et surtout serait-ce la fin ? ce qui serait Domage !

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Un véritable bonheur…. Merci

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 4 mois

C'est toujours un vrai plaisir de te lire !

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