Initiation - 10 (extrême perversion)

BÊTA PUBLIQUE

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« Dois-je me retirer, Manon? »

« Mais non, vas-y, tu peux jouir en moi », dit Manon qui pense qu'elle rentre maintenant dans une période moins dangereuse et que, en tous cas, le mal est certainement déjà fait, alors pourquoi se priver?

Lorsque, deux jours plus tard, Manon a de nouveau ses 'envies', ce n'est pas vers son mari qu'elle se tourne mais vers Albert qui lui fait beaucoup plus de bien avec son sexe bizarre. Malheureusement, celui-ci refuse ses avances en disant :

« Manon, tu te doutes de mon amour pour toi. Cela rend encore plus difficile ce que je dois te dire. Mon patron pourrait me congédier du fait de nos relations... »

« Mais il aime ça ! », l'interrompt Manon.

« Je le sais, mais, dans mon métier on ne peut pas faire ça à son patron. Je suis déjà allé très loin, trop loin ! J'aime ce métier, qui a tendance à disparaître de nos jours. En me comportant mal, j'ai l'impression de provoquer encore plus vite sa disparition. Dans d'autres circonstances, je t'aurais voulu comme femme, mais je sais bien que je ne suis pas un homme pour toi. Restons amis, si ce n'est pas trop te demander. »

Pour Manon, cette longue tirade est un choc. Avec qui va-t-elle retrouver le plaisir? Elle ne veut pas reprendre des relations sexuelles avec des inconnus. C'est trop dangereux. Il lui reste Mamadou, qui n' a pas les scrupules d'Albert, mais elle est loin de lui avoir déjà pardonné. Les jours à venir lui paraissent bien tristes. Elle finit cependant par donner à Albert la réponse attendue :

« Nous resterons amis, bien sûr ... mais ... tu vas me manquer, Albert ... surtout une certaine partie de toi. »

Dans les jours qui suivent, Manon ne s'en remet qu'à sa main pour se satisfaire, si on peut dire car c'est loin d'être le cas. Sa frustration est certaine. Comme souvent lorsqu'elle n'est pas au mieux, Manon cherche le réconfort auprès de sa mère. L'appelant au téléphone, elle lui explique ses problèmes. Elle lui dit aussi qu'elle est toujours angoissée à l'idée d'être enceinte d'un de ces Africains, ajoutant que, si c'était malheureusement le cas, elle irait cependant au bout de sa grossesse. Sans chercher à la faire changer d'avis, sa mère lui répond que c'est son choix et qu'elle le respecte. Manon explique qu'elle a été si excitée par les risques qu'elle a pris que, malgré les conséquences qui l'angoissent, elle sait qu'elle ne pourrait s'empêcher de recommencer.

« A l'occasion, il faudra en parler avec Roxana, qui est aussi sexologue. Si quelqu'un est à même de t'aider, c'est bien elle », conseille Nathalie.

« Cela a beau être très personnel, si je dois en parler avec elle, j'aimerais que tu sois là, avec moi », demande Manon.

Sa mère répond qu'elle apprécie sa demande et confirme qu'elle sera disponible pour elle.

Quelques jours plus tard, les règles de Manon arrivent et elle se sent soulagée. C'est à sa mère qu'elle apprend la nouvelle en premier. Elle lui dit aussi que sa vie sexuelle devient de plus en plus triste avec un mari peu performant et seulement sa main pour calmer ses envies. Sa mère lui rappelle l'intérêt d'une rencontre avec Roxana et lui propose de l'organiser au plus vite.

Nathalie appelle tout de suite son amie et la tient au courant de tout. Elles conviennent d'un rendez-vous pour elles trois. Roxana lui dit :

« Je suis certaine que ta fille, sans le savoir, est prête pour ce que nous préparons pour elle. »

Tout de suite après cette conversation, Roxana appelle Adrien pour lui dire :

« Je pense que ta femme est prête pour ce que tu sais. Prépare au plus vite la pièce de ton sous-sol comme nous en étions convenus. Nathalie préviendra les intervenants. Tout doit être prêt dans une semaine. »

Manon, Nathalie et Roxana, se retrouvent un soir dans le cabinet de cette dernière, confortablement installées dans des fauteuils. Roxana dit alors à Manon :

« Ma chérie, pour t'aider à surmonter tes problèmes sexuels, il va falloir que tu me dise très franchement ce que tu vis en toi, sans rien cacher, même si certains sentiments sont contradictoires. Ici, personne ne te jugera. Sois franche. Allez, dis-nous tout ... »

Manon se sent aussi à l'aise avec Roxana, dont c'est le métier, qu'avec sa mère, aussi se lance-t-elle :

« J'y ai réfléchi depuis quelques jours. Il me semble qu'il y a trois choses qui m'excitent : les tabous, la contrainte et le risque. »

« C'est bien, ça ! Explicite chacun de ses points, ma chérie », lui demande Roxana.

Alors Manon, qui semble avoir beaucoup réfléchi, commence ses explications :

« Tout a commencé avec mon papa chéri, que j'aime beaucoup. Il y avait une attirance physique, c'est certain, et c'était l'homme de la maison, plus facile d'accès et moins inquiétant que des inconnus. Mais il y avait aussi et je dirais même surtout la transgression d'un tabou, peut-être l'un des plus grands dans notre société et c'était ce qui rendait nos rapports encore plus excitants. Lorsque je me suis mariée avec Adrien, ce n'était pas vraiment un tabou, mais la différence d'âge était si importante que les gens 'normaux' en étaient forcément choqués. En m'affichant avec lui, j'avais l'impression de m'exhiber pour faire réagir tout un chacun. C'était excitant de penser qu'ils devaient tous se dire 'ah, la salope, avec un vieux'. C'était la même chose lorsque j'étais sortie un soir avec Albert, cet homme vraiment hideux. Ça m'excitait d'imaginer ce que tous devaient penser : 'pour qu'une fille comme elle soit avec un homme aussi moche, il doit savoir lui faire les pires cochonneries'. Avec Mamadou, cela aurait été un tabou il y a un siècle mais ce n'est plus le cas aujourd'hui. »

« Alors, avec lui, quelle a été la raison de ton excitation? », lui demande Roxana.

« Il y avait bien sûr la taille de son gros membre qui me fait tant de bien, mais c'est aussi le cas avec Albert et son sexe très spécial. Mais tout cela est presque banal. Avec Mamadou, quand il m'a offerte à ses 'frères', dont je ne doutais pas de la réalité, j'ai eu l'impression d'être forcée, non pas physiquement, mais parce que je ne pouvais rien refuser à cet homme que j'aimais. Pour la même raison, j'ai accepté de me faire prendre par tous ces inconnus à Dakar. Je le faisais pour lui mais me sentir ainsi contrainte psychologiquement m'excitait énormément. Quand je me suis rendue compte qu'il me prostituait, je me suis fâchée et lui en ai beaucoup voulu, mais, en y repensant plus tard, je me suis dit que j'aurais accepté de me prostituer pour lui, s'il me l'avait ordonné, en ayant ainsi l'excitation de me sentir dominée. Lorsque je m'étais donnée dans un squat à un bel inconnu, j'avais pris un incroyable plaisir, malgré ma peur, à être contrainte quand il m'avait immobilisée pour m'offrir à tous les habitants du lieu. »

« Bon, ce côté un peu masochiste est assez clair, mais qu'en est-il du plaisir du risque? Quel type de risque t'excite? », questionne alors Roxana qui connaît pourtant la réponse mais veut entendre Manon le dire, pour sa propre excitation comme celle de Nathalie qui se régale de la confession de sa fille.

Manon hésite un moment avant d'expliquer ses envies inavouables. Elle se lance pourtant :

« C'est ce troisième point le plus excitant pour moi, et de loin ! Tomber enceinte hors mariage est le plus grave dans notre société. Tout le monde jette l'opprobre aux femmes qui sont dans ce cas. Imaginez, si j'étais engrossée par Albert, ma progéniture ne ressemblerait en rien à mon mari. Si c'était Mamadou, la couleur afficherait mon adultère à la face du monde. Si c'était mon père, ce serait moins visible, mais, si cela était mis en évidence, ça montrerait ma transgression d'un des plus forts tabous. C'est cette crainte d'une perversion affichée qui rend pour moi ce risque si excitant. Je sais que c'est complètement déraisonnable, mais, plus je me rapproche du danger, plus mon excitation est forte. Je pourrais presque jouir sans me toucher, rien qu'en y pensant. J'ai honte de ces envies qui me poussent vers ce risque, mais je n'arrive pas à luter contre. »

« Ne culpabilise pas, ma fille », lui dit alors sa mère, « prend ton plaisir comme il vient. La vie est si courte », puis elle ajoute :

« Nous avons, Roxana et moi, bien senti que tu n'étais pas au mieux en ce moment et que tu paraissait frustrée. Tout ce que tu nous as expliqué est très important pour nous, car nous voulons t'offrir en cadeau d'anniversaire un plaisir qui colle parfaitement à tes envies. Roxana va t'expliquer ce que nous préparons pour toi, car nous avons besoin de ton consentement, mais tu ne connaîtras pas tout, car il faut toujours une part de surprise dans un bon cadeau. »

« Dis-moi ce que tu as prévu, Roxana », demande Manon dont la voix trahit l'envie.

« Je vais d'abord te donner un traitement qui va encore plus augmenter ton excitation, jusqu'à ton anniversaire, dans une dizaine de jours », répond Roxana.

« Oh, je suis tellement excitée ces jours-ci que je me sens déjà complètement frustrée ! », s'inquiète Manon.

« Ce sera pire que ça, ma chérie », réplique Roxana, « car tu ne devras avoir aucun rapport sexuel jusque là, même avec ton mari ! Cela gâcherait ce beau cadeau d'anniversaire. »

« Oh là, là ! », s'exclame Manon, qui ajoute en sentant monter son excitation :

« Qu'allez-vous me faire? », pensant que sa mère est certainement aussi active dans cette préparation.

« Ta mère va sélectionner les hommes qui viendront te baiser ce jour-là. Quant à moi, je vais dès maintenant te demander de doubler la dose de l'anti-dépresseur que je t'avais prescrit. Je t'avoue que je t'avais un peu trompée car il s'agit en fait d'un puissant aphrodisiaque... »

« Oh ! », l'interrompt Manon, « Tu es une cochonne, Roxana, mais je ne t'en veux pas... cela m'a donné tellement de plaisir... et... »

C'est cette fois Roxana qui l'interrompt :

« Mais ce n'est pas tout : je vais te prescrire aussi du citrate de clomifène, traitement contre l'infertilité... »

« Mais, on ne m'a jamais dit que je n'étais pas fertile ! », l'interrompt encore Manon, très inquiète.

« Je n'ai jamais dit ça. Sur une femme très capable de conception cela augmente sa fertilité. Il est même fréquent que ce traitement puisse conduire à des fécondations multiples et donc d'accoucher de jumeaux ou de triplés, voire plus. C'est un risque encore plus excitant, n'est-ce pas? »

Manon, dont la gorge se serre, ne peut répondre et se contente de hocher la tête positivement, alors que sa mère intervient :

« Roxana, dis-lui aussi les autres conséquences possibles. »

« Ah, oui, j'allais oublier », répond Roxana, « Manon, avec ce traitement, comme je te l'ai dit, il y a un fort risque que, lors de ton ovulation, tu produises plusieurs ovules. Ceux-ci pourront être fécondés par des hommes différents si tu as plusieurs partenaires ce jour-là... et ce sera le cas, évidemment ! »

Manon se rend compte qu'elle n'a jamais autant mouillé sa petite culotte, mais seule sa respiration devenue haletante trahit son excitation.

Roxana poursuit en disant :

« La veille au soir ou tôt le matin de ton anniversaire, je viendrai te faire une piqûre pour provoquer ton ovulation. »

Sans laisser à sa fille le temps de réagir, Nathalie enchaîne :

« Ma chérie, tu seras nue, immobilisée, incapable de refuser les pénétrations par les hommes que j'aurai choisis. Tu yeux seront bandés pour que tous tes sens ne soient tournées que vers ton plaisir physique. »

« Mais, Maman, c'est le risque de grossesse qui m'excite, pas la certitude ! Comment éviter qu'ils me mettent enceinte à coup sûr? »

« Les hommes se seront tous engagés à ne pas éjaculer en toi », lui répond sa mère, « tu vois, il n'y a pas de certitude, bien au contraire », puis elle ajoute après un moment :

« Évidemment, il y a le risque que un ou plusieurs n'arrivent pas à se contrôler. Ce sont des choses qui arrivent. »

Dans les deux jours suivants, Manon ressent une excitation sexuelle envahissante. Ses deux comprimés aphrodisiaques quotidiens lui font certainement atteindre 'l'overdose'. Lorsque qu'elle commence ensuite à prendre la prescription de Roxana pour une augmentation de la fertilité, l'excitation devient quasiment insupportable. Manon se demande si cela vient des hormones que contient probablement ce produit ou si c'est seulement le fait de penser à ce risque de fécondation accru qui la met dans cet état. Elle trouve toutes les occasions de se caresser avec ses mains ou de se pénétrer avec un gode, à tout moment de la journée. Elle ne fait plus que ça et continue la nuit, dans son lit, alors que son mari dort à côté d'elle.

Un soir, Manon essaie de libérer le sexe de son mari de sa cage de chasteté, mais celui-ci, contre toute attente, refuse en disant :

« Non, ma chérie, rien avant ton anniversaire. »

Pour Manon, c'est clair, Adrien est dans la confidence, aussi essaie-t-elle de le questionner pour en savoir plus sur ce qui l'attend, mais son mari refuse, pour garder la surprise.

Alors, dès que son mari s'endort, Manon reprend ses activités nocturnes. Elle s'enfonce son plus gros gode dans le vagin et un plus fin dans l'anus. D'une main elle les fait un peu bouger alors que son autre main excite sans cesse son clitoris, jusqu'à un orgasme qu'elle tente de cacher en retenant ses cris, ce qui la frustre encore plus. Malgré sa jouissance incomplète, elle recommence jusqu'à l'épuisement qui l'amène enfin à quelques heures de sommeil.

Ce matin, Manon se prépare pour ce grand jour si attendu. Dans la salle de bains, elle se demande quelle tenue choisir. Elle se veut sexy, même plus que sexy. Elle veut que tout homme ne puisse que se jeter sur elle. De quoi dispose-telle? Lorsqu'elle sort nue de la salle de bain pour aller ver son dressing en traversant la chambre, elle remarque un paquet sur le lit, avec un petit mot tout simple : 'Bon anniversaire, Manon', signé Albert. Elle est toute retournée par la gentillesse de cet homme qui l'aime sans espoir. Le paquet contient une robe très courte, d'une blancheur quasi virginale et dont le haut est totalement couvrant. Le contraste entre haut et bas est saisissant. Le tissu paraît d'un extrême finesse. Manon l'enfile sans mettre le moindre sous-vêtement. La robe moule ses formes à la perfection. Lorsqu'elle se regarde alors dans une glace, Manon se rend compte de la transparence du vêtement. Ses seins et ses tétons sont bien visibles, comme la fine toison de son pubis. Manon est ainsi plus excitante que si elle était nue. Albert ne pouvait trouver mieux pour cette journée d'exception. Deux boucles d'oreilles et des chaussures à talons hauts suffisent à compléter sa tenue. Ainsi habillée ... ou déshabillée ... elle se sent comme la vierge offerte aux dieux ... ou ... aux démons.

Manon veut remercier Albert pour ce si beau cadeau. Elle se rend à la cuisine où il se trouve affairé à la préparation de son repas d'anniversaire. Elle se précipite vers lui pour lui donner un baiser passionné, jusqu'à ce qu'ils en perdent le souffle. Puis, elle lui dit :

« Merci, merci, pour cette magnifique robe. Tu as si bien choisi ! Je suis si touchée ... et si confuse ... »

Albert, sortant un smartphone de la poche de sa veste, demande à Manon l'autorisation de la photographier. Comment pourrait-elle refuser? Alors il enchaîne les photos en pied ou en gros plan. Manon se prête à toutes les poses. C'est même elle qui s'empare de l'appareil pour le tenir à bout de bars et prendre des photos où il se tiennent serrés l'un contre l'autre. Elle choisit même d'immortaliser un nouveau baiser fougueux. Puis Manon lui fait placer une main sur son sein, bien visible à travers le fin tissu, avant de zoomer sur leurs bustes serrés. Lorsque Manon pose sa main sur la braguette du pantalon d'Albert, celui-ci fait un mouvement de recul et dit :

« Non, Manon ! On m'a bien dit que tout rapport sexuel était interdit jusqu'à ton anniversaire. »

« Mais c'est aujourd'hui mon anniversaire », rétorque Manon, « Laisse-toi faire. C'est ma façon de te remercier ... et personne n'en saura rien. »

Alors, elle sort le sexe bien bandé du pantalon, s'agenouille devant lui et commence à sucer le gros gland difforme, avant de dire :

« Tu peux prendre des photos bien centrées sur mon visage. Tu resteras incognito. On ne verra que ton gros sexe. »

Albert obtempère et Manon suce avec délice. Elle aime bien le goût un peu fort de cette pine qu'elle aspire en bouche. Lorsqu'elle sent qu'Albert est au bord de la jouissance, elle arrête brusquement sa fellation en disant :

« Tu sais bien que tout ça est interdit avant ma fête d'anniversaire, alors, si je dois restée frustrée, tu le seras aussi ! »

Un peu plus tard, lorsque Manon arrive à la salle à manger, son mari, ses parents et Roxana l'accueillent par un « bon anniversaire », suivi par un « oh ! » qui leur échappe en voyant sa tenue si sexy, qui fait dire à Adrien :

« Tu es magnifique, ma chérie, dans cette robe incroyable que je ne te connaissais pas. Où l'as-tu trouvée? »

« C'est le cadeau d'anniversaire d'un de mes amants. Tu vois, cela a aussi des avantages de te faire cocu, mon chéri ! », répond Manon, espiègle.

Chacun lui offre un cadeau. Celui de son mari est exceptionnel : un bracelet serti de diamants qui a dû coûter une fortune. Celui de sa mère est aussi surprenant, car il s'agit d'une robe de grossesse, qui fait réagir Manon :

« Merci Maman, mais je ne suis pas enceinte, à ce que je sache? »

« Qui sait? Tout peut arriver ! », répond Nathalie, sourire aux lèvres.

Un grand rire s'empare de tous et Manon se dit que ce cadeau est un clin d'œil avant la partie de plaisir si excitante et si dangereuse qui l'attend aujourd'hui. Cela lui rappelle que la piqûre que lui a faite Roxana hier soir n'a pas manqué son effet. Manon a bien senti, ce matin, les signes de son ovulation. Le risque sera maximal et c'est ce qui va rendre son plaisir extraordinaire aujourd'hui, c'est certain.

Pour l'instant, ils en sont au repas d'anniversaire, arrosé au champagne. Les plats préparés par Albert sont excellents. Celui-ci est si affairé en cuisine que c'est Mamadou qui se charge du service. Manon, qui avait prévu de lui faire la tête, n'en a plus trop envie et, en ce jour exceptionnel, elle ne se veut que radieuse. Les torts de Mamadou sont oubliés. Au cours du repas, Manon abuse un peu du champagne, juste ce qu'il faut pour bien se sentir avant une journée qui s'annonce excitante mais aussi angoissante.

Après le repas, Adrien dit à sa femme :

« Ma chérie, j'ai préparé une pièce au sou-sol, pour ton plaisir. Ta mère et Roxana en ont eu l'idée et ont tout organisé pour toi. Suis-les, elles vont t'y conduire. Ton père et moi, t'y rejoindrons plus tard. »

Manon, qui se sent à la fois curieuse et inquiète, les suit. Elle découvre une pièce où trône un grand lit posé sur un plateau dont on peut régler la hauteur par une simple commande électrique. Du plafond pendent quelques câbles métalliques que des moteurs peuvent enrouler ou dérouler. La vue de ces équipements ne rassure pas Manon, mais cela ne fait pas retomber son excitation. Trois caméras sur trépied sont positionnées pour immortaliser sa 'séance' d'anniversaire, de loin comme en gros plan.

Sa mère s'approche d'elle et lui retire avec précautions sa belle robe qu'elle pose délicatement sur le dossier d'une chaise. Puis elle lui enlève ses chaussures, ne lui laissant que ses parures. Nathalie fait coucher Manon sur le dos, les fesses au bord du pied du lit.

Des bracelets de cuir munis de d'œillets métalliques sont alors placés par Roxana sur ses poignets et ses chevilles. Des liens viennent relier ses poignets à la tête du lit, bien en arrière. Manon se sent immobilisée, à la merci de tout homme qui voudra la prendre, et sa chatte est déjà trempée. Deux câbles, éloignés d'un bon mètre, sont alors accrochés au deux œillets des bracelets de ses chevilles. Roxana actionne les commandes des câbles qui écartent ainsi les jambes de Manon, tout en les soulevant, offrant ainsi en les exhibant des lèvres vulvaires qui s'écartent légèrement. Sa mère lui place alors un bandeau sur les yeux et, en lui posant un doux baiser sur les lèvres, lui dit :