Emprise sur la Ville - Acte 06

BÊTA PUBLIQUE

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- Tu veux tapiner? demanda l'homme qui sentait l'après-rasage.

- Oui monsieur, répondit faussement timidement la journaliste.

- Ok! Suce-moi!

- euh... ben, Larysa perdait le contrôle.

- Il faut que je vois si tu es capable de faire la pute.

La grande blonde se fit violence et déboucla la ceinture du pantalon tout en fixant droit dans les yeux de l'homme goguenard. Elle sortit la verge molle, se pencha et avala le sexe. Rapidement le membre se raidit sous l'action de la bouche. Sans plaisir, la journaliste y mit beaucoup de conviction pour assurer sa couverture et fut recrutée.

Pendant des semaines, elle tapinait dans les rues avec d'autres filles. Mais aucune connexion avec Dom Pietro n'apparaissait. Malgré ses systèmes d'évitement, elle dûe assurer quelques passes. Cette femme de trente-sept ans n'était pas prude, mais couchée pour de l'argent lui était horrible. Elle se confortait en se répétant qu'elle le faisait pour son article.

Un soir, elle retrouva son appartement après une nuit pendant laquelle, elle s'était fait baiser cinq fois. Elle éclata en sanglots sous sa douche. Le regard vide, le corps épuisé, l'orgasme qu'elle avait eu, la dégoûtait. Mais après cinq mois d'enquête, rien de substantiel. Elle avait seulement réussi à convaincre quelques prostituées à porter plainte mais, au tribunal, l'avocate du parrain balaya les réquisitoires d'une magistrale plaidoirie.

C'est alors qu'elle reçut un message de la femme du maire. Mme De Charette lui donnait rendez-vous pour des preuves quant à la culpabilité de Dom Pietro. Le lieu de rencontre se situait sur les docks. L'ukrainienne laissa sa voiture derrière un énorme conteneur. L'odeur de la mer giflait son visage à chaque rafale de vent. Les mouettes criaient. Larysa vit arriver une voiture noire. Elle roulait doucement sur le sol gras des docks. Le véhicule aux vitres teintées s'arrêta à sa hauteur et, comme un éclair, tout s'accéléra. Deux hommes surgirent et engouffrèrent la journaliste dans la voiture.

Larysa Pokirnyy se réveilla nue, dans une cage aux barreaux d'acier légèrement rouillées, posée sur un sol de ciment froid. Où était-elle? Qu'ont-ils fait de mes vêtements? se demandait la grande blonde au corps voluptueux avec de petits seins.

- Bonjour Mme Pokirnyy, lança Dom Pietro en entrant dans la pièce où la cage était installée. Tu es une sale fouineuse et tu vas arrêter.

- Je suis une journaliste et vous n'avez pas le droit de m'enlever, dit-elle en manquant d'assurance. Mes patrons vont me rechercher.

- Peut-être sale pute. Mais là où tu vas aller, ça m'étonnerait! rit le parrain.

Une femme d'une cinquantaine d'année entra également de la pièce. Elle tenait une seringue dans les mains.

- Avant de tester ta drogue Marie, je vais d'abord la violer. Cette salope m'a fait chier pendant un moment.

Des hommes vinrent et attachèrent la journaliste les bras en croix sur un lit. Dom Pietro se déshabillait lentement devant la grande blonde qui hurlait de colère et de peur. Il s'allongeait sur sa victime nue et lui suça les tétons avec rudesse. Larysa implorait l'homme de sa clémence. Le parrain prit sa bite en main et l'enfonça dans le sexe de l'ukrainienne qui pleurait à présent. Dom pietro la bourra pendant un bon moment sous les yeux excités de son acolyte qui attendait avec sa seringue.

- Putain c'est bon de dégorger son poireau dans une fille qui ne le veut pas! s'amusa l'homme en se rhabillant.

En sanglot, le visage baigné de larmes, Larysa ne sentit pas l'injection.

*** Linh Mucadam ***

Linh Mucadam avait gardé son nom de mariage. A 55 ans, la vietnamienne vivait de sa pension compensatoire et d'un emploi de gérante d'une petite épicerie. Sa fille, sa fierté, elle l'avait élevé un peu durement l'admettait-elle. Depuis quelques années, elle tentait de se rapprocher de Laura. Rattraper le temps perdu.Lui donner la tendresse que la petite n'avait pas eu dans sa jeunesse.

Linh fut ravie de voir l'ami de Laura. La maison était splendide et la piscine accueillante. Marie Mousatir avait été chaleureuse avec la vietnamienne qui la trouva fort charmante. Ne voulant pas paraître trop prude devant la blonde et conserver le peu de proximité avec sa fille, Linh ne commenta pas la nudité de la poitrine de Laura quand cette dernière servit les cocktails. Force était de constater, que les deux seins étaient jolies. Deux petites poires pleines montées par des tétons durs. La vietnamienne les admira intérieurement et en conçut de la jalousie. Elle était plate comme une planche. Juste deux petits cailloux qui durcissaient lorsque de rares hommes venaient à les lécher.

Linh se trouva un peu godiche d'avoir pris un monokini alors que sa fille faisait seins nus et Marie Mousatir arborait un bikini affriolant qui valorisait sa poitrine énorme. Mais l'hôte fut si chaleureuse, si proche d'elle, que la vietnamienne n'en fut pas chagrinée. Les caresses furtives de la blonde l'avait un peu gênée au début de l'après-midi. Mais c'était certainement les habitudes de ces français! Et puis, finalement, admit-elle, ce fut plutôt agréable.

Une semaine après cette rencontre, Linh reçut un sms :

"Bonjour Linh. Je suis Marie. Laura m'a transmis votre numéro. Nous serions charmés, mon mari et moi, de vous inviter à un barbecue samedi prochain au bord de la piscine. Le temps sera de la partie et votre fille également. Nous vous attendons pour 12h30. Pensez à une culotte de bain."

*** Isabelle Labrosse ***

Le ventre un peu rebondi de la pharmacienne frémissait à chaque coup de cravache. Isabelle Labrosse avait accueilli Maîtresse Marie dans sa pharmacie après les heures d'ouvertures. Cette petite femme de 45 ans, s'accomplissait dans son rôle de soumise et avait renoué avec sa vocation : la recherche pharmacologique.

La Confrérie lui demanda des drogues. Son savoir et son opiniâtreté y avait répondu. Marie Mousatir poussa légèrement la soumise contre les immenses armoires de médicaments dans le fond de la boutique. Elle ôta les lunettes et recoiffa gentiment les cheveux châtains d'Isabelle avant de l'embrasser. Son traitement : alternance de punition et de tendresse. La pharmacienne adorait quand le fouet claquait sur ses hanches larges puis que sa Maîtresse la fistait.

- Nous sommes contents de toi S-73. Tes drogues fonctionnent à merveille, susurra Marie en posant un vibromasseur sur la vulve trempée de sa soumise.

- Merci Maîtresse, mmmmmhhh.

- J'ai une proposition à te faire pour te remercier.

Les vibrations sur son clitoris excitèrent Isabelle qui entendit la blonde lui proposer d'entrer dans la Confrérie qu'on lui avait déjà présentée. Alors que Marie ponctuait sa demande en suçant ses petits seins, la pharmacienne éclata de plaisir et éjacula sur le sol de sa boutique.

- Tu as compris ce que je te propose Isabelle?

- Euh... euh oui Maitresse, répondit la petite femme encore abasourdie de son orgasme.

Mme Labrosse se retrouva chez elle le soir en compagnie de son mari qu'elle n'aimait plus depuis plusieurs années. Devant la télévision qui débitait ses programmes débiles, elle réfléchissait à la proposition de Marie. Son mari la vit se lever et prendre son téléphone.

" Maîtresse Marie, Je suis honorée de la confiance que vous me faites. Je serai enchantée de pouvoir entrer dans votre Confrérie. J'avoue être excitée de pouvoir soumettre d'autres personnes, d'avoir le pouvoir sur des hommes ou des femmes. Mais il faudra me former... Maîtresse Marie, est-il possible que nous conservions notre relation et que je demeure votre soumise tout en étant Maîtresse d'autres personnes? Votre dévouée S-73."

*** Laura Mucadam ***

Les cinquante burpees matinaux suivit des répétitions importantes de squats et de fentes pour terminer avec des séances intensives d'abdominaux eurent raison du surpoids de la métisse. Le programme de sa Maîtresse, Laura le subit quotidiennement. Cet entraînement ajouté au rééquilibrage alimentaire, le corps de la jeune patronne de Dynamic Health en bénéficia. Laura Mucadam était à présent une superbe métisse aux hanches fines, aux seins gonflés, aux jambes galbées. Devant son miroir, nue ou en petite tenue de soubrette qu'elle affectionnait, elle admirait l'étroitesse de sa taille et le joli tigh-gap qui apparaissait.

La ceinture de chasteté que le couple de dominant lui imposait stimulait sa libido. L'excitation quasi permanente habitait le corps nouveau de Laura qui n'attendait que de retrouver ses Maîtres pour espérer se décharger de cette tension constante. Marie et Jacques jouaient avec son corps ne lui donnant qu'avec parcimonie l'occasion de jouir et d'exploser. Ils l'enfonçaient irrémédiablement dans une dépendance affective et physique que Laura acceptait finalement.

Quand la métisse reçut l'invitation au barbecue du week-end, son cœur bondit dans sa cage thoracique.

***

Laura arriva vers 11h chez les Mousatir dans sa Tesla. Micro jupe blanche et débardeur ultra court, elle s'élança fière de sa beauté vers la maison. Elle se prosterna avec plaisir devant ses Maîtres. Ils s'embrassèrent tous les trois pendant un moment en pelotant la métisse.

- Aujourd'hui, tu vas jouir ma puce, déclara Jacques en retirant la ceinture de chasteté.

Voilà plusieurs semaines que Laura n'a pas joui. Voilà des jours et des jours qu'elle est au bord de l'implosion tellement sa libido exacerbée la rendait folle. Quand Maître Jacques lui annonça qu'elle allait enfin jouir, son cerveau disjoncta.

- Va voir maman, dit l'homme aux cheveux blancs. Elle t'a préparé quelque chose.

Sans se rendre compte de l'insinuation, Laura rejoignit Marie dans sa chambre. La blonde se changeait. Sur le pas de la porte, la jeune métisse admira les courbes voluptueuses de sa Maîtresse et les obus impressionnants.

- Ma puce. Viens contre moi pour un câlin.

Trop heureuse, la jeune femme enlaça tendrement la cinquantenaire qui l'accueillit tout contre sa volumineuse poitrine. La nouvelle silhouette de sa soumise, plaisait beaucoup à Marie qui malaxa les fesses avant de planter un doigt dans le cul.

- Mmm

- Tu aimes ma puce?

- Oui maîtresse.

- Dis, oui maman, murmura Marie en caressant en même temps le clitoris en érection.

Au bord de l'orgasme tellement attendu, Laura obéit.

- Oui maman. C'est bon.

Marie retira ses doigts et proposa un de ses seins à la bouche de la soumise.

- Tètes maman, ma puce...

Les lèvres en avant, la métisse suça l'énorme sein. Elles restèrent un bon moment comme ça. De temps en temps, Marie réactivait le plaisir de Laura en la doigtant. Mais pas trop pour que l'orgasme libérateur n'intervienne pas.

- Maman, t'a préparé quelque chose pour aujourd'hui. Tu vas nous servir, Jacques, moi et Linh.

Laura fixa sa maîtresse. Elle ne savait pas que sa mère venait. Un sentiment de gêne s'empara d'elle.

- Et donc, continua Marie, voici comment tu seras habillée. Si tu nous obéis, je te jure que tu jouiras tout ton saoul!

Elle lui présenta un paréo à fleur très léger. Le tissu fin était presque transparent.

- Mets ça autour de ta taille sans rien en dessous. Tu resteras seins nus. Maître Jacques adore ta petite poitrine.

Devant le miroir de la chambre, Laure noua le paréo et se mira un bon moment avant de comprendre qu'on devinait un peu les courbes de ses cuisses, des ses hanches et qu'un oeil insistant distinguerait son sexe glabre. Comment pourrait-elle porter cela devant de sa mère, sa vraie?

- Tu es magnifique ma puce. Je suis sûre que Linh va te trouver très belle comme ça. Jacques va avoir envie de te manger.

Ravie du compliment mais embarrassée par l'exhibition, Laura rougit. Le soleil chauffait la terrasse tandis que Jacques se baignait dans la piscine. Sur le bord, allongées nonchalamment sur les transats, Linh et Marie buvaient du champagne. La vietnamienne lorgnait de temps en temps le sexe gonflé de l'homme à travers son short de bain. La mère de Laura portrait un très élégant bikini échancré blanc qui mettait en valeur sa peau cuivrée.

Dans son paréo, la soumise s'occupait du feu, des boissons et mettait la table. La honte s'empara d'elle quand elle ouvrit la porte de la maison à sa mère une heure plus tôt. Dans le contre jour du couloir, Linh remarqua tout de suite le sexe nu de sa fille par la transparence du paréo noué autour de sa taille mince. Elle ne fit aucune remarque.

On mangea autour de la table à l'intérieur car la chaleur devenait insupportable. Laura servait.

- N'est-elle pas magnifique votre fille? lança Jacques en posant sa main sur l'avant-bras de la Vietnamienne.

- Euh... oui.

- Ma puce, viens-là, appela l'homme en entourant la taille de sa soumise. Elle fait du sport maintenant. Elle vous ressemble beaucoup.

Linh rougit mais Laura était gênée. Le repas terminé, la métisse se retrouva dans la cuisine avec Maitresse Marie qui l'effleurait à la moindre occasion. Laura ne pensait qu'au moment où elle serait délivrée de la tension sexuelle qui l'étranglait. Dans le salon, Jacques et Linh discutaient en buvant un café. Marie embrassa furtivement Laura qui se pâma en vérifiant que sa mère ne pouvait pas la voir.

- Viens lécher ma puce. Maman a besoin de jouir, commanda la blonde.

Le cœur de Laura se serra mais ses genoux se plièrent. Derrière l'îlot central de la cuisine, la soumise colla sa bouche sur la vulve de sa Maîtresse. Sa langue fouillait le sexe et buvait le jus de plaisir. Marie jouit.

- Lève-toi ma puce. Tu as bien léché maman, dit insidieusement la blonde en tirant par le bras la jeune femme jusqu'au salon où Jacques était assis juste à côté de Linh. Cette dernière portrait une sorte de collier noir en sillicone assez épais. Un ras du cou qui aurait pu ressembler à un bracelet de sport pour mesurer les pulsations cardiaques. Laura remarqua que sa mère ne bougeait pas, comme immobile.

- Assied-toi à côté de Linh ma puce, dit Marie en s'installant de l'autre côté de la table du salon.

- Linh me disait qu'elle te trouvait très belle ma puce, continua Jacques en caressant l'avant bras de la vietnamienne qui ne bougeait pas. Et elle aurait aimé te faire un câlin.

Laura ne comprit pas.

- Fais un câlin à Linh, ordonna Marie qui fixait sa soumise.

La soumise se pencha vers sa mère et les deux femmes se prirent dans les bras.

- Linh, embrasse ta fille qui est très belle et qui a besoin de l'amour maternel.

La brune posa ses lèvres sur les joues de son enfant tout en se collant à elle. Les seins nus de Laura s'écrasaient sur la peau cuivrée de sa mère.

- Maman veut que tu l'embrasses aussi, lança Jacques qui caressait toujours le bras de la vietnamienne.

La jeune femme obéit et bisa sa mère. Les ordres tombaient et, conditionnée par tant de mois de dressage, elle obtempérait sans réfléchir.

- Linh, je veux que tu viennes près de moi, demanda Marie qui avait ôté son maillot de bain.

Laura regarda le corps nu de sa maîtresse et sa mère qui se levait. Que se passait-il? Marie ordonna à la vietnamienne de retirer son soutien-gorge de bain avant de s'asseoir à côté d'elle. Elle obéit.

Jacques et Laura fixèrent les minuscules seins. Marie enlaça tendrement la femme et l'embrassa dans le cou. Quelque chose clochait, se dit Laura. Mais en même temps, ses pulsions sexuelles se rappelaient à elle.

- Va t'asseoir à côté de ta mère, ma puce, dit Jacques qui se retrouvait installé devant les trois femmes de l'autre côté du canapé. Bien. Maintenant tète les seins de ta Linh.

Le cerveau de Laura refusa, son corps hésitait et sa volonté abandonna dès que Marie posa sa main sous le paréo et s'occupa de son sexe.

- Maman va te faire jouir si tu obéis. Tu es d'accord?

- Oui Maitresse...

- Non pas comme ça.

- Oui maman, lâcha Laura en se penchant sur la poitrine de sa génitrice qui était embrassée par Marie.

La langue de la métisse lécha un premier téton, peureusement. Puis elle y posa sa bouche. Les doigts de Marie fouillaient le sexe de Laura qui coulait. Les gémissements commencèrent tandis que Jacques approchait du trio. Ayant le pouvoir sur la fille et pour la mère le contrôle, Marie ordonnait à Laura de lécher les seins maigres puis d'embrasser les lèvres de Linh. Au bord de l'orgasme, la jeune femme obtempérait sans résistance.

- Linh, viens là! ordonna Jacques.

La vietnamienne se leva. Laura allait jouir. Marie ne semblait pas arrêter.

- Maitresse, je vous en supplie, pleurait-elle, laissez-moi jouir.

- Non pas comme ça petite pute!

- Maman, fais--moi jouir, je n'en peux plus.

Marie enfonçait quatre doigts dans la vagin de la métisse qui montait, montait. Un râle du plus profond de son corps, du plus profond de sa gorge émergea comme un beuglement immonde d'une bête démoniaque. L'orgasme la terrassa. Elle s'évanouit en apercevant subrepticement sa mère à quatre pattes se faisant prendre en levrette par Jacques.

Linh était partie depuis un moment. On abreuva la jeune soumise d'ordres pour nettoyer et ranger. On la mitrailla de contraintes pour faire jouir ses Maîtres et on la fit jouir toute la nuit en l'installant sur une installation qui vibrait sur son clitoris sans arrêt.

***

Après un dimanche de repos, Laura arriva tôt à Dynamics Health. Les bribes de la soirée avec sa mère la hantait un peu. Alors qu'elle passait près du local de ménage, elle entendit du bruit.

- Pourquoi tu ne veux plus, comprit-elle en reconnaissant la voix de Maëva, sa secrétaire.

- Je ne peux plus, répondit Leila. C'est comme ça.

- Tu ne m'aimes plus ma douce gazelle?

- Laisse tomber s'il te plaît.

Laura continua son chemin vers son bureau. Plus tard dans la matinée, la patronne appela la femme de ménage.

- Est-ce que tout va bien Leila?

L'arabe voilée répondit que tout allait bien et qu'elle était toujours contente de travailler dans cette entreprise. Après un court échange Laura remarqua un tatouage sur le poignet de la jeune musulmane et s'en étonna.

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3 Commentaires
APVapvAPVapvil y a 12 moisAuteur

Merci pour vos commentaires.

TartuffedauphinoisTartuffedauphinoisil y a 12 mois

Belle collaboration.

Histoire passionnante, et les développements commencent à bien s'imbriquer. C'est plutôt réussi d'avoir évoqué au détour de quelques paragraphes les origines de la Confrérie, et de l'avoir étendue au-delà de Portobello

La suite promet...

Cordialement

AurailiensAurailiensil y a 12 mois

Des scènes vraiment très excitantes ! Quelle perversité Excellent !

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