Casinothérapie 01 : Le Démon Du Jeu

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du démon du jeu aux démons du sexe
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Je m'appelle Lara et je viens de fêter mes 18 ans.

Mon bac en poche je me suis inscrite en fac à Nevers.

Mes parents font des sacrifices pour moi et me payent une colocation avec une autre fille dans un charmant village de la Nièvre à Pougues.

Le seul souci c'est le trajet jusqu'à la fac.

Il y a des cars mais les horaires ne sont pas toujours en harmonie avec mon emploi du temps.

Tant pis je me débrouillerai.

Aujourd'hui c'est le grand jour.

Mon père m'a accompagné en voiture jusqu'à la coloc et après avoir salué ma coloc il est reparti rapidement car son travail n'attend pas.

Ma coloc est une charmante brune qui doit avoir mon âge et qui se prénomme Léa.

En fait la colocation comprend une chambre pour chacune d'entre nous et une pièce qui fait salon salle à manger et cuisine. La salle de bains est petite mais possède une douche ce qui sera bien suffisant.

Ma coloc travaille dans une boulangerie de Pougues et s'avère très sympathique même si elle n'est pas très causante.

En la regardant mieux je constate qu'elle est très belle et possède une paire de seins qui pourraient rivaliser avec les miens qui sont quand même plus gros pour ma plus grande fierté.

L'année scolaire est lancée et je m'en sors plutôt correctement. Mes parents m'envoient une petite allocation financière qui me permet sans faire d'excès de manger à ma fin et de m'acheter les choses essentielles.

Un vendredi soir alors que je n'ai pas trop de travail je demande à Eva s'il y a un bar sympa en ville. Elle me répond que le plus proche est celui du casino. Pas trop cher, il faut juste montrer une pièce d'identité car le bar est dans la salle des machines à sous.

Elle me propose de m'accompagner pour me montrer le chemin.

Effectivement en un quart d'heure nous nous retrouvons devant le casino.

C'est la première fois que je pénètre dans un casino.

Les machines à sous brillent de mille couleurs et le bruit est surprenant. Des gling glings et de temps en temps une machine chante car le client a fait un jackpot. C'est enivrant. En regardant bien les jackpots gagnés sont minimes mais les machines promettent des montants faramineux pour moi. Jusqu'à plusieurs milliers d'euros.

Je suis Eva jusqu'au bar ou nous prenons chacune un verre.

Eva qui est à son deuxième whisky se déride.

J'apprends qu'elle vient de se séparer de son petit copain et qu'elle ne cherche pas de remplaçant dans l'immédiat.

Je lui avoue que je moi aussi je n'ai pas de petits copains en ce moment même si quelques copains de fac tentent de temps en temps un rapprochement avec moi.

Elle rit et me demande si j'ai déjà joué aux bandits manchots. Je lui demande ce qu'est un bandit manchot et elle me montre une machine à sous munie d'un levier sur le côté.

Je comprends enfin.

Je la suis vers une machine et nous mettons chacune 20€ dans une machine.

On partagera les gains.

Pour ma plus grande joie je fais un jackpot. Malheureusement c'est un petit de 40 euros qui fondent rapidement

Nous testons deux ou trois autres machines mais après une demi-heure notre cagnotte a disparu et nous reprenons le chemin de la coloc après deux autres verres

Eva est gaie sur le chemin du retour et commence à se déshabiller dès que nous pénétrons dans la pièce commune

Elle a envie de prendre une douche

Elle est vraiment très bien foutue

Je me rends dans ma chambre ou je m'endors rapidement

Cette nuit-là je rêve que je gagne des fortunes au casino

Les jours suivants la routine s'installe et Eva redevient une peu distante même si on est un peu plus proches depuis notre soirée casino

Le vendredi arrive et c'est elle qui me propose de faire notre petite sortie au casino

Elle boit ses deux whiskys et je la suis et la tète me tourne un peu

Elle me propose de refaire un tour vers les machines et nous réinvestissons chacune 20 euros. la chance est avec nous car notre mise de départ nous permet de jouer pendant plusieurs heures avant de disparaitre. Joyeuses nous rentrons à la coloc après un dernier verre

Comme la fois précédente Eva se déshabille dans la pièce commune et ce coup-ci elle se met compétemment à poil. Elle a la chatte rasée c'est troublant.

Je me retire dans ma chambre

Nous prenons l'habitude de sortir le vendredi soir

Il faut que je fasse très attention car mon budget serré souffre de ces sorties

Un vendredi Eva m'annone qu'elle ne peut pas m'accompagner car elle a un rencart

J'hésite puis je me décide à y aller seule

Arrivée au casino je me rend directement sur les machines

Je perds rapidement mes euros et je suis sûre que je peux me refaire

J'ai eu la présence d'esprit de prendre le liquide qui doit normalement me servir pour finir le mois

Une heure plus tard mon portefeuille et vide

Là j'émerge et me rend compte que je n'ai pas de quoi me nourrir pendant plusieurs jours

J'ai trop honte pour demander une rallonge à mes parents

Je rentre piteusement à la coloc en me jurant de ne plus jouer au casino

En arrivant Eva est déjà là son rencart n'a pas fonctionné elle voit ma mine déconfite et me demande ce qui se passe

Au bord des larmes je lui raconte ma bêtise elle me prend dans ses bras et me dit qu'elle peut m'avancer un peu de liquide pour finir le mois en me faisant promettre de ne plus jouer en dehors de sa présence elle se sent un peu coupable car c'est elle qui m'a incité à jouer la première fois

Je suis rassurée et lui dit qu'elle peut me demande ce qu'elle veut et que je compte sur elle pour me freiner

Cette nuit-là je m'endors réconfortée

Le mois suivant tout est rentré dans l'ordre j'ai reçu mon allocation mensuelle et remboursé Eva

Malheureusement un soir alors qu'Eva est absente je me rends une dernière fois au casino je me le promets

Au début c'est l'euphorie j'ai fait un coup de 200 € et je me sens invincible.

Hélas la chance tourne et ver minuit je me retrouve sans le sou. Quelle conne je fais.

Je rentre piteusement vers la coloc ou Eva m'attend dans la pièce commune. Elle a l'air remontée et me fait la morale. Son rencart s'est mal passé et elle passe sa frustration sur moi.

Elle me dit la prochaine fois que je pars le soir je t'attache dans ta chambre. Jusqu'à mon retour.

Elle a l'air sérieuse. Pour qui se prend-elle.

En même temps elle m'avance encore de quoi manger jusqu'à la fin du mois.

15 jours plus tard elle m'annonce qu'elle est invitée pour la soirée et me fait promettre de ne pas sortir seule. Je promets.

Dès qu'elle est sortie je ne résiste pas à l'envie et je sors de la maison.

Eva est là est attendait patiemment. Elle sourit et me dit qu'elle était sûre que je ne résisterai pas.

Elle me fait rentrer dans la maison et va dans sa chambre d'où elle revient avec une paire de menottes.

Je t'ai promis de t'attacher si tu n'étais pas sérieuse. Donne tes mains.

Je suis interloquée mais je tends machinalement les mains.

Elle me fait assoir sur le divan et me menotte les poignets dans le dos.

Puis elle allume la télé et m'annonce que sa soirée était pipeau.

Je suis sidérée elle regarde la télé comme si de rien n'était et elle me jette un regard ravi de temps en temps.

On passe à table et toujours menottée je suis obligée de manger ce qu'elle me présente avec sa fourchette.

Le repas fini elle me détache enfin et me dit un grand sourire qu'elle n'hésitera pas à recommencer si je ne me tiens pas tranquille avec le casino.

Je suis très troublée de cette soirée. Je suis surprise de ne pas être en colère pour ce qu'elle m'a fait subir et d'être restée si docile...

Le lendemain je me demande si je n'ai pas rêvé. Eva a préparé le petit déjeuner et ne parle pas de la soirée d'hier.

La vie reprend son cours.

Je me tiens tranquille pendant un mois et je suis sûre de ne plus craquer pour le casino.

On y va le vendredi soir et on sacrifie chacune 20 euros pour le jeu. Ça peut durer cinq minutes ou trois heures et Eva veille à ce qu'on ne dépasse pas cette mise.

Quand on a épuisé cette somme nous rentrons tranquillement vers la maison.

Un soir lorsque je rentre de la fac Eva est toute excitée. Elle a un rendez-vous qui lui semble très sérieux et ne tient pas en place.

Elle me fait promettre de rester sagement à la coloc jusqu'à son retour.

Lorsqu' elle est sortie je mate un peu la télé mais une petite voix me dit que ce soir j'ai la baraka.

Je fini par me diriger malgré moi vers le casino.

Ce coup-ci je gagne bien. À 23h00 j'ai près de 300 euros de bénéfice et je suis certaine de faire un gros coup avant de rentrer. J'augmente mes mises.

A minuit je suis raide. L'argent m'a brulé le doigts.

Je rentre piteusement vers la coloc.

Ce coup-là il va falloir que j''invente un bobard pour demander une rallonge à mes parents.

Par chance Eva n'est pas encore rentrée et je gagne ma chambre ou je réalise ma bêtise.

Finalement j'aurais préféré qu'Eva me ligote pour m'empêcher de faire des conneries avec mon budget.

Tard dans la nuit je l'entends rentrer. Elle sifflote gaiement et pénètre dans ma chambre pour m'annoncer que ce coup-ci c'était le bon.

Je la félicite mais elle remarque mon air dépité et soudain son regard devient plus dur.

Toi tu as été jouer et tu as tout perdu. Me dit-elle.

Je ne réponds pas mais elle comprend qu'elle a tapé dans le mille.

Bien ma poulette. Tu as gagné. Désormais quand je sortirai le soir je m'arrangerais pour que tu restes sagement à la maison.

Je ne réponds rien mai je suis troublée en repensant à la soirée menottes.

Cette nuit est difficile car je dois taper mes parents demain.

Au matin au réveil une poignée de billets m'attend sur la table de la cuisine.

Eva commence plus tôt et est déjà partie.

Je la remercie silencieusement pour son avance et je me jure que je la laisserais m'enfermer la prochaine fois.

Trois jours plus tard elle a de nouveau rencart avec son mec.

Avant de partir elle me demande d'aller aux toilettes car elle m'annonce que j'en n'aurais pas l'occasion pendant son absence.

Je m'exécute et elle sort sa paire de menottes.

Je me retrouve attachée sur un fauteuil qu'elle a approché du radiateur j'ai une menotte au poignet et l'autre menotte est attachée radiateur.

Elle me fait une bise et me souhaite une bonne soirée.

Heureusement j'ai la télécommande de la télé.

Tard dans la nuit elle rentre avec un air renfrogné. Le rencart n'a pas dû être terrible et je me fais toute petite.

Elle se sert un double whisky et m'annonce que les mecs sont tous des cons.

Je lui montre mon poignet et elle me dit que je suis bien comme ça.

Pui elle s'approche de moi et me dit qu'elle devrait m'attacher tus les soirs pour que je me tienne tranquille.

Je râle en lui disant que j'ai bien retenu la leçon mais elle est remontée et ne semble pas prête à me relâcher.

Elle me relâche enfin pour que je passe dans la salle de bains avant d'aller me coucher.

Lorsque je ressors de la salle de bains moyen elle m'attend un verre à la main. Elle est éméchée et me dit que ma punition n'est pas terminée.

Je râle un peu mais elle me remenotte avec force et m'entraine en pyjama vers sa chambre.

Elle me couche sur son lit et mes poignets sont attachées aux montants du lit.

Je lui dis que je ne peux pas dormir comme ça.

Elle n'en a cure et me dit de me retourner car elle dort nue.

Elle me souhaite bonne nuit et se colle dans mon dos.

Je suis troublée d'être dans le lit d'une femme nue. Qui plus est attachée.

J'ai du mal à m'endormir je sens son souffle régulier dans mon cou.

Je m'endors enfin tard dans la nuit.

Je me réveille avec une gêne aux bras j'ouvre les yeux et me souvient que je suis dans le lit d'Eva toujours attachée.

Je me suis tournée tant bien que mal dans la nuit et me retrouve face à elle quasiment la tête dans ses seins.

Elle a passé un bras sur moi. Je suis encore plus troublée qu'hier soir. J'ai envie qu'elle me serre dans ses bras. Bizarre.

Je n'ose pas bouger pour profiter de ce moment d'intimité.

Son réveil sonne elle ouvre les yeux et me regarde amusée. Elle me sourit et me demande si j'ai bien dormi.

Je renâcle un peu mais je lui avoue que finalement j'ai bien dormi.

Elle me regarde sérieusement et me dit que si elle me reprend à perdre mon argent au casino elle m'attachera nue tous les soirs et je dormirai au pieds de son lit car je prends trop de place.

Je lui réponds que la leçon est comprise.

Les jours qui suivent je m'imagine nue attachée comme un saucisson dans le lit d'Eva qui alterne les claques et les caresses. A ma grande surprise ces pensées m'émoustillent bizarrement.

J'ai envie que cela arrive et ça me travaille de plus en plus.

Trois semaines plus tard, un vendredi, je m'éclipse et rentre une peu plus tard en prenant mon air de chien battu comme si j'avais tout perdu.

Elle m'attend sagement dans la pièce commune.

Je me fais toute petite mais elle ne me lâche pas.

Elle ne dit qu'un mot : Combien!

Je lui avoue que j'ai claqué tout mon mois.

Je t'avais prévenue.

A poil! dit-elle.

Je m'offusque mais elle me dit que sinon elle appellera mes parents pour leur expliquer ce qui se passe.

Estomaquée je ne réagis pas et je la laisse me déshabiller. Je m'attends à voir les menottes mais à ma grande surprise elle va dans sa chambre et revient avec un sac contenant des cordes rouges.

Quelques minutes plus tard je suis ficelée comme un rôti. A genou contre le canapé où assise elle me regarde satisfaite de son œuvre.

Tu es bien foutue.

Désormais tu passeras tes soirées là. Dans cette tenue je te libèrerais juste les bras pour que tu puisses bosser tes cours si besoin.

Puis elle allume la télé et regarde un film.

Je suis troublée vers elle et ne vois rien du film.

Au moment de se coucher elle me met un collier en cuir avec une laisse et me tire vers la salle de bains. Je suis obligée de la suivre à genou. Ça la fait se marrer. J'enrage mais je l'ai bien cherchée.

Elle me met sous la couche et m'étrille comme un cheval avant de se doucher elle-même puis elle me force à la suivre jusqu'à sa chambre.

Elle accroche la laisse au pied du lit et me montre une couverture par terre en me disant que je dormirai là désormais.

Je suis effarée ce n'est pas très cool comme aventure.

Au dernier moment elle se ravise et détache la laisse elle me couche dans son lit toujours ficelée et un peu frigorifiée. Elle s'en rend compte et me met sous les couvertures et se colle à moi pour me réchauffer.

Le contact de son corps m'échauffe sérieusement. Puis elle me met sur le dos et s'installe à califourchon sur moi. Je fais face à une paire de seins magnifiques qui semblent m'appeler et une chatte imberbe que ses genoux écartés exhibent fièrement.

Je t'ai fait une faveur en te mettant dans mon lit mais il faut que tu mérites cette faveur.

Tu vas devoir me faire plaisir.

Je ne comprends pas immédiatement mais elle remonte le long de mon corps et soudain elle pose son sexe sur ma bouche.

Je rue pour qu'elle dégage mais elle est bien installée et elle me saisit les cheveux et me force coller ma bouche à son sexe.

Elle mouille comme une fontaine et j'en rend plein le visage. Je me débats comme une damnée mais elle est bien installée et semble prendre plaisir à jouer à faire du rodéo.

Rapidement je suis épuisée et j'arrête de ruer pour reprendre mon souffle.

J'essaye de l'insulter mais à chaque fois que j'ouvre la bouche elle colle plus fort son sexe et mes mots son étouffés.

J'ai tout mon temps me dit-elle. Je suis très bien installée. Je me tais et j'attends elle finir bien par se lasser. Au bout de quelques minutes elle se met à me pincer le nez. Je dois respirer par la bouche mais ça n'est pas facile et peu à peu je perds mon souffle. Si tu veux respirer tu sais ce que tu dois faire.

Je commence à paniquer par manque d'air et je sors ma langue pour m'en sortir. Aussitôt elle me lâche le nez et l'air afflue dans mes poumons. Je n'ose pas rentrer ma langue de peur de recommencer à paniquer. Continue me dit-elle tu as une langue bien douce.

Soit puisqu'il faut passer par là je me décide à faire ce qu'elle me demande et je commence à lui embrasser le sexe avec ma langue et ma bouche. Elle réagit vite et se tortille sur mon visage.

A ma plus grande surprise ça commence à chauffer aussi et je m'acquitte de ma tâche avec de moins en moins de retenue. Je suis même fière de la voir jouir sous l'effet de mes caresses buccales.

Soudain je sens sa main qui s'insinue enter mes cuisses. Elle me pétrie avec vigueur et me dit que visiblement mon corps apprécie la situation.

Attends. On va s'occuper de ta petite chatte dit elle et tout en restant à califourchon sur moi elle tend la main vers le tiroir de sa table de nuit et sort un objet qu'elle insère brièvement dans sa bouche. Ça passera mieux comme ça dit-elle. Elle brandit l'objet que je reconnais c'est un vibromasseur réaliste. Je veux serrer les cuisses mais elle se remet à me pincer le nez. Écarte ou on recommence dit-elle. Vaincue et un peu demandeuse j'écarte légèrement les cuisses. Habilement et délicatement elle fait pénétrer le vibro dans mon sexe. Il est gros car je sens qu'il me remplit bien. Soudain je sursaute car l'engin s'est mis à vibrer. Au début je trouve ça bizarre car je n'ai jamais testé ce genre de gadget. Mais peu à peu les vibrations me chavirent et je sens la jouissance déferler comme une grosse vague. Je reprends mon souffle tout en continuant à la lécher mais quelques minutes plus tard je sens une nouvelle vague arriver. Je ne peux pas m'empêcher de lâcher un petit cri de plaisir. On dirait qu'elle aime ça ma petite esclave me dit-elle en se tortillant sur ma bouche.

N'importe quoi ses idées maboules depuis quand je suis son esclave. Mais je n'ai pas le temps de réfléchir à ça car une nouvelle vague arrive et me tétanise.

Je ne sais pas combien de temps dure le manège mais lorsqu'enfin elle arrête les vibrations et se relève je suis crevée et incapable de râler ou de faire autre chose.

Elle retire délicatement le vibro et me caresse gentiment en me souhaitant une bonne nuit.

Je m'endors aussitôt malgré l'inconfort des liens.

J'ai juste le temps de sentir qu'elle m'embrasse doucement les lèvres.

Je sens un mouvement auprès de moi et cela me réveille.

Eva est en train de me détacher. J'ouvres les yeux et je la regarde sans rien dire un peu gênée de l'orgie d'hier soir. Elle me sourit et me dit voilà tu peux te lever par contre tu dois garder ton collier tant que tu seras dans la maison. Ça te rappellera que tu ne dois pas claquer stupidement ton fric.

Ça me pèse mais je dois d'abord reprendre mes esprits avant d'aller à la bagarre avec Eva.

Je me lève et toujours nue je vais dans la cuisine me faire un petit déjeuner. Elle est passée dans la salle de bains et pour deux le petit dej dit elle fortement.

Je n'ai pas le cœur à me fâcher et je prépare le petit déjeuner en faisant malgré tout attention à lui faire son petit déjeuner comme elle aime.

Je passe dans ma chambre et je passe une robe de chambre.

Elle sort la tête de la salle de bains et e dit n'y pense même pas ta punition n'est pas terminée.

Je repose la robe de chambre et je vais rester nue attendant qu'elle m'autorise à m'habiller.

Peu avant midi elle me donne l'ordre de préparer le repas. Je m'exécute je suis toujours étonnée de ma réaction ambiguë hier soir lorsque je me suis mise à aimer prodigieusement ce qui s'est passé.

On passe à table. Elle me dit tant que tu n'auras pas payé tout ce que tu dois tu seras mon esclave personnelle. Bien sûr si tu refuses j'en informerait tes parents.

Je la regarde sans répondre.

Bien me dit-elle. Maintenant tu peux t'habiller. Pas de sortie ce Week end. Ce soir à 19h00 tu te mettras nue pour me servir l'apéritif. On verra bien ce que je ferais de toi.

batsbru
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