Emprise sur la Ville - Acte 06

BÊTA PUBLIQUE

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- Merci Monsieur Jacques, dit la petite rousse.

- Mais il est dommage que ton haut ne dévoile pas plus tes nichons! Tu devrais le retirer!

- Euh... oui Monsieur Jacques...

Sans plus d'objection, Charline défit le nœud qui fermait son chemisier et montra au sexagénaire sa poitrine pâle et ferme. Jacques perçut une lueur de terreur dans l'œil de la fille qui pourtant obéissait.

Marie Mousatir fit parler le couple de leurs vacances à Cuba, des lieux qu'ils avaient visités.

- Vous vous souvenez de cette distillerie de rhum? mentit Jacques introduisant de faux événements dans les cerveaux drogués du couple.

- Oh oui, je me souviens, dit Charline un peu dans la brume. Le rhum était bon et je me suis laissée un peu avoir par sa teneur en alcool...

- Et tu te souviens de ce que tu as fait en sortant, demanda Jacques en reluquant les seins nus de la jeune femme.

- Non! Plus vraiment... Rappelez moi! répondit Charline, incrédule.

- Si je te le rappelle, tu vas devoir faire la même chose, on est d'accord! sourit Jacques en regardant sa femme qui s'amusait de la scène.

- Oui, Monsieur Jacques, d'accord!

- Tu m'avais fait une magnifique pipe avant de m'offrir ta petite chatte...

Pendant que Julien servait le champagne, Charline semblait stupéfaite.

- Tu te souviens maintenant?

- Oui, Monsieur Jacques, je me souviens.

- Alors que dois tu faire?

- Je dois vous sucer et vous offrir ma chatte comme une pute!

- Oui ma petite chérie, car tu es une pute...

Jacques regarda Charline venir entre ses cuisses. La jeune rousse prit son sexe entre ses doigts fins avant de commencer à le sucer. Elle léchait doucement la verge sur toute sa longueur. Elle lui massait les couilles pour le faire durcir et enfin le prit en entier dans sa bouche en bavant abondamment. Le vieil homme observait la réaction de Julien qui servait Marie en champagne. Puis Jacques demanda à Charline de s'appuyer contre la table et il lui releva sa jupe sur les reins. Quel beau cul, se dit Jacques. Il posa son gland sur les lèvres et poussa. La petite garce gémissait en disant qu'elle était une pute, une salope, une chiennasse juste bonne à être baisée. Jacques adorait.

Après le repas, Jacques laissa Marie avec Charline. Il mit à genoux le puissant Julien et lui présenta son sexe. Le jeune homme ouvrit la bouche et se fit prendre par le seixagénaire.

***

Le prototype avançait. Dans son atelier, Jacques regroupait plusieurs technologies. L'aide précieuse de la petite Justine avait permis de faire un bond en avant. Il réunit tout le dispositif dans une sorte de collier en silicone.

L'appareillage devait influencer le comportement de la personne portant le collier. Par un dispositif de diffusion continue mais infinitésimale, la drogue de Isabelle Labrosse pénètrerait dans l'organisme. L'appareil devait reconnaître les voix pré calibrées des Maitres et Maitresses afin que seuls les membres de la Confrérie puisse donner des ordres. Grâce à l'intelligence artificielle, liée aux différents capteurs du collier, la cohérence du comportement du sujet avec les ordres donnés serait gérée.

Pour s'assurer de la performance de son dispositif, Jacques conçut un petit test en deux parties. Deux séances de soumission induites par l'appareil. Et quel plus beau challenge que d'unir une mère et sa fille? Marie et Jacques invitèrent Linh et Laura.

***

Jean-Charles De Charette gara sa voiture devant la maison de son maître. Impatient et fébrile, il entra dans la maison. Jacques le dirigea tout de suite dans le sous-sol. À présent, le Maire connaissait bien le donjon. Quand sa ceinture de chasteté fut retirée, il banda. Le Maître prit les couilles.

- Tu veux que ton Maître te fasse jouir?

- Comme il plaira à vous? répondit Jean-Charles plein de désirs.

- Déshabille-toi et agenouille-toi, je vais chercher des soumises. Aujourd'hui j'ai envie de m'amuser. Je travaille trop en ce moment et j'ai besoin de décompresser.

Le sexagénaire passa dans la zone des cellules et revint avec trois soumises complètement dénudées. Jacques jouit quand il vit l'expression de son soumis quand ce dernier constata que sa femme avançait nue dans le donjon.

- Ta femme est comme toi. À mon service.

- Mais Maître....

- Pas de mais sinon je te punis.

Jacques et Marie avaient prévenu Camille De Charette que son époux était la lopette de Maître Jacques.

Dans le donjon éclairé de néons et de bougies, les trois femmes s'agenouillèrent à l'ordre du vieil homme. La belle Aïké avec sa peau d'ébène, Camille De Charette et Aurélie Robin l'obèse, acolyte de la femme du Maire au catéchisme. Trois corps soumis, trois silhouettes différentes, trois temples de perversités.

Jean-Charles eut les couilles et la base du sexe ligotées pour l'empêcher de jouir.

- Aurélie va sucer ton maire.

L'obèse obtempéra. Jean-Charles observa ce corps de graisse s'emparer de sa tige devant sa femme qui regardait la scène. Jacques demanda à Camille de le prendre en bouche tandis qu'Aïké léchait la prof.

Chacune des soumises obéissait sans réserve aux ordres. Le vieil homme contemplait la pièce qu'il mettait en scène avec satisfaction. Puis, il obligea Jean-Charles à prendre Aurélie en levrette tandis qu'elle léchait Camille allongée devant elle les cuisses écartées. Le soixantenaire apprécia le regard triste de Jean-Charles quand sa femme se donna à la langue de l'obèse.

Des coups de fouet claquèrent. La peau d'ébène de la black subit la fureur de Jacques. Elle avait l'habitude de ces accès de colère. Il insista particulièrement sur le ventre et les seins. Des larges stries de sang zébraient le beau corps de l'esclave.

Ensuite, Jean-Charles fut mit à quatre pattes, les membres fixés au sol par des anneaux d'acier. Aurélie Robin fut placée également à quatre pattes devant le visage du maire qui dû lécher le cul de la paroisienne obèse. Jacques équipa Camille d'une ceinture gode. Le hurlement de Jean-Charles quand sa femme l'encula décupla l'excitation du vieil homme qui lui-même, sodomisa sa soumise pour lui imprimer le rythme.

*** Camille De Charette ***

Depuis deux heures, Camille De Charette caressait Aurélie Robin dans le cachot du donjon de leurs Maîtres. C'est Marie qui donna l'ordre. Nues dans ce réduit humide, les deux femmes s'embrassaient et se malaxaient les seins. Comme transcendée par des semaines de conditionnement, la femme du maire surmonta son dégoût du corps obèse de son amie.

Aïké vint ouvrir leur cachot et toutes les trois attendirent la venue de Maître Jacques qui les mena dans le vaste donjon. Elles virent un homme à la peau blanche, à genoux au sol. Camille reconnut de suite son mari. Une immense tristesse s'empara de son cœur. Des larmes ourlèrent à ses paupières. Maîtresse Marie l'avait prévenu que son époux était un soumis de Jacques. Mais entre l'idée et la réalité, le gouffre lui parut vertigineux.

- Ta femme est comme toi. À mon service, lança Jacques en caressant un seins de Camille.

- Mais Maître.... voulut protester Jean-Charles.

- Pas de mais sinon je te punis.

A genoux avec ces deux acolytes, la professeure de philosophie regarda le Maitre ligoter le sexe de son mari puis Aurélie déplça sa masse de graisse pour s'agenouiller devant Jean-Charles et le sucer. Cette silhouette informe donnait du plaisir à son mari alors qu'elle ne le pouvait plus. Le visage ravi et détendu du maire lui perçait le cœur. Comment pouvait-il apprécier une caresse de cette baleine?

Mais déjà la bite de son Maître la rappelait à sa soumission. Finalement, elle trouvait plaisant de sucer des queues. Elle sentit son sexe s'humidifier quand la belle black s'allongea pour la lécher. La langue râpeuse d'Aïké pénétrait de plus en plus profondément dans son vagin.

Peu à peu, la soumission par chantage de Camille s'était transformée en une soumission d'acceptation. Un état transitoire et instable de satisfaction sexuelle et d'humiliations.

Jean-Charles prit Aurélie en levrette tandis que celle-ci léchait la prof qui était allongée sur le sol. Au-dessus d'elle, son mari suait de plaisir et la petite langue de son amie dans sa chatte, en-dessous. A peine, osa-t-elle fixer Jean-Charles dans cette scène de débauche et de honte. Pourtant, le plaisir montait en elle comme la lave se déverse d'un volcan en éruption.

Le gros cul d'Aurélie se retrouva devant le nez du maire. Camille trouva l'image écoeurante quand son mari commença à lécher la raie et l'anus de l'obèse. Mais le sexagénaire lui installa une ceinture gode et la força à prendre son époux. Quand l'orifice céda et que Jean-Charles hurla de douleur, un sentiment intense et indistinct saisit la bourgeoise. Du plaisir et de la compassion. Curieux mélange! Mais déjà, son propre cul fut colonisé par Maitre Jacques qui rythma la double sodomie.

- Camille, lança Jacques qui venait de jouir dans le ventre de la soumise. Prends S-118. Fais la jouir.

La femme du maire s'allongea sur son amie et l'embrassa tandis qu'elle introduisait le gode. Puis, les bras tendus, elle imprima un lent mouvement qu'Aurélie semblait apprécier. D'un coup d'œil, elle vit son mari sucer la queue de Jacques pour la nettoyer de son propre cul. Le vieil homme rebanda rapidement. Aurélie gémissait de plus en plus fort et Camille, pour accélérer la délivrance, suça gentiment les énormes aréoles de la baleine. Jean-Charles fut mis à quatre pattes au-dessus du visage d'Aurélie, juste en face de sa femme. Camille observa les liens dénoués autour du sexe de son mari et qui devait l'empêcher de jouir.

- Tu vas jouir maintenant lopette. C'est ton Maître qui te l'ordonne.

Jacques entra entre les fesses du maire. Et tout de suite, Jean-Charles jouit. Il éjacula abondamment sur le sol de ciment tandis qu'Aurélie le suivait dans les sphères orgasmiques de la débauche. Jacques fit nettoyer le sol par Aïké tandis que Camille fut attachée à une croix de Saint André.

- S-118. Remontes voir Maîtresse Marie, ordonna l'homme aux cheveux blancs. Toi, petite lopette. Tu vas faire jouir ta femme avec ta langue.

Camille sentit son mari entre ses cuisses. Depuis des mois, elle n'avait plus sentit sa peau, son souffle, sa chaleur. Sa langue se posa sur son clitoris et des décharges traversèrent le corps de la soumise.

- S-123. Tu n'as pas le droit de jouir tant que je ne t'en donne pas l'ordre.

- Oui Maître, répondit Camille en gémissant de la caresse de son époux.

D'un coup, elle retomba amoureuse de lui.

- Lopette! Si tu n'arrives pas à faire jouir ta femme, Aïké te fouettera toute la journée et ta bite ne sortira pas de sa cage avant très longtemps.

Jean-Charles s'activa sur le sexe de sa femme qui gémissait de plus en plus fort. Elle ruisselait littéralement. Ses tétons durcissaient. Les prémices de l'orgasme alertaient Jacques.

- Je vous en supplie Maitre, puis-je jouir?

En guise de réponse, Jacques fit siffler sa cravache qui claque sur les flancs de la femme. Elle hurla de douleur. Un deuxième coup sur son sein arrêta tout plaisir en elle mais son mari continuait de la lécher et de la doigter. Le plaisir remonta. C'est sur le ventre et les bras que la cravache endigua à nouveau la jouissance de Camille qui pleurait de douleur et de frustration. Pendant de longues minutes ce manège se répéta.

- Bon! Lopette. Tu n'as pas réussit à faire jouir ta femme. Vas là-bas. Aïké va t'attacher et te fouetter.

Jacques délivra Camille et la prit dans ses bras avec beaucoup de tendresse. Il recoiffa ses longs cheveux blonds avec gentillesse. Emue par cette attention, la femme du maire fût bousculée. Le vieil homme vint la plaquer sur le corps attaché de son mari.

- Embrasse-le doucement. Vous êtes mariés quand même! rit Jacques alors qu'il pénétra Camille.

Les deux époux s'embrassèrent comme à leur premier rendez-vous tandis que la femme se faisait prendre et que l'homme était attaché à une croix. Le plaisir monta très vite et Camille supplia son Maitre. Elle se libéra d'un orgasme puissant dans les bras de Jean-Charles qui, impuissant, n'était que spectateur du plaisir de sa femme.

***

En remontant à l'étage, Camille croisa Marie Mousatir qui lui donna l'ordre de contacter l'investigatrice du journal de la ville. La femme du Maire devait lui donner rendez-vous sur les docks.

En rentrant chez elle, la blonde prit un long bain en imaginant son mari fouetté par la beauté africaine. Elle prit son téléphone :

- Madame Pokirnyy?

- Oui

- Je suis madame De Charette, la femme du maire.

- Que puis-je pour vous madame?

- J'ai des informations sur Dom Pietro.

- Je vous écoute madame De Charette.

- Pas au téléphone. Pouvez-vous me rejoindre sur les docks à 20h.

***

Peut-on songer admirer les courbes d'une femme sans la désirer, et imaginer sa peau sans vouloir la sentir? L'exacerbation continue du désir et de l'envie, le franchissement régulier des interdits et des tabous, l'habituation de la frustration et des humiliations font le terreau de nouveaux penchants dans l'âme de Camille De Charette.

A repenser à Fodé qui la sodomisa sur l'autel de l'église, à revoir son mari sodomisé par un homme, la vie de Camille est nimbée de luxure et de stupre.

Chaque jour, dès son arrivée au lycée, elle retrouvait Eléonore Bascoul, la proviseur du lycée. Les deux soumises avaient ordre de s'embrasser et de se câliner. Mais pour Camille, ce n'était pas une corvée. La veuve blonde donnait toute sa tendresse et leur bouche ne se quittait qu'à regret. Seulement, depuis quelques jours, un nouvel élément vint perturber leur belle entente.

Vous devez vous rendre chez Martial Bascoul cet après-midi, mesdames, dit le black.

Le torse nu, les bras croisés dans le dos, Camille et Eléonore écoutaient leur élève. Fodé aimait bien traîner avec elles le matin. Il se faisait dégorger la pine et jouissait des beautés des deux matures.

- Maintenant buvez salopes! lança Fodé en se branlant sur la poitrine d'Eléonore.

16h. Vaste manoir des Bascoul. A la porte principale, deux copies conformes ouvrirent à Camille De Charette et à leur mère, Eléonore Bascoul.

- J'avais tellement envie de vous rencontrer Madame De Charette, sourit Martial quand les quatre femmes entrèrent dans le salon.

Les jumelles se postèrent de chaque côté de leur grand-père confortablement assis dans un large fauteuil. Les longues jambes de Cassandre et Clémence, couvertes de bas jarretelles résilles étaient écartées du même angle. Camille admira la beauté des deux jeunes femmes qui ressemblaient beaucoup à leur mère. Elles ne portaient ni de string sur le porte- jarretelle ni de soutien- gorge.

- S-123, viens là, devant moi.

Camille marcha sur le tapis épais jusque devant l'homme installé dans son fauteuil. D'un claquement de doigts, il commanda à ses petites-filles. Cassandre déboutona le chemisier de Camille tandis que Clémence, accroupie, déchaussait la femme. Avec douceur et délicatesse, la professeure de philosophie se retrouva nue devant le Maître des lieux.

- S-51, viens me sucer.

Eléonore frôla Camille quand elle passa devant elle pour s'agenouiller devant son beau-père. La braguette dézipée, elle en sortit un membre pas tout à fait en érection mais les veines saillantes indiquaient l'état d'excitation de l'homme.

- Les filles! Occupez-vous de Camille amenez-là au bord de l'orgasme.

Une danse saphique débuta lentement à même le tapis où les corps s'allongèrent et se mêlèrent. Des seins caressés, des bouches embrassées, des peaux frôlées avec subtilité, les trois soumises s'étreignaient doucement. Camille coulait. La beauté des filles de sa proviseure bousculaient son hétérosexualité. Elle voulait se fondre en elle. Clémence se pencha sur son sexe et le mangea. Ses doigts pénétrèrent sa vulve trempée. Alors que Cassandre offrait son clitoris en érection à la langue de la trentenaire, cette dernière gronda intérieurement. Clémence cessa toute caresse et se retourna vers son grand-père dont la queue verticale luisait de salive.

- Viens-là S-123.

Camille se sépara des deux nymphes. Elle vint s'empaler sur l'érection de Martial Bascoul en faisant face au salon. Dos à son Maître, elle se déhancha pour s'empaler plus profondément sur lui. L'homme empoigna ses deux seins et joua délicatement avec les tétons. Il se pencha à son oreille et lui susurra :

- Regarde-moi ce magnifique spectacle. Tu n'en verras pas souvent. Eléonore avec ses filles jumelles. Observe comme l'amour filiale peut connaître des chemins sinueux et insoupçonnés.

La queue tendue de Martial baignait dans le jus de Camille qui gémissait. Dès que le plaisir montait trop haut, l'homme ralentissait ou pinçait violemment les tétons empêchant la professeure de se libérer.

- Observe ta proviseure avec ses filles. Comme elles sont belles ces trois-là. Clémence adore mettre ses doigts dans le vagin qui l'a vu naître. Tu verras tout à l'heure, quand elle aura bien travaillé sa mère, elle y entrera toute sa main.

Camille gémissait de plus en plus fort. Tout son corps était électrique. La perversion incestueuse qui se jouait en spectacle devant elle énervait son excitation.

- Tu as vu? Cassandre veut jouir. Elle a cette petite spécificité physiologique que tu as dû voir tout à l'heure. Son clitoris bande presque comme un pénis. Il sort de son capuchon. Eléonore va le lécher. Elle va faire jouir sa fille.

La jumelle s'arqua et gueula dans le vaste salon avant de s'affaler sur le tapis. Camille voulait être à sa place. Mais déjà, elle constatait que la main de Clémence s'enfonça dans le sexe de sa mère. Eléonor écarquilla les yeux et un violent orgasme la terrassa.

- Masturbe-toi devant nous ma petite Clémence, ordonna son grand-père.

Camille se leva. Martial admira son corps de femme. Il lui était inconcevable d'avoir sa soumission sans la posséder, ni ses fesses sans la sodomiser. Alors il l'attira à nouveau vers lui mais il s'empala dans l'anus sans aucune préparation. Le beuglement de Camille réveilla Eléonore. Les jambes de la professeure se dérobèrent et la queue entra de toute sa longueur dans le ventre de la soumise et éjacula tout son jus.

*** Larysa Pokirnyy ***

Larysa Pokirnyy était une journaliste d'investigation tenace et déterminée, connue pour sa capacité à suivre une piste jusqu'au bout. Depuis des années, la grande blonde d'origine ukrainienne avait travaillé sur certains des dossiers les plus controversés et les plus dangereux de la ville, et elle était devenue une figure respectée dans le monde du journalisme. Lorsqu'elle a été mise sur l'affaire Dom Pietro, elle savait que cela allait être son plus grand défi jusqu'à présent. Mais elle était prête à tout pour exposer cet impitoyable proxénète et mettre fin à son règne de terreur. Avec sa perspicacité aiguisée et son désir inébranlable de justice, Larysa se préparait à plonger dans le monde sombre et dangereux de Dom Pietro, prête à mettre sa vie en jeu pour révéler la vérité.

Il y a six mois, Larysa avait prévu d'infiltrer le cercle intérieur de Dom Pietro depuis longtemps, et elle savait que la seule façon d'y parvenir était de se faire passer pour l'une de ses filles. Après des semaines de préparation, elle avait finalement réussi à obtenir une rencontre avec un sbire du proxénète. Elle avait mis une tenue suggestive, avait maquillé son visage et avait préparé une histoire crédible sur son passé fictif. En entrant dans la pièce, Larysa avait gardé la tête baissée, feignant la timidité et la soumission. Elle avait espéré que son expérience en journalisme lui permettrait de rester calme et concentrée, mais alors que le lieutenant du parrain s'approchait d'elle avec une expression de mépris, elle sentit son cœur battre la chamade. Elle savait que sa mission était risquée, mais elle était prête à tout pour dénoncer les activités criminelles de cet homme impitoyable.