Emprise sur la Ville - Acte 07

Informations sur Récit
L'étau se resserre sur Laura... que dire pour les autres !
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Récit n'a pas de balises

Partie 7 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 05/05/2023
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Informations

La série "Emprise sur la ville" est le fruit d'une collaboration entre VerDu et APVapv.

Il s'agit d'un projet à quatre mains. Vous y trouverez : sexe, belles femmes, hommes, soumission, bdsm, relation pas toujours clairement consenties, inceste, intrigues, rebondissements....

Nous nous sommes attachés à construire un récit complexe et dense pour vous offrir de multiples raisons de l'apprécier.

Merci de commenter vos lectures. C'est le salaire des auteurs.

Nous vous rappelons qu'il s'agit d'un récit de pure fiction dans un monde imaginaire.

Ce récit n'est pas une caution pour les actes délictueux.

Dans le monde réel, le consentement doit être exprimé clairement et sans contrainte et un "Non" est un "Non"!

Acte 7

***Laura Mucadam***

Son obéissance à ses Maîtres était délibérée, c'était là sa vraie soumission. Laura Mucadam voulait être la chose, la soubrette, la soumise, la pute, la garce, la salope du couple qui l'avait prise sous son aile. Néanmoins, la séance avec sa mère troubla sa détermination à s'abandonner. Était-ce un test de la part de ses Maîtres? Son état d'excitation exacerbé par les frustrations que lui imposait Maîtresse Marie facilitèrent la perversité incestueuse qu'elle avait finalement accepté. Laura avait voulu téléphoner à sa mère mais seul le répondeur décrochait.

C'était la deuxième fois que les cordes ligotaient son corps. Jacques avait un talent particulier pour le Shibari, et il adorait créer des motifs complexes et esthétiques sur le corps de ses soumises. Pour la séance photo du jour, il avait décidé de suspendre Laura dans une position verticale, en utilisant des cordes de chanvre épais pour envelopper son corps de haut en bas. Il avait commencé par attacher les poignets derrière son dos, puis avait continué à attacher chaque bras individuellement en utilisant des techniques élaborées pour créer une structure de cordes qui la maintenait debout. Laura se sentait étonnamment à l'aise malgré la tension des cordes qui l'entouraient. Les cordes la maintenaient dans une position parfaitement stable, laissant à son corps une sensation de suspension agréable et de légèreté. Son nouveau corps sculpté par le sport et une alimentation surveillée épousait magnifiquement ce ligotage.

Jacques tira à nouveau sur la corde centrale et le corps de la métisse monta dans les airs. Les bras ligotés en arrière, la poitrine ficelée pour faire ressortir les seins, les cuisses et les jambes dans un savant entrelacs imposant une posture ouverte où le sexe était largement offert, Laura s'abandonna avec plaisir. Jacques caressait sa peau de velours et attisait déjà le plaisir de sa soumise par d'adroits effleurements sur la vulve ouverte. Il suçait également les tétons bien durs par la compression.

La souffrance des cordes de chanvre faisait au désir de Laura ce que le souffle fait à la braise, il la surexcita. Complètement à la merci de son Maître, la jeune entrepreneuse qui ne pouvait bouger pas même un orteil, son désir envahissait tout son corps mais son corps était temple de douleur. La pression des cordes marquait sa peau. Mais quel don de soi que de souffrir pour le plaisir de son Maître!

A ce moment-là, Laura entendit la porte du donjon s'ouvrir dans son dos. Elle aperçut la longue chevelure blonde de Maîtresse Marie. Puis un autre mouvement suivit. Une autre personne que Laura ne distinguait pas à cause de sa position acrobatique.

- Bonjour ma puce, sourit Marie, maman est là pour te faire jouir. Tu es contente?

- Oh oui maman, souffla Laura qui n'aimait pas utiliser ce mot.

- Jacques va te prendre en photo. Tu es tellement belle comme ça, en chienne offerte.

A la première séance de shibari, elle avait reçu les photos le lendemain sur son ordinateur. Le corps boudiné de l'époque ligoté par les cordes ne lui avait pas plû. Mais maintenant que son corps lui plaisait, Laura était impatiente de regarder le résultat. Marie approcha. Mais le cœur de la métisse bondit dans sa poitrine quand elle découvrit sa mère derrière sa Maîtresse.

- Qu'est-ce que tu fais là maman?

- Linh est venue car je l'ai invitée.

La mère de Laura était habillée d'une longue robe droite toute blanche. Elle portait le même collier de silicone que le jour du barbecue. Marie commanda à Linh de se déshabiller. La vieille vietnamienne dégrafa sa robe qui tomba à ses pieds comme le rideau du théâtre est ouvert. Laura criait que cela cesse. Elle ne voulait pas voir sa mère nue. Elle pleurait.

Mais déjà Linh, à quatre pattes, se faisait prendre par un Jacques en pleine érection. Devant ses yeux, Laura regardait sa mère se faire prendre comme une chienne par la même bite qui la faisait jouir aussi. Le corps maigre et flétri de la vietnamienne subissait la fureur du vieil homme qui s'acharnait à claquer son ventre sur les petites fesses flasques de la femme au collier.

- Elle est belle ta mère! dit Marie à l'oreille de Laura qui pleurait.

La blonde pénétra deux doigts dans la jeune femme suspendue tout en continuant d'admirer la saillie de la brune hypnotisée. Jacques gueula quand il éjacula dans le sexe de Linh. Il la fessa un peu pour son plaisir avant de laisser la place à sa femme qui s'attacha une ceinture gode autur de la taille.

- Elles ne sont pas belles tes deux mamans? demanda l'homme aux cheveux blancs à Laura qui hurlait de protestation. Il essuya sa verge enduite de sperme avec les cheveux noirs de la soumise.

Marie enduit son gode de vaseline et sodomisa Linh d'un coup. Cette dernière cria mais quand sa dominatrice lui dit de se taire, sa bouche se ferma. Mais, Laura voyait bien que dans les yeux de sa mère, la souffrance et l'humiliation criaient. Comme son mari, la blonde claqua son ventre sur le cul de la vietnamienne.

Laura gueulait de plus en plus fort alors Jacques enfonça un bâillon boule dans la bouche de sa soumise qui ne pût que se plaindre en borborygme baveux. Le vieil homme prit ensuite une caméra et filma la scène. Le cul percé par le gode, Linh subissait sans broncher cet avilissement. Marie se leva et ôta la ceinture.

- Va lécher les seins de ta fille, ordonna-t-elle.

La bave coulait du bâillon boule de Laura comme l'horreur qui coulait dans les veines de la soumise. Linh approcha de sa fille et se pencha pour embrasser un sein gonflé et presque bleu à cause du ligotage. Sa langue tournait autour du téton tandis que ses mains fripées caressaient le corps en suspension.

- Tu aimes ce que maman te fais? murmura Marie à l'oreille de Laura.

- mmmmmmmgggggrrrrrr

Linh passait d'un sein à l'autre en suçant affectueusement sa fille. Derrière elle, Jacques tournait autour des trois femmes avec sa caméra.

- Tu aimerais que maman te fasse jouir? continua insidieusement la blonde en titillant le clitoris de sa soumise. En arrivant ici, tu m'as dit que tu aimerais.

Les yeux révulsés de Laura n'étaient pas plus limpides comme réponse. L'horreur se muait en nausée. Un volcan de fureur broyait ses entrailles.

Jacques joua avec les cordes et Laura se retrouva en position horizontale à 1,50 m du sol. Ses cuisses encore plus ouvertes, à la limite du grand écart, le sexe offert. Linh se pencha et lécha un bon moment la vulve de sa fille. Ses doigts pénétraient doucement le vagin et sa langue titillait le bouton de plaisir. Jamais Laura n'avait autant souffert.

- Maman s'occupe bien de toi. Tu as l'air en colère ma puce, mais ton sexe est humide. Tu es excitée que maman te donne du plaisir. Elle va te faire jouir.

Marie donna à Linh un sex-toy en lui ordonna de faire jouir sa fille. La vieille vietnamienne posa l'embout de silicone sur le clitoris et activa l'appareil. Une vibration entoura entièrement le bouton ainsi qu'une légère aspiration. Maintes et maintes fois utilisée sur elle, Laura savait que cet objet aurait raison de sa résistance. Pendant des heures, Marie et Jacques l'avaient fait exploser de plaisir avec ce sex-toy.

Linh s'appliquait à lécher et à faire vibrer l'appareil. Le plaisir grimpa très vite. Laura tenta de gesticuler pour échapper à cet orgasme incestueux, mais la puissance la submergea comme un raz-de-marée. Long, puissant, envahissant, l'orgasme gronda dans le cerveau et le ventre de Laura.

On détacha la soumise qui garda les marques des cordes sur tout son corps. Linh fut fixée sur un autre appareil, une sorte de cheval au sol qu'elle enfourcha. Au centre, deux godes et juste à la base, une espèce de plaque en silicone avec des picots. Une fois installée, la vietnamienne avait un gode dans le vagin, un autre dans l'anus et son clitoris en contact avec les picots. Jacques brancha l'appareil. Tout vibra. La plaque et les gode tressautaient. Marie prit Laura par la gorge pour l'obliger à s'installer sur le même dispositif que Linh, juste en face d'elle. Par contre, on attacha les genoux et les chevilles de la métisse pour qu'elle ne puisse pas se soustraire au traitement.

- Vous êtes belles toutes les deux, l'une en face de l'autre. Vous allez jouir ensemble. Ce n'est pas beau ça! lança Marie toute réjouie.

Les sexes de la mère et de la fille subissaient les immondes vibrations et déjà Laura sentait son plaisir monter. Entraînée par des mois d'éducation, la jeune métisse ne contrôlait plus ses orgasmes qui appartenaient à ses Maîtres. Linh gémit tout d'un coup en fixant sa fille dans les yeux. Un regard de supplication et d'horreur. Les gémissements de la mère et de la fille montaient. La jouissance pour la mère et pour la fille l'orgasme, Jacques et Marie crièrent de joie lorsque les deux soumises éclatèrent ensemble.

- On va vous laisser les filles. Jouissez sans nous, vous l'avez bien mérité.

Les deux vieux sortirent du donjon. Seules les vibrations des deux appareils et les gémissements de la mère et de la fille résonnèrent dans la pièce.

***

Le lendemain, exténuée par la veille, Laura arriva maussade à Dynamic Health. Le sommeil ne s'était pas invité dans son lit. L'horreur d'avoir joui pendant des heures avec sa propre mère était un cauchemar.

Elle alluma son ordinateur pour consulter ses courriels. Un message de Jacques Mousatir avec une pièce jointe. Ne pas l'ouvrir. Ne pas l'ouvrir, se répéta Laura. Mais, il fallait qu'elle sache. Et elle sut! Elle se précipita vers sa poubelle et vomit son petit déjeuner.

*** Cassandre et Clémence Bascoul***

Quand une jumelle est très jolie, sa sœur l'est aussi. Cassandre et Clémence Bascoul servaient auprès de Bernard de Francouleur. Leur grand-père, Martial Bascoul donna ses petites-filles en service au promoteur.

Le matin, Clémence entrait dans la chambre du quinquagénaire et se faufilait sous les draps pour réveiller l'homme avec une douce fellation. La jeune femme aimait emprisonner le sexe mou dans sa bouche et le sentir grossir sous ses caresses.

Cassandre prenait la suite dans la salle de bain. Elle lavait le corps de Bernard de Francouleur sous la douche en insistant sur le membre en érection. L'homme embrassait la jeune beauté et parcourait son corps avec la mousse du savon. Il affectionnait la chute de rein et la poitrine ronde. Elles le séchaient puis l'habillaient en n'oubliant jamais de lui remettre sa chevalière avec les deux anneaux entrelacés.

Il se faisait servir le petit-déjeuner par les jumelles dans leur plus simple appareil. Seuls des escarpins noirs aux talons vertigineux habillaient les jeunes femmes. Le promoteur mangeait ainsi avec les deux créatures à ses petits soins. Parfois, l'une d'entre elle passait sous la table tandis que l'autre s'allongeait dessus pour servir de repas.

Bernard de Francouleur partait vers 8h00 dans ses vastes bureaux dans l'hyper-centre. Un jour sur deux, l'une des sœurs l'accompagnait. Secrétaire à son service, elle l'assistait dans les tâches administratives mais également, elle lui servait d'escort quand il rencontrait de gros clients.

L'autre jumelle restait au manoir. Son destin se jouait à pile ou face. Bernard lançait une pièce. Pile, la sœur jouirait toute la journée harnachée sur un dispositif qui stimulait son vagin, son clitoris, sa vulve, son anus et ses seins. Face, elle subirait une torture jusqu'au retour du Maitre. Soit elle serait électrifiée aléatoirement avec des patchs collés sur tout son corps. Soit une esclave viendrait la fouetter, la gifler et la griffer.

A midi, le rôle des jumelles changeait. Bernard prenait l'une et laissait l'autre à son sort. L'après-midi se déroulait tranquillement comme le matin. Presque tous les soirs, Bernard avait des invités. Mises au pilori, les poignets bloqués comme la tête dans un trou, les jumelles avaient le cul tendu en arrière. Chacun pouvait, au cours de la soirée, sodomiser ou baiser les sœurs dans l'ordre qu'il le désirait. Leur bouche également était la proie de queues voraces.

Les deux sœurs se retrouvaient ensemble la nuit. Elles aimaient ce temps que pour elles et se disaient tout. Ce moment d'intimité dans le lit commun, à s'embrasser et à se câliner était l'occasion d'échanger sur leur journée.

- Bernard, m'a fait me mettre à poil devant un client. Le gars n'en croyait pas ses yeux. Il a signé le contrat tout en me regardant.

- Tu as aimé?

- Ben tu sais... j'aime qu'on me désire. Le gars était plutôt mignon. Il n'a pas arrêté de me sucer les seins après quand il m'a prise. J'ai pris mon pied.

- Bernard regardait?

- Non. Il était sorti. Et toi ma puce?

- Ben aujourd'hui c'était orgasme. Je suis vidée. Aïké est quand même venu pour vérifier que je jouissais. Elle en a profité pour se faire jouir sur mon visage.

- Bon! On dort? Demain soir c'est la grande soirée.

Cassandre et Clémence s'enlaçèrent tendrement en s'embrassant jusqu'à ce que le sommeil arrive.

*** Marie Mousatir ***

Marie Mousatir venait d'enculer proprement Linh, la mère de Laura Mucadam. La vietnamienne portait un collier fabriqué par Jacques qui la rendait littéralement soumise à tous les ordres. Marie retira sa ceinture gode et ordonna à la mère d'aller lécher les seins de sa fille qui était suspendue dans les airs entrelacées dans des cordes de chanvre. Quelle perversité! Quelle plaisir d'obliger des rapports incestueux! Pensa la blonde en entendant les borborygmes de révolte de Laura à travers son bâillon boule.

- Tu aimes ce que maman te fais? murmura Marie.

- mmmmmmmgggggrrrrrr, se plaignit Laura.

- Tu aimerais que maman te fasse jouir? continua insidieusement la blonde en titillant le clitoris. En arrivant ici, tu m'as dit que tu aimerais.

Les yeux révulsés de Laura excitaient Marie qui admirait Linh suçant les deux seins alternativement. Jacques qui était Maître en Shibari modifia la tension des cordes et Laura se retrouva à l'horizontale à 1,50 m du sol. Le sexe était largement ouvert. Marie chuchota à l'oreille de Linh qui lécha un bon moment la vulve de sa fille. Ses doigts pénétraient doucement le vagin et sa langue titillait. Les hurlements étouffés de Laura à travers son bâillon réjouissaient Marie.

- Maman s'occupe bien de toi. Tu as l'air en colère ma puce, mais ton sexe est humide. Tu es excitée que maman te donne du plaisir. Elle va te faire jouir.

La blonde donna à Linh un sex-toy en lui ordonna de faire jouir sa fille. La vietnamienne posa l'embout de silicone sur le clitoris et une vibration entoura le bouton. Marie savait que cet objet aurait raison de sa résistance. Pendant des heures, elle et son mari avaient fait jouir leur petite soumise avec ce sex-toy. La vieille vietnamienne léchait et faisait vibrer l'appareil. Marie observa Laura tenter d'échapper à cet orgasme que sa mère lui donnait, mais la puissance la submergea. Dans les yeux de Laura, toute la haine et la souffrance et tout le plaisir et l'excitation dans le cœur de Marie.

Plus tard dans la journée, quand la métisse monta dans sa Tesla, Marie remarqua l'air renfrogné de la soumise. Etait-ce parce que Marie avait remis sa ceinture de chasteté? La blonde se dit qu'avec cette petite pute, elle ferait ce qu'elle voudrait. Elle était en son pouvoir.

***

- Dring, dring, fit la porte de la pharmacie.

- Bonjour Madame Mousatir, lança Isabelle Labrosse devant les autres clients.

Marie observa S-73 dans sa blouse blanche servant un sirop à un vieil homme.

- Vous vous occupez des clients, dit la pharmacienne à son employée, je vais avec Mme Mousatir dans mon bureau. Qu'on ne nous dérange pas.

Marie suivit sa soumise jusqu'au bureau qui fut fermé à clés. Bras croisés dans le dos, les jambes écartées, Isabelle attendait l'ordre mais la Maîtresse, ravie de l'éducation de S-73, patienta en tournant autour d'elle.

- Déshabille-toi!

Les boutons pression de la blouse sautèrent découvrant la tenue sexy de la pharmacienne. Comme les ordres le lui imposaient, une jupe très courte, un chemisier laissant une vue imprenable sur la raie de ses petits seins. Isabelle se remit en position, nue. Marie s'installa dans le fauteuil du bureau de la pharmacienne qui vint embrasser les pieds de sa Maîtresse.

- Alors, as-tu réfléchi à notre proposition d'entrer dans la Confrérie?

- Oui, Maîtresse, répondit S-73 à genoux, retirant les souliers de la blonde.

- Et donc? s'impatienta Marie qui tendit son pied droit pour Isabelle le lèche.

- Je....slurp... j'accepte, sllluurr. J'aimerais rester votre soumise.

La langue de la pharmacienne passait entre les doigts de pied de la blonde. Être abandonnée totalement à son plaisir et mesurée dans sa vie domestique, un équilibre nourrissant pour Isabelle.

- D'accord, je te présenterai une dominatrice du nom de Joséphine qui s'occupera de ta formation. Mais pour l'instant continue à sucer les pieds de ta Maitresse.

***

Le plus clair de son temps, Larysa Pokirnyy le passa à l'obscurcir. À présent, les heures sombres dans le donjon éclairaient sa vie. Enfermée dans le cachot depuis des jours, la journaliste d'investigation gambergeait trop pour maintenir sa santé mentale. L'enfer n'était pas plus terrible que sa solitude. Les longues heures à attendre dans le noir sans perspective d'activités, de rituels journaliers, de repas à heure fixe, taraudait l'esprit de l'ukrainienne.

Les seules éclaircies : le donjon. Quand Dom Pietro et Marie Mousatir ouvraient la lourde porte de son cachot pour la traîner au donjon, Larysa retrouvait une humanité servile. Ces séances étaient des bulles de normalité dans le désert de sa solitude. Fouettée au sang jusqu'à qu'elle s'effondre, pendue par les bras sur une croix de Saint André, la journaliste était violée ensuite pendant des heures. Son anus devint distendu, son sexe ravagé et sa bouche l'antre des bites qui s'y enfonçaient. On lui installa un écarteur de dent qui maintenait ses lèvres grandes ouvertes pour la pénétrer jusqu'au gosier.

L'alternance de ce traitement, de la privation de nourriture et des séances de torture affaiblirent l'esprit de l'ukrainienne. Marie lui fit écrire un faux article de presse incriminant le plus insoupçonnable des notables de la ville. Cet article fit grand bruit. Des enquêtes eurent lieu de la part de la police et également des autres parutions de presse. Toutes conclurent que l'article de Larysa Pokirnyy était diffamatoire et la stigmatisation de la journaliste flamba. Personne ne se soucia de la disparition de la paria.

*** Lucie Tudorza ***

Lucie Tudorza venait de passer la matinée dans la villa de Dom Pietro. La petite avocate avait accepté l'offre de travailler à temps plein pour cet homme. Elle réalisait que ce ne serait pas une sinécure car s'il se gardait bien d'apparaître dans les diverses affaires de trafics, corruption et autres dans lequel son nom était régulièrement associé. Ses hommes de main étaient beaucoup moins innocents. Et, c'était leur défense que Lucie devait assurer. Comme l'avocate l'avait dit à Dom Pietro, elle pourrait réduire leur peine, éloigner les soupçons qui pourraient l'impliquer mais elle ne pourrait pas tous les faire innocenter. D'ailleurs, cela ne serait peut-être pas une mauvaise idée que certains fussent parfois condamnés. Trop d'acquittements risqueraient d'attirer l'attention.

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