Du mauvais coté 04

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- Non!

- Si, il a été retrouvé mort chez Morteau!

- Morteau le gestapiste?

- Celui la même! C'était un traître qui travaillait pour les anglais!

- Le sale petit rat!

La purge de la gestapo de Paris va commencer. Dommage que la plupart ces fous furieux soient partis ravager le Limousin pour l'essentiel, parce que si on leur tue un officier SS, les allemands ont tendance à dégager tout ce qui se présente.

Je me dirige peu avant 18h00 vers la résidence Destivel. Comme à l'accoutumé, Mme m'ouvre la porte.

Nous passons directement dans la chambre où Amandine pleure sur le coin du lit.

- Qu'y a t'il?

- Monsieur Delbard, je l'ai surprise à se branler avec un gant de toilette.

- Les coits que je m'impose ne lui suffisent pas?

- J'ai peur qu'elle soit encore traversée de pulsions saphiques.

- Il faut la redresser.

- Je suis d'accord, faites lui ce que l'on fait aux épouses désobeissantes et après elle dormira les mains liées aux montants du lit.

- Vous avez raison. Mettez vous à quatre pattes pour votre punition.

Amandine se place en position,. Je me débarrasse de mes vêtements et présente ma queue devant son visage. Elle ouvre docilement la bouche et je m'y engouffre. J'utilise sa gorge comme un soudard, et quand je me retire, mon sexe est recouvert de bave et de mucus. Bave qui coule sur son menton et se mêle à ses larmes.

Je la tire vers le bord du lit. Elle se cabré quand elle comprends ce que je veux faire.

- Ma tante, non! C'est contre nature!

- Comme ta perversité de branleuse. Ne bouge pas ou tu connaîtras le fouet!

Amandine est secouée de sanglots convulsifs quand je commence à peser sur son œillet vierge. Je pousse fort alors que le sphincter tente de résister à l'intromission. Avec un petit craquement' l'anus cède et je la pénètre sans prêter attention à son hurlement de douleur.Elle crie tout au long de ce qui doit lui sembler une éternité, précipitée qu'elle est, pauvre oie blanche,dans l'enfer du viol anal.

Après quelques derniers vigoureux coups de reins qui la décolle du lit, je lui rince le colon de mon sperme chaud.

Je ressors et remarque une perle de sang à un endroit où l'anus s'est fissuré.

- J'espère que tu comprends le mal que tu nous fais par ton comportement. Assène Destivel

- Je suis tellement honteuse, pardon, ma tante.

- Nous verrons si ton comportement s'arrange.

Destivel me raccompagne à la porte.

- Vous avez rempli votre part du marché, félicitations.

- J'ai encore besoin de votre aide pour la former. Répond la bourgeoise.

- Pourquoi donc?

- Il faut la former à être l'esclave parfaite.

- Et ce marchand de vin qu'elle doit épouser?

- Pures balivernes, sa famille l'a reniée. Le seul horizon pour elle, c'est la rue ou le couvent.

- Et donc?

- Si j'en fais l'esclave parfaite, je pourrai la vendre un bon prix.

- Et me verser une commission.

- L'inverse, plutôt. C'est vous qui la vendrez. Le nom de Destivel ne peut se mêler à ce genre d'affaires.

Je la toise.

- Vous savez que l'argent ne m'intéresse pas.

- Je serai à vous sans limite de temps.

Je rentre. Quand je jute dans Maleka elle pousse un petit cri de plaisir surpris.

Je caresse l'arrondi de sa fesse gauche.

- Tu as aimé ça.

- Je mouiller fort et très bon.

Je mange. Au café, je glisse ma main sous sa robe et commence à la caresser. Elle respire plus vite. Je glisse un doigt, puis deux, dans son vagin je commence à aller et venir en flattant son petit bouton du pouce. Peu après, elle est traversée par un orgasme qui la fait crier et m'inonde la main.

- Ho merde, j'ai pissé sur toi! S'exclame t'elle.

- Non, dis-je en regardant ma manche de chemise trempée, tu es une femme fontaine.C'est rare.

Elle me regarde, éperdue, ses jambes goûtent sur le parquet.

-Va te laver, je vais passer mon pyjama.

Dans mon fauteuil, je lis le journal du soir qui parle en détail de l'abjecte trahison de Morteau et de comment il va être transféré en Allemagne pour y être décolleté à la hache.

Sans doute sous la torture,il a donné deux complices qui seront fusillés la semaine prochaine.

- C'est lui le méchant qui voulait tuer monsieur Delbard? demande Maleka qui a passé une nuisette.

- Non, il le voulait aussi, mais pas tout de suite.Pourquoi tu demandes ça?

- Monsieur Delbard est mon homme, et je l'aime.

Je la regarde avec stupéfaction.Je ne me suis jamais posé la question des sentiments de Maleka. Elle est là, disponible et obéissante et c'est tout. Je plonge mon regard marron chiasse dans ses yeux bleus. Moi aussi je ressens quelque chose. Je ne dis rien.

Je l'attire à moi et je l'embrasse. Elle réponds à mon baiser avec empressement et je soulève sa nuisette tandis qu'elle debout9nne frénétiquement ma veste de pyjama. On se dévore de baisers en titubant comme deux ivrognes jusqu'à la chambre, tant nous sommes occupés à nous débarrasser de nos vêtements sans cesser de nous embrasser. Elle gémit de plaisir quand je l'embroche sur le lit. Après un corps de corps confus, elle se retrouve à califouchon sur moi. Elle sort mon pénis de son sexe et le guide vers sa petite porte. Elle s'encule elle même. La sensation est incroyable. Elle commence à monter et descendre en contractant son œillet en rythme. J'ai la sensation que son cul tête mon sexe. J'explose en long jets qui me brûlent les reins tandis qu'un orgasme monstrueux m'arrache un cri. Cet instant est magique. Elle est arquée en arrière, les mains sur mes chevilles, m'offrant le spectacle de son cul ayant fait disparaître mon sexe tout entier. L'anneau anal palpite autour de ma colonne de chair.

Plus tard dans la nuit, je la serre contre moi, et dans un demi sommeil, elle se love dans mes bras. Je suis bien. C'est une parenthèse magique dans ma vie.

Inga me salue joyeusement quand j'arrive dans le bureau.

- Bonjour, Inga, comment vas tu?

- Bien, le remplaçant de Franz va arriver dans la journée.

- Et que dit radio caserne?

- Personne ne sait rien, alors tout le monde dit n'importe quoi.

A 14h00, le secrétaire manchot vient dire au revoir. Il part rejoindre ses congénères de race supérieure sans le sud du pays où les maquis mènent la vie dure aux allemands.

Une secrétaire aux énormes seins vient nous demander de nous présenter au second étage.

Le remplaçant de Franz est le colonel Gunther de la feldgendarmerie. Son uniforme peine à maintenir son ventre qui débordé de la ceinture. Il congédie rapidement Inga et me fait asseoir.

- Monsieur Delbard, j'arrive du front de l'est.

- C'est là bas que se forge l'Europe de demain.

- Arrête tes conneries je sais que tu es intelligent. Le petit peintre autrichien à lancé une offensive désespérée à Koursk, et si les allemands n'arrivent pas à briser l'armée rouge, les russes ne s'arrêteront plus jusqu'à la mer.

- Mais la recherche avance pour les armes nouvelles.

- Tu parles, pour un tigre, les russes lâchent dix T34.

Il Laisse un temps de silence.

- Pourquoi me dites vous cela, mon colonel?

- Ma femme et mes deux filles sont mortes sous les décombres notre maison à Berlin. Je n'ai plus rien à espérer de la vie. Je veux juste mourir le ventre plein et les couilles vides.

- Baisez votre secrétaire.

- Je la baise depuis le début de la guerre, je veux de la nouvelle chatte, et du bon vin.

- Je vois ce que vous voulez dire. Que diriez vous d'une bourgeoise parisienne?

- Je suis fatigué des putes.

- Ce n'est pas une pute, c'est une mère aimante.

- Et pourquoi diable doit elle m'aimer moi?

- J'ai mal compris, je croyais que vous souhaitiez baiser.

- Quelle différence?

- Si elle vous ouvre ses jambes, ça vous va?

- Ça ira.

- Je vous tiens au courant.

- Et pour le vin?

- Elle a une bonne cave.

Le sourire Du colonel lui éclaire le visage.

Inga me regarde d'un air interrogateur quand je reviens.

- Ce colonel est un gros porc qui veut profiter du gai Paris.

- Sa secrétaire couche avec lui.

- Il me l'a dit, il veut de la chatte françaises.

- Ce ne sont pas les putes qui manquent.

- Il veut la catégorie au dessus. Je vais lui refiler Mme Rivière.

- Sérieusement?

- Absolument.

- Et comment vas tu faire?

- Olivier est à Saint Denis, avec une serviette pleines de documents confidentiels.

Mme Rivière blemit quand j'entre dans son salon, précédant le colonel.

Je me laisse tomber sur le canapé, et Gunther s'assoit sur une chaise qui a ma vive surprise, ne se pulvérise pas en copeaux.

- Mme Rivière, votre fils est désespérant.

- Mon dieu,qu'a t'il fait?

- Il s'est fait arrêter par la police allemande à St Denis hier soir.

- Mon dieu....

Elle a les yeux brillants de larmes. Elle se reprend pour me cracher:

- Vous venez vous repaître du chagrin d'une mère.

- Non, je viens vous présenter l'homme qui doit signer l'ordre d'exécution d'Olivier.

- Je suis un veuf seul, et si vous m'accordez un peu d'attention, je veillerai sur Olivier comme sur mon propre fils. La Gestapo ne l'a pas réclamé. Il aura une cellule individuelle, et tout le confort que l'on peut espérer en prison. Vous pourrez même lui rendre visite d'ici un mois ou deux.

- Je ferai ce que vous voulez. S'empresse t'elle d'affirmer.

- J'y compte bien' dis-je, je ne lui ai rien caché de notre arrangement passé.

Je prends rapidement congé. Dans l'entrée, je souris à la bonne.

- Veillez à toujours avoir du beurre dans la cuisine, le colonel a envie d'essayer une nouveauté.

Il est presque dix huit heures. J'arrive chez Destivel.

J'ouvre la porte à éclairée clef que m'a donné la maîtresse de maison.

Amandîne est nue au milieu du salon les poignets reliés à une cordelette qui pend du lustre, tandis que ses jambes sont écartées par des liens reliés à des tuyaux au mur. Les bras levés et les jambes écartées la font ressembler à un Y inversé.

- Qu'a t'elle fait?

- Rien, mais je vois dans ses yeux ses pensées obscènes.

- Elle a le diable au corps.

- Que mérites tu? Demande Destivel.

- La punition des mauvaises femmes.

- Tu vas la prendre à même le sol,

- Oui, ma tante.

Amandine se masse les poignets lorsque je la détache.

- Graisse toi, ordonne sa tante d'une voix froide.

Amandine pendant une noisette de beurre sur la table, et cambrée, se doigte le cul et insère l'index et le majeur pour s'assouplir.

Je me couche sur elle et l'encule directement. Son cul lubrifié ne m'oppose qu'une très faible résistance, tandis que ses gémissements douloureux excitent mon côté sadique. Je jouis, et dès que je ressors elle se tourne pour nettoyer les traces sur mon sexe. Elle grimace au goût de sa merde, mais n'arrête que lorsque mon vit est propre.

- Merci de m'avoir enculée, monsieur. Dit elle la tête basse.

Je croise le regard de sa tante. La petite est brisée.

- Je lui mettrai son collier de chienne demain, dit la bourgeoise sans regarder la gamine prostrée à ses pieds.

- Bien, il est temps. Peut être trouverons quelqu'un qui voudra bien d'elle.

Elle me raccompagne à la porte.

- Les résultats sont spectaculaires.

La femme a un petit sourire.

- Merci, Hier, je l'ai laissé appeler sa famille. Son père l'a insultée au téléphone, et je vais recevoir les papiers pour devenir sa tutrice légale.

- Félicitations. Mais à part cela, je ne vous ai jamais demandé votre prénom.

- Aurore, et vous?

- Xavier.

Maleka m'attend comme tous les jours. Je la baise vite fait. J'ai faim.

Le repas est excellent, toujours un de ces ragoûts mijotés.

Après dîner, j'ai de nouveau envie d'elle. Elle y prend un petit plaisir.

Je me couche et elle me rejoint rapidement. Au milieu de la'nuit, je réveille en érection. Le l'attire a moi et elle relève légèrement la jambe pour faciliter l'intromission. Après quelques va et vient, elle gémit doucement, entre veille et sommeil. Quand je jouis,je sens la tension du plaisir dans ses hanches.

Je songe à Amandine: la servitude de cette enfant n'arrive pas à la cheville de l'obéissance de ma polak. Maleka est faite pour obéir, mais je vois sa fierté quand je baffre sa nourriture ou la remplit de mon jus. Je suis l'univers de Maleka. Elle m'est fidèle comme un animal est fidèle son maître. Amandine s'abîme dans la perversion.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 6 mois

Bien écrit, agréable à lire, ambiance historique bien rendue, pervers... Bonne histoire merci j'en redemande. Une relecture quand même ne ferait pas de mal !

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Du mauvais coté 05 Partie Suivante
Du mauvais coté 03 Partie Précédente

Histoires SIMILAIRES

Dans les Méandres de l'Ombre 01-02 Un thriller policier noir et violent.
Malmenée Dans La Dépanneuse Voiture en panne en pleine campagne.
La Sophie Qui perd gagne.
Clémence, une jeune Aristo (01) Une prof est invitée à l’anniversaire d’une de ses élève.
Problèmes de Discipline 1/3 La mère de Tom va devoir régler les problèmes de son fils...
Plus d'histoires