Du mauvais coté 03

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le nombre de mes vistimes augmente.
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Partie 3 de la série de 5 pièces

Actualisé 12/19/2023
Créé 03/26/2019
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Le gros bonhomme me regarde avec terreur. Il est assis sur une chaise dans sa cuisine, et transpire malgré la fraîcheur de la nuit d'été.

Je le laisse mariner dans sa crasse encore un petit peu.

-Tu es dans la merde, Moreau. Trafic et marché noir, tu vas avoir une nuque bien dégagée.

Le gros retenait ses larmes, tandis que mes grouillots chargeaient un camion de ses réserves. Il savait que son argent ne m'achèterait pas.

-Mais je veux te parler d'un truc.

Il hocha la tête frénétiquement.

-Tu as un contact avec les gars du réseau Vigie.

Il blêmit.

-Je veux un nom.

Il soupire. Puis se met à parler. Je note ses aveux. Je me rends dans la cour. Mes gars remplissent un cabas chacun et s'éparpillent dans la nuit. Je prends une bouteille de cognac et une boîte de cigares. Le gros va fermer sa gueule. Le camion est cadeau pour sceller notre accord.

-Je suis dans la police.

-J'ai vu votre plaque.

Bien, ce crétin n'a pas peur. Ça va venir.

-Maurice Bertillon. Il a été arrêté hier soir. Ne vous bilez pas, il n'a pas parlé. Mais les gars qui l'interrogent ne sont pas des rigolos.

J'ai toute son attention, à présent. Ce grand ponte universitaire sent le voyage nach Deutschland se rapprocher.

-Je peux vous protéger.

-Que voulez-vous?

- Je préférerais être en contact avec votre épouse, le lien ne doit pas être fait entre vous et moi. Elle vous fera part de mes conditions.

Il me dit qu'il va la prévenir , et je me lève.

-C'est Moreau qui vous a donné. J'ai tout le réseau. Évitez de vous associer à ce genre de brigands. Ce sont tous des indics.

Je sonne à la porte sombre de l'appartement des Destivel. La bonne qui m'ouvre est la sœur jumelle de celle des Rivière. Il doit y avoir un élevage en province. Je la suis jusqu'au salon. La femme de l'homme du réseau est assise au salon avec une amie. Les deux femmes se tournent vers moi quand je rentre. Immédiatement madame Rivière devient pâle, et sa tasse se met à tinter à cause du tremblement de sa main.Je lui souris.

-Ça tombe bien que vous soyez là. Je viens proposer un arrangement à Mme Destivel. Mais puisque vous êtes là...

Mme Rivière se tourne vers son hôtesse et pose sa main gauche sur le bras droit de Mme Destivel. Elle ne sait que dire.

-Votre mari dirige le réseau Vigie. D'un coup de fil, je lui envoie la Gestapo.

Mme Destivel me regarde avec le dégoût que l'on éprouve en découvrant un rat dans son cellier.

-Et bien?

-Je n'ai pas envie de passer ce coup de fil, à vrai dire, j'ai un autre projet.

Mme Rivière est au bord de la syncope. Je lui demande d'expliquer.

-Il veut que ce soit toi qui paye le prix.

-Combien?

Je laisse un silence, puis je reprends.

-Je n'ai pas de goûts de luxe, ma paye me suffit pour vivre. Mais j'apprécie de culbuter des bourgeoises. Vous sauter fera mon bonheur.

Cette fois-ci, la Destivel me toise avec de grands yeux.

-Le marché est clair. Je vous baise de toutes les façons possibles et votre mari ne visitera pas les cellules de l'occupant.

-Mais il n'en est pas question!

Je la sens fléchir, malgré son indignation.

-Alors, dites adieu à tout cela.

D'un geste large, je montre à l'appartement avant de poursuivre.

-Les fridolins tapent au portefeuille, ces temps ci. Avant de dire ouf, vous allez vous retrouver à la rue, une main devant, une main derrière.

Elle accuse le coup.

-Bien. Vous voulez ma bouche, mon sexe et mon cul, c'est bien cela?

-Dans cet ordre.

Elle réfléchit un instant.

-D'accord. Quand?

-La bouche, dès à présent.

Elle Lissa ses cheveux, qui étaient rassemblés avec un ruban bleu marine. Rivière commence à se lever pour partir.

-Restez, très chère. Vous savez ce qu'il va se passer, et c'est ce misérable qui se déshonore.

Elle se met à genoux et ouvre la bouche comme pour l'hostie. Je me dégrafe rapidement.

-N'attendez nulle tendresse. Vous voulez me baiser la bouche, faites.

Je m'approche et lui prends la tête. Rivière est pétrifiée sur le canapé, toisant avec horreur mon gland rouge s'engouffrer dans la cavité servile. Je baise la bouche de la bourgeoise pendant de longues minutes, dans un silence seulement perturbé par les bruits de glissements humides et les hauts le coeur de ma victime. Enfin, je libère ma semence dans sa gorge, bien planté dans son visage, son nez dans mes poils pubiens. Elle ingurgite mon amère potion sans vomir, tout juste tousse -t'elle un peu. Je ressors et replace mon sexe ramollissant dans mon pantalon. Son menton est souillé de bave et de mucus. Elle prend un linge et s'essuie.

-A quand la suite? Demande -t'elle d'un ton neutre, comme si nous venions de disputer une partie de carte.

Je suis admiratif devant sa maîtrise d'elle même.

La semaine prochaine. Même jour, même heure.

Bien, à la semaine prochaine, donc.

Je patiente une heure au pied de l'immeuble. Mme Rivière sort enfin. Je me porte à sa hauteur et lui prend le bras.

-Demain chez vous. Vraiment, vous ne savez pas tenir votre fils.

Je reviens à mon bureau. Inga me sourit quand je laisse passer une petite dame qui s'enfuit presque des locaux.

-Qui est ce?

-Une mère de famille qui s'inquiète pour son fils arrêté en train de lire un tract.

Je souris et me promets de noter son nom.

Le soir venu, je me dirige vers le pavillon de banlieue du séditieux jeune homme.

La lumière est allumée et je m'approche à pas de loups de la porte entrouverte. J'entends une claque sonore. Je m'avance dans le couloir sombre à pas prudents. Je glisse un regard par la porte du salon.

Le spectacle est enchanteur. Inga est assise sur le bord de la table et la petite femme lui lèche l'entrecuisse avec zèle, encouragée de la voix et du geste par la grande allemande. Inga est rouge et échevelée. Un frisson parcourt les chairs de la blonde, et la jupe toujours relevée, elle se redresse. Elle manipule la tête de sa soumise et la place en arrière, la chevauchant presque. Juste après, je vois la petite brune se débattre, vite interrompue par une magistrale claque à plat sur le dos. Je comprends alors. Inga lui pisse dessus. Un filet doré vint atterrir sur le sol, mais l'essentiel est bu par la petite brune.

Inga gagné la rue quelques minutes plus tard. Elle sursaute lorsque je surgis d'un coin d'ombre.

-Les gouines sont mal vues, chez vous, je crois.

Le regard bleu se durcit. Je vois qu'elle hésite à me tuer. Sa main glisse vers son arme à sa ceinture.

-Moi, par contre, je m'en fous. Chacun mène sa barque.

L'attitude de ma secrétaire s'adoucit.

-Pour tout t'avouer, je venais la baiser aussi.

Je glisse mon bras sous le sien.

-J'ai plein d'idées. Nous allons bien nous amuser.

-Français, gross filous. Dit elle.

Je la regarde. C'était manifestement un compliment.

Inga regarde mon appartement avec intérêt. Elle salue Maleka et celle ci répond de sa petite voix, je fais ajouter une assiette. Le ragoût est bon, et on mange, ma secrétaire et moi, en faisant couler avec un petit côte du Rhône. Après un morceau de fromage, je passe au salon et sert deux belles rasades de cognac.

-Elle est gentille, ta bonne. Dit Inga.

-C'est pas ma bonne.

-Ta femme?

Je réfléchis. Comment définir Maleka?

-Elle est à moi.

Inga lève un sourcil, ça ne suffira pas.

-Elle est polonaise. Réfugiée.

-Juive?

-Non. Juste un petit frère voleur.

Inga ricane.

-Tu la baises?

-Tous les jours.

Je fais venir Maleka. Sa petite robe d'intérieur passe vite par dessus sa tête. Voilà la petite qui croise ses bras sur sa petite poitrine. La grande allemande souffle dans son cou, puis bise et mordille les chairs tendres, une grande main s'attarde sur les mamelons et l'autre file au creux des jambes minces, dans le petit buisson brun.

Quelques minutes plus tard, Maleka se tord, secouée par d'intenses jouissances qui la laissent pantelante. Inga, toute rouge mais à peine décoiffée se lèche les doigts d'un air gourmand. Maleka pleure doucement.

Inga m'interroge du regard. J'opine avec un sourire. Les jambes écartées, la jupe de nouveau relevée, Inga est totalement obscène, avec son sexe rouge et luisant fendant sa blonde toison intime. Du verbe et du geste, je place Maleka pour son cunnilingus. Elle doit s'appuyer sur les larges cuisses pour garder son équilibre. J'écarte un peu ses genoux pour me placer derrière la petite. Mon sexe entre sans problème dans la caverne de mon esclave, déclenchant un nouvel orgasme. Le fourreau est dégoulinant, et lorsque j'en sors, ma bite est luisante. Le cul de Maleka l'accepte facilement, tant il est habitué. Peu après, Inga se tord de plaisir, juste avant que je me soulage dans ce cul soumis.

Plus tard, dans le lit, Maleka vient se coller à moi, cherchant la chaleur comme un petit animal. Je rêvasse au con luisant de l'Allemande.

Madame Rivière jette des regards à gauche et à droite, comme un animal traqué. Je souris avec gourmandise.

-Olivier va se porter volontaire pour un chantier de jeunesse en Creuse. Il faut qu'il soit un peu à l'écart de Paris, il va finir par se faire tuer.

La bourgeoise hoche frénétiquement la tête.

-Je peux arranger ça rapidement.

-Soit. J'ai compris. Que voulez-vous?

-Vous, bien sûr. Votre corps. Quand je veux.

Elle baisse les yeux. Et murmure quelque chose.

-Plus fort.

-Vous me jurez que mon fils est en sécurité?

-Tant qu'il fait ce qu'il faut, et vous aussi.

Je suis debout devant elle. Elle dégrafe mon pantalon et sort mon sexe en cours de raidissement. Sa bouche s'arrondit et elle commence à sucer. Je pose ma main sur le dessus de sa tête pour accompagner le mouvement. Des larmes coulent sur ses joues, témoignages de son humiliation. Je la laisse bouger, esclave de son amour maternel. Sur mon indication, elle me caresse les bourses de sa fine main droite. Je lui remplis la gorge de mon sperme, et elle avale, déglutissant avec peine. Je sors peu après du bâtiment.

-Vous voulez quoi?

La Destivel me regardait avec intensité. Mon sperme coulait doucement de sa chatte.

-Vous avez entendu. Je veux qu'il meure. Ce n'est pas un homme. Il ne m'a quasiment jamais touchée. J'avais oublié la sensation d'être besognée.

-Et qu'est ce que j'y gagne?

-Vous ne voulez toujours pas d'argent?

-Toujours pas.

-Moi, tant que vous voulez, comme vous voulez, ça ira?

-J'aime contraindre, si vous êtes volontaire, ce sera moins bien.

-Je peux vous présenter ma nièce.

-Je ne suis pas un violeur.

-Alors moi, je la contraindrai à s'offrir. Elle vous plaira, elle est très belle.

Elle désigne un cliché sur le buffet. Une blonde angélique sourit timidement au photographe.

-Si je l'ai, votre mari est mort.

-Si mon mari est mort, elle est à vous.

La nuance était subtile. Trois jours après,je sonne à la porte des Destivel.

La bonne m'ouvre et toise les deux agents en tenue qui m'accompagnent avec inquiétude.

J'exhibe ma plaque de police. Je fais signe aux gars de fouiller l'appartement et me dirige vers le salon. Madame est au salon.

-Madame, inspecteur Delbard. Je suis porteur d'une triste nouvelle. Monsieur Destivel a tiré sur un policier hier soir. Les agents ont riposté. Vous pourrez récupérer le corps à l'issue de la procédure. Mes agents cherchent les preuves de son implication dans le marché noir.

Elle prend un air surpris.

-Ils ne trouveront rien.

-C'est moi qui ai trouvé. Le carnet et le registre de comptabilité. Vous n'avez aucune inquiétude à avoir. Ces documents montrent sans aucun doute que vous n'aviez aucun rapport avec cette activité.

Elle sourit d'un air entendu.

-A votre tour de tenir votre part du marché.

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