Malmenée Dans La Dépanneuse

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Voiture en panne en pleine campagne.
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Rainett
Rainett
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Bien sûr, je sais qu'il ne faut pas accepter de monter dans la voiture des inconnus. Bien sûr, je sais que les hommes se sentent forts devant une faible femme, et qu'ils aiment utiliser leur force. A 38 ans, je ne suis plus une oie blanche, et je suis suffisamment méfiante pour me tenir à l'écart des sales pattes des prédateurs. Je suis blonde, mais pas idiote. Mais je n'avais pas d'autre alternative.

Après avoir déposé mes enfants chez ma mère pour la journée, je pars en ville avec ma voiture. Les travaux sur la voie express rendent la circulation épouvantable. J'ai tant de choses à faire et si peu de temps. Je décide de me faufiler sur les petites routes de campagne. Lorsque ma voiture tombe en panne, l'endroit est désert. Je ne sais même pas où je suis, et je n'ai croisé personne depuis des kilomètres. J'ouvre mon capot et je descends de voiture. Mes connaissances en mécanique sont extrêmement limitées.

J'ai beau regarder le moteur, je ne vois rien d'anormal. De plus, la chaleur estivale s'intensifie. Le soleil plombe, il n'y a pas d'ombre, et je n'ai rien à boire. Je suis désespérée, lorsqu'un miracle se produit, une vieille dépanneuse se pointe. Deux gars à l'intérieur. Ce sont mes sauveurs. Ils s'arrêtent et descendent de leur tas de ferraille. Ils sont crasseux. Autant que leur camionnette. Et ils sont un peu trop sympathiques.

Ils regardent sous le capot mais, bien plus encore, ils regardent mes jambes et ma poitrine. Ils baragouinent quelque chose dans leur patois, ce sont peut-être des manouches, je ne comprends pas leur charabia. En tout cas, ils parlent de moi, et je semble les intéresser. Sans rien me demander, ils attachent ma voiture à leur dépanneuse. Lorsqu'ils sont prêts, un type monte du côté conducteur, et l'autre ouvre le côté passager et me fait signe de monter.

Ce qui m'a mise mal à l'aise, c'est leur regard de loup affamé pendant que je monte dans leur camion. Le conducteur lorgne dans mon décolleté, je me tourne et je vois l'autre qui est passionné par ce qui se passe sous ma courte jupe. La deuxième chose qui me dérange, c'est l'étroitesse du lieu. La banquette est assez large pour trois, je suis assez mince, mais les deux vieux sont massifs, et pas décidés à se serrer contre les portières. Ils puent la transpiration et la crasse, leurs cuisses épaisses et leurs épaules musclées m'écrasent, ils se pressent contre moi.

Mon genou gauche touche le levier de vitesses et, quand le conducteur passe les vitesses, sa main caresse aisément ma cuisse nue. Celui du côté droit, dont la chemise vante les mérites d'une marque de bière, appuie fortement son coude contre mon sein droit. Mes seins sont assez petits, mais c'est quand même inconfortable de sentir ce type me l'écraser sans vergogne. Le passager me dévisage avec un sourire de convoitise.

Il n'y a pas de climatisation dans le camion et mes cuisses nues collent au siège en vinyle. Ma transpiration forme une rigole entre mes seins. La suspension trop raide du camion, et l'état horrible de la chaussée se combinent pour nous secouer comme des prunes sur un prunier. Cela fait trembler les chairs souples de mes cuisses et de mes seins. Ces frémissements passionnent le passager qui contemple mes chairs tremblantes.

Je me sens assez exposée à sa convoitise avec ma courte jupe et mon chemisier décolleté. Le mec appuie son coude contre mon sein tellement fort que ça me coupe le souffle. Je me penche en avant pour lui échapper. Mais ce mouvement cause un bâillement de mon chemisier, et lui donne un bon panorama de mon soutien-gorge et de mon sein. Je baisse mon regard pour constater que mon téton dressé est visible à travers la dentelle fine du bonnet. Mes seins tremblent à cause des vibrations du camion.

Je lève ma main et je la pose sur ma poitrine pour tenter de rassembler les deux pans de ma chemise. Je dois être rouge comme une pivoine. Le camion roule maintenant sur une route droite, et le conducteur n'a plus besoin de changer de vitesse. Mais il ne se gêne pas pour laisser sa main posée sur ma cuisse. En voyant cela, le passager s'offre le luxe de poser sa main sur ma cuisse nue.

Mon agacement est monté d'un cran, alors j'ai repoussé leurs mains de mes cuisses. Mais cela ne les a pas impressionnés, juste un sourire narquois et ils remettent leurs mains. Je me suis énervée et je leur ai crié de ne plus me toucher. Mais le passager a attrapé ma main qui repousse la sienne et l'a tordue. J'ai failli m'évanouir de douleur. Il serre ma main tellement fort, en me tordant les doigts, que j'abandonne illico toute velléité de résistance. Ces gars sont des méchants, et ils peuvent me faire mal si je leur résiste.

Tant pis pour ma vertu, je ne veux pas être blessée. Je décide d'être docile. Le conducteur glisse sa main entre mes cuisses et trousse un peu plus ma jupette. Je reste stoïque tandis que la main du conducteur remonte l'intérieur de ma cuisse jusqu'à mon entrejambe. Juste je frissonne lorsque sa main frotte mon pubis par-dessus ma culotte. Le passager passe son bras à ma taille et saisit mon nichon. Sa main sale déboutonne ma chemise, découvre mon soutien-gorge, palpe ma poitrine et pince mon mamelon. Je n'ai pas pu retenir un gémissement de douleur qui les amuse.

Le conducteur attrape ma jambe et la soulève par-dessus la sienne, ce qui écarte mes jambes. Il a maintenant tout l'espace nécessaire pour jouer avec ma chatte. Il infiltre sa main dans ma culotte. Il caresse mes poils pubiens et mon pubis pendant un moment, puis il enfonce son majeur dans ma chatte. À ma grande surprise, cela entre facilement, parce qu'en fait, c'est plutôt lubrifié.

Le passager attrape mes longs cheveux et me force à l'embrasser, sa langue entre dans ma bouche et je la suce. Ensuite, ils ont tous deux ouverts leurs braguettes pour sortir leurs pénis en érection. On me place les mains dessus en m'ordonnant de les caresser. Nous continuons à rouler sur des routes de campagne étroites, je caresse leurs pénis pendant que le passager m'embrasse la bouche et me caresse la poitrine, et que le conducteur me doigte la chatte.

Bientôt, j'ai deux doigts dans ma chatte, je gémis en réprimant mes soupirs, mais ils ne peuvent pas m'entendre à cause du bruit du camion qui roule avec les vitres ouvertes. Le chauffeur m'ordonne de lui faire une petite gâterie. Je sais ce qu'il veut dire. Le passager me saisit par les cheveux et me pousse, le nez en avant, sur les cuisses du conducteur.

Avec dégoût, je pose mes lèvres sur le bout de son pénis. Les cahots de la route font que ça rentre tout seul. Ma bouche s'enfonce lentement sur son pieu. Le chauffeur pose une main sur ma tête pour que je descende un peu plus profond et sa bite heurte ma gorge, ce qui me provoque un haut-le-cœur.

Mes fesses sont soulevées par le passager qui trousse ma jupe et attrape la ceinture élastique de ma culotte. Il glisse ma culotte le long de mes jambes, et je peux sentir ma chatte humide exposée au vent. Quand il a finit de retirer le sous-vêtement, il écarte mes jambes pour jouer avec ma chatte. Je suis entièrement découverte sous la taille, un vieux cochon me tripote les fesses. Je suis complètement débraillée en haut, et je suce la bite d'un conducteur fou qui espère que la totalité de sa bite tiendra dans ma petite bouche.

Je ne sais pas si nous croisons d'autres véhicules, ni ce qu'ils peuvent penser de moi, mais je m'en fiche. Le passager rentre deux doigts dans ma chatte, puis trois, frotte mon pubis, gifle mon cul pendant que je suce le chauffeur avec toute l'application nécessaire. Le chauffeur qui a renoncé à faire entrer sa bite dans ma gorge, et qui tripote mes nichons exposés. Il me semble que cette situation dure une éternité, puis le conducteur a soulevé ses hanches, et je reçois ses jets de sperme chaud dans ma bouche. Prise par surprise, je m'étouffe au premier jet, je tousse, je crache, et le reste de son sperme me jaillit au visage.

Le passager me tire en arrière et me soulève des genoux du conducteur. Puis il m'installe à califourchon sur ses genoux, face à lui. Je chevauche ce vieux crasseux, assise cul nu sur ses jambes nues, son pantalon autour de ses chevilles. Il me fait descendre sur son pénis en érection, et je gémis tout le long de la descente. Il attrape mes hanches et m'attire contre lui, puis il commence à coulisser en moi. Il suce mes mamelons tout en malaxant mes fesses avec ses grandes mains calleuses.

Je me tiens à ses épaules, la tête penchée en arrière, et je gémis fortement pour exprimer mon plaisir d'être si bien baisée. Je connais les hommes, un peu de simulation permet d'accélérer le processus, et j'en ai marre de leur servir de poupée sexuelle. Plus vite il finira, plus vite je pourrai rentrer chez moi, prendre une douche chaude pour me laver de leur crasse.

Pendant que le conducteur me baise, le camion s'est arrêté dans ce qui me semble être une cour de ferme à l'abandon. Il gare sa dépanneuse derrière la maison, à l'abri des regards. Le passager me baise comme un furieux, je gémis et je couine aussi bruyamment que je peux pendant qu'il me pénètre profondément et brutalement. Nous sommes collés ensemble par la sueur, la graisse automobile, et le gras de ses mains.

Malgré la douleur et l'humiliation, inexplicablement, je perçois un orgasme en préparation ! J'essaye de me concentrer sur autre chose pour ne pas donner ce plaisir à cette brute. Je simule en couinant à chaque coup rapide, mais quand finalement il éjacule en moi, je m'effondre sur son épaule, secouée par un orgasme d'une force et d'une violence inouïe.

Le chauffeur m'attrape alors pour m'asseoir sur ses genoux, face à la route, le ventre contre le volant. Il est en moi et me baise durement, avant que je puisse me remettre de la séance précédente. Je n'ai plus de volonté, je ne suis plus qu'un jouet entre les mains de ces sauvages qui m'utilisent comme bon leur semble. Il saisit mes seins et tire sur mes mamelons pendant que je rebondis sur ses genoux. Je n'ai nulle part où aller me réfugier, je suis à leur merci, priant pour que cette folie dure le moins longtemps possible.

Bientôt, le passager se remet en scène, et se rapproche pour jouer avec mes cuisses et mes seins. Il pose ses doigts sur mon clitoris, et la magie opère. Je ne peux plus me retenir et je deviens vocale, en tortillant ma croupe et, à ma grande honte et humiliation, je reçois un terrible orgasme des mains de mes bourreaux. Le chauffeur me soulève et m'installe à quatre pattes sur la banquette, face au passager, les fesses en l'air.

Il s'accroupit sur le siège, contre mes fesses, se replace en moi, et me baise en levrette sur le siège. Cette position offre au passager ma bouche sur son pénis. Il se positionne, m'attrape par les cheveux, et installe sa bite dans ma bouche. Il pue, il est sale, plein de nos jus mêlés, mais je le suce avec vigueur. Je dois accélérer la cadence, cette plaisanterie n'a que trop duré, et j'ai encore beaucoup de choses à faire.

Le conducteur me heurte violemment par derrière, et cela enfonce brutalement le pénis de l'autre dans ma gorge. L'un des deux, je ne sais plus lequel, martyrise mes seins en tirant dessus et en tordant mes tétons. Je me tords comme un goret qu'on égorge, et je perds le peu de contrôle qui me reste. Tout m'échappe, ma chatte douloureuse me brûle, ma gorge s'étouffe sur la bite du mec, j'ai mal au ventre, aux reins, à la mâchoire, mais je jouis, encore et encore, sans pouvoir me maîtriser.

Mes muscles vaginaux se contractent autour du pénis du conducteur, et je suce aussi fort et aussi profond que je peux celui du passager. Je ne peux plus combattre. Je frissonne et je gémis, en proie à un orgasme intense, tout le temps que ces deux salauds jouissent en moi, l'un dans ma chatte, l'autre dans ma bouche. Je suis effondrée de honte et de dégoût.

Le passager a ouvert la porte et m'a jetée hors de la dépanneuse, entièrement nue. Le chauffeur a décroché ma voiture de la dépanneuse. Ils m'abandonnent complètement nue, au milieu de nulle part. En partant, ils jettent mes affaires, mon sac et mes clés, par la fenêtre en riant. Le conducteur m'a crié :

« Ta chignole a juste un fil desserré. Démerde-toi ! »

Je rassemble mes affaires et je me penche sous le capot ouvert. Juste un fil desserré, oui, mais lequel? À ce moment-là, un jeune type apparaît. Il est resté plaqué dans le bâtiment tout le temps? Il a tout vu et n'a rien dit?

Il se penche, inspecte le moteur, me regarde en souriant, et dit :

« Moi, je sais quel fil est desserré ! »

« Ben alors, qu'est-ce que t'attends, ducon, pour le resserrer? »

Mais il ne répond pas, se contente de me regarder en se caressant l'entrejambe. Ça va, pas besoin de me faire un dessin, je sais ce qu'il veut. Pas la peine de me rhabiller, je m'allonge toute nue sur la banquette arrière, et il s'allonge sur moi. Une demi-heure plus tard, je repars au volant de ma voiture réparée.

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3 Commentaires
trouchardtrouchardil y a 22 jours

Traduction du texte "Tow Truck Torment" publié en 2004 par George VI.

Il serait honnête de le citer, non ?

ANDRERP95ANDRERP95il y a environ 2 mois

Toujours aussi bien. Toujours aussi bon! Cela me rappelle les contorsions des nanas dans nos caisse pendant la fac. Certaines étaient vraiment très souples!!!

Bravo Chère Rainett.

AurailiensAurailiensil y a environ 2 mois

Aaah le charme des routes de campagnes ! Jolie histoire, parfois j'essaie d'imaginer sa position dans le camion... ils ne l'ont pas ménagée ! Merci

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