Du mauvais coté 05

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Paris 1943, notre anti-héros continue de profiter.
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Partie 5 de la série de 5 pièces

Actualisé 12/19/2023
Créé 03/26/2019
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Avant de vous laisser profiter de cette histoire, permettez moi de remercier Aurailiens, membre de cette communauté pour sa relecture et la correction des fautes d'orthographe qu'il a assuré.

Amandine est prosternée à mes pieds. Son dos est strié de marques de coups de cravache. Depuis des semaines, elle ne pleure plus. Au contraire, elle a appris à encaisser la douleur et l'humiliation avec des cris de souffrance, mais sans même l'amorce d'une révolte. Par contre, sa maîtresse est déçue, les contacts qu'elle a pris sont unanimes ; aucune vente n'est envisageable à court ou moyen terme, la guerre a asséché la clientèle. Ça et le puritanisme affiché du maréchal Pétain.

Je souris à Aurore.

- Je prendrai plutôt le votre, aujourd'hui.

- Je me demandais quand ce jour viendrait.

- Vous vous y attendiez?

- Vous aimez contraindre. Amandine ne vous amuse plus.

Elle n'a pas tort.

Elle revient vers le salon, et interpelle sa nièce.

- Tu vois, Mr Delbard n'a pas envie de toi, tu ne sais pas te rendre désirable.

- Pardonnez moi, ma tante.

- Je devrais te battre.

La petite se recroqueville.

- Je vais tenter de suppléer. Mais tu vas me préparer.

* Oui, ma tante.

Aurore dégrafe sa jupe droite, et enlève sa culotte. Elle plie soigneusement son vêtement et le pose sur l'accoudoir. Elle tend ses fesses rebondies vers l'arrière.

Amandine s'approche et commence à lécher l'entre-fesses de sa tante. Puis la petite amène un chiffon imbibé d'huile avec lequel elle caresse mon sexe dressé jusqu'à ce qu'il luise. La tante se met à genoux sur le canapé. La nièce se poste à côté d'elle, les bras ballants.

Je saisis la lueur d'appréhension dans le coup d'œil que me jette Aurore. Je souris méchamment, malgré ses rodomontades, elle a peur pour son cul.

Je pose la pointe de mon gland devant la petite porte que j'assiège.

Elle ne bouge pas. Avec un gros soupir, j'entre. Mon gland et toute la colonne de chair sont engloutis dans le rectum de la bourgeoise. Elle crache une sorte de feulement douloureux.Son cul se couvre de chair de poule. Je me tiens enfiché au plus profond de ses entrailles. Je sens l'étroit conduit vibrer autour de mon sexe. Je ressors presque entièrement, puis replonge. J'ai envie de la défoncer comme un soudard. Et c'est exactement ce que je fais. Le canapé grince à chaque coup de reins. Et elle crie. Elle gueule sa douleur. Lorsque je lâche la purée, elle a un couinement quasi animal.

Je me retire, et un peu de sperme coule paresseusement hors du trou qui se referme doucement.

- Viens me nettoyer, ordonne Aurore.

La petite se précipite et commence à lécher le jus blanchâtre mêlé de traces suspectes.

Quand elle a fini, je l'attrape par les cheveux et lui fait nettoyer mon sexe avec sa bouche.

Aurore accroche un sourire factice sur son visage couvert des traînées de son Rimmel.

- Vous vous êtes conduit comme une brute.

Je lui saisis une fesse.

- Je suis une brute.

Aurore me regarde dans les yeux.

- Je crois que j'aime cela. Un homme qui assume ses désirs.

- Pulsions.

- C'est presque la même chose.

-Une pulsion ne saurait accepter un délai.

Elle ne répond pas.

Maleka m'attend dans la cuisine.

Une toux discrète retentit alors que je penche ma polonaise sur la table.

Je me tourne vers un homme dégarni en costume.

- Monsieur?

- Kemper.

- Qu'est ce que vous faites chez moi?

- N'en veuillez pas à votre bonne, je l'ai menacée d'une arme.

J'écarte Maleka de l'axe du canon.

- Vous savez qui je suis?

- Oui.

- Si vous rangez votre jouet pour adulte, vous verrez le coucher du soleil demain.

- Vous êtes bien présomptueux.

- Je vous laisse 5 mn, après, j'essayerai de vous tuer.

- C'est moi qui suis armé.

- Je suis un policier français, je travaille pour l'occupant. Vous serez traqué comme une bête.

- Je sais que vous n'êtes pas corrompu. Je viens voir un flic honnête.

- Vous êtes mal renseigné.

- Je n'ai qu'un renseignement. Un nom.

- J'écoute.

- Franz. Mon interlocuteur m'a dit que vous sauriez.

Je réfléchis un instant. Mon fantôme favori vient me visiter. Rien d'étonnant. Je m'attendais à le voir passer dire bonjour tôt ou tard.

- Posez votre arme et dites moi ce que vous voulez.

Le chauve rengaine son arme.

- Je dois aller à Melun.

- Je ne suis pas taxi.

- Je suis recherché.

- Pourquoi?

- Je crois que vous comprenez

Je réfléchis. Il a les cartes en main. Je suis obligé de l'emmener.

- Ça va être cher.

- L'argent peut se trouver.

- Dites " Madeleine" à votre interlocuteur.

- Bien. C'est tout?

- Ne prenez aucun document, ni arme.

- Entendu.

- Rendez vous 06h00, demain.

Maleka se mord les mains d'angoisse quand il est parti.

- Pourquoi as-tu ouvert?

- Il connaître le code. Il frappe comme toi si pas tes clefs.

J'ai été filé. Soit "Vigie" a appris à travailler, soit des gens nettement plus dangereux sont à la manœuvre.

Je penche Maleka sur la table. Elle est passive, comme à son habitude mais je la sens se détendre. Je sais que je devrais la battre pour son erreur, mais j'ai une meilleure idée.

Après le repas, et alors qu'elle a fait la vaisselle, je l'appelle.

Elle accourt. Elle se fige en voyant ce que je tiens dans la main.

Je joue avec le godemichet noir.

- Approche.

Elle vient doucement, en murmurant ce qui ressemble à une prière dans sa langue. Je me lève et lui fourre le tube de caoutchouc noir dans la bouche pour qu'elle l'humidifie. Je la place ensuite en travers de mes genoux et lui travaille l'anus de mon index et mon majeur joints.

Elle n'ose pas gémir, mais je sens que la séance ne lui plaît guère. Elle couine quand je place l'objet.

Je la relève, ramène les chaînettes sur le devant, fait un tour autour des hanches et verrouille le cadenas juste au dessus de ses fesses. Elle se tortille, mal à l'aise.

- Tu vas le garder jusqu'à ce que je revienne. T'as intérêt à ce que ce con soit bien ce qu'il prétend être. Si je ne reviens pas, il faut une scie à métaux pour te l'enlever.

Je la baise ensuite et le volume dans son arrière train la gêne.

Le chauve tique méchamment lorsque Inga descend de la voiture.

- Ne vous inquiétez pas, monsieur le résistant, je ne suis pas une supportrice du petit peintre.

Il monte à l'arrière. Je vois son air soucieux. Je lui tend un carton.

Il regarde la carte d'auxiliaire de police.

- Ça vous fera pas passer la Loire, mais ça passera pour Melun.

Le trajet dure une heure et demie. Le chauve se détend progressivement. Les barrages sont franchis sans encombre grâce à ma carte de police.

Inga fait quelques effets de décolleté au bénéfice des plantons.

La gare de Melun est à peine gardée.

On dépose l'ordre de Gunther à la Kommandantur, et le plein fait, on retourne sur la capitale. La voiture repart dans le garage de la préfecture.

Je croise des gestapistes en costumes coûteux aux bras de filles en tenues suggestives et talons aiguilles. Ils ne me regardent même pas. Depuis le début de l'hiver 43, ils sont pris de frénésie, comme des loups qui sentent que l'hallali est proche.

Je passe au garage que je loue pour déposer les éléments relatifs à aujourd'hui.

Je me suis retourné plusieurs fois et me déplace avec prudence pour détecter une filature. Rien. Qui que soit ceux qui ont monté le transport du jour, ils sont passés à autre chose.

Madeleine est une jeune femme au début de la trentaine, professeur dans un lycée parisien. Elle m'attend au pied de mon immeuble, sanglée dans un long manteau marron.

Je l'invite à monter.

Maleka m'attend dans la cuisine. Elle semble souffrir beaucoup. Je déverrouille le cadenas et l'envoie aux toilettes.

Je me tourne vers Madeleine. Elle a les yeux écarquillés.

- Elle était punie.

- Je ne vous demandais pas.

- Je préfère vous mettre au courant. Si tout va bien, vous ne serez pas punie.

- Qu'attendez vous de moi?

- Votre chef ne vous l'a pas dit?

- Il s'agit de quelque chose de sexuel, si j'ai bien compris.

Je la regarde. Elle sait qu'elle vient baiser.

- Vous êtes toute à moi jusqu'à demain.

- Pourquoi?

- Je ne cherche pas la fortune. L'argent n'est qu'un dérivatif pour les crétins. Les allemands sont en train de perdre.

- Comment pouvez vous dire une chose comme ça?

- Depuis Koursk, les allemands reculent en Russie. Les américains sont en Italie. La résistance emmerde l'occupant comme jamais. L'heure des comptes approche.

- Et quel profit espérez-vous de moi?

- Aucun, mais je sais que votre chef en pince pour vous. C'est lui que j'humilie pour m'avoir forcé la main.

Elle soupire. Maleka revient, son visage a retrouvé des couleurs.

- Je vous présente Michelle, elle vit avec moi.

- Bonjour.

Maleka me regarde, étonnée. Je lui fais un sourire et elle se souvient que Michelle, c'est elle. Elle salue respectueusement Madeleine.

- Madeleine est à nous jusqu'à vendredi matin. Tu vas l'emmener dans la chambre et l'habiller comme j'aime.

- Oui...

Je vois la jubilation dans le regard de Maleka. Elle précède la grande dame dans le couloir.

Madeleine entre dans la salon. Elle est au bord des larmes. Elle porte un soutien-gorge aux balconnets découpés et un porte jarretelles. Sa chatte est très fournie et remonte même sur le bas de son ventre.

- Sacré tablier de sapeur.

- Pardon?

- Vois avez le sexe très fourni.

- Ces talons me font mal.

Elle est perchée sur des aiguilles de douze.

- Vous avez raison, venez donc à quatre pattes.

Elle hésite puis s'exécute, elle lève les yeux vers moi depuis le sol, elle a avancé jusqu'à être entre mes jambes.

- Sortez la et sucez la, vous êtes là pour ça, non?

Elle s'escrime sur les boutons de ma braguette puis écarte les pans de mon pantalon. Elle abaisse l'élastique de mon slip et ma bite se dresse fièrement. Je suis resté assis au volant toute la journée. L'odeur est musquée. Elle grimace légèrement mais se met à l'ouvrage. Sa bouche est chaude et humide, mais un peu inerte, bien qu'elle bouge doucement sa langue.

Je lui maintiens la tête pour qu'elle avale tout.

Elle me regarde, elle a de la bave sur le menton. Je l'envoie avec Maleka pour préparer le dîner.

Je dîne de ragoût avec des pommes de terre.

Je glisse ma main sous la jupe de ma petite polak. Elle est toute mouillée.

- Madeleine, tu excites ma concubine.

Maleka s'agite sur mon doigt. Madeleine ne répond pas.

- J'aime une bonne enculade, après mon café.

- Ha...

- Maleka, enlève ta robe, Madeleine va te préparer.

Maleka se penche sur la table et Madeleine lui lèche le cul. Je passe derrière elle et sors mon sexe.

Son sexe est fermé et je dois forcer pour entrer. Mais le trait rouge qui sépare le buisson fourni de Madeleine cède et je m'enfonce dans ses chairs tendres. Elle interrompt ses soins envers Madeleine et gémit.

- Continue ce que tu faisais, Madeleine.

- Vous me faites mal!

- Tu n'as qu'à être mouillée.

Madeleine n'est pas vierge.

- Tu as déjà été prise.

- Des allemands, répond Madeleine d'une voix essoufflée. Ils m'ont violée...

C'est donc la deuxième fois qu'elle subit.

- Tu as un petit ami?

- Non.

- Pourquoi?

- Pas le temps.

Je ricane.

- Si la rue Lauriston te chope, tu vas le sentir passer.

Maleka couine de plaisir. Je prends Madeleine aux hanches et pousse tout ce que je peux. Elle est obligée de s'appuyer à la table.

- N'arrosez pas ma matrice, c'est ma période de fertilité.

Je sors mon sexe luisant de la mouille que son corps a mécaniquement sécrétée.

- Mets toi à quatre pattes, Maleka.

La petite se met en position, ses petites fesses cambrées. Son petit trou rose est toujours fermé, mais il semble moins serré que d'habitude.

Je pointe mon gland décalotté contre l'orifice convoité et m'y enfonce sans problème. Maleka lâche un petit soupir où plaisir et douleur se mêlent. Je sais qu'elle est fière de se faire prendre devant Madeleine, car dans son esprit simple, toute nouvelle venue est une rivale.

Je prends mon temps sous le regard horrifié de la jeune résistante.

Finalement, je lâche les vannes et inonde le fondement de ma petite esclave domestique.

Maleka a une sorte de petit rire nerveux.

J'ordonne à Madeleine de s'allonger sur le dos et de récurer l'anus de celle que je viens d'enculer. Elle renâcle mais je lui rappelle qu'elle m'appartient pour l'instant.

Les bruits de succion s'élèvent dans le silence, entrecoupés de sanglots d'humiliation. Madeleine déteste ce que je l'oblige à faire.

Après quelques minutes, je libère les jeunes femmes.

- J'ai envie de prendre un bain.

Maleka entraîne Madeleine vers la cuisine où une gamelle d'eau doit déjà être en train de chauffer.

Le bain est chaud. J'aime cette sensation de l'eau chaude qui m'entoure.

- Donne l'éponge à Madeleine.

Maleka tend son éponge à la jeune femme. Le regard de la petite polonaise en dit long sur sa jalousie...

Madeleine me lave partout, soignant particulièrement l'entrejambe auquel elle sait qu'elle aura encore affaire.

Ses seins offerts touchent même l'eau deux ou trois fois.

Je sors de l'eau et me sèche avec une grosse serviette éponge.

Je me tourne vers Maleka.

- Va chercher la gaine pour notre invitée.

Cette fois ci, le sourire méchant qui illumine le visage de la polonaise fait plaisir à voir.

Madeleine enlève les sous-vêtements indécents et Maleka place la gaine. Elle serre. Les seins de la jeune femme sont soulevés quand sa taille est serrée. Ses fesses généreuses semblent encore plus volumineuses.

- C'est horrible, dit Madeleine.

- Ce n'est rien à côté de ce que portaient les femmes en 1900.

Elle sait ce que je projette.

- Vous voulez me prendre comme...elle.

Elle désigne Maleka. J'avoue :

- J'ai une passion pour le petit trou des dames. Pour moi, la façon dont vous allez le supporter me dira si vous êtes digne ou pas de mon respect.

Je l'allonge en travers de mes genoux. Maleka arrive déjà avec du beurre.

- Tu vas la préparer toi même.

Maleka s'approche, prend un peu de beurre sur son index et graisse le pourtour de la rosette de Madeleine. Puis elle introduit le majeur. Madeleine respire plus vite mais ne pipe mot. Maleka à maintenant l'index et le majeur dans l'anus vierge et tourne doucement les doigts pour assouplir l'orifice.

- Bien, mettez-vous à genoux sur le canapé avec les fesses tendues vers moi.

Madeleine se positionne avec précaution. Elle grimace. Le corset est serré.

Je présente mon membre à la porte de derrière de Madeleine.

- Doucement, par pitié,supplie-t-elle.

Je ne connais pas la pitié. Si j'entre doucement, c'est pour profiter de son désarroi quand elle découvre la sensation pénible d'avoir une bite dans le cul.

- Assez, gémit elle.

- Tu plaisantes, j'espère.

Elle pose sa main sur ma cuisse, dérisoire tentative de retarder l'inévitable.

Je suis fiché tout entier dans son rectum, et bien qu'elle couine de douleur comme une truie, son cul est accueillant, elle est même moins serrée que Maleka.

- Ma salope! Si je ne te connaissais pas si bien, je jurerais que tu t'es déjà faite enculer, et pas qu'une fois. Ton cul est aussi large qu'une chatte!

- Jamais, je vous jure.

Peu importe qu'elle mente, je lui casse les fesses. Elle supplie, pleure, gémit et me maudit. Elle cherche même à s'échapper mais ne réussit qu'à se retrouver plaquée contre le mur. Le papier peint est mouillé de sa bave et de ses larmes.

Je finis par jouir dans son cul vaincu. Lorsque je sors, elle s'effondre au sol en position fœtale en pleurant à chaudes larmes.

Je fais signe à Maleka qui est écarlate.

- Ça t'excite.

- Oui, monsieur.

- Donne lui un bain, et venez vous coucher.

Le sommeil me prend très vite. Je me réveille dans la nuit noire. Je me tourne vers la gauche. Dans la pénombre, je distingue les courbes voluptueuses de Madeleine. Je tends la main et caresse l'arrondi d'une hanche. Je la sens frémir, mais elle continue à simuler le sommeil. Je la tire vers moi et la place à plat ventre alors qu'elle proteste d'une voix ensommeillée. Je ne la laisse pas décider

- Silence.

Je suis bon prince, je la doigte un peu pour ouvrir son sexe. Puis je m'introduis. Je pèse de tout mon poids du haut de mon corps sur elle, tandis que mes hanches s'activent. Elle ahane sous mes coups de reins. Je sens la sève monter peu après.

- Pas dedans, s'il vous plaît.

Je lève les yeux au ciel, mais je sors et la retourne en la tirant par les cheveux, ce qui lui arrache un petit cri. Je force sa bouche et libère mon jet de foutre dedans.

Le matin me trouve en train de la besogner sur la table de la cuisine.

Cette fois-ci, je lui éclabousse le visage. Quelques fils blancs vont même se perdre dans ses cheveux.

- J'ai à faire au bureau, mais je tâcherai de finir tôt. Sois prête à tout quand je reviens.

Inga m'attend derrière son bureau en manipulant quelques paperasses.

- Ça va? Tu as l'air fatigué.

- J'ai une invitée.

- Ach so...

- Oui, je l'ai un peu débourrée, mais la pouliche reste rétive.

- Je te fais confiance, tu vas la briser.

- J'y suis presque, mais elle a très peur de tes compatriotes.

- Tout le monde a peur de nous dans le pays.

- Elle a été violée pendant l'exode.

La grosse allemande lève un sourcil et arbore un petit sourire gourmand.

- C'est une invitation?

- Si tu veux.

Son rire joyeux résonne dans le bureau.

Nous expédions les affaires courantes pendant la matinée. Inga me jette de fréquents regards en coin.

Lorsque Inga entre dans la cuisine, Madeleine se pétrifie de terreur. J'entre à sa suite avec un petit sourire.

Madeleine lèche la chatte de ma secrétaire depuis une bonne demi heure. Et je vois à l'humidité qui perle le long de sa fente qu'elle aime ça. Je lâche Maleka sur la jeune française. Les doigts fins de la petite polonaise font enchaîner les orgasmes à la jeune résistante. Après un petit quart d'heure, je l'encule de nouveau, mais la langue experte d'Inga la fait jouir avec mon vit au plus profond de son fondement. Folle de sensualité, elle accepte tout, je lui pisse dessus dans la baignoire et elle accepte de s'abreuver d'urine la bouche collée à la vulve d'Inga.

Le soir, après un repas partagé entre Inga et moi, je lui fait subir une gorge profonde alors qu'Inga la lèche.

L'allemande s'éclipse peu après et je laisse Madeleine dormir sur le canapé pour profiter de Maleka de toutes les façons possibles.

Le jeudi matin, je salue Madeleine qui a retrouvé sa tenue de professeur.

- Alors, quel bilan tirez-vous de votre visite?

- Une révélation. Je n'aime que le corps des femmes.

- Vous avez été une très bonne invitée.

- Merci, je suppose...

- Dites aux autres que s'ils me forcent encore la main ainsi, je ne les protégerais plus.

- C'est moi qui ai le plus payé.

Je pars en ricanant. Je me sens bien, même si le froid de cette année 1943 finissante est piquant.

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