Dérapages. 02

BÊTA PUBLIQUE

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- Tu as encore envie de la baiser?

Manon se met à sangloter encore plus fort, en entendant mes mots, signifiant que ses orifices vont encore prendre. La jeune fille pleure et souffre tellement, qu'elle fait des soubresauts sur le lit.

- Putain, oui.

- Tu peux rester quelques jours si tu veux profiter d'elle.

- Non, je vais partir quelques jours pour un truc, je ne peux rester que jusque à demain matin.

- Pas de soucis alors, profite bien d'elle. Tu peux tout lui faire, n'hésite pas à la cogner si elle n'obéit pas. Mais attention, aucune marque permanente, je tiens à sa beauté. Moi, je vais dormir. Tu peux la baiser dans sa chambre si tu veux.

- Je préfère sur le canapé, comme cela tu entendra moins ses hurlements.

Sa réponse m'a fait rire, cela présage un reste de nuit, très dur pour la jeunette.

- OK mon pote. Bonne bourre et à demain.

- Une dernière chose, tu compte faire pareil avec Carla?

- Pour Carla, j'aimerais bien, mais avec ma fille chez moi, cela va être dur.

- Ben fais toi ta fille, ce serait sympa, à moi, elle me plaît bien. C'est un vrai canon.

- Je vais pas me faire Jess quand même, c'est ma fille.

- Oui, il n'y a pas trop de convictions dans ta voix, après c'est toi qui vois. Bon allez, je descend avec ta chienne, elle va s'ennuyer sinon.

On avait tellement démonté Manon, que Paul fut obligé de la soutenir pour la faire marcher. Elle ne tient pas debout tout seul. C'est dans un lit trempé de sperme que je me suis endormi.

Je me suis réveillé le lendemain à neuf heures. Enfin, c'est plutôt le téléphone qui me réveilla. C'était Jessica. Je me demandais ce qu'elle voulais.

- Allô, Jess, ça va?

- Nickel, je t'appelle pour te dire que je rentre plus tôt.

- Quand?

- Dans une semaine.

- Comment cela se fait? Un souci?

- Non, au contraire. Je t'ai parlé vite fait de ma boîte.

- Oui, tu es dans le conseil d'image.

- Entre autres. Je fais aussi dans la sécurité informatique, mais comme je n'avais pas de contrat, je ne t'ai pas parlée de cette partie. Les deux n'ont rien a voir, mais je suis la meilleure dans les deux.

- OK. Je sais que tu es la meilleure dans tout ce que tu fais. Et je ne dis pas cela parce que je suis ton père.

- A d'autres, papa. Bref, j'ai signé un contrat pour la partie conseil en image, pour la Banque Internationale de France. La plus grosse du d'Europe, la numéro deux au niveau mondial. La seule à ne pas être côté en bourse.

- Putain, c'est génial, tu va gagner beaucoup?

- Plusieurs dizaines de millions par an. Le boss de la banque veux que je refasse tout ce qui est image de la banque, ainsi que de tout les employés. Un truc de ouf. Mais ce n'est pas tout. Pour la partie informatique, je me suis endettée énormément pour pouvoir construire ce que l'on appelle une ferme. Un espèce de coffre inviolable, où toutes les données informatique d'une entreprise sont gardée. C'est une cage de Faraday, avec une protection informatique supérieur à celle de la NSA. Bref, je vais avoir le contrat pour la banque et pour tout ses principaux clients. Un contrat de plusieurs milliards, avec de gros bénéfices en vue.

- Putain, pour une bonne nouvelle, c'est une bonne nouvelle. Tu as rencontré la gars de cette banque au Brésil?

- Non, c'est le père de la personne qui partage ma vie depuis cinq ans.

- Tu fréquentes quelqu'un depuis cinq ans, et tu ne m'en as jamais parlé?

- Ben c'est que ce n'est pas facile à dire à son père.

- C'est bon, je ne l'aurais pas tué ton petit ami.

- Ben c'est le problème. Je n'ai jamais pus te le dire, car c'est pas un homme, c'est une fille. Je suis lesbienne papa.

Merde, là cela me fou un choque. Pas que ma fille soit gay, elle fait ce qu'elle veut. Mais l'image qui m'est apparut me choque. Moi, transformant ma fille et sa copine en esclave sexuelle comme Manon. Je suis resté quelques secondes silencieux.

- Tu ne dis rien papa, tu es fâché?

Le ton de sa voix est inquiet.

- Oui, assez.

- Mais je suis comme cela depuis petite. Je...

Je l'interrompt.

- Non, le fait que tu sois gay ne me gêne pas. L'important c'est que tu sois heureuse. Je suis vexé, parce que tu m'as jugé assez réac et rétrograde pour ne pas accepter ton homosexualité!

Ma fille rigole. J'entends du soulagement dans sa voix.

- Merci papa, tu es le meilleur des pères. Alors je peux passer avec elle quand j'arrive?

- Oui, avec plaisir.

- On ne restera que quelques heures. On partira ensuite sur Paris, il va falloir que je me trouve un immeuble de bureau, ainsi qu'une centaine de nouveaux employés. Anne, mon amie, partira un an en Amérique pour finir ses études. Mais je te rassure, on se verra de temps en temps, elle et moi. Par contre ça ne te dirais pas de t'installer sur Paris, pour que je puisse te voir très souvent?

- Oui, il faut que j'en parle à Carla, mais on prendras au moins une résidence secondaire là-bas.

- Cool, je t'aime papa. Je te laisse, alors à dans une semaine. Bisous.

- Bisous ma chérie.

La conversation avec ma fille m'a troublé. Après ma discussion avec Paul, je ne sais plus où j'en suis. J'ai mis mon caleçon et je suis descendus. Il n'y avait aucun bruit, j'ai présumé que Paul était partit. Je suis allé me prendre une douche, puis je suis descendu dans la cuisine pour faire mon café. Quand je suis rentré dans le salon, je suis resté étonné. Paul était couché sur Manon, en train de la sodomiser par devant. Ma belle-fille avait les jambes haut-relevées pour permettre à mon ami de l'enculer comme ça. Ses yeux étaient résignés, vides. Elle fixe le plafond, ne semblant rien voir. Elle est couverte de transpiration, de sperme, de bleus. Elle a de la semence masculine dans les cheveux, sur le visage, les seins... Sa lèvre est fendu, son œil droit est au beurre-noir, pratiquement fermé. Elle semble ne rien voir, ne rien ressentir, on dirait une poupée-gonflable. Ses cheveux sont trempés, tout comme son corps, il a dut vraiment en mettre un coup pour la faire transpirer comme cela.

- Merde, tu la baise encore?

- Oui, elle est partie ailleurs dans sa tête. Cela fait au moins trois baise qu'elle ne réagit plus. Essaie après, tu verras, c'est top aussi.

Je bois mon café, pendant que Paul fini avec Manon. Je l'entends geindre quand il jouit. Je regarde, il se retire, se lève, il appuie sa bite contre les lèvre de ma belle-fille. Comme un automate, elle ouvre la bouche. Il s'enfonce dedans, il iras jusque au bout de sa fellation. Manon avale tout. Mais ni ses yeux, ni son corps n'ont bougé.

- Je vais prendre une douche, je reviens te dire au revoir.

- Il y a du café chaud dans la cuisine si tu en veux avant de partir.

- Avec plaisir, je me le sert en redescendant.

Je regarde Manon, elle reste inerte, dans la même position. Du sperme s'échappe de son anus boursouflé, elle en a aussi sur son menton. Ses orifices ont vraiment morflé. Les lèvres de sa vulve sont aussi boursouflée que son anus. Son entrecuisse est toute bleuis. Pauvre fille, on y est allé vraiment fort avec elle.

Paul redescend, il est habillé. Une tasse de café dans les mains.

- Putain, ce qu'elle a prit la Manon cette nuit.

- Grave, on l'a massacrée.

- Oui, par contre je l'ai un peu cognée. Je l'ai baisée, avec une capote, quand je suis descendu, je l'ai enculée ensuite. Mais quand j'ai voulu la baiser de nouveau, elle m'a fait son cinéma, elle a essayé de me frapper. Alors je l'ai calmée, comme tu peux voir.

- Je vois, tu as bien fait.

Paul vide son café.

- Allez, j'y vais mon pote, je reviens dans dix jours.

- Ben passe directement si tu veux, on pourra encore s'éclater avec elle.

- J'y manquerais pas mon ami. Merci pour tout. N'oublie pas de réfléchir pour ta fille et Carla.

Je n'ai rien répondu, mon cerveau est suffisamment troublé comme ça. Pas la peine d'en rajouter. J'ai regardé Paul partir. Je me suis déshabillé, j'allais envoyer Manon sous la douche, mais avant j'allais la tirer un coup. Elle n'a pas bougée quand je l'ai doigtée, ni quand je l'ai pénétrée. Pas plus quand j'ai jouis en elle avant de l'enculer. Je me suis vidé une nouvelle fois dans son anus. Manon était toujours immobile partit je ne sais où.

Du coup je ne l'ai pas lavée. Je l'ai prise plusieurs fois dans la journée, par devant ou par derrière, sans aucune réaction de sa part. Je suis un peu inquiet, mais pas plus que cela. Tant que je peux me servir de son corps... Ce n'est que vers vingt-deux heures, alors que je mangeais dans la cuisine, que Manon est revenu à elle. J'ai été surpris de la voir arrivée, marchant difficilement.

- Léo, j'ai faim.

Je l'ai regardée. Quand j'ai vu son regard mort et résigné, j'ai compris. J'avais gagné. Manon serait mon esclave, ma putain.

- Il y a de la salade, assis-toi.

Comme une automate elle m'a obéit, Manon s'est mise à manger. On dirait que ce qu'elle mastique n'a aucun goût. A partir de ce jour-là, elle est devenue une vraie soumise. Me tendant le cul, la chatte ou la bouche à chacune de mes demandes. Sans jamais rechigner. Se contentant de pleurer et de crier quand je lui fait mal. Ma belle-fille ne portera jamais plainte, devenant la plus parfaite soumise, la meilleur esclave sexuelle qu'un homme n'ai jamais rêvé.

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Anonymous
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2 Commentaires
liviolheureliviolheureil y a plus de 6 ansAuteur
fin.

Je me la joue série américaine. C'est pour vous faire languir du prochain chapitre. En fait, j'ai été obligé de couper à un moment ou un autre, pour ne pas envoyer un pavé trop rebutant. Mais le chapitre trois est déjà envoyé à literotica.

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Fin trop rapide

Quel dommage que l'histoire s'arrête si brusquement!!!

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