Dérapages. 02

BÊTA PUBLIQUE

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- Oui, vous organisez une soirée?

- Pas vraiment, il n'y aura que moi et Manon. Ma fille est chez sa mère pour trois semaines, Carla à Londres pour un film.

- Si il y a Manon je viens, ta belle-fille est tellement magnifique. Dommage qu'elle n'ai pas dix ans de plus.

- Pervers. Je te laisse, à demain. Viens vers vingt heures.

- OK, à demain.

Je savais Paul très porté sur le sexe, même violent. J'allais en faire le premier homme à part moi, à profiter des charmes de ma douce belle-fille. Quand on frappa à ma porte, je me mis à bander immédiatement en imaginant la nuit que j'allais passer avec Manon.

- Entre.

Nue, comme je l'oblige à rester, Manon reste debout au pied du lit. Putain que ses seins bien ronds sont magnifique, je ne me lasse pas d'admirer son corps. Je prends une pilule de Radiu. Ma belle-fille me regarde interrogative.

- C'est quoi?

- C'est pour pouvoir te baiser quelques heures durant.

Manon attends mes ordres, restant debout devant le lit. Elle me lance un regard épouvantée quand mon sexe se dresse.

- Viens te coucher.

- Dans quelle position.

Merde, ce qu'elle est soumise.

- Couchée sur le ventre, jambes serrées, bras croisés, tête posé dessus.

- Tu vas me prendre par où?

- Je vais t'enculer.

- Mon dieu...

- Allez, viens.

Même si l'idée de ce qui l'attend la terrifie, Manon monte sur le lit. Comme d'habitude, elle se met à pleurer. Je ne sais pas pourquoi les larmes de ma belle m'excite autant. Manon se couche contre moi, prenant la position ordonnée. Je me couche sur elle, insérant ma bite entre ses fesses merveilleuse sans la pénétrer. Ma belle-fille gémit en sentant mon gland contre son petit anneau.

- Pitié, vas-y doucement...

Je n'ai rien dit, me contentant de donner un grand coup de reins, la pénétrant de la moitié de ma longueur, la faisant hurler encore et toujours. Manon contracte son anus, ses entrailles. Elle ne s'en rend pas compte, mais elle rend ainsi son enculage plus douloureux encore. Moi je m'en fou, ça me donne l'impression de la dépuceler une nouvelle fois. Un second coup de reins, achève de m'enfoncer en entier dans l'orifice étroit. Le cri de ma belle-fille augmente encore de plusieurs décibels. Mais je n'en ai cure, seul mon plaisir importe. Elle ne compte pas pour moi, pas plus qu'une poupée gonflable. Ce qu'après tout, elle est devenue. Je passe de nouveau mes mains sous son corps, pour lui torturer les seins, ce que vous l'avez compris, j'adore faire. Couché sur elle, je serre ses jambes et ses fesses à l'aide des miennes. Je rends ainsi son anus, qu'elle contracte déjà beaucoup trop, encore plus étroit. Manon ne sais pas comment je fais, mais à chaque viol, j'arrive à la faire beaucoup plus souffrir que lors du précédent. Je me mets à la bourrer de coups de reins. Faisant frapper mon ventre contre ses fesses fermes, dans un grand bruit de claque mouillée. Une nouvelle fois, les hurlements de ma belle-fille sont atroce. Mais ils résonnent comme la plus belle des musiques à mes oreilles.

Malgré mon envie de jouir rapidement en elle, je fais durer le plaisir, je prends mon temps, me retenant d'exploser dans son fondement. Je la secoue de plus en plus fort, lui démontant le cul. Comme une bonne soumise, Manon hurle, mais ne se défend pas. Elle me laisse faire ce que je veux de son corps. Ma belle-fille à accepté dans son âme d'être mon trou-à-bites. J'en profite, je la défonce toujours plus fort, un véritable piston qui lui démonte ses entrailles. J'ai tenu vingt minutes à violer ses fesses, avant de me planter puissamment en elle, et de déverser entre ses reins, un véritable geyser de foutre. Je me suis écrouler sur elle, mon engin toujours dur.

- Pitié, Léo, sort, je t'en supplie, sort.

- Pourquoi?

Tu me fais top mal par là. Tu vas me tuer!

- Tu n'as pas mal par devant?

- Moins. Puis je te l'ai dit, je préfère tomber enceinte plutôt que tu me sodomise.

- On verra pour après, pour l'instant j'ai envie de t'enculer encore un peu.

- Je n'en peux plus, je te jure, je n'en peux plus.

Pour toutes réponses, j'ai recommencer de nouveau à la pistonner par derrière. Je lui ai, volontairement, fait le maximum de mal possible. Lui défonçant l'anus comme un soudard. Je l'ai enculée longtemps. Quand enfin j'ai jouis dans son corps, je me suis retiré d'un seul coup. Roulant sur le dos, m'allongeant contre le corps trempée de sueur de Manon. En geignant de douleur, elle s'est agenouillée, a prit ma bite dans sa bouche pour me la nettoyer. Une fois qu'elle fut propre, je lui ai ordonné de cesser sa fellation, de se recoucher sur le ventre.

Je suis allez uriner, quand je suis revenu, Manon n'avait pas bougée d'un centimètre.

- J'ai encore envie de ton corps.

Elle ne m'a pas répondu. Je suis remonté sur le lit. La jeunette à soulevée son bassin, m'offrant son vagin. J'ai accepté son cadeau, je me suis couché de nouveau sur elle, m'enfonçant dans son vagin. Il a fallu que je me vide deux fois dans son utérus pour que l'effet des pilules disparaisse. En lui caressant le clito, j'ai encore donné un orgasme à Manon. Qui comme pour les autres le vécu très mal. Ce qui ne l'empêcha pas de me lécher la bite quand j'en ai eus fini avec elle. Comme d'habitude, je me suis endormi, en entendant Manon sangloter.

Le lendemain matin, je l'ai réveiller en l'enculant, alors qu'elle dormait encore, couchée sur le côté. Elle a eut de la chance, j'ai rapidement éjaculé. Le reste de la journée c'est passé assez difficilement pour Manon. J'ai pris plusieurs pilules pour pouvoir la baiser toute la journée. Lui faisant connaître sa première éjaculation faciale, ainsi que sur son dos, son ventre et ses seins. A part le matin, je ne l'ai enculée que deux fois, jouissant majoritairement dans sa chatte. A dix-neuf heures je suis allé prendre ma douche avec Manon. Je l'ai enculé sous le jet d'eau. Elle a ensuite préparé le repas pour le soir. Vers dix-neuf heures quarante-cinq, j'ai entrouvert la porte de la villa. Je suis allé m'asseoir dans le canapé, obligeant Manon à se mettre à genoux et à me sucer. A vingt heures pile la porte c'est ouverte.

J'ai entendu une voix en provenance du corridor de l'entrée.

- Léo, c'est moi, c'était ouvert, je me suis permis d'entrer.

- Tu as bien fais.

- Tu es où?

- Je suis dans le salon.

J'ai entendu les pas de Paul, ils se sont arrêtés à l'entrée de la pièce.

- Merde, si je m'attendais à ça!

Manon à voulut relever la tête pour voir qui c'était, j'ai appuyé sur son crâne pour lui faire comprendre de continuer sa pipe.

- Tu couche avec ta belle-fille?

- C'est plus compliqué que ça.

- Elle est bonne au moins?

- Oui, délicieusement serrée. Tu peux te joindre à nous pour voir.

- Quoi?

- Tu as bien compris. Tu peux la prendre par la chatte si tu mets une capote, par derrière tu peux la prendre à nu. Pour les capotes, il y en a des centaines dans le tiroir du meuble de l'entrée. J'ai fais une grosse réserve.

Manon a grogner tout en me suçant, une petite tape sur le crâne l'a faite taire.

- Je vais tester son cul, ce n'est pas poli d'utiliser une capote quand on a une invitation comme la tienne.

Paul ne se fait pas prier, il se déshabille rapidement. Ma belle-fille n'a pas de chance, son sexe est à peine plus fin et moins long que le mien.

- Tu peux y aller franco, si son trou du cul est putain d'étroit, on y rentre facilement!

Manon grogne une nouvelle fois tout en me suçant, une nouvelle petite tape sur le crâne la fait de nouveau taire. Manon sursaute quand Paul se colle à elle, la prenant aux hanches. Elle gémit quand mon pote pose son gland contre l'entrée de ses reins. Il est comme moi, il la pénètre d'un seul coup. Manon hurle de douleur, cri absorbé par le pieu plongé en elle, faisant office de bâillon de chair. Ma petite chienne, qui ne pleurait pas en me suçant, se remet à pleurer en se faisant péter la rondelle. Qu'est-ce-que elle peut être chochotte.

- Putain, cette salope est putain de bonne. Elle est super étroite du cul, tu l'as dépucelée analement quand?

- Hier. Mais elle se contracte tellement, que l'on dirais qu'elle est encore pucelle.

- J'espère qu'elle le fera longtemps, comme ça son anus restera aussi serré!

Puis Paul se tait, reprenant sa sodomie. Il ne tarde pas à jouir dans le trou du cul de ma belle-fille. Se retirant lentement. Il me regarde.

- Si je jouis sur ses fesses, je peux essayer sa chatte?

- Si tu jouis pas dedans, oui.

- Merci mon pote.

Bandant toujours Paul pénètre une nouvelle fois Manon, qui meugle de douleur. Il la pistonne puissamment, savourant la chatoune de Manon. A chaque coups de reins il la fait s'empaler plus loin sur ma bite. Je lui viole la gorge. Sans se concerter, on jouit ensemble. Moi dans la bouche de Manon, lui sur ses fesses et son dos. Ma belle-fille, une fois que j'ai finis de jouir, ouvre grand la bouche pour me montrer ma semence avant de l'avaler.

- Putain, sa chatte, c'est la meilleur que je connaisse.

- Je te l'ai dis, c'est un putain de bon coup.

- Je confirme, je peux aller prendre une douche?

- Vas-y. Quand tu reviens, on mange.

- OK, merci.

- C'est pas moi qu'il faut remercier, c'est elle.

Paul caresse le dos de Manon, qui sursaute de dégoût. Il ramasse son caleçon et monte prendre sa douche.

Manon, qui pleurait doucement, la tête sur ma cuisse, essaya de me parler une fois seul.

- Léo pourquoi tu me fais ça?

- Je te fais quoi?

- Ben tu me violes, tu m'offres à d'autres hommes.

- J'en ai envie.

- Mais je suis ta belle-fille, tu me connais pratiquement depuis que je suis bébé.

- Et alors?

- C'est que... Je ne supporte pas tout cela. Je suis un être humain, pas une poupée gonflable.

- Pour moi, tu es une vide-couilles, dotée d'orifices bien agréable à pénétrer. Point, rien d'autres.

- Je ne suis que cela pour toi?

- Oui. Rien d'autres.

- Mon dieu... C'est horrible...

- C'est comme ça. Allez met le couvert, sert le repas, Paul ne va pas tarder à redescendre.

Une fois le repas terminé, je donne une pilule à Paul, sous le regard blasé et traumatisé de Manon. Elle sait que cela veut dire que sexuellement, elle va morfler longtemps. Une fois le repas fini, je vais dans le salon avec Paul. Manon débarrasse et fais la vaisselle. Je sers un whisky à Paul. Ma belle-fille nous rejoins une fois sa tâche terminée. Elle lève sur moi des yeux de chien battu, des yeux résigné à son sort. Je l'envoie nous attendre dans ma chambre. Paul la mate quand elle sort de la pièce.

- Alors, tu m'expliques? Je veux bien que ta belle-fille soit ta maîtresse, mais pour qu'elle accepte, en pleurant, que je visite son cul et sa chatte, il doit y avoir un truc.

- Ben c'est un truc de fou. Samedi, je suis allé jouer au Poker. Je ne bois jamais, là j'ai bu plusieurs whisky. J'étais bourré quand je suis rentré. Manon qui était habillée en pute et privé de sortie par sa mère, à voulut braver l'interdiction car j'étais seul avec elle.

- Vous vous êtes pris la tête...

- Grave, cette petite conne m'a giflé. J'ai vu rouge. Je lui ai mis une fessée cul nu.

- Carrément!

- Oui. Puis tu connais Carla, elle est pas porté sur le sexe. Je ne m'en rendais pas compte, mais j'étais frustré. En voyant le cul parfait de Manon, j'ai bandé comme un sauvage. Cette conne portait une mini-jupe et un haut transparent. Quand j'ai fini de la fessée, j'ai vu sa chatte, ses seins, j'ai pas résisté. Je l'ai violée.

- Directement?

- Oui. Mais cette chienne est soumise dans l'âme, depuis elle accepte toutes les dépravations que je lui impose. Pourtant elle pleure hurle de douleur, mais elle n'arrive pas à me résister.

- C'est dingue.

- Le pire, c'est qu'elle est ultra-sensible du clitoris. Si tu veux la faire jouir, tu t'en occupe, même qu'avec les doigts et elle part.

- Chanceux. Avec tout ça et ton truc, je bande comme un fou, on va la rejoindre?

- Allez, viens.

En montant, Paul me fait une proposition qui m'enchante. Au passage, il prend une belle poignée de préservatifs.

On est monté dans ma chambre. Manon nous attends debout au milieu du lit, ce qui étonne Paul.

- Elle ne se couche pas?

- Non, sauf si je lui dis dans quelle position m'attendre.

- Tu l'as bien dressée cette chienne.

Manon est humiliée par nos paroles, mais reste calme. Elle me regarde, se retenant de pleurer. Se demandant si son cul va encore morfler.

- Va te mettre à quatre pattes sur le lit.

Pour commencer, en hors-d'œuvre, on la prends en levrette sur le lit. Chacun notre tour. Moi je jouis dans sa chatte, je la fais jouir, Paul lui caressant les tétons et le clito tandis que je la défonce. Elle crie son plaisir. Puis Paul l'encule, là ses cris sont des hurlements de douleurs. Comme à chaque fois, la petite putain, nous nettoie le sexe avec sa bouche quand on en a finis avec elle. Manon ne le sait pas, mais c'était juste un apéritif, c'est maintenant que la fête commence.

Paul à passé une capote, il se couche sur le lit.

- Manon, va le baiser.

Ma belle-fille ne dis rien, se contentant d'obéir, pleurant toujours. J'espère que ses pleures continueront longtemps, il me font tellement bander. Elle descend sur le pieu de mon ami, s'empalant totalement. Elle fait quelques va-et-vient, quand il la plaque contre lui. Enserrant son dos de ses bras. Une lueur d'incompréhension envahit le regard de la jeune femme. Mais en bonne soumise, elle ne dit rien. Enfin jusque à ce que je monte sur le lit, collant mon pieu contre sa petite étoile plissée. Cette pute panique en comprenant ce qui l'attend.

- Tu fais quoi Léo, tu fais quoi?

- Je vais te faire connaître ta première double pénétration, je sais que tu en rêve.

- Je t'en supplie, pas ça, vous allez me déchirer, me tuer.

- Mais non, tu verra, tes trous de chiennes sont fait pour cela!

Elle n'a pas eut le temps de me répondre, mon pieu commence déjà à pénétrer son anus. Lui faisant pousser des hurlements encore plus fort que ceux qu'elle a poussé jusque ici. Pourtant je n'en suis qu'à évasé son anus avec mon gland. En bonne soumise complètement sous ma coupe, Manon ne fait que hurlée, n'essayant pas de se débattre ou de fuir cette pénétration affreuse qui se prépare.

Mon gland rentre dans le corps de ma belle-fille. Mon dieu ce qu'elle est serrée, la bite de Paul, plongée dans son vagin, comprime encore plus son conduit anal, que Manon contracte comme une folle. Je force comme un sauvage pour faire rentrer mon pieu. Les hurlements de ma belle-fille ne m'étonne pas, elle doit souffrir tout les feux de l'enfer. Je me moque des dégâts que je peux faire, je continue à forcer de toutes mes forces pour faire avancer mon pieu dans le fondement de ma belle. Je progresse lentement, millimètre par millimètre. Mon pieu est serré au maximum, tellement que cela en est presque douloureux. Quoique à entendre les hurlement de Manon, ça l'est beaucoup plus pour elle. Je ne suis enfoncé que de moitié dans son cul, que je me rends compte que j'ai dut le fissuré, ma bite se trouvant rougit par le sang de ma victime. Mais cela ne m'arrête pas, je veux lui enfoncer mon mandrin en entier, tant pis pour les conséquences.

J'ai enfin enfoncé ma bite en entier dans son fondement. Je sens le pieu de Paul à travers la fine membrane qui sépare l'anus du vagin de Manon. La douleur est terrible pour ma belle-fille, ouverte et dilatée comme jamais par les deux pieux plongés en elle. On reste quelques instants immobile en elle, savourant pleinement toutes les sensations merveilleuse que nous envoient nos organes génitaux. Nos deux bites en elle comprime ses organes génitaux au maximum, nous faisant la remplir au maximum de ses possibilités. Son étroitesse est divine. On commence alors à la pistonner ensemble. Dans un rythme irrégulier d'abord, avant de nous régler pour la violer de façon synchronisés. Ses hurlements augmentent encore en décibels, mais nous n'en avons cure. Pour ma part, je veux surtout achever de la briser, pour être certain qu'elle restera bien obéissante au retour de ma fille et de ma compagne. Vu ce que je lui impose, elle est sur la bonne voie.

On la viole à deux longtemps, ne lui épargnant aucun pincements, aucunes morsures pour accentuer sa douleur. Ma belle-fille n'est plus qu'un pantin désarticulé entre nos deux corps, n'ayant pour simple but que de nous donner le maximum de plaisirs. Au bout de près d'une demi-heure, on jouit ensemble. Moi dans le corps de Manon, Paul dans son préservatif. Pour s'amuser, une fois sortit de son corps, il s'amuse à lui faire boire le contenu de la capote. Manon nous suce ensuite pour nettoyer nos bites. Mais ce n'est pas la fin pour elle, la suite du traitement sera encore plus infernal. On lui fait connaître, cette nuit-là, la douleur extrême, la destruction totale. D'abord on est monté d'un cran dans l'horreur, la prenant à deux dans le vagin, on a du forcé pas mal pour faire rentrer nos deux bites. Déchirant ses chairs tendres et fragiles. Elle était assise sur moi, empalée, quand Paul lui a enfoncé son sexe. Je peux vous dire qu'a l'entendre hurler et a voir son visage déformé, que ma belle-fille à vraiment détesté. Jamais sa chatte n'a été aussi étroite, pire que pour son dépucelage. Un truc de fou, une nouvelle fois, on l'a faite saignée en la déchirant. J'ai éjaculé dans sa chatte, Paul dans sa capote. Comme à son habitude, il a fait boire le jus de capote à ma belle-fille. Sa chatte est restée grande ouverte, peinant à se refermer. On l'a tellement défoncée, que je peux y enfoncer quatre doigts, sans en toucher les bords. Du sperme rosé par le sang s'échappe de son vagin, inondant le lit. Ensuite c'est un nouveau cran qui fut franchit, sûrement le dernier cercle de l'enfer pour Manon. Avec Paul on a décidé de l'enculer tout les deux, en même temps.

J'ai été obligé de gifler violemment Manon, plusieurs fois, pour qu'elle accepte de s'asseoir sur Paul. Dos à lui, bite dans le cul. Paul l'a faite se plaquer contre lui, le dos de notre pute collé au torse de mon ami. Il a passé les bras autour d'elle pour la maintenir plaquer contre lui. C'est à moi de jouer. Je relève haut les jambes de Manon. Cette dernière s'attend à ce que je prenne sa chatte. Quand elle sent mon gland contre l'entrée de ses reins, elle se met à hurler. Elle se débat, rue, tente de fuir ce nouveau viol horrible. Mais Paul la tient, difficilement, mais il la tient. Je suis obligé de forcer comme un malade pour essayer de forcer le sphincter de ma belle-fille. Dans un craquement sinistre lorsque son anus se fissure, suivit d'un hurlement tout aussi sinistre, j'arrive enfin à faire rentrer le bout de ma bite. Je suis vraiment compressé, mais je me moque des dégâts, je continue ma lente et difficile progression. Jusque à ce que finalement moi aussi je sois totalement empalé dans les entrailles délicieuse de Manon. Nos deux bites sont vraiment comprimés, juste à la limite de la douleur. Alors, nous commençons à la pistonner, déclenchant des hurlements déchirant de la part de notre putain. Son corps tremble tellement qu'elle tressaute entre nous. On synchronise notre viol, pendant que l'un entre sa bite, l'autre sort la sienne. Je ne sais toujours pas, comment Manon ne s'est pas évanouit, mais le fait est, qu'elle est restée consciente du début à la fin. On y va vraiment comme des bâtards, la défonçant, lui cassant littéralement le cul. Le visage magnifique de Manon est atrocement déformé par la douleur, ses yeux menacent de sortir de leurs orbite. La bouche grande ouverte, bavant, pleurant de tout son saoul, la jeune fille ne peut s'arrêter de hurler, au risque de s'arracher les cordes vocales.

On à jouit ensemble, avec Paul, inondant les intestins massacré de Manon. Je suis certain qu'on lui a inondé le colon. Quand on s'est retiré, son trou du cul à mit du temps à se refermer en palpitant. Il était tellement dilaté, que je peux y enfoncer ma main jusque à la paume sans toucher les bords. Un flot de sperme rougit s'échappe de son orifice éclaté. Manon nous à quand même nettoyé la bite. Moi, je suis mort de fatigue, vidé de baise, mais pas Paul, il vient de regober une pilule.