Cambriolage

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Un couple de cambrioleurs entrent dans une villa.
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SalomeD
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Attention, cette histoire est assez violente, elle est basée sur le non-consentement et le viol. Si vous n'aimez pas ce genre ou si vous êtes une âme sensible, ne lisez pas ce qui suis, je peux vous garantir que vous n'aimerez pas. Pour les autres, bonne lecture.

On regardent les deux filles attachées sur le canapé, terrorisées, pendant qu'on vident la maison des bijoux et de l'argent liquide entassé par ce couple de trafiquants. La maison aurait du être vide, mais on a été surpris par la présence de la gamine du couple, âgée de 18 ans ainsi que de la jeune fille au pair, embauchée pour lui tenir compagnie, elle a également dix-huit ans. Avec ce que l'on vient de prendre, on a de quoi bien vivre pour les dix prochaines années, je n'ai jamais vu autant de fric, ni de bijoux d'ailleurs.

La fille du couple est habituellement en pension, dans un couvent où il n'y a qu'une dizaine d'élèves. Elle est pure et totalement ingénue, à un niveau que l'on ne peut imaginé. Il n'y a même pas internet dans ce couvent coupé du monde. Les quelques élèves, toutes de sexe féminin, n'ont jamais entendues parler de drogues et encore moins de sexe. Elles sont totalement ignorante de la chose, passant leurs temps à étudier sans moyen de communication avec l'extérieur. Si ce n'est un téléphone fixe, situé dans le bureau de la mère supérieur. Elles n'ont droit qu'à un appel de quinze minutes une fois par semaine. Les jeune filles ne sortant du couvent que pour les vacances scolaires.

Après avoir attachés et bâillonnés les deux filles, décidant de remettre a plus tard notre décision les concernant, nous avions récupéré une petite fortune ce qui allait nous permettre de nous mettre au vert pendant plusieurs années.

Mon regard se porte sur elles pendant que ma complice et maîtresse, toujours si perverse me dit, sans se soucier que les deux filles entendent.

-- On a du temps non, les parents ne rentreront pas avant demain matin.

-- Que veux tu faire? On a déjà tout piqué.

_ Regarde cette belle poulette! Elle me dit tout en caressant les cheveux de la jeune fille au pair, terrorisée. Tu n'as pas envie de jouer avec?

Je connais bien la perversité de Christine, nous avions quasiment fait tout ce qui est possible en combinaison sexuelle et j'avoue que souvent c'est elle qui guide nos ébats vers les plaisirs les plus vicieux.

Je regarde l'adolescente tout juste majeure, petite rouquine effrayée, du genre plutôt sage et étudiante que délurée.

-- Il parait que les rouquines sentent de la moule me dit-elle en passant sa main directement sous la robe de la jeune femme qui gémit de honte.

Elle farfouilla quelques secondes dans le slip de la fille qui se tortille et ressort ses doigts qu'elle sent vicieusement.

-- Ah non, elle doit bien se laver, me dit elle tout en me mettant les doigt sous le nez. La fille du couple, petite oie blanche, est vraiment terrorisée. Elle nous regarde sans comprendre trop ce qui se passe.

_ Ça te plairait que je m'occupe d'elle? Dis-je a Christine commençant à sentir mon sexe se dresser dans mon pantalon. Souvent Christine fait venir une fille a la maison et je m'en occupe de toutes les manières pendant qu'elle se masturbe en nous regardant, avant de nous rejoindre pour finir la nuit en orgie débridée.

-- Vas mettre l'autre dans sa chambre, on va s'éclater! Je lui dis déjà excité.

-- Pourquoi? Cela te gêne maintenant d'avoir des spectateurs? Dit-elle en riant.

...

_ On va aller dans la chambre mais tous les 4, elle dit en riant, je ne veux pas laisser cette petite bourgeoise risquer de se détacher.

Le ton de sa voix trahit toute la haine qu'elle a envers les gens riches que nous dépouillons régulièrement.

_ De toute façons elle a jamais du voir une belle queue comme la tienne!

Elle empoigne la fille du couple pendant que je jette la rousse sur mes épaules, on se rends dans l'immense chambre des parents, au premier étage.

Je jette la fille sur le lit, et la regarde méchamment :

_ Tu te débat, je te tue tu as compris dis-je en sortant un grand couteau de marines, J'aime pas me faire emmerder par une fille que je baise.

La fille ne bouge pas, de grosses larmes coulent sur ses joues.

-- Toi la bourge tu ne bouges pas non plus, c'est pas ton père mafieux qui me gênera pour te planter le couteau dans le bide, si tu nous emmerdes.

Christine s'assoie sur le bord du grand lit déjà très excitée pendant que je commence a caresser la jeune fille au pair sous sa jupe.

Elle gémit de peur et je sens ses cuisses se crisper, terrorisée pendant que la bourge nous regarde sans comprendre. J'adore ce moment, juste avant le viol, où la terreur envahit la victime qui commence à comprendre ce qui va lui arriver.

Je saisis le couteau et regarde la fille qui se met a pleurer. Directement je glisse la lame entre ses seins de taille moyenne, des bonnets B, puis je la glisse vers le bas, ouvrant en deux sa robe de coton et la laissant en slip et soutien gorge. Que du très sage. Les parents ont cherché longtemps, avant de trouver une jeune fille au pair, presque aussi ingénue que leurs fille. Ce n'est pas elle qui la pervertira, on le comprend juste à la regarder.

Je la regarde d'ailleurs très excité, je coupe le bord du slip ainsi que le milieu du soutien gorge. La file m'apparaît nue après que j'eus tirés les bouts de vêtement qui restent, les jetant alors par dessus le lit. C'est une vraie rousse, sa toison épaisse l'atteste. Cette conne ne s'entretient pas. J'aime ça aussi, les meufs poilus.

La bourge ouvre de grand yeux choquée, ce n'est pas le genre de choses qu'elle doit voir, avec son éducation totalement puritaine et réservée, contrairement aux agissements de son père. Lui par contre, il doit la montrer souvent sa queue, à de jeunes femmes, qui comme la connasse au pair, ne veulent surtout pas la voir. Ni la sentir en elles d'ailleurs. Mais comme pour la rousse, elles n'ont pas le choix. Elles subissent ou elles morflent. Pour arriver au final, à subir et à morfler.

Je me met debout devant le lit, à la fois gêné par la petite bourge, mais très excité par la fille. Christine qui me regarde vicieusement, en souriant de toute ses dents. Je baisse mon pantalon, puis mon slip dévoilant un sexe énorme, c'est vrai que je suis bien pourvu et que je peux bander des heures sans me fatiguer. Il se dresse a l'équerre affolant la fille par sa longueur et son épaisseur.

_ T'es pucelle? Je lui dis.

Un signe de tête me confirme le fait, cela ne fait que redresser ma bite encore plus.

_ Tu verras tu n'oublieras pas ton dépucelage, tu seras bien ouverte après!

Je lui dis cela tout en rigolant, en bavant presque d'envie.

Pendant ce temps Christine s'est aussi déshabillée, nue et si belle, avec son épilation qu'elle fait toujours régulièrement. La bourge est terrifiée, voyant ses 3 personnes nus ,se doutant que ce n'est pas une situation normale. Pourtant elle ne voit pas où la situation va la mener. Mis à part pour uriner, elle ne sait pas à quoi sert un sexe d'homme, ni un vagin d'ailleurs.

Je caresse le sexe de la fille au pair, elle est vraiment sèche et effrayée, comme je les préfères. Elle va vraiment me sentir passer. Christine sourit, elle sort de son sac le tube de vaseline que nous utilisions pour faire coulisser les clés sans faire de bruit lors de nos cambriolages.

-- Tu vas avoir besoin de ça elle dit.

Je prend le tube et m'en enduit juste le bout du gland luisant, juste ce qu'il faut pour faciliter l'entrée dans le sexe vierge et totalement aride. Je commence a me glisser entre les cuisses de la rousse.

Elle est terrorisée mais je lui montre le couteau, elle écarte alors immédiatement les cuisses, en se mettant a pleurer encore plus fort, ce qui ne me gêne aucunement, au contraire.

Je commence a faire quelques frottement sur son sexe roux, de haut en bas pour lubrifier un peu, avant de pousser en ayant trouve l'entrée.

La fille me regarde, ses yeux grand ouverts quand je me mets a pousser avec force, sentant l'ouverture vaginale refuser mon entrée, avant de s'écarter difficilement.

_ Humm tu es vraiment bonne et serrée toi!

Je lui dit tout continuant de pousser sans me soucier de ses gémissements. Mon sexe rencontre alors l'hymen de cette pute encore vierge.

_ Ça va y être ma chérie tu vas passer femme!

Je lui dit cela tout en donnant un coup de rein qui lui arrache un cris sous son bâillon. Mon sexe s'enfonce en elle d'une dizaine de cm. Truc-de-fou, la pute est vraiment très serrée, je savoure le plaisir de ce vagin tout neuf.

Christine se masturbe me regardant très excitée, je sens dans ses yeux tout son plaisir a me voir humilier et violer la jeune fille au pair. Ses doigts farfouillent son vagin en produisant un léger clapotis très pervers. Christine lâche de petits gémissements de plaisir. Le spectacle du viol de la rousse ayant l'air de lui plaire beaucoup.

Je lime la fille résignée, devant la bourge terrorisée et choquée, qui se demande ce que je fais. Je ne comprends pas que de nos jours, on ne puisse connaître des chose aussi simple qu'une pénétration vaginale. D'un coup Christine la regarde.

_ Oh mais ma pauvre chérie, tu es la seule a ne pas être a l'aise!

Elle dit cela très vicieusement puis elle me regarda avec ses yeux brillants.

Malgré la honte de l'oie blanche, elle tire le bas de pyjama vers le bas en rigolant, découvrant les fesses et la petite vulve recouverte d'un duvet de poils couleur sable prouvant au passage qu'elle est une vraie blonde. La belle bourge de dix-huit ans se met immédiatement a pleurer.

_ Qu'est-ce qu'il y a ma chérie, tu n'as jamais montre ta petite moulette a des inconnus? dit elle perverse. Pourtant il va falloir t'habituer tu sais, ton père est un des plus grand maquereaux de filles de l'est que l'on trouve dans le coin. Je peux te jurer que si tu étais la-bas, il ne tarderait pas a te mettre dans une école d'apprentissage plutôt que dans ton couvent de bonnes sœurs...

Je baise toujours violemment la fille qui crie dans son bâillon. Pourtant je sens une ambiance étrange à cette situation. Je n'ai jamais touché à une fille aussi pure que cette bourge, pas parce que ma morale le reprouve ( ma morale ne reprouve rien), mais parce que j'aime les filles aux beaux seins, déjà que cette rouquine n'en a presque pas assez pour moi, alors bien que très belle, baiser cette bourge de dix-hit ans avec de tout petits seins, que l'on ne voit même pas derrière son haut de pyjama... Puis j'aime les filles qui savent sucer, même dans un viol. Là, je sais déjà que je vais rester sur ma faim avec la rousse, alors l'autre...

Christine , me regarde en se masturbant, elle devient comme folle quand elle est trop excitée, elle commence a caresser la fente de la blonde qui se trémousse humiliée.

-- T'as qu'elle âge poulette, 18 ans c'est ça? Pourquoi tu bouges de cette façon? Elle te plaît pas ma main?dit elle glissant un doigt entre les cuisses serrées.

L'ingénue se débat sans pouvoir parler mais les larmes coulent sur son visage pendant que la fille au pair que je baise pourtant brutalement, ne réagit même plus, résignée a son viol.

Christine montre le couteau à la petite bourge qui se raidit de peur, elle écarte alors les cuisses, devenue docile. Christine recommence à passer sont doigt sur la petite moule blonde. L'ingénue est petite et mince, un mètre cinquante pour trente-cinq kilos max, le prototype parfait de la femme-enfant. Je ne peux détacher mes yeux de ce trou minuscule, vierge, dont elle ne connaît pas vraiment l'utilité, entre ses petites cuisses. Christine dit à la fille

_ Moi aussi, j'ai passé mon enfance dans un couvent comme le tien. Comme toi, j'ignorais tout des choses du sexe. Je croyais même que les garçons avaient une moule comme nous. Le jour de mes dix-huit ans mon beau père qui m'avait fait revenir chez moi la veille, est venu me rendre une petite visite. Il m'a violée dans le vagin, toute la nuit, me faisant comprendre à quoi cela servait. De la pire des façons. Je ne suis jamais retournée au couvent, par contre lui, il venait quand il était bourré me la mettre dans la bouche, je devais le sucer presque tous les soirs. Puis quand il était encore trop excité après m'avoir rempli la bouche, il me l'enfonçait dans le cul.

La petite bourge me regarde sans comprendre, mais je comprends la haine de Christine, elle ne m'en avait jamais parlé et elle a trouvée cette occasion pour dévoiler ses souffrances.

_ Dans le cul et a fond il me la mettait, mais moi je n'avais pas de baillons, je mettais la tête dans l'oreiller pour ne pas réveiller tout le quartier, je hurlais alors dans les plumes. Il travaillait pour un salaud comme ton père, il recrutait des gamines d'à peine dix-huit ans a l'époque, en province pour les mettre sur le trottoir... Alors pour lui je n'étais qu'un trou comme les autres. Sauf que j'étais disponible tout le temps. Ma mère bien entendu laissais faire...

Elle caresse toujours la moule de l'oie-blanche, son doigt allant jusqu'à l'anus de la vierge toujours sanglotante. Christine prend alors le tube de vaseline, elle s'en met sur les doigt, tout en me regardant.

Je lui souris, pilonnant encore plus la fille qui enserre délicieusement mon sexe dans sa gaine d'ex-pucelle.

_ Regarde comment ça fait ma chérie.

Christine lui dit ça, tandis que avec l'aide de la vaseline son doigt se pose sur la petite corolle de la magnifique blonde au visage d'ange. Malgré les contractions, elle enfonce sans mal son index entre les fesses de sa victime, de quelques centimètres.

La belle ingénue a un sursaut de honte, mais surtout elle meugle de douleur, hurlement étouffé par son bâillon.

-- Tu as de la chance ce n'est qu'un doigt! Lui dit une Christine complètement déjantée, mais je ne peux m'empêcher d'être encore plus excité à voir son doigt pénétrer le cul de la bourge.

_ Tu as de la chance que mon ami n'aime pas les connasse dans ton genre! Tu es trop plate pour lui. Puis il ne veux pas que l'on te fasse mal, il a peur de la mafia! Sinon il t'aurait fait voir avec sa grosse bite, mais il préfère se taper l'autre gourdasse de rouquine qui ne bouge même pas sous la queue.

D'entendre Christine parler comme ça m'excite de plus en plus. Malgré la honte de la bourge et du doigt de Christine qui fouille le trou-du-cul de l'ingénue de plus en plus rapidement, je sens mon sexe durcir encore plus.

Sans que Christine ne rajoute de la vaseline sur le trou du cul de la blonde, son doigt rentre maintenant sans difficulté. Rien ne résiste a la vaseline surtout pas le trou du cul contracte d'une salope de petite bourge de dix-huit ans.

-- J'aurais eu un autre ami, peut être qu'il t'aurait fait tâter de sa grosse bite, il parait que plus on commence jeune plus on aime le sexe... Mais bon, dix-huit ans c'est vieux pour une première fois de nos jours... Alors je ne sais pas vraiment si tu aimeras ça!

Je regarde alternativement Christine, la petite ingénue terrorisée et la gourdasse qui se laissait baiser sans réagir.

-- Ce qu'un homme doit être serré dans un petit trou du cul comme le tien, déjà que mon doigt a du mal a te limer, petite salope!

Je sens monter en moi un sentiment que je n'ai jamais eus. Pourtant j'ai juré de ne pas toucher la fille du couple. Être traqué par la police, passe encore, mais par la mafia! Ce n'est pas la même chanson! Pourtant ce n'est plus une fille ingénue, une fille de caïd de la mafia que j'ai devant moi...

Christine lui dit :

_ Ne pleure pas ma chérie, tu auras l'occasion de te faire dépuceler une autre fois par une petit con de 18 ou 20 ans, dans quelques années... Quand les bonnes sœurs t'auront enfin données tes premiers cours d'éducation sexuelle...

C'est un sexe de vraie blonde, bien étroit mais un sexe vierge. Et surtout un petit cul adorable dans lequel plonge le doigt de Christine qui me provoque.

-- Il ne doit pas être en forme.. d'habitude un cul il l'enfile avant même qu'il ai eu le temps de se déshabiller..

Je n'en peux plus, je me vide en gémissant de plaisir dans l'utérus de la rousse. J'éjacule abondamment, la remplissant, tandis qu'elle pousse, dans son bâillon, des hurlements d'horreur à l'idée d'être enceinte.

Je ressorts alors me bite du con de la gourdasse, avec quelques traces légères de sang... Mon sexe est toujours droit, bien dressé mais surtout dur comme du fer.

_ Tu vois ce que tu rates chérie!

Christine dit cela à la petite prude terrorisée... Moi je n'en peux vraiment plus..

Je dis à ma compagne :

-- Salope tu as gagnée! Tu as ce que tu veux, mets la moi sur le ventre!

-- Oh, tu es sur? Elle dit cela amusée. Je croyais que tu n'aimais que les gros seins. Puis surtout ne pas faire de mal à une fille de caïd ou à un caïd lui-même...

_ Dépêches toi, je n'en peu plus avec tes salades... Il faut que je me la fasse cette pute! En plus elle est magnifique!

Elle va avoir ce qu'elle veut. Elle enlève le haut de la blonde. Deux petits seins apparaissent. En fait c'est même plutôt juste deux renflements de chairs avec de petites aréoles et de petits tétons au milieu. Christine, d'une perversité maximum, retourne la belle ingénue sur le lit, qui comprend vite ce qui l'attend, le petit canon n'arrête pas de hurler sous le bâillon.

Christine retire son doigt me montrant l'anus minuscule mais légèrement ouvert par le doigt, cette fois elle ne presse même pas une noisette de vaseline, préférant que je la sodomise à sec, estimant que son doigt à suffisamment dilaté la petite ouverture.

Je monte alors sur la petite bourge, au petit gabarit, je sais que je vais transgresser un tabou, mais je ne peux résister, je me baisse vers le corps de la petite blonde.

La rousse me regarde terrifiée, elle sait que la petite oie blanche, ne sait pas vraiment ce qui l'attend. Qu'elle ne se remettra pas d'un viol. Surtout que le petit gabarit de cette femme-enfant, de cette lolita, n'est vraiment pas fait pour recevoir un membre comme le mien. Puis psychologiquement, la jeune majeur ne se remettra jamais d'un viol. Anal en plus de cela.

je pose pour la première fois mon gland contre l'anus de cette salope, je comprend que désormais cela deviendra un de mes grand plaisirs. Que plus jamais je ne pourrais me passer de son corps.

Malgré les pleurs de la petite bourgeoise, malgré son étroitesse, je sens l'anus résister un peu, puis s'ouvrir sous la poussée de mon gland, pendant que Christine tient la petite bourge, je sens peu a peu le petit orifice s'ouvrir pour engloutir d'un coup 4 cm de mon sexe, avec le gland. Je viens de lui dépuceler le trou-du-cul. Pour la première fois de sa vie, une bite entre en elle. Mais je sais que c'est loin d'être la dernière. Christine lui enlève le bâillon, par pur sadisme, juste pour mieux l'entendre hurler.

La petite ingénue hurle, les petites fesses contractées massent mon sexe à chaque sanglot, je n'ai jamais était si serré ni si excité avec une autre femme. Christine comprit. Je savoure, je progresse en elle, lentement, sadiquement. Sentant son petit anus pulser contre mon sexe. Ses entrailles sont tellement serrées, que certains de ses organes doivent se pousser pour me faire place.

D'ailleurs, Christine complètement déjantée, crie excitée comme jamais.

-- Vas y encules la cette petite pute, enfonces lui a fond comme ça elle pourra travailler avec les putes de son père!!!

Malgré les hurlements même plus étouffés de l'ingénue, je prends un plaisir immense a pousser toujours plus pour enculer cette salope, sur le lit de ses parents. Mon sexe est vraiment très serré, presque comprimé, les muqueuses anales le serrent vraiment, je sens, son anus se contracter, y ajoutant vraiment à mon plaisir.

Je ne peux pas m'étaler de tout mon long sur la salope sans risquer de l'étouffer, toujours empalée je me retourne, je pivote avec la blonde, qui se retrouve empalée par le cul sur moi, à l'envers. Je suis maintenant plus a l'aise, la blonde enfilée sur moi je n'ai plus qu'a prendre sa petite moule à deux mains pour l'appuyer sur moi, pour m'enfoncer toujours plus dans son petit cul.

SalomeD
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