Léa Soumise Comme Une Chienne Ep. 01

Informations sur Récit
Léa se fait sodomiser sans consentement.
1.6k mots
3.92
68.8k
9
0
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Ce récit est purement fictif et n'a aucun lien avec la réalité. Toute ressemblance ne pourrait être que fictive.

Léa est une jeune adulte de 20ans, blonde, d'1 m 58, pour 56kg et des seins fermes, de ceux qui tiennent en main et qui n'ont pas besoin de soutif pour tenir.

Lors de ses 18ans, elle va faire la rencontre d'un jeune homme à qui, toute sa vie sexuelle va changer à jamais.

Dans leur petit bâtiment étudiant, quelques amis à Léa réunit par ici et par là dans une chambre. La fête bat son plein, et la petite Léa a remarqué ce jeune homme tout seul, buvant sa bière sans que personne ne le dérange. Aux premiers regards échangés, elle su qu'il y avait quelque chose chez lui qui l'attirait. Elle décida de passer quelques temps avec lui, pour apprendre à mieux le connaître. La discussion se passe sans soucis, il se prénomme César et a le même âge qu'elle mais plus vieux par rapport à elle de quelques mois.

L'alcool aidant, et les deux ayant bu un petit peu plus que les autres, se retrouvèrent dans une chambre tout les deux. D'un regard, ils se jetèrent l'un sur l'autre et s'embrassèrent passionnément, avec fougue et surtout, avec un appétit sexuel débordant.

César n'hésita pas à peloter fortement les fesses de Léa tout en lui roulant des pelles torrides, choses qui plu tellement à Léa qu'elle enleva le pantalon de César d'une traite et se précipita d'une bouche avide sur une belle bite de 25cm bien dressée à la verticale.

Elle n'en crû pas ses yeux devant un tel spectacle, mais ne pu s'empêcher de mouiller comme une grosse salope. Et c'est d'une chatte dégoulinant de mouille qu'elle englouti la bite de César au fond de sa gorge.

N'en pouvant plus, César prit la tête de Léa dans ses mains et enfonça le plus loin possible sa bite dans la gorge de cette petite femme en chaleur tout en râlant fortement. Il lui baisa bien la bouche pendant une 15 de minutes, provoquant de multiples haut le coeur à Léa, tellement il touchait le fond de sa gorge, qu'elle en pleurait.

Il l'a saisi alors par les bras, et la jeta sur le lit comme un fétu de pailles. Lui déchira son t shirt laissant apercevoir un magnifique soutien gorges en dentelle blanche, il lui arrache celui sans ménagement et découvrit des seins magnifiques, de belles auréoles, et surtout des tétons pointant comme jamais. Sa bouche se colla avidement sur ces tétons faisant gémir Léa comme une chienne en chaleur. Et tout en lui suçant les tétons, il glissa sa main dans sa culotte et la doigta du majeur. Ses doigts étaient plein de cyprine lorsqu'il les ressortis, tout en suçant son doigt plein de mouille, il lui descendit manu militari son pantalon, son tanga et les fit voler au loin.

La chambre était baignée de la lumière de la pleine lune, de sorte qu'il vit une superbe chatte, bien rasée, avec de belles lèvres charnus, et un clitoris rond comme un bouton. Il s'approcha de cette chatte, et la lécha comme on lèche une glace italienne : avec entrain et plaisir.

Cette petite aime le sexe comme pas possible se disait-il, je vais lui en donner. Il l'attrapa par la gorge et la pénétra d'une seule traite, la faisant crier de plaisir. C'était incroyable comment son sexe rentrait dans cette chatte remplit de mouille. Et le pire, c'est que ses 25cm touchait le fond de sa chatte, la faisant gémir de douleur et de plaisir à chaque fois qu'il rentrait entièrement sa bite dedans. Il l'a pilonna bien pendant 20bonnes minutes et décidant de passer à autre chose, lui ordonna de se mettre à quatre pattes par terre.

Surprise d'un ton aussi autoritaire, elle obéit promptement et se positionna par terre en levrette.

Tout d'un coup, il lui appuya la tête par terre, lui fît cambrer le dos de sorte à bien faire ressortir son cul et surtout sa chatte. Et il la pris d'une force inouïe dans la chatte la faisant hurler à chaque coup de butoir. Il en profita pour la fesser avec force, et sans savoir pourquoi il se retira de sa chatte comme ça, la laissant pantelante et exténuée, la chatte en feu, son corps pris de soudains orgasmes elle tremblait comme une feuille. Elle n'en revenait pas de se faire baiser comme ça, comme un objet, comme une petite chienne, comme un trou à combler. Prenant plaisir avec toutes ces sensations, elle ferma les yeux quelques secondes.

Ce fût pendant ces quelques secondes, qu'il en profita pour présenter sa bite en face de son anus, pas préparé ni lubrifié: malheur pour elle, elle senti qu'il la prenait par les hanches fortement, et que quelque chose forçait son sphincter sans savoir quoi. Subitement, celui-ci s'ouvrit d'une traite, la faisant hurler de douleur lorsque la bite de César rentra entièrement au fond.

Elle pouvait le sentir dans son ventre tellement sa bite était longue, mais le pire dans tout ça, c'était les 8cm de diamètre qui lui écartait l'anus comme un bouchon de champagne. La douleur fut telle, qu'elle en pleura, et essaya par tout les moyens de bouger, de le faire sortir de son cul, qui la brulait comme de l'acide... Et commença la longue et déchirante torture, il commença à la limer, lui casser le cul, lentement, le temps qu'elle s'habitue, qu'elle n'est plus mal. Au bout de 15min de cet atroce traitement, elle commença par mouiller du cul puis gémir de plaisir. Plaisir qui fit qu'elle se décontracta et il put alors glisser encore plus facilement dans son cul.

Et l'impensable arriva, il lui pris les deux bras, ce qui fit qu'elle se retrouva le haut du corps relevé vers le plafond, et il la pilonna d'une rare violence, il était entrain de sodomiser une petite pute le jour de son anniversaire, et le plaisir était telle qu'il se déchaîna dans son cul comme un sauvage.

La bouche ouverte sans aucun son pour en sortir, la gorge nouée, elle subit pendant plus d'une heure cet assaut dans son cul. Elle n'en pouvait plus, elle se sentait ouverte, elle était devenue une poupée de chiffon pour cet inconnu qui la baisait depuis un certain temps.

Et d'un coup, il lui étira les bras vers l'arrière comme s'il voulait lui déboîter les bras, elle sentit qu'il allait lui jouir dans le cul à ce moment là. Tout en lui mettant de gros coups de bite dans le cul, il lui jouit dedans avec une telle violence, qu'elle sentit son ventre se remplir petit à petit.

Elle le sentait, pour la première fois de sa vie, elle était baisée comme une pute, et on lui jouissant dans le cul, c'était des geysers de sperme, intarissable, elle en compta bien une quinzaine avant de subir les plus violent orgasmes de sa vie, ses yeux s'en trouvèrent révulsés vers l'arrière, et son corps fut pris de convulsions incontrôlable. Une fois finit,

elle repris ses esprits, et senti qu'il était toujours entrain de lui jouir dedans, mais le débit était moins important, au bout d'une 10 de minutes à lui jouir dedans, il se retira tout doucement, la laissant à quatre pattes par terre, essoufflé, éreinté, le cul dilaté comme never, avec un flot important de sperme s'écoulant de son anus éclaté par sa bite.

Il prit alors une photo de son anus dégoulinant de son sperme, puis fit une vidéo de lui, prenant par les cheveux cette petite pute, il lui tira vers le haut ses cheveux de sorte à avoir sa bouche à hauteur de sa bite. Au bout de sa vie, Léa ouvrit la bouche, et il finit par lui baiser la bouche pour bien nettoyer sa bite.

Lorsqu'elle ouvrit les yeux, une violente douleur derrière la tête lui fit ouvrir la bouche pour grimacer. C'est à ce moment là, qu'elle senti s'enfoncer dans sa bouche, sa bite, pleine de sperme et de mouille de son cul, elle ne put que subir ses assauts dans sa bouche sans rien faire tellement il l'avait défonçait son petit corps tout frêle. Elle le laissa faire puis sentis alors un liquide couler le fond de sa gorge, elle tenta alors de reculer sa tête, mais les mains de César l'en empêchait: il lui pissait dans la gorge, et la forçait à avaler. Pour la première fois de sa vie, Léa se senti humiliée comme jamais, personne ne lui avait jamais pissé dans la bouche et la forçait à avaler. Elle dû boire à grande gorgée, ce liquide chaud qui coulait sans s'arrêter dans sa gorge manquant de l'étouffer.

Lorsqu'il eu enfin finit de se soulager il l'a relâcha et la regarda tousser par terre.

il lui demanda, alors comment c'était, tu as aimé?

Elle tempesta contre lui, et lui dit que c'était un bâtard de lui avoir fais avaler sa pisse. Il rétorqua: Tu as quand même aimé être traité comme un objet petite pute. Puis il se pencha près de son oreille, et lui dit

Maintenant tu vas m'obéir, à mes moindres désirs, tu vas être ma petite chienne, celle que je baiserai quand j'en aurai envie et n'importe où et n'importe quand.

Elle alla rétorquer que non, il en était hors de question, jusqu'à ce qu'elle vit alors la vidéo d'elle entrain de se faire baiser la bouche. C'est d'une tête bouche bée qu'elle acquiesca sans dire un mot de plus. Une larme perla du coin de ses yeux, lui séchant alors cette larme, il lui dit ne t'inquiètes pas, tu vas adorer ma pute...

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Été de servitude Ch. 01 Une mère de famille soumise à un ado.
Bourgeoises Rééduquées : Partie 01 Charlotte et son voisin, Didier se rencontrent.
Domination Noire Mme Martin assiste à la déchéance de sa fille...
Une Princesse en Esclavage Une princesse et sa mère à la merci d'une bande.
Plus d'histoires