Dans Les Alpes, Au Chalet (1/2)

BÊTA PUBLIQUE

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Il n'oublie pas non plus ses seins. Il ne pourrait pas. Ses mains sont attirées par ces aimants.

Max n'est pas un don juan, ses conquêtes se comptent sur les doigts d'une main. Elles sont plutôt jolies mais différentes. Blondes, brunes, châtain, cheveux longs ou courts, hanches dessinées ou non, elles ont pourtant un point commun. Elles ne sont pas grandes, moins d'un mètre soixante, et toutes n'ont aucun besoin de soutien avec leurs petits seins.

Aussi, Marie Charlotte, très grande, avec ses fesses voluptueuses et sa poitrine lourde n'est apparemment pas le genre de femme qui l'attire. Mais qui peut connaitre les réactions d'un homme face à l'inconnu, devant des formes attirantes, une position suggestive, qui plus est totalement nue.

Quand, inévitablement ses mains se posent sur les masses fermes et moelleuses, douces et nerveuses, il est captivé. Délicatement il les reconnait, les cajoles amoureusement, les caresse langoureusement, les triture doucement ; il les apprivoise. Et puis, après plusieurs passages, alors que Marie Charlotte est en attente, le souffle court, il enserre chaque sein avec douceur mais fermeté et, ajuste un mouvement de pression tout en les étirant. Comme ses paumes sont huileuse, il n'y a pas une pression constante sur un endroit, mais plutôt un long massage vigoureux. Et Max réitère plusieurs fois sa manœuvre! La grande a le souffle erratique.

Elle n'arrive pas vraiment à traiter son état d'esprit. Perturbée, troublée. Elle a la désagréable impression d'être une chèvre que son monstre de beau-frère est en train de traire, un animal docile aux mamelles engorgées, heureuse qu'on lui extirpe le lait. Cependant si l'acte est rabaissant, humiliant, elle oscille entre honte et plaisir. Mais c'est malgré tout la luxure qui l'emporte. Elle n'est plus en possession de son libre arbitre d'autant qu'à chaque passage ses bouts son savamment étirés, excités. Elle est sous emprise.

Et elle n'est pas la seule. Les formes voluptueuses, la douceur de la peau, les bruits réceptifs, ne font qu'accentuer le désir de Max. Cette garce le rend fou. Il doit la posséder entièrement, totalement, la prendre telle une bête, la baiser comme un forcené.

Il s'allonge alors sur elle pour aller chercher sa main, et lui place sur son abricot. Elle ne résiste pas. Marie Charlotte sait ce qu'il lui faut. Il n'y a plus de faux fuyant, il n'y a qu'un besoin primal à satisfaire.

Ensuite, doucement il la manipule afin qu'elle se positionne comme il le désire. Toujours en levrette, sur ses genoux, allongée au maximum, il la force à se cambrer davantage, et surtout lui écarte outrageusement les cuisses. Il veut pouvoir la prendre profondément, très profondément.

Il est aux anges quand il enfonce lentement son Priape en imprimant un mouvement circulaire à son bassin. Trois quatre fois il réitère ce forage en douceur. Il a l'impression de gagner un centimètre supplémentaire avec l'anus qui se dilate encore. De plus il semble que le forage circulaire est une tuerie pour Marie Charlotte. Elle feule en continu. Plus encore, elle accompagne, sollicite le Priape et se cambre davantage. C'est une femme désinhibée, assoiffée de jouissance, prête à tout pour se faire remplir. Max exulte de la voir aussi lubrique. Mais il doit changer car ces mouvements sollicitent beaucoup trop la zone sensible de sa hampe. Il pourrait venir plus tôt qu'il ne le veuille.

Max reprend alors doucement ses vas et vient, puis accélère le rythme et l'intensité, enfonçant l'énorme bite dans le trou maintenant totalement abandonné de sa belle-sœur. Enfin il se met à aller et venir dans son cul, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Marie Charlotte gémit, miaule en continue. Son conduit rectal est désormais bien moins serré qu'il ne l'était quelques instants plus tôt. Il s'adapte, de plus en plus à son Priape, se détend, épouse sa hampe. De même le besoin de pénétration est facilité par un sphincter compréhensif qui n'hésite plus à se relâcher et Il a maintenant l'impression de glisser facilement dans un colon graissé.

Parallèlement, les traits de Marie Charlotte se décrispent peu à peu, Max constate que son rictus de douleur est en train de changer, et ce ne sont pas les petits cris, les feulements, qui parviennent désormais à ses oreilles, qui lui disent le contraire. Toute trace d'arrogance et de volonté se sont maintenant entièrement évaporée. Elle gémit sans discontinuer.

« Aaaaaaaaahhhhhhahhahhhhhh ».

Marie Charlotte ne peut nier qu'elle aime ça. La douleur brûlante qu'elle ressentait est maintenant mêlée de plaisir charnel. Son esprit est absent, emportée par le besoin de son corps à satisfaire. De plus elle sollicite tant et si bien son bourgeon, qu'inévitablement le plaisir s'immisce entre la douleur de son horrible pénétration, inexorablement il grandit.

« Aaaaaaaaahhhhhhahhahhhhhh »

Ebahi, fasciné, subjugué, excité comme il ne pensait jamais l'être, Maximilien adore le spectacle de sa belle-sœur, crier, se tordre dans tous les sens, pleurer à chaudes larmes, supplier alors qu'il l'encule profondément, encore et encore, et encore, et encore, chaque poussée livrée avec un maximum d'effort et de lubricité.

Marie Charlotte atteint le point de non-retour. Sa bouche s'ouvre dans un cri silencieux alors que la tempête se déchaîne enfin à l'intérieur de son corps. L'orgasme a commencé au fond de son gouffre et éclate comme un volcan.

« AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHAAHHHHAAHHH »

Un énorme raz de marée fait convulser tout son corps, l'engloutie dans une libération sans fin. La grande a l'orgasme le plus hallucinant, le plus puissant et le plus épique de toute sa vie. Elle a l'impression de jouir pendant des heures alors qu'un tsunami de plaisir s'écrase sur elle encore et encore.

Max adore ça, il n'en peut plus. La puissance qu'il ressent, l'anus qui le broie à chaque contraction du sphincter, associé à la sensation de posséder corps et âme sa belle-sœur à chaque fois qu'il s'enfonce profondément, est plus qu'il ne peut supporter. Ses couilles le brulent. Son propre orgasme se construit comme un orage, grossissant à mesure qu'il martèle le cul de Marie Charlotte. Puis sur une dernière poussée dure, ne parvenant pas à retenir son éjaculation plus longtemps, il se lâche dans le rectum avec un grognement d'extase.

Vidé, il tombe sur Marie Charlotte. Encore dans ses fesses, il l'entraine ensuite avec lui, en chien de fusil sur le tapis. L'enveloppant de ses bras, il la caresse tendrement, sa main négligemment posé sur les seins moelleux.

De son coté, Marie Charlotte continue à surfer sur cette vague d'euphorie plus longtemps qu'elle ne le pensait possible. Son esprit est vide. Alors que le pur plaisir la submerge, tout ce qu'elle peut voire sont des étoiles. Des larmes coulent à nouveau, mais ce sont des larmes de bonheur.

Elle n'a pas la force ni la volonté de repousser son beau-frère collé sensuellement contre elle, mais au contraire, sans en prendre conscience, son corps réclame son attention.

Apres deux trois minutes à caresser le corps contre lui, son sexe éjecté, Max se relève enfin, délicatement. Sa belle-sœur s'est endormie. Il prend alors une couverture, la couvre. Il part ensuite prendre une douche, remet un jogging, passe par la chambre de la grande et redescend. Il pose le kimono sur le canapé tout en la regardant partie chez morphée, il la trouve belle.

Il s'occupe enfin de préparer de quoi manger ce midi même s'il est déjà 14 heures. Il a faim et Marie Charlotte voudra certainement manger. Or quand elle se réveille, hagarde, elle se lève mécaniquement en se couvrant de son kimono et rejoint sa chambre. Max ne l'entendra descendre qu'en fin de soirée. Il ne dort pas encore mais emmitouflé dans sa couette, allongée dans le canapé lit, il ne montre pas qu'il est éveillé. Il remarque seulement que Marie Charlotte prend un encas en faisant le moins de bruit possible.

Le jeudi, Ils n'évoquent aucunement l'événement de la veille et font comme s'il n'était jamais arrivé. De plus, Il y a comme une trêve entre eux deux. Marie Charlotte s'est assagi. Elle n'harcèle pas Max, et sans pour cela discuter comme des amis de longue date, ils arrivent à échanger quelques mots dans la journée.

Au petit déjeuner, elle mange avec lui en silence et le midi, elle le remercie alors que celui-ci a préparé le repas « c'était très bon merci ». C'est un grand pas que note Max. Il est agréablement surpris et plus encore lorsque dans la soirée, elle lui demande si elle peut l'accompagner demain en forêt.

Durant la balade Max est devant, ouvrant la voie et Marie Charlotte le suit quelques pas derrière, silencieuse. Un grand nombre de pensées se bousculent dans sa tête. En conflit avec certaines, elle ne cesse de les analyser, de les retourner dans tous les sens. Elle est tellement concentrée qu'elle en oubli ou elle est, n'apprécie pas correctement le dénivelé, manque même de tomber et lâche un petit cri de surprise. Max se retourne alors pour l'aider, lui dire un petit mot rassurant et elle retourne à sa méditation.

Le soir, le temps s'est amélioré, et Philippe arrive à les joindre sur le portable. Il explique à sa femme les difficultés qu'il rencontre et lui dit qu'il ne pouvait pas les rejoindre, il doit partir à Dacca et il sera certainement absent quinze jours. Marie Charlotte râle, évidemment, cependant elle n'est pas tout à fait honnête avec elle-même. En effet elle ne sera pas obligée de cacher son fessier à son homme, en trois semaine les marques auront disparu ou, elles seront en tout cas, moins flagrantes. Au pire elle pourra les expliquer par une mauvaise chute.

Elle est tout d'un coup de bien meilleure humeur, la soirée en tête à tête avec son beau-frère est de ce fait plus agréable. ils regroupent leurs affaires pour partir demain en fin de matinée et lorsqu'ils s'apprêtent à ce coucher, Marie Charlotte dit prudemment :

« tout ce qui se passe ici, reste ici? »

« Je ne vois pas de quoi tu parles » répond-il souriant

« Et pour Tony » demande t'elle, pas très sure.

« Je ne sais pas qui c'est! » assure Max hilare.

Marie Charlotte est rassurée. Elle lui sourit en retour et monte se coucher.

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Anonymous
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3 Commentaires
Yokebed83Yokebed83il y a 9 mois

Très bon texte, même chose attention aux prénoms !

Hâte de lire la suite merci .

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 9 mois

Un beau texte bien détaillé mais attention au changement de prénom qui casse l'immersion.

AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Très bon texte, mais Marie-Charlotte, Florence, on s'y perd, et cela est dommage

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